Commutic

Nous sommes une entreprise de communication digitale avec plus d'une année expérience dans le dom

01/01/2021

Bonne année 2021

Coup de tonnerre : KKB aurait été bloqué à l’aéroport d’Abidjan tentant de fuir le pays 14/10/2020

Coup de tonnerre : KKB aurait été bloqué à l’aéroport d’Abidjan tentant de fuir le pays https://news.phxfeeds.com/share?docId=6201876799661522766&source=phx

Coup de tonnerre : KKB aurait été bloqué à l’aéroport d’Abidjan tentant de fuir le pays See more trending news on @ Phoenix Browser

Scrutins couplés de 2020 au Burkina : L'audit du fichier électoral lancé - leFaso.net 14/10/2020

Scrutins couplés de 2020 au Burkina : L'audit du fichier électoral lancé
https://lefaso.net/spip.php?article99933

Scrutins couplés de 2020 au Burkina : L'audit du fichier électoral lancé - leFaso.net Le siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) abrite, ce mardi 12 octobre 2020 à Ouagadougou, la cérémonie d'ouverture de l'audit (...)

District sanitaire de Baskuy : Rejetée par les agents de santé, Bachiratou Bikienga accouche au bord de la route - leFaso.net 07/10/2020

District sanitaire de Baskuy : Rejetée par les agents de santé, Bachiratou Bikienga accouche au bord de la route
https://lefaso.net/spip.php?article99766

District sanitaire de Baskuy : Rejetée par les agents de santé, Bachiratou Bikienga accouche au bord de la route - leFaso.net Après avoir été rejetée à deux reprises du Centre médical urbain (CMU) du district sanitaire de Baskuy, Bachiratou Bikienga, une femme enceinte de 37 (...)

07/10/2020

Trump positif au Covid: les messages de soutien affluent du monde entier 06/10/2020

http://opr.news/3c437922201003fr_bf?client=news

Trump positif au Covid: les messages de soutien affluent du monde entier Trump positif au Covid: les messages de soutien affluent du monde entier - WorldNews - operanewsapp

06/10/2020

Imaginez ceci dans votre quartier ? 😏

Contre les rackets et surcharges au Burkina : Des chauffeurs routiers annoncent un arrêt de travail du 6 au 9 octobre 2020 - leFaso.net 06/10/2020

Contre les rackets et surcharges au Burkina : Des chauffeurs routiers annoncent un arrêt de travail du 6 au 9 octobre 2020
https://lefaso.net/spip.php?article99743

Contre les rackets et surcharges au Burkina : Des chauffeurs routiers annoncent un arrêt de travail du 6 au 9 octobre 2020 - leFaso.net Dans une note adressée au chef du gouvernement burkinabè, l'Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB) menace d'observer un arrêt de travail de (...)

06/10/2020

La vie est un mélange de couleurs, à vous de peindre votre destin

Burkina: Guillaume Soro compte donner «un nouvel élan original» à la coopération ivoiro-burkinabè s’il devient président 05/10/2020

http://opr.news/32b33c73201005fr_bf?client=news

Burkina: Guillaume Soro compte donner «un nouvel élan original» à la coopération ivoiro-burkinabè s’il devient président Burkina: Guillaume Soro compte donner «un nouvel élan original» à la coopération ivoiro-burkinabè s’il devient président - News_Politics - operanewsapp

03/10/2020

Souriez, souriez, souriez encore😃😄

02/10/2020

La formation continue, pour toujours mieux répondre à vos besoins.

11/09/2020

les 29 et 30 Août 2020, votre entreprise a participée au , une belle initiative portée par des jeunes dynamiques que nous avons tenus a soutenir.

17/08/2020

Les 29 et 30 Août à Ouagadougou un événement a ne pas manqué.

10/08/2020

Bientôt à BOBO-DIOULASSO

04/08/2020

Bonjour très chers/chères abonnés/abonnées !
Aujourd'hui dans la rubrique Discivor consacré à la découverte de nouveaux épices nous vous parlerons d'une épice que beaucoup d'entre vous connaissent déjà. Vous l'avez deviné à l'image, il s'agit du Gingembre.

Arôme : ah…le gingembre…on adore son arôme chaud, plein de fraîcheur et doux à la fois. Lorsqu’il est frais, il est beaucoup plus tonique 😉

Conseils d’utilisation : utilisez le gingembre avec le poulet, le porc, le canard, la dinde. Du côté des poissons, saupoudrez un peu de gingembre moule sur une papillote, des crevettes. En cuisine sucrée-salée (en marinade de soja)…cette épice est divine ! Mais comment parler du gingembre sans évoquer les desserts ?!? On l’ajoute plutôt en poudre dans les préparations de cakes, entremet, compote de pommes, desserts au chocolat.

Astuce : utilisez-le en remplacement du poivre avec les viandes blanches, pour relever vos vinaigrettes…

Timeline Photos 28/06/2020

Pont de la forêt du kou
Burkina l'entreprise digital

Photos from Commutic's post 28/06/2020

Guinguette bobo dioulasso
By l'entreprise digital

Timeline Photos 27/06/2020

Bobo dioulasso
By l'entreprise digital

11/04/2020

EXEMPLE À SUIVRE
Medecin de formation, Miss Bhasha Mukherjee élue au concours de beauté Miss Angleterre 2019 enlève sa couronne pour sauver des vies face à la pandémie mondiale.

09/04/2020

Observateur paalga: entretien avec l'homme d'affaires sino-Burkinabè Moussa sawadogo

Pour avoir déposé ses valises d’homme d’affaires dans l’Empire du milieu, où il réside depuis maintenant quinze bonnes années, il fait partie des plus Chinois des Burkinabè. Dans ce domaine des affaires, il s’est fait une place au soleil avec son entreprise de transit, Yiwu Baiwa trading company. Moussa Sawadogo, c’est de lui qu’il s’agit, est, de ce fait, bien connu par nombre de commerçants burkinabè et d’ailleurs. Alors que son pays, comme bien d’autres, est sur le pied de guerre contre la pandémie du Covid-19, l’opérateur économique a laissé parler son cœur à travers des dons en nature (32 500 bavettes) et en espèces (27 millions de F CFA). Dans une interview qu’il nous a accordée le 6 mars 2020, il revient sur son parcours. A propos de la riposte au Covid-19, il estime que nos autorités auraient pu solliciter l’aide de la Chine pour venir à bout de la pandémie.



La Chine et vous, c’est une longue histoire d’amour. Depuis quand cette histoire a-t-elle commencé ?


Elle a commencé en 2005. Cette année-là, je suis parti de la Côte d’Ivoire pour la Chine. Je me suis installé d’abord à Guangzhou où j’ai passé 24 jours avant de me retrouver à Yiwu, dans la province de Zhejiang. J’ai travaillé avec un entrepreneur du transit et de la logistique qui est maintenant installé au Mali. J’ai été son employé pendant quatre ans avant de créer ma propre entreprise, le Yiwu Baiwa trading company.

Est-ce qu’il y a beaucoup de Burkinabè qui vivent en Chine ?

Oui, ils sont nombreux à y vivre. Nous sommes environ 500 hommes d’affaires, en plus des étudiants. Mais beaucoup sont actuellement au bercail à cause du Covid-19.

Quels sont vos rapports avec vos autres compatriotes qui résident en Chine ?

Les choses se passent à merveille entre nous. La preuve, nous avons créé Burkindi, un groupe WhatsApp où on échange régulièrement, ce qui nous permet d’ailleurs de garder le contact. A cela il faut ajouter un autre forum de discussions mis en place par l’ambassadeur du Burkina sur place, ce qui rassemble aussi tous les Burkinabè qui y vivent.

A l’ère des réseaux sociaux, des images font souvent état de ce que les Africains sont couramment victimes de racisme en Chine. Est-ce que vous avez ce sentiment ?

Personnellement, je n’ai pas été victime de racisme en Chine. Dans la ville où je me trouve, il n’y a pas de préjugés sur les Noirs. Je puis même vous dire que le maire de Yiwu m’appelle à tout moment quand je suis au Burkina. Pas lui seulement, je discute presque chaque jour avec le secrétaire du centre de commerce de la ville. C’est vous dire à quel point je suis bien intégré, j’ai été proposé l’année dernière par la mairie de ma ville de résidence pour être conseiller.

On pourrait donc vous considérer comme un « Chinois noir » ?

Oui, je suis un Chinois noir ! (Rires)

Cela fait donc quinze ans que vous êtes dans l’Empire du milieu. Qu’est-ce que vous trouvez de particulier chez les Chinois ?

J’ai toujours trouvé les Chinois travailleurs. Toute leur mentalité, je peux dire, est bâtie sur le travail. Vivre comme un Chinois, c’est se lever le matin, rejoindre son lieu de travail, revenir le soir, manger et dormir. De ce point de vue, j’ai beaucoup appris d’eux. J’ai surtout appris de l’homme chinois qu’après le travail vient la réussite. Pour lui, il n’y a pas autre moyen de s’enrichir que de travailler. C’est d’ailleurs ce qui m’a le plus inspiré dans la création de mon entreprise. Par cette entreprise, je fais partir de la chine entre 700 et 800 conteneurs par an avec comme destination, la France, les Etats-Unis, mais surtout le Burkina, où j’envoie plus de 500 conteneurs. Ce qui est déplorable chez nous en Afrique, en général, et au Burkina en particulier, c’est qu’on est persuadé que du jour au lendemain on peut devenir riche. C’est tout notre souci, rien d’autre.

De façon pratique, en quoi consiste l’activité de Baiwa trading company ?

Nous venons en aide à nos commerçants qui éprouvent des difficultés à importer leurs marchandises. L’une des principales difficultés est surtout la barrière linguistique. Grâce à la maîtrise du mandarin, nous établissons alors le contact entre l’importateur et l’exportateur.

Pour s’épanouir dans ce métier de transitaire en chef vous n’avez pas eu besoin de longues études. Etes-vous de ceux qui croient que l’école n’est pas toujours utile pour emprunter l’ascenseur social ?

Avec la volonté, l’abnégation au travail, on peut bien s’en sortir. Moi mes études se sont limitées en classe de CM2. Mais aujourd’hui, si la possibilité de continuer l’école s’offre à moi, je vais la saisir. D’ailleurs, depuis l’an passé, je pense à étudier en France le management, ne serait-ce qu’en six mois.

La pandémie de Covid-19 a imposé la prise de mesures drastiques parmi lesquelles la fermeture des frontières. Quand avez-vous quitté la Chine ?

En Chine le Covid-19 a commencé à prendre de l’ampleur en mi-janvier. Le 19 du même mois, j’ai quitté la Chine pour Paris. De la capitale française, j’ai appris qu’il y avait eu deux morts chinois. Des amis de ce pays m’ont contacté aussi pour m’informer que la maladie y avait pris la proportion d’une crise sanitaire. De la France, je suis alors rentré au Burkina. A mon arrivée, j’ai même approché certaines autorités pour qu’elles se préparent à faire face à une éventuelle crise de la même nature.

On imagine que, comme tous les acteurs économiques, l’arrêt des liaisons commerciales avec l’Empire du milieu a porté un sérieux coup à vos affaires. Est-ce qu’on peut avoir une idée de ce que vous avez perdu jusque-là en raison de cette situation ?

La situation que nous vivons a effectivement des répercussions sur nos activités. Mais on n’a pas d’autre choix que de respecter les consignes données par les autorités sanitaires et politiques si on veut s’en sortir. Imaginez si les consignes ne sont pas respectées. Par mois, je fais charger en moyenne 70 à 80 camions. Depuis, cette moyenne est passée à 20 ou 35. Mais pour moi, ce n’est pas le plus préoccupant : tant que le pays se porte bien, en termes de santé, il va de soi que les affaires vont reprendre et pourront prospérer.

Aux autorités sanitaires burkinabè vous avez remis plus de 25 millions de F CFA mais aussi des kits de protection. Dites-nous comment s’est faite l’acquisition des kits.

J’ai d’abord consulté des Chinois fabricants de consommables médicaux. Je me suis rendu compte que je pouvais directement faire l’achat avec ces fabricants. Mais sur trois cartons que je pouvais acquérir avec eux, j’allais me retrouver avec un carton, à cause des frais de douane. Je suis donc passé par la voie diplomatique pour qu’il y ait des exonérations fiscales. Pour tout vous dire, je suis passé par mon ambassade qui a facilité les choses en contactant le secrétaire général du ministère chargé des Burkinabè de l’extérieur.

Malgré cette morosité du climat des affaires, vous avez fait des dons en espèces et en nature. On imagine donc que vous avez encore les reins suffisamment solides ?

Je remercie en tout cas le Bon Dieu. N’oubliez surtout pas que cela fait quinze ans que je suis en Chine. Ce pays, je ne peux pas dire que j’ai été le premier à le découvrir, mais je fais quand même partie des premiers Burkinabè à y résider. Je ne me plains donc pas.

Le premier don, celui des 27 millions, vous l’avez voulu discret. Qu’est-ce qui explique cette façon de procéder ?

Par modestie, je n’ai pas voulu médiatiser la remise de ce don. Mais au-delà de ça, chacun a sa manière de voir les choses.

Après ces différents dons, vous avez annoncé d’autres actions. En quoi vont-elles consister ?

Je suis personnellement engagé dans la lutte contre cette pandémie. Pour cela, je ne compte pas me limiter aux gestes que j’ai déjà faits. Et si je dois faire plus d’efforts dans la donation, je le ferai, car il y va de l’intérêt de tous que le coronavirus soit éradiqué.

Vous avez sans doute suivi le président du Faso égrener ses mesures pour soulager les Burkinabè. Qu’est-ce que vous en pensez ?

Je suis ravi qu’il ait pris de telles initiatives qui vont, à mon avis, aider la population. Avec tout ce qui est prévu, on ne peut qu’espérer que les bénéficiaires seront soulagés. Cela va surtout rendre efficace le dispositif mis en place pour lutter contre la maladie. Même si, en tant qu’opérateur économique, je ne bénéficie pas directement des mesures économiques, je me réjouis que la majorité des Burkinabè en tirent profit, et au bout du compte, c’est tout le pays qui gagne.

Pensez-vous que ces mesures sont suffisantes ou que le chef de l’Etat pouvait mieux faire ?

Il faut dire que les autorités ont négligé cette maladie au départ. Une preuve en est que jusqu’à présent, elles n’ont pas demandé l’appui de la Chine, qui est pourtant sollicitée par de grandes puissances par ces temps qui courent. C’est vous dire que le chef de l’Etat aurait pu mieux faire. La situation est tellement grave qu’il n’y a pas lieu d’éprouver de la honte à demander de l’aide.

Si vous étiez un conseiller de Roch Marc Kaboré, vous lui auriez donc suggéré un appel au secours?

Sans hésitation, j’allais lui suggérer de se tourner vers un pays qui a aussi bien l’expérience dans la gestion de la crise que les moyens financiers. Je suis convaincu d’ailleurs que les Chinois sont mobilisés et disposés à nous appuyer.

On sait que le confinement total a permis à la Chine de limiter les dégâts du coronavirus. Pensez-vous qu’on peut procéder ainsi dans notre pays ?

C’estbien possible. Et je pense que c’est d’ailleurs une obligation d’y aller si on veut vite éradiquer cette maladie dans notre pays. Vous me demanderez ‘’et les acteurs du secteur informel qui vivent au jour le jour ?’’ C’est ce qui est regrettable. A ce sujet, je suis de ceux qui voient le Burkinabè comme celui qui ne pense pas à demain. On croit que peu importe la situation, il faut à tout prix travailler. Il faut pourtant être en bonne santé pour mieux exercer ses activités et ainsi progresser. D’où la nécessité pour tous de respecter les mesures d’hygiène prescrites pour sortir de cette impasse.

Entretien réalisé par
Bernard Kaboré &
Roukiétou Soma (Stagiaire)

Les opinions exprimées par l'auteur de cet article ne sont pas celles d'Opera News.

09/04/2020



Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a sanctionné mercredi l’une de ses ministres pour avoir violé l’injonction de confinement national imposée pour freiner la propagation du nouveau coronavirus.

Il s’agit de Mme Stella Ndabeni-Abrahams, ministre de la communication et des technologies numériques. Elle a été placée en « congé spécial » pour deux mois dont un mois sans salaire, selon une déclaration de la présidence sud-africaine.
A l’origine, la ministre a subi un revers majeur après que des images d’elle faisant la fête avec plusieurs personnes en plein milieu du confinement ont circulé sur les réseaux sociaux.
« Le président a convoqué la ministre hier, mardi 07 avril 2020. Le président a exprimé sa désapprobation des actions de la ministre, qui sapent l’exigence que tous les citoyens restent chez eux et sauvent l’Afrique du Sud de la propagation du coronavirus », lit-on dans un communiqué de la présidence.
« Pour le président, le confinement est une exigence nationale qui requiert une conformité absolue de la part de tous les Sud-Africains », a souligné Mme Khusela Diko, porte-parole du président Ramaphosa.
Elle a ajouté que la ministre Abrahams va présenter des excuses publiques à la nation et qu’un fonctionnaire intérimaire exercera ses fonctions pendant sa suspension.
Geste rare, la figure de l’opposition Mmusi Maimane a tweeté son accord avec la sanction imposée par Ramaphosa. « Merci, Monsieur le Président, pour cette réponse mesurée et rapide. Je pense que c’est juste », a écrit l’ancien chef de l’Alliance démocratique, l’un des plus fervents rivaux de l’ANC au pouvoir.
L’Afrique du Sud compte à ce jour le plus grand nombre de cas de coronavirus sur le continent africain. Selon le tout dernier décompte, le pays compte 1749 cas confirmés, 13 décès et 95 guérisons.
VOA

Les opinions exprimées par l'auteur de cet article ne sont pas celles d'Opera News.

Photos from Commutic's post 09/04/2020

BURKINAMATIN
Hôtel laïcité Ouagadougou 2000 impliqué dans des faits de corruption
L’hôtel Laïco de Ouaga 2000 est l’un des hôtels le plus huppé de la capitale du Burkina Faso. Il accueille des hôtes de qualité et offre également ses salles aux grands événements comme les Traités d’Amitié et de Coopération (TAC), les Sommets du G5 Sahel ainsi que les rencontres des chefs d’Etats…
Des faits de corruption

Des pratiques très peu catholiques ont vues le jour depuis l’arrivée en 2013 du Directeur Général Mr JAADI Chaker de nationalité Tunisienne.

Ce dernier en complicité avec son Directeur des Affaires Financières (DAF) pratiquent des surfacturations sur les clients et certaines prestations prises en charge par la présidence du Faso. Pour exemple, les buffets sans boissons qui sont au prix de seize milles (16.000) francs par personne sont facturés à plus du double soit trente-six milles (36.000) francs quand le client est au compte de la présidence du Faso.

Une pratique qui dure depuis des années. Il faut aussi noter qu’en plus du DG et du DAF il y avait un troisième complice, du nom de Monsieur X, venant de la présidence du Faso et qui percevait une partie de la surfacturation.

Le système est tellement huileux que c’était des fois, de centaines de millions de surfacturations qui s’appliquaient sur les factures de la présidence du Faso.

En 2017 après un Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) entre le Burkina et la Cote d’Ivoire, il y’a eu une surfacturation de cent millions (100.000.000) francs CFA sur la facture de la présidence du Faso sans preuves. Il y’a eu fuite en son temps et la présidence a réclamé les preuves dans un délai de soixante-douze (72) heures.

Ne pouvant justifier la forfaiture, le DG et Monsieur X ont livrés le DAF en son temps Monsieur KONSEIBO Joseph. Le couperet est tombé sur lui, il a été licencié.

Témoignage d’un ex travailleur de l’hôtel Laîco Ouaga 2000

Je me nomme BAMA P. Patrice, j’ai travaillé du 06 juin 2005 au 13 Avril 2019 soit au total 14 ans de service.

J’ai commencé à travailler à l’Hôtel Laïco du 06 Juin 2005 au 31 Mai 2006 en qualité d’employé de salle polyvalente et 1er Juin 2006 au 23 Avril 2019 en qualité d’Assistant Maitre d’hôtel. Toutes ses surfacturations ont commencé sous mes yeux et n’étant pas d’accord avec de telles pratiques, j’ai eu toutes les difficultés du monde ce qui a conduit à mon licenciement abusif en Avril 2019.

En janvier 2019, il y’avait un mini-sommet des chefs d’états-majors du G5 Sahel à Ouagadougou et c’est depuis ce mini-sommet que tous les problèmes ont commencé.

La Direction de l’hôtel m’a dit d’opérer des surfacturations sur certains clients pris en charge par la présidence du Faso. J’ai été convoqué à plusieurs reprises par le Directeur des ressources humaines. Chaque fois que je me rendais dans son bureau, il me répétait la même phrase : ‘’Le patron dit que tu parles trop ».

Ma conscience m’a beaucoup grondé car je voyais les millions de francs des contribuables que nous sommes tous, partir dans les poches de quelques personnes qui ne pensaient qu’à leurs propres intérêts. J’ai donc refusé et quelques mois après, précisément le 13 Avril 2019, j’ai reçu la lettre qui me notifiait mon licenciement avec pour motif : ‘’Perte de confiance’’ .

Lettre de licenciement

Après mon licenciement, pour le règlements de mes (Congés payés et indemnités de licenciement), nous nous sommes retrouvés à l’inspection de travail et malheureusement aucun accord n’a été trouvé donc le dossier s’est retrouvé au tribunal de travail. Et depuis lors je ne cesse de recevoir des menaces d’appels anonymes avec des numéros masqués.

Le 13 Septembre 2019 alors que je me rendais en ville pour des courses, arrêté sur ma moto à un feu tricolore un camion fonça sur moi me traînant sur plus de 20 mètres, je me suis réveillé sur un lit d’hôpital avec une cote brisée et des blessures ouvertes.

Après mon hospitalisation, pendant que j’étais toujours convalescent, je reçois un appel d’un numéro masqué qui me dit :’’Mr BAMA, ce n’est qu’un avertissement’’. Depuis ce jour, j’ai pris les menaces au sérieux.

Grace à l’aide d’un ami, j’ai entamé des démarches pour quitter le pays pour sauver ma vie. Je suis présentement hors du Burkina Faso et je viens par cet écrit dénoncer les surfacturations au niveau de l’Hôtel Laïco et le mauvais traitement dont j’ai été victime.

Je prends l’opinion nationale et internationale pour témoin, je demande que justice soit faite, que je puisse rentrer en possession de mes droits et que ces malversations cessent au sein de cet Hôtel de grande renommée car c’est l’argent des contribuables que certains citoyens malintentionnés détournent.

Yves MENSA

Les opinions exprimées par l'auteur de cet article ne sont pas celles d'Opera News.

Photos from Commutic's post 08/04/2020

BURKINA MATIN
C’est un échange houleux entre le ministre de la culture Abdoul Karim Sango et l’artiste musicien et ex député de la Transition Dick Marcus que les internautes ont assisté ce jour 7 avril 2020. A l’origine, c’est l’artiste Dick Marcus qui par une publication sur Facebook a traité le ministre Sango de plaisantin et de ministre par accident. Sur ce, réplique immédiate du ministre Sango.
Les détails sur cet échange violent et houleux en capture d’écran ci-dessous.

07/04/2020
07/04/2020

Le fondateur des chaînes de radios "Horizon FM" et TVZ, Moustapha Laabli Thiombiano, s’est éteint le lundi 6 avril 2020

07/04/2020

INFO PEOPLE

La maman de Kiefer Sutherland (Jack Bauer), Shirley Douglas, actrice et militante canadienne est décédée ce dimanche 05 avril 2020 à l’âge de 86 ans. Mais son décès n’est pas lié au coronavirus.

Shirley Douglas est décédée des suites d’une pneumonie. Son décès a été annoncé par son fils, l’acteur Kiefer Sutherland.« Ma mère était une femme extraordinaire qui a mené une vie extraordinaire . Malheureusement, elle se battait pour sa santé depuis un certain temps et nous, sa famille, savions que ce jour allait arriver », a écrit M. Sutherland sur Twiter.
La défunte est la mère du célèbre acteur qui incarnait Jack Bauer dans la série 24 Heures chrono. Shirley Douglas a tourné avec de grands réalisateurs tels que Stanley Kubrick et David Cronenberg. Elle est également la fille de Tommy Douglas, qui fut Premier ministre de la province canadienne de Saskatchewan (ouest).

Mère de trois enfants dont deux avec l’acteur canadien Donald Sutherland, Shirley Douglas est connue pour avoir milité en faveur d’un certain nombre de causes. Il s’agit notamment du mouvement des droits civiques et les Black Panthers aux États-Unis ou celui de la défense du système de santé public au Canada.

07/04/2020

BURKINA MATIN
Les autorités burkinabè ont donné l’autorisation au vol spécial AF861d’Air France à décoller ce lundi 06 avril 2020 à 12H30 de l’aéroport international de Ouagadougou. 132 passagers, Français et Européens de passage ou vulnérables, ont embarqué.

En effet, ce vol a permis à ces passagers qui le souhaitaient, de retourner en France et en Europe. Par ailleurs, l’Ambassade de France au Burkina Faso remercie chaleureusement les autorités burkinabè.

06/04/2020

INFO PEOPLE
C’est un secret de polichinelle. La star de la musique tanzanienne, Diamond Platnumz et Tanasha Donna se sont séparés après avoir connu un moment d’amour et de carrière professionnelle parfaits ensemble. Une séparation brusque dont personne n’avait alors cerné le véritable motif.

Cependant, la patience des uns et des autres à payer pourrait-on dire. Parce que Tanasha Donna a levé un coin de voile sur le sujet. La personnalité des médias kenyans, Tanasha Donna, a finalement révélé pourquoi sa relation avec la star de la musique tanzanienne Diamond Platnumz a pris fin, quelques jours après avoir confirmé qu’ils n’étaient plus ensemble.

Dans une interview avec True Love Magazine, Donna a déclaré qu’elle avait annulé leur engagement après que la star de la musique tanzanienne se soit désintéressée de leur relation.

Elle a en outre révélé qu’elle avait réalisé qu’elle était la seule à essayer de faire fonctionner la relation après avoir échoué à répondre aux attentes de Platnumz.

A lire aussi

Suspension d’émissions, décision des GG d’aller se faire dépister : les précisions de Moussa Moïse Sylla

Les plus lus en ce moment

06/04/2020

BURKINA MATIN
La ville de Djibo (province du Soum) vit une forme de quarantaine forcée depuis plusieurs jours. Elle a été imposée par des individus armés non identifiés. Selon les témoignages de transporteurs recueillis par radio Oméga, ces individus armés notamment sur l’axe de Djibo-Kongoussi arraisonnent leurs véhicules, vérifient les identités et profèrent des menaces. Les véhicules de transport en commun et les camions de transport de marchandises sont ceux envers lesquels les hommes armés prononcent leur interdiction.
» Nous on sortait de Djibo, ils nous ont arrêté, ils ont contrôlé nos pièces d’identité à tous et nous ont dit « Si vous sortez vous pouvez partir, mais il ne faut pas ramener de la nourriture » et nous ont laissé partir » explique un transporteur sous le couvert de l’anonymat. « Des remorques d’aliments pour bétail ont été retournés samedi. Ils te disent clairement que si tu reviens, c’est toi qui aura cherché ce qui va t’arriver. Nous on a très peur surtout que mercredi une vendeuse d’attiéké a même été enlevée sur la route du Silgadji et on est toujours sans nouvelle » indique un autre transporteur.

Des menaces qui auraient été rapportées aux forces de sécurité intérieure rencontrées sans suite selon les transporteurs.
Conséquences immédiates de cette interdiction, la hausse du prix de certains produits sur le marché à Djibo. « Déjà qu’avec le couvre feu ce n’est pas facile voilà que les choses coûtent chères. Le litre d’huile qui était à 700 Fcfa coûte aujourd’hui entre 1200 à 1500 FCFA en boutique » indique une habitante.
À cela s’ajoute une pénurie d’eau au niveau des robinets depuis le 30 mars. « Nous sommes obligés de boire l’eau des puits à grand diamètre ou même de la mare. Le bidon de 20l d’eau de mare fait 75 Fcfa et 100 Fcfa pour l’eau de forage ». Ce même bidon coûte habituellement 25Fcfa

« Le bidon d’eau de 20 l se négocie entre 50Fcfa et 75 Fcfa. Et pour en trouver c’est la croix et la bannière. Ce matin( 5 avril 2020, ndlr), on a pu recueillir un peu d’eau des robinets et cela grâce une bonne volonté qui a offert du carburant au service de l’ONEA » temoigne un autre habitant joint par Radio Oméga. Une pénurie en eau qui découlerait d’une pénurie de carburant dûe à l’interdiction des hommes armés qui fait que le carburant manquerait pour faire fonctionner les machines. Une information que nous n’avons pas pu vérifier au niveau des services de l’ONEA à Djibo.

Vous voulez que votre entreprise soit Service Informatique Et électronique la plus cotée à Bobo Dioulasso ?
Cliquez ici pour réclamer votre Listage Commercial.

Vidéos (voir toutes)

Téléphone

Site Web

Adresse

Unnamed Road, Bobo-Dioulasso
Bobo Dioulasso

Autres Site web informatique et Internet à Bobo Dioulasso (voir toutes)
Toussiana infos Toussiana infos
Toussiana
Bobo Dioulasso

TSI : toussiana infos

Kyge Stores Kyge Stores
Bobo Dioulasso

Vendita all'ingrossso di abbigliamento e accessori. Per qualsiasi informazione scrivete in privato.

Crypto Academia Burkina Crypto Academia Burkina
Bobo Dioulasso

Formation intellectuelle gratuite et et coaching pratique a moindre frais.

Cash mail système avec leader noufou Cash mail système avec leader noufou
Noufouc387@gmail. Com
Bobo Dioulasso

Pro Technologie Pro Technologie
Bobo Dioulasso

Avec pro technologie Entrez dans l'univers grandiose de la technologie.

Rafik Informatique Rafik Informatique
Bobo Dioulasso

Tutos, astuces et méthodes qui changeront votre vie numérique 😉

Conceptant LOGOS Conceptant LOGOS
Bobo Dioulasso

Ici groupe CL, nous créons des logos, cartes de visite professionnels.

Aljohnson le père des cœurs brisés Aljohnson le père des cœurs brisés
Ouedraogo Nouagua
Bobo Dioulasso

Salut les amis