Krämer's Blog

Cela m'a pris du temps, énormément, mais j'ai fini par comprendre.
Certaines choses, certaines personnes, au fond nous ne sommes pas si différents que ça les uns des autres.
Quand on s'accorde le mérite de prendre du recul, alors là, c'est la magie.
Tout s'explique, tout se comprend, on voit la grande toile que tout ceci représente et le rôle de chaque individu.
Je l'ai dit je crois, la vie est une toile où chaque personne a un rôle clé à jouer; en bien ou en mal.
Et quand on le comprend, alors on le vit mieux, ou tout de même on fait tout pour mieux le vivre.
Je me suis accordé du temps, de la patience mais surtout du recul, j'ai fini par découvrir cette toile sur laquelle mon histoire est peinte.
Je l'ai aimé, au fond on a tous un côté héroïque, rêveur mais pour toute chose qu'on désire il y a toujours une contrepartie.
Les trahisons, les rejets, la solitude, bien de mots plein de sens auxquels nous nous sommes habitués.
Ce que je me demande désormais c'est de savoir si nous nous sommes accordés la chance d'aller au delà pour en découvrir d'autres?
L'amour, l'acceptation de soi, la sollicitude pourquoi pas?
Tant que nous ne sommes pas décidés à avancer, tant que nous ne nous sommes pas autorisés au pardon, alors nous n'aurions point progressé.
Et la vie, cette vie est pleine de belles choses tant qu'on se décide à s'offrir la possibilité de les découvrir, de les vivre.
Faîtes un effort mais pas pour les autres, pour vous avant tout.
Parce qu'au final, il ne restera que vous.
P. D. G. Krämer
d'un noctambule #

J'ai vu l'autre côté du miroir...
Ce que j'y ai vu continue de me hanter...
La vie, cette pu**in de vie ne nous fait pas de cadeau.
A force d'egos, on s'enfonce dans les problèmes comme des diaboliques petites poupées russes.
Quand on s'en rend compte, il est souvent trop t**d. Le monde est ainsi fait. Il ne fait pas de quartiers. On patauge chacun dans notre propre m***e imbu d'egos et de fierté pour finir dans beaucoup plus de m***es..
Et ces sourires sur nos visages, des pu**ins de masques que l'instinct nous dicte de porter. La peur de finir seul, triste nous pousse à faire des choix bien assez douteux et lourds de conséquences que nous ne sommes pas capable de porter. Bien souvent, on prend la clé des champs, on fait tout pour nous éloigner mais cela ressemble à une course dans le noir. Peu importe la vitesse à laquelle tu vas, tu te rends compte que tu ne quittes jamais vraiment ses entrailles. Ce n'est qu'à ce moment qu'on se demande ce qu'il nous coûte vraiment d'être libre... L'amer goût de ma liberté.
Aux choix faits, aux décisions prises, aux conséquences mais surtout aux parents nos gardiens de vie. P. D. G. Krämer

Aux bonheurs perdus.
A ces amours d'enfance qui nous faisaient rêver l'impossible.
A ces moments candides passés avec l'être aimé.
A la joie de vivre et mourir.
Aux rêves volés, aux amitiés perdues.
Aux douleurs connues, aux trahisons vécues.
A toutes ces personnes qui l'ont rendus belle, notre enfance, notre adolescence.
A la peine d'y repenser, au sourire en coin, aux rires chastes.
A ces petits jeux qu'on découvraient ensemble.
A toutes ces filles qui auraient pu être nos reines et nos mères.
A la nostalgie empreinte de regrets de nos rêves d'enfants.
A toutes ces douleurs qui ne disparaissent pas vraiment.
Vivez tant que cela vous est permis.
Au final, il ne nous reste que nos souvenirs.

J'aurais aimé être un poignard pour te faire mal comme tu me l'as fait.
J'aurais aimé être invisible pour que tu ne m'aies pas vu.
J'aurais aimé ne pas t'avoir connu pour ne pas avoir autant de regrets
J'aurais aimé être un fleuve que rien ne courbe pas même le temps.
J'aurais aimé vivre sans avoir peur d'être à nouveau blesser
J'aurais aimé sourire avec mon coeur
J'aurais aimé la vie sans toi
J'aurais aimé oui j'aurais aimé.
J'aurais aimé te rencontrer dans une autre vie.
J'aurais aimé vivre cette Romance
J'aurais aimé ne pas t'avoir autant fait souffrir.
J'aurais aimé m'en rendre compte plus tôt
J'aurais aimé être plus sensible
J'aurais aimé vivre simplement
J'aurais aimé la vie à tes côtés
J'aurais aimé la vie avec toi tout simplement
J'aurais aimé te donner tout l'amour que tu mérites
J'aurais aimé la famille que nous aurions formé
J'aurais aimé que tout soit si simple.
J'aurais aimé...

Tout ne se passe pas toujours comme on le voudrait et les personnes qui font la route avec nous ne sont pas toujours celles que nous aimerions avoir. Mais le fait est qu'elles sont là avec nous, pour nous, pas tous. Sincères et loyales nous en verrons mais elles passeront pour froides et orgueilleuses; diaboliques et mesquines mais elles passeront pour aimables et chaleureuses. Ce qui fait le plus mal, c'est quand les masques tombent, les émotions s'entremêlent et on perd le large. Dans ces situations là, on ne survit qu'en passant en pilotage automatique. Le monde est un sacré joueur et les humains des pions qui jouent un rôle jusqu'à la toute fin. J'aime à croire que nul n'est mauvais ou méchant en soi juste un concours de circonstances. Et quand sonne l'heure, nous interprétons notre rôle de la manière la plus simple possible. Avoir mal est éphémère, le véritable problème est de se pardonner à soi. Et d'expérience je sais que cela semble plus difficile qu'il n'y paraît. Se pardonner d'avoir été à ce point aveugle, s'en vouloir de n'avoir pas été capable de lire entre les lignes avant la toute fin. Une amitié, un amour, une trahison, de la souffrance, des larmes. Seul Dieu nous en est témoin. Vae victis. P. D. G. Krämer

Quand je pense à ma vie, je vois beaucoup d'erreurs...
Mais je ne les regrette pas, elles sont la somme de ma personne actuelle...
Certaines que j'aurais aimé ne pas faire, elles m'auront beaucoup enseigné.
D'autres que je regrette pas, elles m'ont beaucoup apporté, alors là vraiment beaucoup.
La société nous demande de ne pas faire d'erreurs, de ne pas nous égarer... C'est le piège... Comment grandirions nous sans elles? Comment apprendrons nous autrement ?
Une société qui nous apprend à grandir en nous appuyant sur ce qu'elle nous enseigne, juste elle...
Elle nous embrigade, nous enferme dans une boucle infernale d'absurdités qu'on accepte à défaut...
Une société qui peint les avides en héros, les hommes en animaux...
Je suis fier des erreurs commises... Elles font de moi, l'être que je suis aujourd'hui...
Dans toute sa splendeur, dans ses défauts... Je suis avec mes erreurs commises DEGBOE Prince... Un être à part tout simplement...

Toujours mesurer les mots qui sortent de la bouche; en bien comme en mal... Car on ne pourra pas mesurer leur portée dans le long terme... On ne pourra pas toujours être capable de réparer et je dois toujours garder ma bouche fermée quoi qu'on sache...

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