BAR SALON Ti-Québec
La place Ti-Québec, un établissement pas comme les autres où il y a de tout pour vous plaire
Menu du jour
11h à 19h
Jeudi 22 février!
Super Bowl 🏈
Dimanche 11 février 2024
Harold Caissy de Rimouski est celui qui remporte le tirage effectué le 13 janvier, il se mérite la veste rétro Laurentide!
Merci aux clients qui ont participé au concours!
Placez vos commandes de pizzas dans les temps!
MAXIME FARAGO ACCUEILLI CHAUDEMENT AU TI-QUÉBEC
Les commentaires furent élogieux à l’endroit de Maxime Farago qui a livré toute une prestation samedi à la salle du Ti-Québec, remplie à craquer pour la circonstance. Maxime a mentionné sur sa page Facebook avoir très apprécié son séjour et l'accueil à Rimouski. Félicitations aux organisatrices dont Line Dallaire que l'on voit en compagnie de la vedette lors de leur passage chez Harley Davidson en fin de semaine. Bravo aux organisatrices et à celles et ceux qui ont assisté à ce spectacle qui reflète une grande générosité de la part de l’artiste.
12 ‘’ crevettes 🦐
Chaque week-end!
JACQUES « BAYA » GENDRON : DES ANNÉES À AIDER LES AUTRES
On l’appelle communément « Baya » et il pourrait sans doute se voir couronner conseiller du district de Sainte-Odile aux prochaines élections municipales en raison de ses nombreuses implications mais Jacques Gendron déteste la politique. Originaire de Saint-Gabriel et issu d’une famille de cinq enfants, il fait partie de la petite histoire du quartier depuis que ses parents, Omer Gendron et Laurette Sirois, ont décidé de déménager à Rimouski pour se donner une certaine qualité de vie.
« Mon père, qui a dû bucher toute sa vie pour élever notre famille, a emménagé ici, à Sainte-Odile, dans la partie avant de la bâtisse actuelle, vieille de plus de 125 ans, pour y opérer à l’origine un magasin général qu’il a par la suite transformé en mercerie, lui donnant une autre vocation ».
Jacques était encore un enfant lorsqu’il est arrivé à Rimouski. Ado, il s’est joint aux Fusiliers du Saint-Laurent, une expérience qu’il a bien appréciée, ayant même eu l’opportunité de vivre un stage de 7 mois en Allemagne!
Mais comme il lui fallait gagner sa vie, il choisit de s’inscrire au Cégep de Rimouski dans le but de poursuivre ses études dans le but de devenir électricien. Il a cependant quitté les bancs d’école avant la fin de son Cégep pour se retrouver au Service des sports du Cégep avec, comme « boss », nul autre que Michel Ross. Pas vraiment le temps de s’ennuyer, connaissant notre « moineau », Michel, qui a d’ailleurs vieilli d’un an plus tôt cette semaine.
Mais « Baya » voyait déjà en lui-même un potentiel certain pour devenir entrepreneur et, de toute évidence, il aura réalisé son rêve en se lançant en affaires. « Il faut croire que j’avais ça en moi », dit-il. Mais vous pouvez le croire, Jacques en a trimé un coup avant de faire de son entreprise ce qu’elle est devenue aujourd’hui. Lorsqu’on évolue dans le domaine de la restauration et des bars, les institutions financières t’attendent avec une brique et un fanal. Travailler 80 heures et plus par semaine n’est pas une garantie d’une campagne de séduction pour obtenir du financement.
« Oui, ajoute-t-il sans aucune prétention de sa part, j’en ai bûché un coup moi aussi, tout comme mon père l’a fait. Plus souvent qu’autrement, dans l’espoir d’avoir du financement, je me suis buté à des portes closes et je ne remercierai jamais assez un gars comme Michel Deschênes des Mutuellistes de Mont-Joli qui m’a donné ma première chance ainsi que M. Léon Guérette. Ils ont été les premiers à croire en moi. M. Léon m’avait même déjà prêté 50 000$ pour m’aider et je leur dois beaucoup ».
Un investissement qualifié de majeur à une période cruciale de sa vie. « On parlait de 234 000$ et pour celles et ceux qui s’en rappellent, la bâtisse n’avait rien de bien comparable avec ce qu’elle est devenue aujourd’hui ».
Notre ami « Baya » a ouvert le bar Ti-Québec en 1974. Un lieu de rassemblement bien ancré à Rimouski depuis bientôt 50 ans et dont le propriétaire a mis un peu beaucoup d’amour sur les infrastructures au fil des années.
Jacques ne se cache pas pour dire que certaines périodes de sa vie n’ont vraiment pas été faciles. « J’ai toujours réinvesti pour améliorer l’entreprise et avec l’arrivée de ma fille Anny dans l’entreprise et par la suite comme copropriétaire, nous formons une super bonne équipe. Sans être toujours sur la même longueur d’ondes, nous en arrivons ensuite à un consensus, à trouver un terrain d’entente ». Son sourire trahissant toutefois le fond de sa pensée. « Blague à part, c’est une fierté pour moi de travailler avec ma fille et elle accomplit un travail extraordinaire ».
Si Anny et Jacques se partagent les opérations du bar et du restaurant, ils ont confié le mandat au duo de danseurs Martine et Robin d’opérer la salle de danse du sous-sol. Ils offrent des cours à une clientèle déjà bien établie.
Jacques Gendron est beaucoup plus qu’un tenancier de bar et un restaurateur. Son implication dans Sainte-Odile ne remonte pas à hier. Il a travaillé à la réalisation du centre communautaire de Sainte-Odile et il ne compte plus ses implications dans le quartier. Le genre de gars à « donner au suivant ». Parmi les causes qui lui tiennent à cœur, mentionnons l’organisme Les Trois Mâts, Moisson Rimouski – Neigette, la sclérose en plaques, les travailleurs de rue, la prévention du su***de, les causes liées à la pauvreté et au cancer, pour n’en nommer que quelques-unes. Sans compter un « brun » ici et là pour le hockey mineur, pour aider un jeune, pour commanditer une ligue de quilles, une équipe de b***e, aider le Comptoir du mercredi, etc.
Qui ne se rappelle pas de l’équipe de ballon sur glace de la Mercerie Omer Gendron ? Et de la ligue de quilles présidée par son ami Gilles Méthot ? Même dans les périodes difficiles, Jacques a toujours été là pour aider les autres. Il organise certaines activités au bar afin de venir en aide aux plus démunis.
Il a été de ceux qui ont relancé le Festival d’automne avec son ami Pierre-Paul D’Anjou dans une aventure que peu de gens croyaient possible.
À 71 ans, à un tournant de sa vie, ce ne sont pas les projets qui manquent. Si le Haute-Ville et le Ti-Québec en sont rendus là où ils sont maintenant, Jacques l’attribue en grande partie à la fidélité de son personnel et bien sûr, à sa clientèle qui a toujours été là depuis des décennies.
Comme tous les autres commerçants dans leur domaine, Jacques et Anny ont dû s’adapter à la situation avec la COVID-19 mais à un certain moment donné, il faut essayer d’en tirer une leçon malgré l’épidémie qui perdure.
Homme d’une grande bonté et très généreux de sa personne, Jacques fera toujours l’impossible pour aider son prochain, pour dépanner quelqu’un, pour s’assurer de faire manger son voisin s’il se trouve en difficulté. « Baya », c’est un cœur sur deux pattes qui préfère travailler dans l’ombre. Merci d’aider ceux qui sont dans le besoin. Tu as mis le soleil dans la vie de bien des gens depuis 50 ans!
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Photo – L’une des rares photos de Jacques, prise la semaine dernière au bar Ti-Québec. Il s’est prêté de bonne grâce au jeu du photographe.
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