Raïssa Rkar
La nature, la culture, et l'art sont des merveilles qui m'attirent et me passionnent.
Être vrai jusqu’à ce que tout ce qui est faux nous abandonne 🙂
Place Mulamba, Bukavu, RDC.
Un enfant masqué.
Mes cher(e)s ami(e)s,
Dites-moi … reconnaissez vous cet endroit? si oui, dites-moi d’où j’ai prise cette image. Ensuite, commentez en me disant si vous êtes chaud de voir ce que je fais ces derniers temps…
Ça faisait vraiment longtemps que je n’ai rien partagé avec vous , mais tout dépend de vous…dites-moi 🙂
Le bâtiment de la poste de Bukavu a pris feu ce mardi 14 septembre 2021 pendant la nuit.
Voici ce qui reste de tous ces bureaux , écoles et églises 😔
*Souvenir
🇨🇩
«Ce qui ne te tue pas te rend plus fort»
La vraie beauté c’est quand on accepte et célèbre ce qu’on est réellement 😍
Île de Tcheguera un vrai merveille 🥰
La nature , une consolatrice , et beauté absolue et vraie à mes yeux :)
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeurs Michael Mwenelwata El Pictchenko, 26, (L) and
Chrispin Floribert Sumaili, 25, on a street in Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Les sapeurs Michael Mwenelwata Et Pictchenko (g.), 26
ans, et Chrispin Floribert Sumaili, 25 ans, dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Tumusifu Sumaili Arc-en-Ciel, 21, on Bukavu street this
month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Tumusifu Sumaili Arc-en-Ciel, 21 ans, dans les rues de la
capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeur Chrispin Floribert Sumaili, 25, shows off his style
on a street in the eastern Congolese city of Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Le sapeur Christin Floribert Sumaili, 25 ans, affiche son
style dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeur Chrispin Floribert Sumaili, 25, shows off his style
on a street in the eastern Congolese city of Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Le sapeur Christin Floribert Sumaili, 25 ans, affiche son
style dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeur Chrispin Floribert Sumaili, 25, shows off his style
on a street in the eastern Congolese city of Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Le sapeur Chrispin Floribert Sumaili, 25 ans, affiche son
style dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeur Delphin Kalita Mambo, 61, who goes by the name
Niarcos Kalita, shows off his style on a street in Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Le sapeur Delphin Kalita Mambo, 61 ans, qui se fait
appeler Niarcos Kalita, affiche son style dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, DRC, August 2020. Sapeur Delphin Kalita Mambo, 61, who goes by the name
Niarcos Kalita, shows off his style on a street in Bukavu this month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Le sapeur Delphin Kalita Mambo, 61 ans, qui se fait
appeler Niarcos Kalita, affiche son style dans les rues de la capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
#2020
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Alors que la bourse du prix de photojournalisme de la Fondation Carmignac, l’une des plus généreuses du secteur avec sa dotation de 50 000 euros, sert en général à financer l’envoi d’un reporter dans un pays lointain, l’année 2020 a accouché d’une formule originale : le lauréat 2019, l’Irlando-Canadien Finbarr O’Reilly, a collaboré avec une dizaine de photographes congolais qui ont produit des reportages sur leur propre pays. De quoi conférer une tonalité authentique et intime au résultat, intitulé « Congo in Conversation », qui prend la forme d’un site Internet toujours en cours, d’un livre et d’une exposition.
Photographe, Finbarr O’Reilly s’est donc transformé en coordinateur et commissaire – un rôle déjà endossé jadis comme chef des photographes en Afrique Centrale pour Reuters. Pour lui qui avait déjà collaboré avec des photographes éthiopiens, ce travail collectif n’est d’ailleurs pas une simple question d’opportunité, mais de justice. « Il est important que ce ne soit pas seulement des photographes blancs qui contrôlent le récit sur le Congo, dit-il. Il y a des choses qu’on ne peut pas voir lorsqu’on est étranger. Et à l’inverse, j’apporte une vision différente de ceux qui y vivent. Les deux, ensemble, donnent une vision plus riche des choses. »
Le photographe enfonce le clou dans l’introduction du livre, où il rappelle combien l’histoire du Congo, bien avant la colonisation belge, a toujours été illustrée par des photographes étrangers – dont lui-même. Ces derniers ont forgé une représentation durable du pays, marquée « du sceau de la violence et de la brutalité ».
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Linda Maroy, 20 ans, profite d’un moment de paix sur le lac Kivu en RDC, pour le 60e anniversaire de l’indépendance du Congo, le 30 juin 2020.
photo : Raissa Karama Rwizibuka Pour la Fondation Carmignac
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Beautiful Congolese women
📷 pour
Bukavu, DRC, August 2020. Bukavu's fashionistas show off their style on a street this
month.
© Raissa Karama Rwizibuka for Fondation Carmignac
Bukavu, RDC, août 2020. Des fans de mode affichent leur style dans les rues de la
capitale du Sud-Kivu.
© Raissa Karama Rwizibuka pour la Fondation Carmignac
Bukavu, Sud-kivu, commune d’ibanda.
La République Démocratique du Congo, comme la plupart des autres pays, a dû faire face à la pandémie du Coronavirus. C’est en mars 2020 que le premier cas a été enregistré à Kinshasa, la capitale. La pandémie s’est propagée dans la ville, puis s’est étendue à certaines provinces de la RDC, notamment le Sud Kivu, qui a pour chef-lieu la ville de Bukavu. Face à cette situation, des mesures ont été prises pour non seulement limiter la propagation, mais aussi réduire le nombre de cas d’infections. Parmi ces mesures, le port du masque de protection a été rendu obligatoire pour les habitants des zones les plus touchées.
La contrainte a été accueillie très différemment selon les individus. C’est ce qui est à l’origine de mon inspiration. Si d’aucuns portent le masque pour se protéger et pour protéger les autres, d’autres consentent à l’arborer uniquement pour se débarrasser des autorités et échapper aux amendes exigées en cas de non-respect de la mesure.
Les gens achetaient ce qu'ils pouvaient avec le peu dont ils disposaient. Certains pensaient même que ces fameux masques à usage unique pouvaient transporter le virus puisque importés des pays touchés (on a même imaginé que les masques avaient été spécialement conçus afin de propager le virus). Par peur et par manque d’information, les gens n’ont eu d’autre choix que d’acheter des masques de fabrication locale.
Des tailleurs locaux se sont mis à en fabriquer en grandes quantités, dont une partie a été distribuée aux plus nécessiteux, une initiative reprise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà prise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà du montant de l’amende officielle qui était de 5000 FC.
un très imaginatif styliste- sapeur et «motar » qui a utilisé des tissus traditionnels pour fabriquer ses masques. Un moyen pour lui, à la fois, de faire connaître la tradition et de permettre aux gens de se procurer un masque bon marché. En effet, en raison d’une économie à terre et d’un chômage généralisé, nul n’avait les moyens de se procurer les masques à usage unique qui étaient officiellement recommandés.
La République Démocratique du Congo, comme la plupart des autres pays, a dû faire face à la pandémie du Coronavirus. C’est en mars 2020 que le premier cas a été enregistré à Kinshasa, la capitale. La pandémie s’est propagée dans la ville, puis s’est étendue à certaines provinces de la RDC, notamment le Sud Kivu, qui a pour chef-lieu la ville de Bukavu. Face à cette situation, des mesures ont été prises pour non seulement limiter la propagation, mais aussi réduire le nombre de cas d’infections. Parmi ces mesures, le port du masque de protection a été rendu obligatoire pour les habitants des zones les plus touchées.
La contrainte a été accueillie très différemment selon les individus. C’est ce qui est à l’origine de mon inspiration. Si d’aucuns portent le masque pour se protéger et pour protéger les autres, d’autres consentent à l’arborer uniquement pour se débarrasser des autorités et échapper aux amendes exigées en cas de non-respect de la mesure.
Les gens achetaient ce qu'ils pouvaient avec le peu dont ils disposaient. Certains pensaient même que ces fameux masques à usage unique pouvaient transporter le virus puisque importés des pays touchés (on a même imaginé que les masques avaient été spécialement conçus afin de propager le virus). Par peur et par manque d’information, les gens n’ont eu d’autre choix que d’acheter des masques de fabrication locale.
Des tailleurs locaux se sont mis à en fabriquer en grandes quantités, dont une partie a été distribuée aux plus nécessiteux, une initiative reprise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà prise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà du montant de l’amende officielle qui était de 5000 FC.
La République Démocratique du Congo, comme la plupart des autres pays, a dû faire face à la pandémie du Coronavirus. C’est en mars 2020 que le premier cas a été enregistré à Kinshasa, la capitale. La pandémie s’est propagée dans la ville, puis s’est étendue à certaines provinces de la RDC, notamment le Sud Kivu, qui a pour chef-lieu la ville de Bukavu. Face à cette situation, des mesures ont été prises pour non seulement limiter la propagation, mais aussi réduire le nombre de cas d’infections. Parmi ces mesures, le port du masque de protection a été rendu obligatoire pour les habitants des zones les plus touchées.
La contrainte a été accueillie très différemment selon les individus. C’est ce qui est à l’origine de mon inspiration. Si d’aucuns portent le masque pour se protéger et pour protéger les autres, d’autres consentent à l’arborer uniquement pour se débarrasser des autorités et échapper aux amendes exigées en cas de non-respect de la mesure.
Les gens achetaient ce qu'ils pouvaient avec le peu dont ils disposaient. Certains pensaient même que ces fameux masques à usage unique pouvaient transporter le virus puisque importés des pays touchés (on a même imaginé que les masques avaient été spécialement conçus afin de propager le virus). Par peur et par manque d’information, les gens n’ont eu d’autre choix que d’acheter des masques de fabrication locale.
Des tailleurs locaux se sont mis à en fabriquer en grandes quantités, dont une partie a été distribuée aux plus nécessiteux, une initiative reprise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà prise par le gouvernement provincial. À Bukavu, des policiers n’ont pas hésité à se montrer violents pour faire appliquer la mesure. D’autres en ont profité pour extorquer de l'argent à la population, parfois bien au-delà du montant de l’amende officielle qui était de 5000 FC.
Un honneur d’être au milieu de vous très chères dames :)
🇨🇩
Bon Mardi à tous!
Merci beaucoup à 📸 pour cette jolie photo 🙏
South-Kivu / Kahuzi Biega National Parc.
,
C’est beau la nature 😘
Je comptes sur vous mes ami(e)s de Lubumbashi,
Ne manquez pas!🤗
DERRIÈRE LES MASQUES
Du 19 février au 20 mars 2021
Raïssa Rwizibuka nous emmène à travers ces photographies à Bukavu, où, la population a appréhendé cette période de crise sanitaire, en développant des moyens originaux d'adaptation face à la pandémie du coronavirus.
Sapeurs, vendeuses des rues, agricultrices sont au rendez-vous pour vous enjailler. Ne manquez pas à cette exposition inédite!
Ibanda, Bukavu, DRC.
Goma/DRC
📸
Ça ressemble à ça, quand je me fait photographier par mes amis les photographes 🤗🤩🤭
📸
Bukavu, RDC, 30 juin 2020. Linda Maroy, 20 ans, profite d’un moment de paix sur le lac Kivu pour pour le 60e anniversaire de l’indépendance du Congo.
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ENG: Linda Maroy, 20, enjoying a quiet moment on Lake Kivu in the eastern city of Bukavu on the 60th anniversary of Congo's independence from Belgium on June 30th. The independence anniversary celebrations in Democratic Republic of Congo traditionally involve visiting foreign dignitaries and an extravagant military parade along the capital Kinshasa's main downtown thoroughfare, the Boulevard du 30 Juin. Due to Covid-19, the government this year scrapped public celebrations and announced the anniversary would instead take place “in meditation” with the anniversary budget redirected to containing the pandemic.
Photo © for , part of
Nyota Kyembwa Ange. 10ans.
«Les cheveux de ma fille avaient du mal à pousser depuis qu’elle est petite, que c’était beaucoup plus mieux de couper tous ses cheveux que de les laisser pousser , parce que ça poussait toujours en moitié. J’ai enfin réalisé qu’avec les tresses traditionnelles "kamba" ses cheveux peuvent pousser et être en bon état» a dit la mère de Ange.
🇨🇩
Goma / DRC
*our_hair_is_beautiful*
Alice kabuwo.
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