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🥺 Elle n'aurait pas dû mourir. Elle avait été égoïste. Elle avait placé ses intérêts avant notre mariage. Je n'arrivais pas à croire que j'avais perdu ma femme.
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Je suis Éric. Je suis veuf depuis deux semaines. Veuf ! Je n'arrive pas à le réaliser. J'ai toujours l'impression que c'est un mauvais rêve. Je vais bientôt me réveiller et tout ira bien. Non, cette place au lit, près de moi est vide. Cette voix douce qui me chantait le matin

Elle : -- Éric mon chéri, apprend à refermer le tube de dentifrice...

Ou encore

Elle : -- Éric mon amour, je te lave les cheveux ce samedi...

Oh seigneur Anne. Pourquoi ? Pourquoi ?

J'en voulais à Anne de m'avoir abandonné. J'en voulais à Anne de n'avoir pas pensé à moi. Elle le savait. Son coeur était malade mais elle nous avait mis devant le fait accompli. Je la détestais. Je l'aimais. Oh Anne !

L'écrivaine :

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Ce matin encore, je me lève en traînant les pieds. Je ne m'en sortirais jamais. J'arrive dans notre salle de bain. Rien n'a bougé. Ses produits sont encore là. Je n'ose pas toucher au tube de dentifrice car je ne pourrais pas le refermer. Je regarde mes cheveux ébouriffés dans la glace. Je fais peur. Ma vie me fait peur. Ma femme n'avait même pas 25ans. Elle était si jeune.
Je crie son nom

Moi : -- Annneeeeeee.....

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J'ai l'impression qu'elle répondra. La douleur me boie les intestins. Je la ressens jusqu'à dans mon âme. La douleur est devenue ma compagne. Elle me tient compagnie.

Combien de jours me reste t-il à vivre ?
La sonnerie de mon téléphone me fait sursauter. Sûrement ma mère qui essaie de se rassurer que je vis toujours. Ils sont tous là à me surveiller comme un pot de lait posé au feu.

Ils ont peur que je ne déprime . ils ont peur de ce que je pourrais faire. Ils ont raison. Je n'ai pas encore trouvé la force de mettre fin à mes jours.
La sonnerie persiste. Je dois décrocher pour me débarrasser de mon interlocuteur.

Moi : -- Qui que vous soyez, il est 8heures ici et je suis encore en vie.

C'est maman comme prévu..

Maman : -- Éric, oh seigneur, tu es vivant..
Moi : -- ça me surprend moi-même..
Maman : --- T'es-tu brossé les dents ?
Je lève les yeux au ciel
Moi : -- Maman, j'ai 32 ans. J'ai toutes mes dents. Je peux en prendre soin comme un grand garçon.
Maman : -- D'accord mon grand. Hope rentre aujourd'hui à la maison, ne l'oublie pas.

Moi : -- Hope ? Qui est Hope ?

✍️ : ERNESTINE NADIA MBAKOU
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Un silence au bout du fil. Je prends cinq secondes avant de me rappeler. M***e, Hope est ma fille, notre fille, celle qui a tué ma femme, celle qui est responsable de la mort d'Anne.

Je raccroche et je me mets à pleurer.
C'est à cause de Hope qu'Anne est décédée. Elle serait encore en vie si elle n'avait pas eu cette obsession de faire vivre Hope. Elle a donné sa vie pour elle. Elle est morte pour elle. Je la déteste. Je la hais. Seigneur, aide moi...

Je crie encore. Je m'écroule dans la chambre. Je chante Anne.
Pourquoi maman me parle de Hope. J'avais promis à l'hôpital

Anne : -- Éric, promet moi que tu prendras soin de Hope. Tu ne la mettras pas en famille. Tu prendras soin d'elle. Tu lui parleras de moi lorsqu'elle sera grande. Tu ne confieras son éducation à personne d'autre. Elle vivra avec toi..promet le moi...

J'avais promis. J'avais promis pour lui faire plaisir. Aurais-je dit que je ne veux pas voir cette enfant. Cette enfant n'entrera pas chez moi. Mais j'avais promis.

Ces derniers jours, j'avais repoussé l'échéance. Je l'avais laissée à la pouponnière de l'hôpital car je devais organiser les obsèques de Anne. Mais tout était passé maintenant. Elle ne vivra pas là-bas éternellement. Si j'avais pu, je l' aurais abandonnée jusqu'à ses 18ans. Je n'avais pas envie de voir cet enfant mais je n'avais pas le choix. Je devais le faire pour Anne. Mais jamais, je ne lui pardonnerais d'avoir tué mon épouse.

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Sitôt arrivé à l'hôpital, j'y ai trouvé maman. Elle croyait certainement que je ne viendrais jamais. Mes yeux cachés derrière les lunettes de soleil, impossible de lire mes pensées.

Maman : -- Alors, tu es prêt ?
Moi : -- Je m'occupe des formalités administratives.

Quelques minutes plus t**d, tout était prêt. L'infirmière me donnait les dernières consignes : l'heure des biberons, l'heure de la lange, ses vaccins...tout un tas d'informations qui ne m' intéressaient pas.
Je devais l'écouter alors que j'avais envie de hurler : " JE VEUX MA FEMME..PAS CELLE CI..."

Tout se passa rapidement. Maman tenait le couffin. Je n'avais pas cherché à y jeter un coup d'œil. Sitôt installé dans le véhicule, je me mis en route sans desserrer les dents. Maman ne disait rien. J'étais conscient de mal me conduire. Mon comportement était inadmissible. Maman voulait m'aider.
Un cri retentit à l'arrière. Sûrement celle là qui se réveillait.
Maman : -- Hope se réveille. Nous sommes presque arrivés. Je vais la mourir à la maison .
Je ne pipai mot. J'avais autre chose en tête. Je revoyais Anne me dire

Anne : -- On sera ensemble toute la vie Éric. Je serai toujours là près de vous deux..

L'écrivaine :
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Anne ! Une jeune fille particulière. La seule qui m'avait aimé moi et non mon argent. Ayant perdu ses parents très tôt, elle avait gardé en elle tellement d'amour. L'annonce de sa maladie quatre ans plus tôt nous avait dévastés. C'était incroyable. Anne était encore si jeune. Elle ne pouvait pas mourir. Malheureusement, nous n'avions pas le pouvoir de changer les choses.
Aussitôt arrivé, j'ai coupé le contact brusquement.

Maman : -- Éric, ça va ?
Moi : -- Oui maman. Tu peux descendre avec elle.

J'avais prononcé ce " elle" comme une obligation. Sans discuter, maman a retiré Hope de son siège auto et l'a emportée à l'intérieur. Je suis resté là, sans bouger. J'ai cogné ma tête sur le volant et je me suis mis à crier..

Moi : -- Anne..pourquoi as-tu fait ça ?
Anne : -- Éric, tu dois t'occuper de Hope. Tu l'as promis. Lève toi s'il te plaît..

J'ai regardé autour de moi. Anne me parlait. Devenais-je fou ? Sûrement.

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Maman a langé et nourrit Hope. J'ai pris mon laptop. J'avais des recherches à mener. Il me fallait m'occuper.

Maman : -- Éric, Hope dort. Les bébés dorment au moins 18heures/ jour parfois. Il lui faut quelques jours pour s'adapter.

Je n'ai pas répondu.

Maman : -- Éric, es-tu conscient que tu t occuperas de Hope seul quand je serai partie ? J'en ai juste pour une semaine. Je ne peux pas vivre longtemps ici. Ton père est diabétique et je dois prendre soin de lui sinon c'est le bo**el. Tu as refusé que je prenne Hope chez moi.
Moi : -- Elle vivra ici. Je l'ai promis. Anne aurait voulu qu'elle reste ici...
Mon obstination a désigné Hope par" elle" irritait maman mais elle ne dit rien.

Maman vivait à 2heures de route de chez moi. Je pouvais toujours l'appeler en cas de problème. J'avais délocalisé mon bureau à la maison pour pourvoir prendre soin de Hope comme promis. En attendant, je n'avais jamais changé une couche de ma vie. J'avais également besoin d'une fille au pair. J'avais passé une annonce et je devais recevoir les premières candidates le jour même.
En attendant, je me suis rendue compte que je n'avais jamais regardé ma fille.

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La première nuit me parut bizarre. J'entendais maman se lever et aller s'occuper du bébé. J'entendais ses cris. J'ai mis ma tête dans l'oreiller pour ne plus les entendre. Une voix a chuchoté tout près de moi

Anne : -- Éric, s'il te plaît, tu devrais aller regarder à quoi ressemble Hope pour une fois.

J'ai bondi du lit. Comme un robot, je me suis retrouvé dans la chambre de Hope. Tout était calme. Cette chambre préparée avec amour par Anne alors qu'elle savait qu'elle allait mourir.
Un berceau rose trônait tout au fond. Je distinguais une forme couchée au milieu. Je me suis approché. Habillée d'une grenouillère verte, Hope était couchée sur le dos. Je l'ai regardée. Seigneur, le portrait craché de Anne !

Moi : --- Anne ?

Ce n'était pas elle bien évidemment mais j'avais l'impression de la voir. suis sorti de la chambre précipitamment et je suis allé m' écrouler au salon en pleurant. Maman était là.
Sans mot, elle m'a pris dans ses bras..

Maman : -- Pleure..pleure...
J'ai pleuré comme un bébé blotti dans les bras de ma mère.
Je détestais Hope....
L'écrivaine :
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Amour, haine, une combinaison explosive. Je regardais ma fille et je ne cessais de penser à sa mère. Comment fait-on pour oublier, dites moi ? Anne me laissait dans de beaux draps.
J'avais fait passer une entrevue à deux jeunes femmes. Pour dire vrai, je ne m'y intéressais pas vraiment. Maman m'a demandé de choisir Julie. Une mère au foyer chaleureuse qui dégageait beaucoup d'amour. Elle devait commencer la semaine suivante. Maman a essayé de me rapprocher de Hope avant son départ
Maman : -- Tiens Éric, change la petite, je reviens..
Je la regardais étrangement. Cet enfant me rappelait toujours le décès de ma femme. C'est elle qui l'avait tuée. C'était injuste de déclarer ceci. Tout au fond de moi, mon coeur saignait. Un grand volcan qui vomissait encore ses larves incandescentes. Non, elle avait tué ma femme. Je ne lui pardonnerai jamais. Pendant plusieurs jours, je pus m' arranger pour éviter d'être en présence de cet enfant. J'avais mal, trop mal. Je ressentais comme une boule dans mon ventre. Oh seigneur, pourquoi

L'écrivaine :
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Je me suis assis sur mon lit ce matin là. J'avais un rendez-vous d'affaire à honorer. Je devais faire vite. Maman devait rester avec Hope. C'était son dernier jour sous mon toit. Elle retournait chez elle le lendemain. Le temps d'enfiler ma chaussette, j'ai ressenti comme un coup de poignard. Je reconnaissais ce signe. C'était la douleur. La douleur qui vous prend et qui ne peut être expliquée. La douleur qui vous foudroie et qui n'a pas de nom. Les larmes ont commencé à couler toutes seules.
Anne était là
Anne : -- Éric, s'il te plaît, tu dois te reprendre en main.
Moi : -- Anne ??
Anne : --- Je t'avais dit que je serai toujours là pour vous. Pourquoi ne veux-tu pas comprendre que la mort n'efface pas l'amour que j'ai éprouvé pour toi. Occupe toi de Hope s'il te plaît. Elle doit connaître son père.
Moi : -- Non...non...elle t'a tuée...elle doit payer..
Anne : -- Éric, c'est notre fille ! Elle est innocente. Je suis la fautive. Je l'ai désirée au prix de ma vie. Si tu dois haïr quelqu'un, c'est moi, pas elle...
Moi : --- Non..non...non..
Je secouais la tête en criant. Maman ouvrit brusquement la chambre et me trouva dans cet état. Elle me prit dans ses bras( C'était devenu une habitude).
Maman : --- Oh mon garçon pleure..pleure...tu seras soulagé...ça ira tu sais..
Ça ira ? Non,ça n'ira jamais.

L'écrivaine :
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Je me rappelle de ce jour. Le jour de notre rencontre. Cette belle gazelle aperçue à la gare. J'avais payé mon ticket de voyage. Je me suis aperçu tout à coup que mon estomac gazoullait de famine. Je n'avais rien avalé depuis 24h...il me fallait quelque chose à grignoter. Je me suis dirigé vers le buffet ouvert par l'agence de voyage. J'ai envoyé ma main dans la poche pour chercher billet. Mince, je n'ai rien trouvé. J'ai tapoté toutes mes poches sans succès. J'avais dû perdre mon billet quelque part. Frustré de ne pouvoir me nourrir, j'étais prêt à retourner sur mes pas lorsqu'une voix fruitée m'a interrompu
Elle : -- Salut. Tenez, je crois que c'est pour vous...
Une jeune, belle et noire demoiselle me tendait un billet. Je l'ai pris en souriant.
Moi : -- merci mademoiselle.
Elle a sourit en retour. J'ai tout oublié. Mon monde s'éclairait. C'était la première fois que j'étais victime d'un sortilège pareil. Elle devait être une sorcière.
Elle : --- Je vous en prie. C'est un plaisir.
J'ai su plus t**d que ce billet était le sien. Je n'avais jamais rien perdu. Elle m'avait observé embarrassé et avait volé à mon secours. Anne était ainsi. Elle volait au secours de tout le monde.
Hypnotisé par son charme, je l'ai vu disparaître. Dépité, j'ai voulu l'appeler pour lui demander son numéro de téléphone. Mais j'ai laissé tomber. Ma vie était déjà assez compliquée. J'avais une petite amie qui me donnait déjà assez de céphalées. Je ne voulais pas mourir jeune.
J ai su ce jour là qu'on n'allait plus jamais nous revoir. Mais le destin en a décidé autrement.
Comme à chaque fois que j'y repense, un nœud se forme dans ma gorge.

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Je reviens à l'instant présent.
Moi : -- Maman...j'ai besoin de dormir..
Maman : --- mais il est 8h du matin et tu as un rendez vous ce matin...
Moi : -- Je vais l'annuler.
Maman : -- Non..vas-y, ça te permettra de te changer les idées. S'il te plaît Éric, reprend toi en mains.
On me chantait toujours ça comme si c'était facile. Celui qui a connu l'amour, le vrai me comprendra. Anne était mon âme soeur. C'était ma côte. Il me manquait quelque chose désormais.
Maman a pu me convaincre de sortir. Je suis arrivé avec 10 minutes de ret**d à mon rendez vous. Mon partenaire d'affaire m'attendait déjà
Lui : --- Éric, je croyais que vous n'arriverez plus jamais.
J'ai bredouillé les excuses..
Moi : -- Désolé Martin, un problème de dernière minute à résoudre chez moi.
Je n'allais tout de même pas lui dire que je pleurais dans les bras de ma maman ?
Martin semblait compréhensif. Nous nous sommes mis au boulot.
Trois heures plus t**d, j'étais en route pour la maison.
À mon entrée, j'ai crié..
Moi : --- Maman...maman..
Aucune réponse..où était-elle passée ? Il y avait un mot sur la table de la cuisine
" Éric, mon grand, j'ai appelé ton assistance et il m'a dit que tu étais en route. Tu avais juste une demi-heure. Je devais courir urgement à la maison. Ton père a été admis à l'hôpital. Une hypoglycémie sûrement. Ne t'inquiète pas, ça ira. À propos, la nouvelle baby sitter a appelé, elle sera disponible dans une semaine. Une urgence dans sa famille également. J'ai mis ton dîner au frais. J'ai laissé Hope chez ta voisine. Elle est endormie. Tu devrais aller la chercher. Portez vous bien. Appelle moi en cas de soucis.
Maman qui t'aime..."
J'ai tenu la lettre plusieurs minutes. J'étais là debout, perdu. J'essayais de mesurer la portée de ce message. C'était inconcevable. Que ferais-je de Hope pendant 1 semaine ?
Je me suis mis à crier
Moi : --- Non...non...non..
Je devais composer avec la situation. Je suis allé chez ma voisine récupérer Hope. J'ai trouvé Jeanne entrain de tricoter. Jeanne était une mamie dont le seul travail consistait à raconter tout ce qui se passait au quartier. Elle avait un coeur en or mais se mêlait un peu trop de ce qui ne la regardait pas. Je m'arrangeais à ne pas croiser son Chemin. Lorsqu'elle me vit, elle s'écria
Jeanne : --- Mon petit Éric, la petite est encore endormie. Ta maman a dû partir en urgence.
Moi : -- Merci beaucoup mamie Jeanne, c'était très gentil pour vous de garder Hope.
Jeanne : -- Que dis-tu ? Demanda t elle en criant.
Jeanne était un peu sourde. Il fallait crier pour se faire entendre. Ce qui avait le don de m'énerver.
Moi : --- Merci mamie Jeanne...répondis je en criant. Je vais chercher Hope....
Hope était là, couchée. Enveloppée dans une couverture rose. Je l'ai soulevée délicatement. J'ai dit aurevoir à ma bienfaitrice qui semblait ne pas vouloir nous voir partir. Elle voulait me raconter les derniers potins en date au quartier.
Jeanne : -- Monsieur Perry de la dernière rue a eu une nouvelle petite amie...
Je ne lui demandai pas qui était monsieur Perry, j'avais mes problèmes à résoudre.
Je réussis tant bien que mal à m'échapper.
J'avais retenu ma respiration jusqu'à mon entrée chez moi. En refermant la porte, Hope choisit ce moment pour se réveiller.
Nos yeux se croisèrent. Nous nous regardâmes. Une seconde, deux...trois....et elle poussa un cri...
C'était parti. Comment allais je m'en sortir pendant une semaine ?
Ses cris perçants me grillaient le tympan. Las, je farfouillais le réfrigérateur à la recherche de son biberon. Hope criait toujours. Sans le vouloir je me suis mis à pleurer...
La semaine allait être ...........👉 lire l'histoire intégrante , écrivez moi maintenant en cliquant sur le lien suivant : 👉 https://wa.me/237690614141

Tiré de l'histoire
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Le style du meilleur chanteur d'Afrique Eljay Kiffnobeat au PRIMUD 2021 ❤️❤️🔥🔥🔥

Apoutchou National à l’actrice Halima Gadji

" Halima Gadji Y’a des choses dans lesquelles il faut éviter de rentrer. un commentaire amusant d’un abonné pas d’injure ou de mépris la réponse que tu à donner franchement je me pauses une seul question tu a un problème avec les ivoiriens ?

Le Sénégal 🇸🇳 et la Côte d’Ivoire 🇨🇮 nous sommes pays frères. Donc viens t’excuser auprès du peuple ivoirien tu nous connais sinon on vas mal te charger "

Kadhy Toure :
"Cette photo c'était il y'a 15 ans. Je me cherchais encore, je me demandais si j'allais réaliser mon rêve: Devenir actrice de cinéma. J'ai rencontré des prédateurs, j'ai rencontré des personnes qui m'ont fermé des portes, j'ai rencontré des personnes qui se sont moqués de mes ambitions.
Mais Dieu n'avait pas dit son dernier mot. 🙏🏾
Et aujourd'hui, je remercie ces personnes du fond du cœur . Merci pour la motivation.
Dieu bénit les routes brisées.♥️"

Hier à PARIS j’ai récupéré le double disc d’or de ma collaboration avec le groupe 113 . Merci à mon frère qui a permis que nous ayons cette collaboration et il a aidé dans ce sens beaucoup d’artistes en Afrique à être reconnu à l’étranger . C’est de sa qu’il s’agit ✊🏾🙏🏾🇨🇮✅

🤔🤔

Avec ou sans filtre, notre Beyoncé djaaaa ♥️

Quand tu as 36 ans et que tu vis toujours chez tes parents sans travail 😂 voici ce que tes parents voient lorsqu'ils entrent dans ta chambre 😂😂😂😂

J'étais un peu Jeune ,piqué,sans buzz ,sans rien
MA Go m'a Quitté 😭😭
Je L Avais dit BB Attend un peu...😔
Je Sens un Truc
Bb je sais que nous Avons de L'avenir
Mais hélas elle est parti
Epuis un Matin tu Entends BIMMM!!!!
JE SUIS DEVENU LE MIIMII LELU
HAHAHAHA 🤣🤣🤣🤣
LE GOÛT de Chaaaa😁😁😁
EEH BÈBÉ TA DECONNER
JE DJAAAHH🥰🥰

Sans buzz ni clash tu impose le respect depuis des années tu es un modèle pour les femmes et même pour les hommes tu as montré part ta bravoure et ton humilité à combien de fois tu es une femme en or. la haine la méchanceté animé par se faux pasteur de pas vouloir voir les gens autour de lui évoluer vas le pousser sa sa chute. à chaque direct tu a au moi. plus de 10 000 personnes connecté dans l’amour et la cohésion et la bonne humeur. ça fait mal aux brebis égarées en face. maman c’est la lumière qui éclaire sur toi qui brille sur ton fils. Sur internet tu es mon modèle je t’aime de tout mon cœur ♥️

Ne rentre pas dans les bêtises fait vue et ignorer Dieu ta déjà béni voilà pour quoi tu vas de gloire en gloire je t’aime ma deuxième mère 🔥

Je t’ai toujours brandis ici comme ma mère. et je suis pas le genre de personne qui mène les gens à mes histoires de face mais comme ils savent que je suis ton fils et qu’il son jaloux de ta notoriété voilà pour quoi ils veulent te mener à sa. Mais Dieu est juste

Hamond chic caviar femme de valeur continue ton chemin maman ✅

appelé moi le Guide 🔥