Collège La Roseraie Cameroun

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Bonne rentrée scolaire 2022/2023

Prions Ensemble_let's PRAY Together

Seigneur prends pitié,
Ô Christ prends pitié,
Seigneur prends pitié 🙏🏼

Prions Ensemble_let's PRAY Together

MES JUMEAUX COUCHAIENT ENSEMBLE
Recueilli et publié par Amé Océane CODJIA

Bonjour chers lecteurs.

Je suis mère, une mère qui fut déchirée par le sort de ces deux enfants. Mes deux jumeaux. Chez nous en Afrique, nous pensons que certaines choses ne peuvent se passer et pourtant…La pire s’est bel et bien passée et sous mon nez. Cette histoire m’a brisé le cœur, le moral et les conséquences aussi continuent de me faire très mal.

Mon mari et moi sommes tous deux fonctionnaires de l’Etat. Nous avons eu nos enfants très jeunes et nos jumeaux avaient 17 ans quand tout avait été découvert.
Voilà mon histoire.

Notre famille se portait vraiment au mieux. Nous travaillions et nos enfants une fille et un garçon, avaient été mis à l’internat car nous n’étions pas souvent là, des missions à l’intérieur du pays presque chaque semaine. Pour leur père et moi, c’était la meilleure manière de leur donner à la fois une éducation et une formation. Déjà à 12 ans, ils y furent admis au grand bonheur de nous parents.
Nous avions la certitude qu’ils seraient pris en charge totalement. Du moins c’est ce qu’ils nous avaient garanti. Nous avions surtout choisi cet internat parce que les filles et les garçons n’y étaient pas mélangés. C’était donc un problème en moins à gérer avec la puberté car ma fille avait commencé à avoir ses premières règles à 11 ans, trop tôt pourtant, mais son corps se développait très vite et elle faisait largement plus que son âge.

Pendant les vacances, nos jumeaux rentraient à la maison. Les deux premières années, ils furent bien normaux, ils étaient toujours aussi timides et réservés, étudiaient beaucoup et ne se séparaient presque jamais, ils évoluaient ensemble. Ils avaient toujours été ainsi. Mais pendant les vacances de la quatrième année, à leurs 16 ans, je sentis que quelque chose avait changé, surtout chez ma fille qui clairement était devenue presque femme tellement ses seins et courbent étaient marqués. Ma fille n’aimait plus qu’on la voit nue. Elle s’enfermait dans sa chambre et ce n’était que son frère qui pouvait y entrer quand il le voulait. Même moi sa mère je devais demander la permission pour y entrer.

Au départ, je me dis que ce n’était rien de grave et qu’ils avaient de toute façon toujours été très proches tous les deux. Mais mon cœur n’était pas en paix. A la rentrée, ils repartirent à l’internat et les vacances de pâques suivantes ils décidèrent de ne pas rentrer à la maison, prétextant réviser pour le BAC. Nos enfants étaient si intelligents que je fus très heureuse de les savoir si consciencieux à 16 ans, presque 17 ans.

Pendant ces vacances-là, je décidai de leur apporter des vivres moi-même sur le site. Mon mari me prit dans sa voiture et m’y amena.
Ce jour-là je fus très choquée de constater que ces jeunes adolescents étaient livrés à eux-mêmes sans aucune surveillance. Les responsables eux étaient carrément dans un nouveau bâtiment construit et vu que les deux ailes des enfants devaient être réaménagés, ils les mirent tous ensemble dans une aile très petite. On les obligea à se mettre à trois ou même quatre dans une même chambre, sur deux lits.

Je fus vraiment choquée et demandai des comptes aux responsables qui me firent passer pour une mère casse pieds car mes jumeaux n’étaient pas les seuls dans l’école. Mon mari qui n’aimait pas que je réagisse en public me fit des remontrances et présenta ses excuses avant notre départ.

Mais à la maison, je n’étais toujours pas rassurée. J’avais un très mauvais pressentiment. Comme si quelque chose se tramait sur ma tête constamment. Je me réveillais angoissée et je finis par en tomber malade. Je me lançai dans la prière quotidienne. Mon mari me disait que tout allait bien et qu’il fallait que j’arrête de prendre nos enfants pour des irresponsables.

Les résultats du Bac furent proclamés et nos enfants furent admis avec mention mais au lieu de rentrer à la maison, ma fille resta formelle, elle voulait quitter l’internat pour l’université directement car elle ne voyait pas l’importance de revenir à la maison si c’était pour repartir une fois de plus. Je ne compris pas pourquoi elle ne voulait plus rentrer à la maison et malgré mon insistance, elle s’y opposa catégoriquement.

Un jour au bureau, l’un des responsables de l’internat m’appela.

- Bonjour Madame, comment allez-vous ?
- Je vais bien merci beaucoup.
- Bien nous vous appelons pour un cas ici à l’internat.
Mon cœur ne fit qu’un bond. Je me mis à la questionner à tout va.
- Quoi, mes enfants ont eu quoi ? Qu’est ce qui se passe ?
- Non ils vont bien rassurez-vous mais je crois qu’il serait temps que votre mari et vous veniez voir de vos propres yeux.
- Mais venir voir quoi ? De quoi vous parlez au juste ?
- Venez ce week-end s’il vous plait…
J’entendis raccrocher à l’autre bout du fil. Je sortis mon téléphone et appelai mon époux. Je lui narrai tout et comme moi il fut très choqué.
- Pourquoi attendre jusqu’au week-end ? Si ça se trouve il se passe quelque chose de grave laba. Prenons une permission et allons-y.
Le lendemain déjà vers midi, nous étions dans le bureau de la responsable. Cette dernière nous reçut et entra dans le vif du sujet sur le champ.
- Vous savez qu’après le BAC aucun enfant n’est plus autorisé à rester sur le site n’est-ce pas ? Et bien, nous avons insisté pour que rentrent vos jumeaux mais ils s’y sont opposés catégoriquement et pour cause, votre fille est enceinte.
- QUOI !!!!!!! Je me mis à crier… Ma fille venait à peine d’avoir ses 17 ans, comment pouvait-on me parler de grossesse alors qu’elle avait été internée pour éviter toutes ces choses ? Avec quel garçon aurait-elle pu coucher et quand, où ?
- Calmez-vous madame, votre enfant même aura une explication à vous donner. Pour l’heure vous devez les ramener. Tout le monde part en famille, y compris le personnel, c’est obligatoire que vos deux enfants partent.
- Vous vous écoutez parler ? Ma fille de 17 ans est enceinte et tout s’est déroulé sous vos yeux, vous osez me demander de me calmer et de rentrer avec ma fille ?
- Madame, écoutez. Ici, nous sommes une école, nous formons, les comportements des enfants à notre niveau ce n’est pas à nous de gérer cela. Comment expliquez-vous que vos deux jumeaux puissent avoir des relations sexuelles ici ? Vous trouvez cela normal ?
Je tombai de mon siège les deux mains sur la tête. Je me mis à crier : « wou wou wou, ils m’ont tué, Seigneur ils m’ont tué ». Mon mari se leva et sortit de la pièce. Je fondis en larmes. Je ne pouvais pas croire que mes deux enfants aient pu s’adonner à de telles pratiques.

- Ecoutez madame, vos deux enfants ont un sérieux problème que nous ici ne pouvons gérer. Il faut que vous les rameniez chez vous. Ils représentent un très mauvais exemple pour le reste des élèves et nous ne pouvons-nous permettre cela. Allez les chercher et partez avec eux. Ils vont vous attendre à la voiture.
Après ces mots, elle sortit de la pièce, me laissant seule par terre, perdue, couverte de honte. Mon mari était parti s’assoir derrière le volant de la voiture et semblait totalement perdu. Calme de nature, il n’aimait pas les situations de stress et les compromettantes mais nos enfants allaient nous en donner du stress.

Lorsque mes yeux tombèrent sur ma fille, je faillis la griffer tellement j’étais verte de colère. Son frère toujours plus calme comme son père marchait à pas lents derrière elle. La responsable se mit vite entre eux et moi pour éviter un bain de sang car je venais d’enlever l’une de mes chaussures pour leur casser le crane. Mon mari eu à peine le temps de saisir mon bras, je sentis une vive douleur à l’épaule et la chaussure tomba de mes mains. Je fondis en larmes et les couvris d’insultes. Je voulais les humilier comme ils nous avaient humiliés. Mais leurs visages étaient sereins comme si ils se foutaient bien de ce que je disais.

Ma fille, yeux baissés, valise en main, attendait que passe ma crise pour monter dans le véhicule. Tous deux nous regardaient durement, comme si nous étions en train de leur faire du mal. Je demandai à Dieu ce que j’avais bien pu faire pour mériter une telle humiliation. Je mis du temps à me calmer.

Tout au long du trajet retour, ma seule prière fut que nous fassions un accident pour que cette honte ne se répande pas en ville. Je voyais déjà les collègues nous montrer du doigt, surtout qu’ils disaient que nous chérissions trop nos enfants, pourtant ces derniers ne grandissaient même pas auprès de nous.
Leur papa ne plaça pas un seul mot. Dès que nous arrivâmes en ville, il nous déposa devant la maison puis redémarra la voiture. Mes enfants s’enfermèrent tous deux dans la chambre du garçon et ils verrouillèrent la porte de l’intérieur pour empêcher que je puisse leur tomber dessus.

Je ne savais vraiment plus quoi faire, qui appeler, à qui en parler, je n’avais juste pas envie que tout le monde se moque de nous, de leur père qui se sacrifiait autant pour eux. Je pleurai toutes les larmes de mon corps. Des heures après, mon mari rentra à la maison, suivi d’un médecin en blouse blanche. Lorsque ce dernier posa les yeux sur moi, il me dit tout gentiment, « Madame, ça va aller, ne vous inquiétez pas ».

Mon mari me fit appel dans notre chambre à coucher et m’informa qu’il avait fait venir un gynécologue qui amènera notre fille pour la faire avorter. Je fondis en larmes une fois encore car jamais de toute ma vie je n’avais imaginé me retrouver à commettre un avortement dans la vie de ma fille. Mais à l’heure-là, c’était de loin la meilleure des solutions car mes deux enfants s’apprêtaient à avoir un bébé incestueux. Pourtant j’étais très bonne chrétienne et lorsque nos enfants vivaient encore avec nous, tous les dimanches nous étions à l’église. Nous lisions la bible tous les matins avant que ne commencent nos journées. Je ne comprenais pas. Dieu m’aurait abandonné ? Toutes mes prières, croyant que tout allait bien pourtant.

Mon mari alla ouvrir la porte de la chambre de mon fils et remarqua qu’elle était verrouillée. Il la força et le verrou sauta. Lorsqu’il rentra dans la pièce, je vis le visage de mes jumeaux décomposés. Le frère tenait la sœur serré contre lui comme pour la protéger pendant qu’elle pleurait. J’eus le cœur fendu par cette image. Je ne comprenais pas ce qui nous arrivait. Ma famille partait ainsi en fumée. J’avais l’impression de traverser un tunnel noir. J’étais prise de colère et de pitié… J’étais brisée.

Mon mari ordonna à notre fille d’avancer. Son frère essaya de l’en empêcher et mon mari lui donna une raclée qui le projeta au sol. Il prit la main de sa fille puis l’entraina dehors pendant que le garçon essayait de se relever.

Voir ma famille en si petits morceaux fut si douloureux pour moi. Lorsque mon mari se rendit à l’hôpital avec notre fille, je retrouvai mon fils assis au pied de son lit en larmes. Prise de pitié, je m’agenouillai devant lui et lui demandai :

- Pourquoi ? Pourquoi avez-vous fait ça mon Dieu ?
Il ne répondit pas. Je le saisis par les bras et le secoua fortement.

- C’est ta sœur. Ta propre sœur jumelle, qu’est-ce qui vous a prise ? Pourquoi elle ? Quand est-ce que tout ceci a commencé ? Depuis quand couches-tu avec ta propre sœur ? Il garda le silence, décidé à ne rien dire.

- C’est mal, très mal, ça s’appelle de l’inceste, c’est même diabolique. Pourtant pas une seule fois je ne vous avais éloigné de Dieu alors quelqu’un peut juste m’expliquer où votre père et moi avons échoué ?

Je me levai et sortis de la pièce. T**d dans la nuit, mon mari rentra à la maison, suivi de notre fille totalement épuisée. La mine de mon époux était bien défaite. Il ne demanda pas à diner, il m***a se doucher et se mit au lit. Je restai seule à surveiller ces deux enfants, chacun étant dans sa chambre… Je n’arrêtais de pleurer. J’avais vraiment mal et je ne comprenais toujours pas pourquoi tout ceci nous arrivait.

Je restai en bas bible en main, priant et pleurant, implorant le pardon du Seigneur pour cet avortement et aussi pour qu’il sauve mes bébés de cette chose diabolique. J’étais brisé totalement. Mon mari finit par redescendre vers 4h du matin. Je ne dormais pas, assise la bible en main, le regard dans le vide… Il me prit la bible de la main, la posa sur la table basse puis me prit dans ses bras.

- Nous avons un sérieux problème mais Dieu est plus fort que tout, il saura nous sortir de là. Je ne sais pas comment m’expliquer cette chose entre nos deux enfants, nous les avons pourtant bien éduqué, nous leur avons tout donné. Comment expliquer tout ceci ? Je suis bien perdu. Qu’est ce qui a bien pu leur passer par la tête ? Pourquoi ne t’avais-je pas écouté lorsque tu me disais les trouver bizarre ? Tu avais raison.

- Ne culpabilisons pas mon mari. Ce que nos enfants ont ne me parait rien de normal. J’ai l’impression d’être dans un combat spirituel, un cauchemar. Je veux que nous amenions nos enfants à l’église. Je refuse de les garder une nuit de plus sous notre toit. Permets-moi de les amener auprès des hommes de Dieu. J’ai besoin de les donner au Seigneur, parce que je n’ai plus de force, je vais mourir s’il ne prend pas contrôle des choses.

- Je suis totalement d’accord avec toi. Je ne sais comment régler ce problème. Je ne comprends même pas qu’ils soient autant attachés l’un à l’autre. Ils sont frère et sœur, pas amants.

Tôt le matin, après la première messe, je demandai à parler au curé de notre paroisse. Nous lui exposâmes le cas et il nous fit un petit sourire. Il nous expliqua qu’en effet cela n’avait rien d’une attirance naturelle mais que nos enfants étaient sous l’emprise d’un charme, un envoutement qu’il fallait détruire assez tôt car ils étaient déjà allés trop loin.

Il nous soumis à un cheminement qui nous pris presque un mois. Neuvaines, prières de guérison du renouveau charismatique, nous étions constamment entourés de prières. Mais malgré tout ça je ne dormais point. J’avais l’impression que rien ne changeait, mes deux enfants étaient toujours aussi proches et se parlaient avec beaucoup d’amour et d’attention. J’avais même l’impression qu’ils étaient seuls au monde tellement ils ne se souciaient pas de tout ce qu’il se passait autour d’eux… Le curé qui avait dû partir en urgence en mission rentra enfin. Il était réputé exorciste de renom et programma dès son arrivée une séance de délivrance t**d dans la nuit du vendredi qui suivit.

Dès qu’il commença la séance d’exorcisme, ce que mon mari et moi vîmes fut horrible. Tous nos deux enfants se tordaient de douleurs, et parlaient d’une voix très roc, le curé les questionnait en appliquant sur leur front une croix de saint Benoit plongée dans de l’huile sainte. Ils criaient comme brulés par le feu et se tordaient de douleur. Puis lorsqu’il leur demandait qui ils étaient, ils donnaient tous deux des noms très bizarres que jamais nous n’avions entendus. Plus il insistait et plus ils souffraient et essayaient de s’en fuir. J’étais horrifiée, j’avais perdu le sens même de la prière tellement j’étais horrifiée par ce que je voyais.

Pratiquement une heure après, ma fille se mit à avouer ou plutôt une voix en elle avoua être l’esprit du mal et qu’il avait été envoyé pour posséder nos enfants. Dans ses explications, l’esprit disait qu’il avait eu accès à nos enfants grâce à une photo d’eux qu’une personne mal intentionnée dans notre entourage avait copié sur mon compte Facebook et qu’il avait simplement fait envouter pour détruire notre famille.

J’étais bouche bée. J’avais mis sur les réseaux sociaux la photo de mes jumeaux en effet comme photo de profil, mais de là à vouloir briser notre famille, pourquoi ?

- Parce que vous avez exposé vos enfants alors que d’autres n’en avaient pas. Vous avez attiré l’attention du monde entier sur votre paix intérieure, sur votre belle petite vie rangée. Qu’est-ce que vous croyez au juste ? Que les réseaux sociaux sont remplis de qui ? Les personnes mal intentionnées vous observent et sont capable de vous détruire rien qu’avec ce que vous affichez. Longtemps nous avons parlé de ça, mais vous ne nous écouter pas. Ces deux enfants n’étaient que des victimes de vos propres actes. Vous devez apprendre à protéger ce qui vous est chère car le monde est cruel. Vous croyez vraiment que ces deux enfants allaient se mettre en relation s’ils avaient tous leurs sens ? Regardez-les à présent ? Quelque chose n’a-t-il pas changé en eux ?

En effet, après le grand exorcisme, mes deux enfants se regardaient à peine. Comme réveillés d’un profond sommeil, ils se parlaient à peine, se touchaient à peine. Ils avaient le regard honteux et fuyant et mon fils demanda à son père si nous pouvions rentés chez nous. Lui qui n’avait plus jamais ouvert la bouche depuis la gifle de ce dernier.

A genoux, je rendis gloire à Dieu d’avoir épargné nos enfants. Je remerciai le curé et lui promis d’effacer les photos de ma famille des réseaux sociaux, ce que je fis dès que nous arrivâmes à la maison. Mon mari malgré la délivrance des enfants décida de les séparer pour qu’ils arrivent à oublier cet épisode au moins pour une année. Mon fils fut donc envoyé chez ma sœur en Belgique mais personne ne raconta à cette dernière pourquoi il devait poursuivre ses études auprès d’elle. Cette histoire, personne n’en eut vent à part le curé et l’église.

Après cette rude épreuve, ma fille ne fut plus jamais la même. Elle devint très très réservée et plus proche de moi sa mère. Tous les jours avec son père, nous prions et lisons la bible. Nous prions également pour son frère et une fois par semaine, en appel vidéo, nous tenions des séances de prières avec lui également.
Mon mari et moi n’avons jamais oublié tout ceci, des fois nous nous demandons si tout cela n’avait pas été qu’un mauvais rêve mais c’était bel et bien réel. Nos enfants avaient été envoutés par une personne très mal intentionnée que malheureusement je n’ai pas connu jusqu’à ce jour.

Nous avons énormément appris. Appris que garder ses enfants près de soi, était chose à faire pendant leur adolescence. Nous avons appris à vraiment intensifier la prière autour de nos enfants, il est important de les protéger car nous ne savons pas qui pose les yeux sur eux. Un bébé est sorti de cette méchanceté, un innocent qui n’a pas vu le jour à cause de l’acte des deux parents. Je demande pardon à Dieu constamment pour cet enfant. Mais avions-nous le choix ?

La deuxième chose est qu’envoyer ses enfants loin de soi, sans réellement connaitre les personnes à qui nous les confions est bien grave. Ils auraient pu le remarquer plus tôt et nous alerter. Mais au lieu de ça ils négligeaient tout simplement les enfants et laissaient les enfants sans surveillance la nuit.

Je me demande combien de jeunes filles et garçons ont perdu leur innocence dans cette histoire car après les avoir questionner, avant son départ, mon fils m’avoua que ce n’était pas la première fois qu’il couchait avec sa sœur et qu’il n’était d’ailleurs pas le seul, qu’ils organisaient des partouzes entre élèves les nuits, surtout pendant la période où on avait dû les mettre ensemble. J’en fus choquée.
Je m’en voulus d’avoir conseillé à mon mari que nos bébés soient mis à l’internat…

Recueilli et publié par Amé Océane CODJIA

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Infos OBC.

tous les canditats ayant obtenu leurs bac des series confondues pendant les années 2010- 2017 doivent se rappocher promtement de leurs delegations regionales pour retirer leurs diplômes. Nb: se munir de sa CNI de 06h à 15h. date delai 3o mars. et apres ladite date, lesdits diplômes seront retournés pour ydé et les laureats n'ayant pas retiré auront une pénalité de 10 mille fcfa. informez les autres.

Cordialement

JPO Roseraie

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Jeudi 14 mars 2019
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Mardi 12 février 2019
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Lundi 11 mars 2019
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Donne son nom en intégralité si tu peux. ✌

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Dimanche 10 mars 2019
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Merci

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Lundi 05 Mars 2019
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Jeudi 28 février 2019
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Salut, il a été retrouvé une Attestation de BAC ,sérieD, session juillet 2018 au nom AMETEPE ASSIWAVI
Contact le 91092198/99728431 pour le retrait.
Svp ça ne coûte rien partager pour sauver notre sœur. Soyez bénis. Envoyé comme reçu !

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