Bon ba Mbog

Si nous avons dénié la scientificité de nos cultures ancestrales négro-africaines, c'est parce qu'un environnement social l'a imposé. Cet environnement est la volonté de Rome de conquérir la terre entière. Puis la volonté arabe de suivre les pas des romains... l'Afrique et les peuples noirs à la civilisation humaniste d'hostilité étaient pour ces conquérants un vaste monde pour la conquête duquel ils se sont armés. C'est l'origine des déportations et du colonialisme.
Il n'y a plus de raisons de les subir.

Le champ d'action pour le retour aux sources ancestrales négro-africaines est vaste. Études, arts, sciences et techniques...

Personne et pas moi ne parle de race. Mais je parle de colonialisme. De cette intention de soumettre d'autres peuples et de substituer leurs traditions à celles du colonisateur.

Les traditions ont Beau être d'origine kemet, elles ont subi des inversions pour produire des idéologies de domination. Il faut alors constater qu'elles ont refusé et réfuté leurs origines. Elles ne méritent pas d'être imitées par ceux qui peuvent retrouver l'original

Il n'y a pas d'opposition. Certes une certaine vision conçoit la différence comme une opposition. Que non. L'évolution de la science est intimement liée à la compréhension de la différence en tant qu'attestation de l'unité de l'univers. La quête de cette science appelle à sortir de l'imitation du colonialisme dominationiste pour Explorer des méthodes nouvelles d'appropriation des connaissances. Le colonialisme a fait de la science, une idéologie. Retrouvons ces méthodes. Ces méthodes ont pu avoir déjà été explorées dans un passé encore mystérieux

*La nocivité des musiques religieuses en Afrique*

Les musiques religieuses ou prétendues telles ont révélé un énorme potentiel musical et artistique dans la communauté africaine.

Mais je veux indiquer les raisons de leur nocivité à mon sens.
S'agissant de leur objet qui est la Religion et même l'évangélisation, elles détournent de cet objet en installant la vulgarité dans le sacré. Car aujourd'hui elles portent beaucoup moins que le message pastoral... Elle ont en quelques sortes, par leur impudicite tolérée, apporté non seulement la distraction, mais carrément l'impudicité dans l'enseignement religieux. C'est mon humble avis d'ancien catholique.

S'agissant des langues africaines qu'elles véhiculent, il s'agit d'une langue qui porte une autre vision du monde par rejet de la civilisation originelle de l'Afrique. Par exemple, Dieu, NYAMBE, des basaa, zamba des ewondo n'ont plus rien à voir avec djob, ntondobe mais tout avec des valeurs inconnues de nos peuples... L'éloignement de la vérité et de la justice, valeurs fondamentales d'Afrique au profit du prétendu amour aliénant et traumatisant... Les pratiques culturelles comme le baptême (mapam ma yaa) ou le rite de l'enterrement, ou du veuvage sont interdites...

Le développement des économies sur le fondement de la consommation locale des produits locaux est détruit... C'est toutes formes de pratiques culturelles africaines qui sont travestis ou inversées par la propagande religieuse, dans le but de changer notre culture, notre vision du monde. Les religieux appellent celà la conversion. Il n'y a pas chanson à la gloire de nos ancêtres mais seulement à la gloire des saints et des divinités inconnues... Les valeurs ancestrales sont ainsi complètement détruites... C'est celà que j'appelle génocide culturelle... J'utilise les mots que je connais.

Nos hilung manganda ou nganda, mahongo, mvet, timbiri, manjang, entendent par l'effet des musiques religieuses, porter une vision étrangère qui efface à jamais notre propre mémoire collective ... à jamais.

Et les effets catastrophiques sont ressentis ici même dans l'aversion que nous avons, que les africains ont les uns pour les autres quand on évoque le retour aux sources ancestrales... La violence haineuse contre ceux de nos frères qui appellent à redonner à notre peuple africain sa vision pour construire une modernité qui nous soit propre... La condescendance qui se dégage des interventions des pasteurs, des prélats et de leurs ouailles contre notre vision ancestrale est portée par ces musiques qui inversent l'ordre traditionnel...

Nous devons en avoir conscience dans la production des musiques religieuses... Etc.

2
Brésil U-20Brésil U-20

1
Cameroun 20

En cours
116

1
Brésil U-20Brésil U-20

1
Cameroun féminine U 20 ans

Fin du temps réglementaire

répond à ainsi qu'à toute la vermine planétaire 🦉

‹‹Notre Samuel Eto'o a bien inscrit un triplé, FootMercato, c'était sur un match complet, en ChampionsLeague, face au Werder..

Maintenant ce n'est pas correct de le charrier car il est par contre le SEUL dans l'histoire à avoir remporté 2 triplés consécutifs (Championnat - Coupe - Champions League 🏆 🏆 🏆 🏆 🏆 🏆)avec 2 clubs différents ››

Le 4e but est une passe décisive de Samuel Eto'o.
Score final 4-0

https://www.youtube.com/

Wonyu Nouga Toute la découverte des fonctionnalités du Net!!!! Tout le partage possible avec vous... vos curiosités et les miennes, vos surprises et les miennes, vos vies virtuelles et la mienne!

Courage... Je te promets des pesticides et et un désherbage régulier... Tiens jusqu'à la maturité... Les prix sont très bons en ce moment.... Il n'y aura pas de faille pour les insectes. Je suis là.

https://youtu.be/KKAFBTz5Tnw?feature=shared

YI NI LIBAG LI MUT BINAM. par Wonyu Nuga Nsugi. à paraître bientôt. Merci pour votre bon accueil.

Merci pour votre bon accueil. YI NI LIBAG LI MUT BINAM par Wonyu Nuga Nsugi. Éditeur : Bon Ba Mbog Centre Culturel

YI NI LIBAG LI MUT BINAM. par Wonyu Nuga Nsugi. à paraître bientôt. Merci pour votre bon accueil.

*FECAFOOT-MINSEP, avis du Professeur ABA'A OYONO, Agrégé de Droit Constitutionnel*

La primauté du Droit est un impératif pour la stabilité des relations sociales. Ce à quoi s’attache l’Etat de Droit tant exalté par tous. Le tout premier droit NON NÉGOCIABLE que la Constitution de la République met au bénéfice des personnes est LA SÉCURITÉ JURIDIQUE. L’Etat peut décider de gérer un service en RÉGIE. Dans ce cas, l’activité d’intérêt général (service public) est pilotée par deux moyens combinées : les agents publics et les deniers publics. À l’opposé lorsque l’Etat abandonne ce mode de gestion du service public, soit il crée un Établissement public, comme la CNPS, l’ONIES ou l’université publique à titre d’illustration, soit il confie la gestion du service public à une personne privée bénéficiant des prérogatives de puissance publique (émettre des décisions à caractère administratif quoiqu’étant une personne privée) et met des subventions conséquentes à sa disposition, ces moyens financiers servant alors à assurer le fonctionnement du service public volontairement confié. La loi de 2018 s’inscrit dans ce dernier cas de figure. L’Etat, unilatéralement, s’est déchargé de la gestion du football en régie en confiant cette activité à la Fecafoot, tout comme c’est le cas des autres fédérations sportives. Les actes juridiques inférieurs que sont décret et convention ne sauraient s’en écarter en édictant autre chose que cette norme contenue dans la loi. C’est le principe de la hiérarchie des normes juridiques. Dans ces conditions, l’Etat est confiné à un rôle RÉSIDUEL de tutelle consistant en un contrôle minimum et non maximum. Il n’y a dès lors aucune relation hiérarchique de subordonné à supérieur entre la Fédération et l’Etat, représenté en l’espèce par Le MINSEP. La fédération conserve alors la possibilité de faire respecter ce lien souple de tutelle par la saisine du juge administratif dans l’hypothèse de tout dysfonctionnement résultant de l’abus du MINSEP. C’est le pur Droit administratif que je distille à l’Université en 2e année de licence. Le pouvoir, c’est déjà un rapport de force. N’étaient-ce les barrières érigées autour du Président de la Fédération pour des raisons purement alimentaires, nous n’en serions guère à cette omniprésence de l’Etat en phagocytose (étouffement). « La loi assure à tous les Hommes le droit de se faire justice », fixe la Constitution. J’avais ce faisant suggéré à plus d’une personne, proches de SEF, d’engager le contentieux au commencement de la tentation dictatoriale de l’Etat. Nul n’a permis de me rapprocher de lui. Le juge administratif aurait permis, à coup sûr, de rétablir l’autonomie administrative et financière de la Fecafoot. Lorsque la culture de la lutte juridictionnelle nous fait défaut, on boit l’excès de pouvoir jusqu’à la lie. Seul le contentieux administratif, en pareille occurrence, est un rampart contre l’arbitraire administratif. À défaut, si l’Etat veut être omniprésent et tout contrôler, il lui revient de retirer l’agrément à la Fédération et de gérer corrélativement le football en RÉGIE. Et comme la FIFA ne traite qu’avec les fédérations sportives et non avec les Gouvernements dans ses textes fondateurs (Statut), l’Etat va assumer son exclusion de facto et de jure de la scène sportive internationale. Enfin, l’article 1er, alinéa 2 de la Constitution dispose: « La République du Cameroun est un État Unitaire décentralisé ». C’est cette manie du système à vouloir à tous les prix concentrer les pouvoirs entre les mains d’une seule entité, en violation des règles juridiques pourtant clairement établies, qui est la sources de nos malheurs. Le pouvoir corrompt fondamentalement.

*Pr ABA'A OYONO*

Quand on utilise les institutions pour nuire à un particulier, groupe de particuliers ou d'individus, on nuit surtout à la collectivité. Les imbéciles l'ignorent.

Feu Charles Ateba Eyene en était le président
Le professeur Messanga Nyamnding en était le premier Vice Président et moi le deuxième.
L'association internationale pour la promotion de la polygamie

Y-a-t-il une crypto histoire ?

Après la parution de la crypto anthropologie de la communauté basaa, nous engageons le travail de révélation de son histoire. Ce sera suivant le paradigme visionnel différent de celui de nos universités. Tic Tac tic tac... Restez connectés.

Nos historiens !

Devraient raconter ce peuple, qui a pendant longtemps constitué des communautés souvent filiales, souvent économiques, souvent politiques et installé un commerce de tout genre qui est allé du lac Tchad à l'océan Atlantique, brassant les cultures et habitudes s'aimant et se moquant mutuellement souvent.

Ils devraient raconter comme ma grand-mère Bilunga Bekon l'amour qui transcendait les guerres, ... Guerres ? Des épopées quasiment joyeuses où on ne connaissait presque jamais des morts mais des enlèvements calculés participant à l'accroissement des lignages, des communautés, ou encore au développement de la citoyenneté.

Que les territoires du Cameroun étaient occupés par des êtres humains projetés sur demain, sur des lendemains de souveraineté alimentaire, économique, politique, et surtout culturelle pour asseoir toujours mieux leur civilisation originelle Commune d'hommes noirs.

Que cette civilisation originelle noire d'Afrique était celle de nos peuples jusqu'à la rencontre des bisumè, ces êtres qui avaient entrepris d'user des instruments de vie pour donner la mort. Qui n'avaient pas eu d'égard à tuer... Qui n'avaient cure des rites de la vie. Sans humanité.

Et que la nature bénie, l'univers divin nous imposa l'attitude de survie. Et nous survécûmes.

Jusqu'à se donner le droit de reconstituer. La reconstitution du malheur.
(À suivre)

L'histoire ?
C'est la mathématique.

- Nlaŋ: cɔnte, histoire
- láŋ: lire
- Láŋ: compter

Tu dis que tu es historien, connais-tu la mathématique ? Es-tu mathématicien ?