Pastef Les Patriotes - Bordeaux
PASTEF (Patriotes Africains du Sénégal, le Travail, l'Ethique etla Fraternité) est un parti politique
Bonne fête de l'indépendance
Premier Discours Du Premier Ministre Ousmane SOnko «Niougui remercié Jeunesse bi amagou niou ndam d'ici 5ans laniouy évaluer ndax amnagn changement..»
«Nous Donnerons Tout Ce Que Nous avons Pour atteindre Les Objectifs Que...»
Un nouveau souffle au Sénégal, une lueur d'espoir pour le peuple sénégalais : Ousmane SONKO Premier ministre du gouvernement de Bassirou Diomaye Faye 🇸🇳✌🏾💚💛❤️
Après sa prestation de serment à Diamniadio, le cortège du Président nouvellement élu Bassirou Diomaye Faye s’est dirigé vers le palais de la République pour participer à la cérémonie émouvante de passation de pouvoir.
Tout au long des allées menant au Boulevard de la République, la garde présidentielle ainsi que les citoyens sénégalais se sont rassemblés pour rendre un hommage chaleureux au Chef suprême des armées.
Au bureau du Palais de la République, le Président sortant, Monsieur Macky SALL lui a remis les clés du palais de la république.
Le Chef de l’État Bassirou Diomaye Diakhar Faye a, par la suite, accompagné le Président sortant jusqu’à la porte de la résidence présidentielle, marquant ainsi un geste de respect et de transition symbolique.
🎥 🇸🇳CÉRÉMONIE DE PASSATION DE POUVOIR du 5e Président de la République du Sénégal, S.E. M. Bassirou Diomaye Diakhar FAYE.
📸 Retour en images sur la cérémonie d'investiture du nouveau président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui a eu lieu le 2 avril 2024.
CÉRÉMONIE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT BASSIROU DIOMAYE DIAKHAR FAYE
Devant Dieu et devant la Nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de Président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’unité africaine.
Une présidentielle qui bat tous les records (plus jeune président, victoire historique dès le premier tour de l’élection, statut de candidat-prisonnier politique)
L'opposant antisystème Bassirou Diomaye Faye, encore en prison il y a une dizaine de jours avant l’élection, devient le plus jeune président de l’histoire du Sénégal. Pour la première fois en Afrique et au Sénégal en douze présidentielles au suffrage universel, un candidat de l’opposition gagne l’élection présidentielle dès le premier tour avec une victoire claire et nette.
Le candidat Bassirou Diomaye Faye, un cas inédit à la présidentielle
La candidature de Bassirou Diomaye Faye est à l’image de cette élection présidentielle inédite à plus d’un titre. Jusqu’au 14 mars 2024, à 10 jours du vote crucial du 24 mars, avec un candidat-prisonnier, Bassirou Diomaye Faye, le Sénégal se trouvait dans une situation inédite au niveau de la présidentielle. Le président Macky Sall a fait écarter par la justice des candidats à la présidentielle. Et même quand la justice donne raison à Ousmane Sonko, le système étatique fait tout pour ne pas l’appliquer.
La validation de la candidature de Bassirou Diomaye a été un scénario non pris en compte par le président Macky Sall qui pensait éliminer Ousmane Sonko et tous ses partisans. La vidéo préenregistrée du leader Ousmane Sonko avant son emprisonnement a douché les ardeurs parce que Ousmane Sonko qui s’est toujours sacrifié pour un Sénégal souverain, qui, n’a jamais fait une fixation sur le poste de présidence a proposé un autre candidat, en l’occurrence Diomaye, le Secrétaire général du parti pour accomplir le projet d’un Sénégal souverain.
De la case prison au palais présidentiel
Candidat à la place de Ousmane Sonko, l’opposant Bassirou Diomaye Faye âgé de 44 ans a écrit l’histoire en étant le plus jeune candidat devenu président alors qu’il sortait de prison, 10 jours avant l’élection présidentielle de même que son mentor emprisonné lui aussi et écarté arbitrairement du jeu électoral.
« En m’élisant Président de la République, le peuple sénégalais a fait le choix la rupture. Pour donner corps à l’immense espoir suscité par notre projet de société et donner corps à ses aspirations, je m’engage à gouverner avec humilité, dans la transparence et à combattre la corruption à toutes les échelles. Je m’engage à me consacrer pleinement à la refondation de nos institutions et au renforcement des fondements de notre vivre ensemble. », déclarait le nouveau président Bassirou Diomaye Faye lors de son premier discours après sa victoire historique. Le message des Sénégalais a été très clair. L’élection s’est finalement transformée entre un référendum entre la continuité prônée par Amadou Ba ou la rupture incarnée par l’opposition radicale et/ou représentative.
L’année 2024 a été aussi celle d’une élection qui se déroule dans un contexte d’exploitation des ressources naturelles (pétrole, gaz, etc.) et d’immigration irrégulière ayant entraîné des milliers de morts de jeunes sénégalais.
Une élection présidentielle à multiples enjeux et symboles
Pour une première fois la communauté internationale notamment les États-Unis et l’Union européenne a été obligée de peser officiellement de tout leur poids afin de demander au président Macky Sall de respecter le calendrier républicain. Le président de la Commission des relations étrangères au Sénat américain Ben Cardin a souvent « exhorté (le président Macky Sall) à fixer une date de l’élection (présidentielle) et à démissionner à la fin de son mandat). »
Ce n’était point une ingérence mais plutôt un geste pour éviter le basculement du Sénégal vers la descente aux enfers. La situation de chaos que traversait le Sénégal était d’abord, certes une affaire personnelle sénégalaise, mais elle pourrait devenir à la longue un problème qui n’est pas qu’intrinsèquement sénégalais, loin de là (lire à ce sujet notre prochain article de la Présidentielle).
Pour la première fois, l’avènement d’une nouvelle génération au pouvoir (âge, idées, vision et projets) qui se définit clairement comme antisystème et anticorruption. L’heureux élu que le candidat du pouvoir traitait d’« aventurier, d’inexpérimenté, d’incompétent » est celui qui a révolutionné la campagne, sous le guide de son mentor, et est entré dans l’histoire à plusieurs égards.
Les Sénégalais ont donné une véritable leçon de démocratie et ont démontré qu’ils auront le dernier mot peu importe la campagne de dénigrement qu’on peut faire sur un ou des leaders. La jeunesse a décidé de faire de cette élection son affaire. Le peuple est le vrai gagnant de cette élection mais aussi le leader Ousmane Sonko qui a réussi, en fin tacticien, de mettre tout un système à terre. Ousmane Sonko et son parti Pastef rentreront dans les annales du Sénégal mais auront aussi plusieurs défis à surmonter tant les espoirs sont immenses.
La volonté réelle d’apaisement va faciliter la réconciliation nationale prônée par tous les candidats lors de la campagne électorale. Une élection transparente dont beaucoup de Sénégalais ne doutaient pas de l’issue de la victoire car la majorité silencieuse n’attendait que ce moment pour exprimer sa colère dans les urnes mais aussi son espoir de voir un véritable changement porté par le nouveau président et sa coalition XXL qui se présentait comme la meilleure offre politique.
L’élimination du principal chef de l’opposition et des principaux adversaires du régime pouvait entacher la crédibilité du processus électoral et par conséquent la légitimité du nouveau président. Mais au final, le peuple sénégalais, le seul souverain a dit son dernier mot en élisant le plus jeune président de l’histoire du Sénégal. Le peuple sénégalais a préféré le changement à la continuité en votant massivement dès le premier tour avec 54,28% pour le « candidat du changement de système » et d’un « panafricanisme de gauche » Bassirou Diomaye Faye symbolisant ainsi l’espoir surtout de toute une jeunesse.
Le candidat qui était le mieux placé pour balayer le système (corruption, détournement de deniers publics, impunité, justice sélective, etc.) est prêt à appliquer les réformes consensuelles de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI), à débuter un partenariat gagnant-gagnant, à faire preuve de justice sociale dans ses décisions mais aussi à réconcilier les Sénégalais.
Doudou Sow, sociologue, auteur et lauréat du Mois de l’histoire des Noirs
Présidentielle 2024 : Cérémonie d'investiture du Président de la république du Sénégal M. Bassirou Diomaye Diakhar FAYE
Bonnes fêtes Pascales à toute la communauté catholique.
À toute la communauté catholique du Sénégal, je souhaite une bonne fête de Pâques.
Le Sénégal des Grands Hommes : Une élégance républicaine et une démarche patriotique
https://www.rts.sn/actualite/detail/a-la-une/macky-sall-recoit-bassirou-diomaye-faye-au-palais-presidentiel
PASTEF a réaffirmé son leadership en Nouvelle Aquitaine
Bordeaux : 81,2% : Pau : 76,2% Limoges : 84,9% Poitiers : 84,5%
PASTEF a réaffirmé son leadership en Nouvelle Aquitaine avec la Coalition Diomaye Président 82% :
Bordeaux : 1134 voix sur 1397 voix exprimées soit 81,2%
Pau : 77 voix sur 101 voix exprimées soit 76,2% Limoges : 146 voix sur 172 voix exprimées soit 84,9%
Poitiers : 142 voix sur 168 voix exprimées soit 84,5%
Pastef Les Patriotes - NouvelleAquitaine
Ousmane SONKO Bassirou Diomaye FAYE
LA RÉSILIENCE D'UN PEUPLE ET LE PACTE.
Depuis les indépendances chimériques, le Sénégal a vécu ces cinq dernières années les moments les plus durs de son histoire. Des moments de répression intense, avec un régime politique sanguinaire qui a détruit tous les fondamentaux de l'Etat de droit et d'un système démocratique pourtant arrivé à maturité.
Le Sénégal a ainsi souffert dans sa chair et payé le lourd tribut d'une résistance héroïque à la tentative de maintien et de pérennisation d'une caste politico-judicaire au pouvoir, valet d'un impérialisme arrogant et décadent.
L’Afrique progressiste, décidée à arracher son indépendance politique, économique et culturelle, a pu admirer le courage et la détermination de la jeunesse Sénégalaise unie autour d'un leader Ousmane SONKO, qui leur a permis de connaître le sens de son combat: le combat contre un système qui est la contradiction principale à résoudre au prix de résilience, d'endurance, de souffrances et de don de soi.
La diaspora a payé un prix fort dans cette lutte et mérite un hommage spécial, pour sa présence constante auprès de son peuple, ses sacrifices personnels et financiers, ses perpétuelles innovations dans les formes de luttes contextuelles par l'introduction et l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication pour un nouveau destin.
OUSMANE est un timonier. En témoignent l'adhésion unanime de toute la classe politique progressiste et panafricaniste, au projet de société qu'il a piloté et proposé aux Sénégalais, à l'Afrique, l'acceptation par tout patriote Sénégalais ou Africain, de l'idée et de la perspective du sacrifice de sa propre vie dans l'intérêt des générations futures, ainsi que son génie qui lui a permis de faire passer la candidature de trois substituts aux élections présidentielles de demain et de faire accepter sans condition une adhésion pour l’élection de Bassirou Diomaye Faye son second dans le parti.
Son slogan Ousmane moy Diomaye, Diomaye moy Ousmane est passé comme lettre à la poste et est tenu comme vérité coranique.
Dans la matinée de demain, le Sénégal immortalisera sans nul doute son combat, en votant pour la rupture intégrale et sans condition d'avec le système actuel de domination et d'exploitation de l'étranger.
Le Sénégal devra voter pour la deuxième République, avec la refonte de toutes les institutions dont principalement notre justice balafrée qui demeure aujourd’hui le plus grand chantier des réformes, la révision dans la coopération internationale, le changement sans compromissions des hommes et du mode de gouvernance, de comportement ; le renouveau culturel et l'intégration dans des systèmes indépendants et progressistes.
Toutes les institutions de l'Etat s'étaient liguées pour empêcher la candidature de Ousmane Sonko = le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire, le Conseil constitutionnel.
La mésentente au sommet de ces institutions à eu à plonger le pays dans un chaos institutionnel dont l'épilogue n'est pas encore connue et pour laquelle toutes les intelligences lucides gardent toujours une certaine frayeur, un coup d'Etat électoral.
La deuxième République, c'est pour demain. Les Sénégalais ont le devoir de répondre à l'appel du Grand timonier Africain qui a consenti tous les sacrifices pour que Demain Soit.
L'espoir est que l'attente de demain et de ses suites soient sans regret, car entre les Sénégalais et Ousmane Sonko c'est un pacte de sang qui a été signé et chacun devra respecter ses engagements et obligations.
Les Sénégalais devraient rester vigilants, car c'est contre un système qui n'a pas encore abdiqué qu'ils se battent, prêts à refuser le hold-up électoral et la confiscation de leurs suffrages.
Chaque Sénégalais devra être une vigie et une sentinelle contre les bureaux de vote ambulants et mobiles, les abris provisoires de vote qui ne se justifient pas et empêcher le vote des étrangers des pays frontaliers avec un contrôle systématique des entrées aux frontières.
Ciré Cledor Ly Avocat
La Résilience d'un peuple et le Pacte, par Me Ciré Cledor Ly
Depuis les indépendances chimériques, le Sénégal a vécu ces cinq dernières années les moments les plus durs de son histoire. Des moments de répression intense, avec un régime politique sanguinaire qui a détruit tous les fondamentaux de l'Etat de droit et d'un système démocratique pourtant arrivé à maturité.
Le Sénégal a ainsi souffert dans sa chair et payé le lourd tribu d'une résistance héroïque à la tentative de maintien et de pérennisation d'une caste politico-judicaire ⁷au pouvoir, valet d'un impérialisme arrogant et décadent.
L’Afrique progressiste, décidée à arracher son indépendance politique, économique et culturelle, a pu admirer le courage et la détermination de la jeunesse Sénégalaise unie autour d'un leader Ousmane Sonko, qui leur a permis de connaître le sens de son combat: le combat contre un système qui est la contradiction principale à résoudre au prix de résilience , d'endurance, de souffrances et de don de soi.
La diaspora a payé un prix fort dans cette lutte et mérite un hommage spécial, pour sa présence constante auprès de son peuple, ses sacrifices personnels et financiers, ses perpétuelles innovations dans les formes de luttes contextuelles par l'introduction et l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication pour un nouveau destin.
OUSMANE est un timonier. En témoignent l'adhésion unanime de toute la classe politique progressiste et panafricaniste, au projet de société qu'il a piloté et proposé aux Sénégalais, à l'Afrique, l'acceptation par tout patriote Sénégalais ou Africain, de l'idée et de la perspective du sacrifice de sa propre vie dans l'intérêt des générations futures, ainsi que son génie qui lui a permis de faire passer la candidature de trois substituts aux élections présidentielles de demain et de faire accepter sans condition une adhésion pour l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar FAYE son second dans le parti.
Son slogan Ousmane moy Diomaye, Diomaye moy Ousmane est passé comme lettre à la poste et est tenu comme vérité coranique.
Dans la matinée de demain, le Sénégal immortalisera sans nul doute son combat,en votant pour la rupture intégrale et sans condition d'avec le système actuel de domination et d'exploitation de l'étranger.
Le Sénégal devra voter pour la deuxième République, avec la refonte de toutes les institutions dont principalement notre justice balafrée qui demeure aujourd’hui le plus grand chantier des réformes, la révision dans la coopération internationale, le changement sans compromissions des hommes et du mode de gouvernance, de comportement ; le renouveau culturel et l'intégration dans des systèmes indépendants et progressistes.
Toutes les institutions de l'Etat s'étaient liguees pour empêcher la candidature de Ousmane Sonko= le pouvoir exécutif,le pouvoir législatif,le pouvoir judiciaire, le conseil constitutionnel.
La mésentente au sommet de ces institutions à eu à plonger le pays dans un chaos institutionnel dont l'épilogue n'est pas encore connue et pour laquelle toutes les intelligences lucides gardent toujours une certaine frayeur, un coup d'Etat électoral.
La deuxième République, c'est pour demain. Les Sénégalais ont le devoir de répondre à l'appel du Grand timonier Africain qui a consenti tous les sacrifices pour que Demain Soit.
L'espoir est que l'attente de demain et de ses suites soient sans regret, car entre les Sénégalais et Ousmane Sonko c'est un pacte de sang qui a été signé et chacun devra respecter ses engagements et obligations.
Les Sénégalais devraient rester vigilants, car c'est contre un système qui n'a pas encore abdiqué qu'ils se battent, prêts à refuser le hold-up électoral et la confiscation de leurs suffrages.
Chaque Sénégalais devra être une vigie et une sentinelle contre les bureaux de vote ambulants et mobiles, les abris provisoires de vote qui ne se justifient pas et empêcher le vote des étrangers des pays frontaliers avec un contrôle systématique des entrées aux frontières.
Ciré Cledor ly Avocat
Déclaration de presse de son excellence M. le président Bassirou Diomaye Diakhar FAYE
Les adresses des CENTRES DE VOTE de la circonscription électorale de BORDEAUX pour l’élection présidentielle du dimanche 24 mars
🔺️BORDEAUX : Salle Quintin Loucheur
96 Rue de la Bechade 33000 Bordeaux
Accès : Tram A Arrêt Hôpital Pellegrin,
Bus 8 - 24 - 73 - 80 arrêt Charles Perrens
🔺️LIMOGES : SALLE Lucien Neuwirth Val de L’Aurence 11 Allée Maréchal Franchet D’Esperet, 87100 LIMOGES
🔺️POITIERS : FJT LE LOCAL Rue Saint-Pierre Le Puellier 86000 POITIERS
🔺️ PAU : SALLE DU PAVILLON DES ARTS
Boulevard des Pyrénées Place Royale 64000 PAU
🔺️ VOTER ET FAIRE VOTER au Sénégal
Pastef Les Patriotes - NouvelleAquitaine Pastef France - La page
Ousmane SONKO Bassirou Diomaye Faye L'officiel Coalition Diomaye Président
🇸🇳
Confirmation de son soutien de vive voix, conseils et prières !
Qu’Allah le garde parmi nous encore de nombreuses années.
Président Bassirou Diomaye Faye & Président Abdoulaye Wadez
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Bordeaux
Page d'informations et de communication du PCF 33
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I’m the girl who has her phone in her hands, headphones in her ears and that one guy on her mind.
Bordeaux
I’m very happy with my life. I am what I am. I don’t worry about anything that I can’t control. That’
Bordeaux
Parti politique municipal d'Outremont Autorisé par Bernard Cooper, agent officiel