Little Big Things - Podcast

Charles Degand est le président et cofondateur d’Angelsquare, une des rares sociétés à accompagner les startups dans leurs premières levées de fonds (pré-seed, seed, série A).

Quand il a fondé la société avec Balthazar de Menthon en 2016, les deux hommes étaient déjà connus dans l’écosystème des startups françaises.

Et pour cause, à la sortie de leurs études en 2012, ils avaient déjà créé le premier annuaire en ligne pour recenser les meilleures startups et business angels - FundMe.

Sans parvenir à trouver de business model, Charles et Balthazar ont malgré tout réussi à réunir autour d’eux une très grande communauté d’entrepreneurs de la Tech.

C'est comme ça que les deux amis ont décidé de lancer Angelsquare, pour mettre en relation les plus belles startups avec les meilleurs business angels.

L'idée est simple, aider les entrepreneurs à trouver des financements rapidement pour financer leur croissance.

À une époque où la mode était au crowdfunding, Charles Degand a choisi un autre modèle, celui de l'investissement intelligent, plus communément appelé dans le milieu « smart money ».

Autrement dit, un entrepreneur fortuné qui décide d’investir dans une startup en laquelle il croit en lui apportant son expertise et son carnet d’adresses, avec un ticket significatif autour de 50 000 euros.

Les dealmakers d’Angelsquare commencent par sélectionner les projets les plus prometteurs (environ 5 par mois sur 200 dossiers), puis aident les entrepreneurs à consolider leur documentation et à préparer leur pitch.

Une fois cette étape de qualification terminée, ils envoient ensuite la présentation du projet aux 500 business angels de leur communauté.

Ainsi, ils arrivent à lever auprès de ces derniers entre 300 000 et 10 millions d’euros avec un taux de réussite de 80% et dans des délais très courts.

En 8 ans, Angelsquare a déjà accompagné 500 startups avec quelques licornes en portefeuille.

Charles Degand, comme les investisseurs de sa communauté, ont la volonté de mettre en lumière des startups innovantes au business model solide et à la valorisation raisonnable.

Un peu à l’image de sa société finalement, une boite qui grandit progressivement et compte aujourd’hui plus de 10 collaborateurs.

Entre banque d’affaires et incubateur, Angelsquare est devenu un partenaire incontournable des jeunes startups et ambitionne de les aider sur toutes les levées de fonds jusqu’à la cession.

Devenu expert de cet univers complexe, Charles s'est forgé une idée bien précise des qualités qui déterminent ce qu'est un bon entrepreneur.

Ce qu'il nous partage d'ailleurs sans langue de bois dans cet épisode.

C’est clairement l’homme à écouter avant d’investir ou de lever des fonds 😊

Bonne écoute !

Caroline Mignaux est l’experte numéro 1 du Growth Marketing en France et fédère une vaste communauté autour de sa marque personnelle, un domaine où elle excelle.

Son esprit touche-à-tout et sa grande sensibilité l’ont conduite vers des études de psychosociologie puis de marketing.

Après un stage à New York, elle s’y installe et travaille pendant 8 ans dans différentes sociétés, du grand groupe à la startup.

C’est là qu’elle découvre le growth marketing, à l’époque où le terme n’est pas encore à la mode.

Forte de cette expérience, Caroline revient en France et lance Reachmaker, une place de marché pour automatiser les partenariats, notamment entre podcasteurs.

Elle devient surtout l’une des figures du marketing en France, d’abord sur LinkedIn puis sur Clubhouse, un réseau audio sans filtre qui valorise l’expertise, et enfin sur Instagram.

À chaque fois, elle construit une base solide de followers sur un réseau avant d’en choisir un nouveau en adoptant un angle inédit.

Comme lorsqu’elle lance son podcast Marketing Square en 2021, en faisant le pari de créer du contenu actionnable et ciblé.

Résultat, il devient le 1er podcast de marketing en France.

L’année suivante, Caroline Mignaux cofonde Refer, une plateforme dédiée à la prospection chaude permettant de cibler de potentiels clients et de les contacter de la façon la plus efficace possible.

Hyperactive, elle possède son propre studio de production dédié aux marques pour lesquelles elle conçoit des stratégies de communication et les met en œuvre.

L’année dernière, elle a également cofondé une agence dédiée aux créateurs qui souhaitent gagner rapidement des abonnés sur les réseaux sociaux - Agence Personnelle.

Quand elle ne crée pas des stratégies de branding ou de marketing, Caroline partage son expertise lors de conférences ou de formations.

Elle a même écrit un livre sur le Personal Branding « From Zero to Hero : bâtir son influence sur les réseaux ».

Tout cela fait de Caroline Mignaux la leader d’opinion qu’elle rêvait de devenir.

Intarissable sur tous les sujets en lien avec le marketing, elle ne perd jamais une occasion de donner des feedbacks constructifs.

L’écouter pendant deux heures, c’est gagner plusieurs années à tâtonner sur les réseaux sociaux 😊

Bonne écoute !

*** BONUS ***

Commentez LBT sous cette vidéo et on tirera au sort 3 personnes pour leur offrir le livre de Caroline « From Zero to Hero : bâtir son influence sur les réseaux ».

(C'était juste au cas où vous hésiteriez encore...)

El Mehdi Ouzgane est le cofondateur de Cure51, une startup visant à révolutionner le traitement du cancer.

Sa rencontre avec Nicolas Wolikow, alors qu’il était consultant, l’a mené à lancer ce projet ambitieux en 2023 aux côtés de Simon Istolainen.

Les trois hommes ont créé Cure51 en 2023 avec l’idée de mettre à profit la puissance des données et de l’intelligence artificielle pour guérir les cancers les plus incurables.

Des cancers qui n’offrent que 2% de chances de survie aux personnes qui en sont atteintes (cancer du cerveau, du poumon à petites cellules et du pancréas).

Cure51 adopte une approche inédite en s’intéressant aux miraculés, ceux qui survivent à ces cancers.

La startup essaye de comprendre les réactions biologiques qui permettent à ces miraculés de survivre.

En tant que directeur des opérations, El Mehdi collecte des données sur les survivants dans le monde entier et noue des partenariats stratégiques avec de nombreux centres d'oncologie à travers le monde.

À ce jour, il a réuni des informations sur 1 300 survivants dans 40 pays grâce à un réseau de centres de recherche partenaires.

El Mehdi a mis au point une plateforme technologique à laquelle les centres de recherche peuvent se connecter pour saisir les données cliniques de façon structurée.

Cure51 séquence également des échantillons de tumeurs et compare les données récoltées aux données générales sur les cancers, identifiant ainsi des marqueurs biologiques spécifiques.

L’objectif est de recréer chimiquement ces mécanismes de survie pour les appliquer à tous les patients atteints de ces cancers, et à terme, à tous les types de cancers.

Le nombre de personnes qui pourraient être sauvées par Cure51 est donc énorme !

Mais tout cela coûte très cher.

Il faut ainsi 5 000 euros pour récolter des données sur un seul patient miraculé.

Cure51 a déjà levé 15 millions d’euros auprès de fonds spécialisés et va continuer à lever de l’argent pour financer la recherche.

Au-delà des technologies de pointe, la startup s’appuie aussi sur une communauté de chercheurs qui partagent leurs avancées et de survivants qui donnent espoir.

Pour El Mehdi Ouzgane, l'ambition est de commercialiser les premiers médicaments d'ici deux ans.

Et il en est convaincu : Cure51 pourrait transformer l'avenir du traitement contre le cancer.

Bonne écoute !

Bruno Mendes Da Silva est le Cofondateur de Heex Technologies, une solution d'intelligence artificielle pour rendre les voitures autonomes.

Mais c’est avant tout un entrepreneur qui n'a pas froid aux yeux !

Cet ancien basketteur a côtoyé le haut niveau en centre de formation et il en a gardé un goût pour la compétition.

À seulement 22 ans, tout juste diplômé de l’ESSEC, il refuse un CDI chez Generali pour créer sa première entreprise dans le domaine de la location de véhicules électriques.

Bruno part alors vivre dans la Silicon Valley aux États-Unis où il rencontre des ingénieurs, pour finalement réorienter son projet.

Car ces ingénieurs ne cherchent pas à rendre la voiture plus écologique, mais plus intelligente… et ils font face à de nombreux défis !

Bruno Mendes Da Silva va alors tenter de les aider avec son regard neuf, sans background tech.

Il présente ses premières idées à un fonds d’investissement qui le met en contact avec Arnaud de la Fortelle, l’un des 2 000 plus grands chercheurs de l’histoire de France.

Bruno parvient à convaincre ce chercheur international, directeur du centre de robotique de l’École des Mines, de rejoindre l’aventure.

En 2019, ils fondent Heex Technologies et commencent à plancher sur une offre de service pour les fabricants de véhicules autonomes.

Des véhicules qui doivent collecter des données sur leur environnement en permanence afin de pouvoir réagir à chaque situation en fonction de leur base de connaissances.

Le problème, c’est quand ils rencontrent une situation extrêmement rare voire inédite, un « edge case ».

Afin de traiter ces cas, l’IA de la voiture autonome doit emmagasiner un nombre gigantesque de données, ce qui pose des problèmes de stockage, de puissance de calcul et d’écologie.

Heex Technologies résout ces problèmes en aidant l’IA à cibler les « edge cases » grâce à un ensemble de paramètres.

La startup automatise la récupération de données, leur tri et leur distribution dans les bons serveurs auprès des bons opérateurs.

Une technologie qui pourrait servir dans de très nombreuses industries utilisant l’IA (trains, robots, drones, etc.).

Il suffira à l’industriel concerné de payer pour utiliser le logiciel Heex en personnalisant les paramètres selon les spécificités de son industrie.

Autant dire que le potentiel de cette technologie est énorme, et que les investisseurs ne s’y sont pas trompés, Heex Technologies ayant déjà levé plus de 10 millions d’euros en 3 ans.

Et ce n’est que le début…

Bonne écoute !

Melody Madar est la fondatrice de l’un des plus gros médias féminins français, Les Éclaireuses.

Elle s'associe en 2014 avec son amie Chloé Sabban pour bousculer les codes d'une industrie occupée depuis toujours par les géants du secteur.

Elle, Marie-Claire, Version Femina, ou encore Madame Le Figaro, ont-elles été naïves de s'attaquer à de telles mastodontes ? Ou avaient-elles déjà en tête une stratégie bien précise pour gagner des parts de marché face à eux ?

Un pari fou quand on décide de partir avec seulement quelques idées en tête à 23 ans et un petit blog WordPress.

Cela ne les empêchera pourtant pas de convaincre plusieurs investisseurs et de lever 300 000 euros 1 an plus t**d.

Grâce à leur esprit créatif et une parfaite utilisation des réseaux sociaux, les deux copines d'enfance vont très vite réaliser plusieurs millions de vues par mois et cumuler plus de 8 millions d'abonnés.

Elles se retrouvent à la tête d’une équipe d’une soixantaine de personnes et d’une entreprise rentable.

Mais Melody Madar ne s’arrête pas là !

Jamais à court d'idées, elle a aussi créé le podcast « C’est qui la boss ? » et le festival du même nom pour donner la parole à des femmes inspirantes.

Toujours dans cette volonté d’émanciper les femmes, elle a même fondé un incubateur dédié pour soutenir leurs projets entrepreneuriaux.

À force de travail, Melody Madar est ainsi devenue l'une de ces rares femmes inspirantes dans un monde d'entrepreneurs au masculin.

Si vous êtes une femme et que vous voulez entreprendre, cet épisode est fait pour vous 🙂

Bonne écoute !

En quelques années, Sidney Rostan est devenu l’expert numéro 1 du Biomimétisme en France.

Le principe de cette approche est d’observer comment fonctionnent les organismes vivants pour s’en inspirer et innover.

Par exemple, observer comment les poissons des abysses captent la lumière pour mieux éclairer des immeubles grâce à la lumière naturelle.

Sidney Rostan a découvert cette manière d’innover alors qu’il étudiait à l’EM Lyon et travaillait dans la recherche pour l’industrie automobile.

Se découvrant une passion pour le biomimétisme, Sidney en fait le sujet de son mémoire.

Une fois son diplôme en poche, il met à profit ses recherches en créant Bioxegy et commence par proposer des formations aux entreprises.

Devant l’engouement pour cette approche, il passe à la vitesse supérieure et s’associe avec son ancien coloc, Simon de Myttenaere.

L’objectif de Bioxegy devient alors de développer des innovations pour de grands groupes industriels en s’inspirant du vivant et en transposant les travaux des biologistes.

Rapidement, le bureau d’étude de deux amis se fait un nom et une place sur le marché émergeant du biomimétisme.

Bioxegy rencontre le succès en s’appuyant sur l’excellence de ses ingénieurs issus de grandes écoles et en répondant aux problématiques de ses clients avec un taux de succès largement supérieur à la moyenne.

Si le marché du biomimétisme devrait peser 430 milliards de dollars à l’horizon 2030 rien qu’aux États-Unis, c’est que son potentiel est énorme.

En effet, cette approche innovante peut compter sur 3,8 milliards d’années de R&D puisque les êtres vivants qui nous entourent se sont adaptés aux conditions de vie sur Terre en optimisant leur fonctionnement.

Si l’Europe est à la traine sur le sujet comparé aux États-Unis et à l’Asie, Bioxegy entend combler ce ret**d.

L’entreprise créée par Sidney Rostan a déjà déposé plusieurs brevets et double son CA chaque année. Et tout ça, sans lever le moindre centime !

Sidney est devenu une figure médiatique et un ambassadeur du biomimétisme.

Il est intarissable sur la richesse du vivant et la source d’innovation infinie que représente la nature.

Bonne écoute !

Stephan Français est à la tête du premier fabricant français d’ordinateurs portables, Thomson Computing.

Et ce n’est pas un hasard s’il a réussi là où beaucoup d’entrepreneurs ont échoué, sur un marché du hardware trusté par les géants américains et chinois.

Stephan Français est en effet le fils d’un ingénieur chez Thomson, une entreprise d’électronique et d’électroménager française qui a tenté en vain de s’imposer sur le marché des ordinateurs dans les années 1990.

Lui-même fabrique des PC avec ses copains quand il est ado avant de devenir vendeur pour la célèbre chaîne de magasins informatiques Surcouf pour payer ses études en sciences politiques.

S’il ne termine pas son doctorat, c’est que vendre des ordinateurs lui plait davantage.

À force de travail, il gravit les échelons et devient le Directeur achats de Surcouf, avant de quitter le groupe pour créer sa propre entreprise de distribution d’accessoires informatiques.

Une société qu’il dirige pendant 10 ans avant de se lancer dans un projet un peu fou, la fondation d’un géant français de l’informatique.

Il décide alors de racheter et relancer le département informatique de Thomson pour seulement 30 000 euros.

On est en 2013 et Stephan met au point un concept singulier, proposer des ordinateurs équipés des dernières technologies à des prix imbattables.

En dix ans, Thomson devient le leader des ordinateurs à moins de 300 euros.

La marque est même entrée en bourse avec une valorisation de 100 millions d’euros !

Dans le même temps, Thomson a relocalisé une ligne de production et son service après-vente en France, car Stephan Français est un fervent défenseur du patriotisme économique.

S’il a réalisé son rêve de créer un géant français de l’informatique, Stephan n’a ainsi jamais perdu de vue ses valeurs, de travail et de respect.

Et justement, ça force le respect.

Bonne écoute !

Michael Holzmann est le co-CEO de Wethenew, la plateforme spécialisée dans la revente de baskets en édition limitée.

C’est lors d’un été à Paris avec David Benhaïm qu’il décide de créer un site dédié à la vente de sneakers.

Les deux amis de prépa veulent arrondir leurs fins de mois en mettant à profit leur passion commune pour la culture urbaine.

Ce qui n’était qu’un projet d’école de commerce va devenir une entreprise à plus de 100 millions d’euros de CA en seulement 3 ans !

À l’époque, il n’existe que Leboncoin pour acheter et revendre des baskets en édition limitée.

En lançant Wethenew en 2018, Michael propose une expérience totalement différente, beaucoup plus fluide et rapide avec certains envois en 24h.

En 1 an, ils atteignent 1 million d’euros de CA et fournissent tous les joueurs de la ligue 1 de football.

Tiers de confiance pour les revendeurs pros ou amateurs, Wethenew est devenue la marketplace de référence pour les baskets en édition limitée.

Michael vient même de réaliser un rêve d’ado en ouvrant 3 corners dans les galeries Lafayette.

À seulement 29 ans, il est à la tête d’une entreprise de 120 personnes suivie par 1 million de personnes sur Instagram.

Avec un branding ultra travaillé, Wethenew se développe déjà en Europe et s’ouvre à de nouveaux produits comme le streetwear.

Michael Holzmann a réussi son pari de rendre accessible à tous une culture urbaine pointue, sans rien perdre de sa passion.

Bonne écoute !

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Wethenew vous offre 15 euros de remise grâce au code promo LBT15 sur votre premier achat et pour les 50 premiers 🤩

(C'était juste au cas où vous hésiteriez encore...)

Guillaume Moubeche est le CEO de Lemlist, un outil de prospection commerciale par email personnalisé.

Une entreprise déjà valorisée plus de 150 millions de dollars !

Pourtant, rien ne le prédestinait à un tel succès quand on regarde son premier business de vente de tee-shirts lancé avec son père qui ne générera pas plus que quelques milliers d’euros de CA.

Diplômé de HEC, Guillaume est connu pour son franc-parler et pour sa volonté de remettre les vraies valeurs de l’entrepreneuriat au cœur des débats.

En effet, pendant que beaucoup d’entreprises levaient des dizaines voire des centaines de millions d’euros, lui développait son entreprise sur fonds propre doucement mais sûrement.

C’est en 2017 que Guillaume décide de lancer Lemlist en s’associant avec deux développeurs et 1 000 euros en poche.

Ensemble, ils mettent au point un logiciel d’envoi d’emails personnalisés et automatisés pour acquérir de nouveaux clients.

Avec son design épuré et ses fonctionnalités innovantes, Lemlist s’impose rapidement comme le leader du marché de la prospection par email en Europe et aux US.

Au fil des années, Lemlist deviendra une entité de son Groupe Lempire aux cotés de Lemware (outil pour optimiser la délivrabilité des emails), Lempod (outil pour booster le reach de ses posts Linkedin), mais également Taplio et Tweet Hunter pour améliorer ses performances sur Linkedin et Twitter.

L’extension Lempod sera finalement bannie de Linkedin, tout comme le profil de Guillaume Moubeche, après avoir fait trembler le géant Américain.

Sans le moindre financement, Guillaume a réussi avec Lempire à créer un business très rentable qui génère plus de 25 millions de revenus annuels récurrents (ARR).

À 32 ans, Guillaume Moubeche est un entrepreneur accompli qui œuvre au quotidien pour transmettre tout son savoir aux entrepreneurs en quête de conseils !

Un entrepreneur dont vous allez continuer d’entendre parler 😊

Bonne écoute !

Caroline Jurado est une jeune entrepreneuse de 31 ans qui a lancé seule la première Newsletter dédiée à la Crypto en France !

Elle est également l'influenceuse Crypto la plus connue en France avec plus de 200 000 abonnés sur les réseaux sociaux.

Sa newsletter Les cryptos de Caro, suivie par plus de 60 000 personnes, répond chaque semaine aux questions les plus fréquentes de ses abonnés.

Son objectif, rendre accessible l'univers complexe du Web3 et accompagner les néophytes à comprendre les rouages de cette nouvelle industrie.

Attention, Caroline n'en est pas à son premier coup d'essai, elle a déjà fondé deux boites par le passé qu'elle a toujours réussi à bien revendre.

Malgré les critiques d'une communauté Web3 masculine peu clémente, la Queen de la Crypto s'est toujours montrée très résiliente.

En effet, pendant que ses haters passent leur temps à la critiquer, Caroline suit son chemin en connaissant un succès fulgurant !

Son business model est simple, elle vend des publicités à des annonceurs sur ses réseaux sociaux et sa Newsletter.

Et elle vend des formations spécifiques pour démarrer dans la Crypto en évitant les pièges dans lesquels nous sommes tous tombés quand on a commencé.

Au total, Caroline Jurado réalise 1 million d’euros de CA, le tout en solo depuis son salon 🙂

Une stratégie gagnante qui devrait mettre Caroline à l’abri du besoin pour longtemps, la preuve que ses conseils ne sont pas à prendre à la légère.

Bonne écoute !

Paul Lê est à la tête de la première foodtech de France à être rentable !

Une belle récompense pour cet entrepreneur de 41 ans, qui a grandi et vit toujours à Évry.

Fils de restaurateurs, ses parents lui enseignent très tôt le sens du service client.

Il en garde l’idée qu’ « une bonne entreprise c'est une entreprise avec des clients heureux ! »

En 2015, il décide de créer La Belle Vie avec son associé Alban Wienkoop pour s'attaquer au marché de la livraison de courses à domicile.

Un marché concurrentiel de 1 milliard d'euros, qui a vu naitre et disparaitre de nombreuses entreprises ces dernières années.

En effet, entre la gestion des stocks, la logistique et la livraison, personne n'a jamais réussi à résoudre cette équation complexe pour atteindre la rentabilité avant lui.

Pour arriver à maitriser ce système complexe, Paul et Alban font le pari de la tech et mettent au point leurs propres logiciels logistiques.

La Belle Vie capte progressivement 10% du marché, compte réaliser plus de 100 millions d'euros de CA cette année et fini par racheter l'un de ses principaux concurrents, Frichti.

En quelques années, Paul et Alban ont révolutionné le monde de la livraison de courses et envisagent même d'ouvrir un jour des supermarchés !

Paul Lê y a cru depuis le début, même quand les investisseurs lui tournaient le dos.

Aujourd'hui il récolte et partage le fruit de son travail (avec toujours beaucoup d'humilité).

Bonne écoute !

*** BONUS OFFERT PAR LA BELLE VIE ***

La Belle Vie vous offre 10 euros de remise sur votre première commande (à partir de 50 euros d'achat) grâce au code promo LBT10 🤩

(C'était juste au cas où vous hésiteriez encore...)

Jérôme Goudard est aujourd’hui l’un des avocats pénalistes les plus en vue de la place parisienne.

Pourtant, comme il le dit lui-même, rien ne le prédestinait à devenir pénaliste.

Travaillant au départ pour de grands cabinets anglo-saxons de droit des affaires, il s’est découvert une passion pour le droit pénal sur le t**d. Mais, à l’époque, il n’a aucune expérience dans le domaine et peine à se faire sa place.

Alors, à tout juste 30 ans, il décide de créer son propre cabinet et c’est en tant que commis d’office qu’il défend ses premiers clients.

Progressivement, on lui confie des dossiers plus sérieux et plus médiatisés : grand banditisme, trafics de stupéfiants, assassinats.

En 2018, l’une des personnes les plus recherchées d’Europe lui demande même d’assurer sa défense. Il s’agit de David Gras, en cavale depuis 7 ans pour plusieurs braquages à main armée, qui décide de se rendre de son plein gré.

Convaincu que chacun a le droit à une défense, Jérôme Goudard nous parle de cette histoire incroyable et d’un quotidien dans lequel il côtoie des criminels, voire des sociopathes.

Un quotidien pas comme les autres qu’il documente à travers les réseaux sociaux.

Au cours de cette discussion passionnante, le pénaliste nous explique le fonctionnement du système judiciaire et son rôle en tant qu’avocat pénaliste.

On découvre un métier dont on entend beaucoup parler, mais que l’on connait peu.

Un métier qui demande de l’empathie, de la passion et, évidemment, une grande éloquence.

Il suffit d’écouter Jérôme Goudard pour constater qu’il n’en manque pas…

Bonne écoute !

Owen Simonin est un influenceur, youtubeur, gamer, hackeur, bref un autodidacte surdoué mais surtout un jeune entrepreneur qui n’a pas froid aux yeux.

À seulement 24 ans, Owen a déjà eu à gérer plus de 500 000 000 euros d’actifs numériques pour le compte de tiers.

Oui, vous avez bien lu, un demi-milliard d’euros !

Et ça, c’est grâce à son don pour trouver les failles du système et en profiter. Encore mineur, Owen dirige déjà une équipe de 40 personnes pour administrer un serveur virtuel de 120 000 joueurs sur le jeu Minecraft.

Puis, alors qu’il étudie à l’EDHEC, Owen lance sa chaine YouTube « Hasheur » pour décrypter les concepts de la blockchain et des cryptomonnaies.

Une chaine qui cumule aujourd’hui plus de 600 000 abonnées et fait de lui l’un des plus gros influenceurs dans le domaine des cryptos ! Mais Owen est aussi un entrepreneur à succès.

Avec son frère William, ils ont eu l’idée un peu f***e de créer la première machine de minage pour particuliers. Le minage (Proof-of-Work) permet de gagner des cryptomonnaies en fournissant de la puissance de calcul pour valider des transactions sur la blockchain.

Depuis, les deux frères ont changé de modèle économique en optant pour le Proof-of-Stack, qui consiste à accumuler des cryptomonnaies pour sécuriser le réseau et en gagner davantage.

Leur entreprise Just Mining est devenue Meria, une plateforme sur laquelle on peut acheter, stacker, ou louer des cryptomonnaies.

C’est ainsi qu’ils ont pu gérer jusqu’à 500 millions d’euros d’actifs en 2021 !

D’hackeur à « Hasheur », d’ado surdoué à influenceur aux centaines de milliers d’abonnés, Owen Simonin nous raconte son parcours fulgurant.

Bonne écoute !