Valentonine.fr

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Cette page présente la réponse du Pr Jean-Bernard Fourtillan concernant "l'essai clinique sauvage"

09/11/2019

2ème témoignage de Betty n°147 :
Mon mari a été hospitalisé, étant très mal. 5 jours après son hospitalisation, nous avons reçu quelques patchs inespérés.
Le soir même, je lui ai mis le demi-patch.

Le lendemain matin, en allant le voir, il était "ragaillardi", et c'est la première fois qu'il ressentait enfin un début de bien-être, un moment de paix, de sérénité en lui. Ce sont ses propos. Et à chaque fois qu'il met le patch, il se sent mieux et il est présent. Il retrouve son humour et est moins perdu.

Les enfants aussi m'ont dit, avec beaucoup de prudence, car tout le monde a peur que les patchs ne soient plus délivrés (car c'est une souffrance familiale cette histoire) : "il est mieux papa quand il a le patch !".

Alors que le médecin semblait fier de me dire "votre mari n'ira jamais plus mieux et cela ira en empirant chaque jour", les infirmières m'ont dit : "Qu'avez-vous fait à votre mari ? Ce n'est plus le même. Il n'est pas grabataire alors ?". Depuis, il est sorti de l'hôpital.

Vous ne pouvez imaginer la force et le bien que cela fait, et le désespoir d'être avec un dernier patch que l'on coupe en quatre et que l'on donne tous les deux jours pour tenir le plus possible, encore et encore...
Quelle hérésie que ce blocage ! Alors que dans cette découverte, il y a tellement « d'incroyable » et de bon sens !

Merci pour votre ténacité et votre courage, Jean-Bernard et tous ceux qui vous entourent. Merci !

Retrouvez d'autres témoignages : https://www.facebook.com/groupemaluval/

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Témoignages des malades ayant essayé les patchs 09/11/2019

Témoignage n°41 de Betty C. :
A tous ceux qui prendront la peine de lire, particulièrement à toutes les autorités dites compétentes !

Mon mari est diagnostiqué "Parkinson" après 5 ans de recherche et de vide médical.
Nous recevons comme un coup de poignard la nouvelle donnée avec beaucoup de froideur (de la même façon que lorsqu'on va faire peser une lettre à la poste !) :
- Neurologue : « Voilà, vous avez Parkinson. Vous ne mourrez pas de cette maladie mais aucun médicament actuel ne vous guérira. Par contre, les effets secondaires de ces médicaments peuvent être très néfastes, il est important que vous le sachiez ».
- Nous : « Ah ! c'est-à-dire ? ».
- Un défilé d'exemples d'effets secondaires noie mon cerveau.
- Nous : « Mais vous êtes sûre que c'est Parkinson ? »
- Neurologue : « Non, mais d'abord il prend les médicaments que je vous prescris et on verra par la suite, en fonction de ses réactions... »
- Nous : « Mais c'est quoi Parkinson ? »
- Neurologue : « Oh ! une maladie neurologique dégénérative. Demandez à votre médecin traitant, moi là je n'ai pas le temps de vous répondre ! Vous pouvez regarder sur Internet aussi... Bien, on se revoit dans 3-4 mois. Prenez rendez-vous avec ma secrétaire ».
- Nous : « Ah ! » a-t-on répondu, interloqués, secoués, apeurés, vides de tout... La nouvelle est tombée...
Mon mari et moi sortons du cabinet, hagards et perdus... Séance de 12 mn.
12 mn pour vous annoncer que vous n'avez aucune solution, que votre vie va changer...
Et comment expliquer aux enfants... et tous nos projets qui tombent à l'eau en 12 mn...
La solitude, le désarroi, la perte de tout repère, les larmes qui coulent sans cesse, en cachette, car moi sa femme, son épouse, moi qui me bat pour tout, là j'ai peur, sans réaction, perdue...
Personne pour nous soutenir dans ce désert humain médical.... Rien, le grand vide...

Nous rentrons... Quelques semaines suivent avec les médicaments prescrits : MODOPAR... Rien ne va, c'est de pire en pire, pas d'amélioration...

On reprend rendez-vous :
- Neurologue : « Bon, on va rajouter du REQUIP et on va faire un PET SCAN »...
Pet Scan confirmerait Parkinson. Encore de nouveau, le traitement n'a aucun effet positif...

On change de Neurologue car aucun contact possible avec celui-là, il ne parle presque pas.
Nouveau Neurologue renommé spécialiste Parkinson de toute notre région (pour un rendez-vous, il a fallu compter 3 mois d'attente) : on est confiant, on y va avec l'espoir d'un meilleur : mon mari depuis a perdu plus de 20 kg, il est fatigué.
Il est censé passer la journée pour faire toutes les analyses, prélèvements, etc. et vérifier l'état de mon mari (physique et psychologique).
Ils se sont trompés et nous avons 15 mn d'entretien après 5 h d'attente (ils nous avaient oubliés).
- Neurologue : « Enlevons REQUIP de suite ! Ce n'est pas bon du tout pour votre mari ! ».
Remplacé par AZILEC, baisse de MODOPAR car il serait surdosé... L'état de mon mari se dégrade : je n'ai jamais vu d'amélioration depuis qu'il prend son traitement ; et un jour de fièvre, il se trouve aux urgences à l'hôpital car il a perdu tous ses repères, il est comme une larve, sans force, énurétique, avec des hallucinations. Il arrive à peine à marcher !

Diagnostic à l'hôpital par le Neurologue et ses acolytes au bout de 48h :
- Neurologue : « Il faut arrêter AZILEC, surdosé en MODOPAR et peut-être Corps de Lewy. Donc, on va rajouter, si vous pouvez le payer, un médicament que l'on donnait aux personnes atteintes d'Alzheimer (mais qui n'est plus remboursé aujourd'hui). ».
- Nous : « Ah ! Et quels effets tout cela sur mon mari ? Pourquoi, etc... »
- Neurologue : « Ecoutez, les effets ne vont pas être bons mais ce sont les seuls traitements que nous connaissons ».
- Nous : « Et par le fait qu'il est beaucoup maigri sans raisons apparentes ? »
- Neurologue : « Nous allons lui donner des compléments alimentaires. Mais sachez qu'à partir de maintenant, sa vie, son corps, tout va se dégrader, pas à cause de la maladie mais des effets secondaires des médicaments. Nous allons chercher un lieu de rééducation pour qu'il puisse avoir un kiné, une orthophoniste, une psychologue. Vous allez rencontrer l'assistante sociale qui va tout vous expliquer ; vous allez avoir besoin d'aide. Cela va être de plus en plus difficile. »
Bref en 48 h, on me propose l'enfer ! Sans grande préoccupation humaine !... Je rentre seule à la maison.
Mes pensées, mon cerveau tourbillonne. Je reprends une à une toutes mes recherches sur Parkinson et il y en a : pas que françaises, canadiennes, américaines, anglaises, italiennes, espagnoles, même japonaises... Et tout d'un coup, un éclair !

Le Professeur Joyeux, ce grand Monsieur si humain et si simple, qui à Montpellier, il y a 42 ans, a guéri ma maman d'un cancer du sein avec simplicité, professionnalisme, attentionné et humain dans cette période si difficile. Je recherche ses coordonnées sur internet et je les retrouve avec beaucoup d'informations super intéressantes ! Et c'est ainsi qu'en fouillant, je tombe sur une vidéo présentant la découverte du Professeur Fourtillan... et de fil en aiguille, de recherche en découverte, je trouve cela super intéressant. Je potasse, je potasse, je vérifie, et... Mais c'est à la fois formidable et logique ! Car le problème du sommeil est récurrent depuis plus de 10 ans chez mon mari.
Alors, j'écris au Fonds Josefa car oui, je veux souscrire aux patches de Mr Fourtillan !
J'en parle bien entendu au fur et à mesure à mon mari. J'avais déjà dévoré le livre du Dr Dale Bredesen : le protocole ReCODE ou la fin d'Alzheimer, le premier programme qui prévient et inverse le déclin cognitif. Tous les médecins, neurologues à qui j'en ai parlé ne s'y intéresse pas. Seuls les patients s'y intéressent.

Le désarroi dans lequel nous sommes, patients et aidants, et dans lequel tous ses biens pensants médecins et autres, ne nous donnent pas la faculté d'être stupide. Peut-être même est-ce le contraire : le vide médical nous oblige à nous retrancher vers la recherche de la compréhension, du pourquoi, du comment et de comment c'est ailleurs, etc... Je me sens un peu comme Augusto Odone, le père de Lorenzo, film de Georges Miller qui décrit si bien le désarroi et l'envie de se battre au-delà et contre tous.

Mais je ne suis pas au cinéma, mais bel et bien dans la réalité ; je peux parler avec le Professeur Fourtillan et il nous envoie les informations.

Nous prenons le temps de tout lire et remplissons la fiche d'inclusion dans lequel on nous demande les coordonnées du médecin traitant et du neurologue... Bref ! Nous attendons avec impatience de pouvoir essayer le patch.

Et là, nous recevons enfin l'invitation à aller à Poitiers : et voilà ce qu'il nous est arrivé : nous sommes arrivés dans une Abbaye, une réception d'une simplicité et d'une gentillesse qui font du bien !
Nous manquons tellement de cette simplicité et gentillesse dont font preuves avec sincérité et sans contrepartie les professeurs Joyeux et Fourtillan.
Nous sommes invités à manger un repas simple mais servi par les sœurs et par eux-mêmes (le professeur Joyeux n'était pas là). Nous parlons tous ensemble, faisons connaissance.
Puis Mr Fourtillan nous explique sa découverte, etc... Puis nous allons nous coucher.
Une prise de sang dans la nuit. Et le matin, un petit déjeuner offert.

Je précise : nous n'avons rien réglé, on ne nous a rien demandé. Le seul bémol est que nous ne pouvons pas encore avoir le patch car il y a eu un re**rd dans la fabrication. Bref nous repartons rassurés et impatients...

La colère n'est pas bonne mais là, je suis en colère lorsque j'ai entendu aux informations les renseignements sur le Professeur Joyeux et le Fonds Josefa ! L'Etat voudrait nous empêcher de tester une découverte formidable, alors que lui-même n'est pas capable de nous donner un seul espoir !!

De quel charlatanisme parlez-vous !! De quel argent parlez-vous !! La générosité de Mr Fourtillan est sans faille. Et oui, il considère qu'il a eu une révélation mais pas comme un illuminé, un gourou qui n'y connait rien et qui essaye d'ameuter des gens autour de sa cause pour ramasser de l'argent.
Non ! C'est à force de recherches qu'il y a eu une « éclaircie » considérée comme une révélation. Mais après, la signification des mots est différente en fonction des personnes. La ferveur à aider les gens chez Mr Joyeux et Mr Fourtillan est telle que les mots ont pris le sens de leur propre ferveur.
Mais la « révélation » de Mr Fourtillan est étayée de recherches scientifiques et mesurée avec tout le professionnalisme et les connaissances dont il a su et sait faire preuve. Mais il croit en Dieu aussi et c'est sa force. Mais il ne nous a jamais imposé ses croyances. Chacun est libre.
Pourquoi avoir choisi une abbaye : parce que les sœurs nous accueillent avec simplicité, discrétion, chaleur humaine et à des tarifs intéressants, d'autant plus que l'on nous a invité gracieusement, nous n'avons rien eu à payer.
Alors, expliquez-moi vous tous qui soi-disant êtes offusqués et voulez savoir le faux du vrai, qui ferait cela aujourd'hui pour vous aider ?
Parce que c'est dans une Abbaye, que derrière une Abbaye il y a une religion, les protagonistes de ces proclamations médiatiques ont érigé cela comme au Moyen Age, et les accusations sont tellement ignominieuses pour nous, et totalement exagérées.
Mais Il y aurait tant à dire sur les protagonistes, n'est-ce pas Madame La Ministre ? Madame la Ministre, si vous lisez ces mots, pourquoi ne vous insurgez-vous pas plus que ça sur les médicaments que l'on donne à ceux qui souffrent en leur disant que les effets secondaires sont plus pervers que les effets de la maladie !!
Vous nous demandez de faire attention ?! Foutaises, les résultats par le patch sur mon mari depuis seulement 11 jours sont concluants : pour la première fois depuis des années, il commence à aller mieux, il parle mieux, dort mieux. Et Mr Fourtillan n'a pas, n'a jamais demandé d'arrêter les traitements MODOPAR et autres. Jamais !! Et si mon mari arrête progressivement et doucement, en remplaçant par d'autres substances plus douces et moins nocives, c'est son choix. Et nous avons le choix. Nous sommes libres et souhaitons le rester.
De l'argent, il ne nous en a pas demandé. Mon mari a reçu ses premiers patches gracieusement, car il est vraiment mal et Mr Fourtillan a cœur à vouloir l'aider. Je donnerais ce que je peux à la Fondation pour continuer à aider dans les recherches mais il n'y a absolument aucune volonté de profiter de la faiblesse des gens, Mr Fourtillan nous explique combien cela coûte. Et nous faisons si nous pouvons ce que nous pouvons.
En entendant et lisant les mots de la presse, je me suis sentie insultée : non, je ne suis pas quelqu'un de faible et je ne me laisse pas faire dans la vie. Encore moins lorsqu'autour de moi, mes proches sont malades. Je suis tellement méfiante sur tout ce qui est médecine et recherche que je m'insurge lorsque l'on me traite de faible.
Lorsque le Professeur Neurologue dont je tairais le nom m'a dit : « Avez-vous les moyens de payer le médicament qui vient d'être déremboursé de la sécurité sociale ? » j'ai dit : « Oui, j'ai les moyens mais non, je n'en veux pas pour mon mari car cela va le détruire encore plus et ne lui apporter aucun bien ! ».
Et là, aucun article de presse accusateurs !?
Non, je ne suis pas faible et je suis capable de reconnaître un manipulateur d'un sincère. Et Mr Fourtillan est un être empli de sincérité et de droiture. Arrêtez de l'embêter et laissez-nous tranquille. Nous sommes libres !!
Mr Fourtillan et Mr Joyeux ne sont absolument pas des charlatans, bien loin de là. Ou alors, s'il y a charlatanisme, ma maman a pu vivre en bonne santé pendant bien longtemps grâce au professeur Joyeux. Alors, cela me convient.

Je suis prête à témoigner par ma personne sans aucun souci et mon mari aussi.

Allez, un peu de bon sens et de gentillesse !!
Betty C[…]

Retrouvez d'autres témoignages sur le site Valentonine.fr : https://www.valentonine.fr/fr-fr/temoignages.html

Témoignages des malades ayant essayé les patchs Témoignages des malades ayant participé aux Recherches du Pr Jean-Bernard Fourtillan Bonjour à vous, cette page a pour but de regrouper les témoignages directs ou indirects (conjoint(e), enfant..) des malades ayant testé les patchs et/ou participé simplement à l'expérimentation pour un dosag...

06/11/2019

L'association MALUVAL a pour objet de permettre à toutes personnes intéressées par les maladies d’origine neurodégénératives, qu’elles en souffrent ou non, de soutenir l’utilisation à des fins thérapeutiques des patchs transdermiques contenant les hormones dénommées Valentonine (VLT) et 6-Methoxy-Harmalan (6-MH). Ce soutien s’entend le plus largement possible et pourra prendre toutes les formes adéquates.

Cette association compte aujourd'hui plus de 460 adhérents. Elle est le moyen nécessaire pour porter notre parole et pour lutter ensemble afin de lever très rapidement l’interdiction des patchs qui met les malades en danger.

Nous vous rappelons que l'adhésion à cette association est gratuite. Nous comptons donc sur vous : plus l’association sera forte, plus sa voix sera entendue !

Pour adhérer : https://www.helloasso.com/associations/maluval/adhesions/formulaire-d-adhesion

- Vous pouvez aussi retrouver l'association MALUVAL sur Facebook : https://www.facebook.com/groupemaluval/

- Vous pourrez retrouver sur le site Valentonine.fr plus de 145 témoignages de malades ayant essayé les patchs (ou leurs proches) : https://www.valentonine.fr/fr-fr/temoignages.html

- Le site Valentonine.fr vous permettra aussi de comprendre les enjeux de cette découverte importante et tout l'espoir que nous avons dans ces patchs VLT/6-MH ! : https://www.valentonine.fr/fr-fr/la-decouverte/presentation-de-la-decouverte.html

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03/11/2019

3ème témoignage d’Anne-Marie (témoignage n°142) :

Au secours Mme Buzyn, mon mari va de plus en plus mal, il se meurt dans des souffrances physiques et psychologiques terribles.

Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

Pitié dépêchez-vous, autorisez les patchs pour éviter cet assassinat.

Témoignages des malades ayant essayé les patchs 03/11/2019

Témoignage n°9 de Catherine :
TEMOIGNAGE EN FAVEUR DU PROFESSEUR JEAN-BERNARD FOURTILLAN ET DU PROFESSEUR HENRI JOYEUX

Je, soussignée, Catherine […], âgée de 62 ans, domiciliée au […], saine de corps et d’esprit, déclare faire ce jour, lundi 30 septembre 2019 à 7h38, le témoignage suivant en faveur du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN et du Professeur Henri JOYEUX :
En juin 2012, je suis diagnostiquée Maladie de Parkinson et traitée par Azilect, avec, en 2013, un complément de Requip et enfin, en 2018, un rajout de Modopar.
Le 1er avril 2017, j’assiste à une conférence, à Montpellier, sur « La pensée de l’homme crée-t-elle ses maladies » avec la participation des Professeurs Fourtillan et Joyeux, où ils divulguent, pour la première fois, au grand public, la découverte du Professeur Fourtillan sur le dysfonctionnement du système veille-sommeil et de la glande pinéale dans les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, ainsi que dans la dépression et l’insomnie.
Les questions fusent et bien sûr, celle de la date de mise sur le marché de ces patchs transdermiques : les deux Professeurs déclarent que cela ne pourra pas se faire avant des tests et des essais cliniques.
Devant la pression du public qui demande à participer à la phase de tests, il est demandé aux personnes intéressées de s’inscrire à l’issue de la conférence et qu’une confirmation d’inscription leur sera envoyée en temps voulu.
A la sortie de la conférence, je me précipite pour faire partie de ces tests.
En juin 2017, j’apprends que le Professeur Joyeux fait une conférence sur l’alimentation, à Montpellier.
Je décide de m’y rendre afin que le Professeur Joyeux intercède en ma faveur, pour que je puisse tester les patchs au plus vite, car ils sont pour moi d’une importance vitale.
J’en parle aux malades de ma connaissance, atteints de la maladie de Parkinson, qui décident tout de suite de s’inscrire.
Nous avons tout de suite, l’intime conviction que c’est une découverte majeure, et que ces patchs constituent la pièce manquante au puzzle de notre retour à la santé.

Je pense que le traitement conventionnel de la maladie de Parkinson n’est pas adapté car il est donné sans prescription d’analyses biologiques et n’est qu’à base de dopamine et d’anxiolytiques.
Mon parcours personnel tend à prouver que la maladie de Parkinson a :
• Une origine intestinale et virale (virus Epstein-Barr et alimentation inadaptée).
• Une origine physiologique (dysfonctionnement du système veille-sommeil) : suite à la prise de 3 mg de mélatonine au coucher sur les conseils du Professeur Fourtillan, j’ai constaté l’atténuation des symptômes, quelques minutes, vers 6h00 du matin. Ce constat tend à conforter la thèse du Professeur Fourtillan car le fonctionnement minimal de mon système veille-sommeil permet un rétablissement temporaire des fonctions motrices.
• Une origine génétique (père), dans mon cas.
• Une origine émotionnelle (histoire familiale).

Je retrouve un sommeil normal et réparateur lorsque j’utilise les patchs.
Le système veille-sommeil étant la base de notre équilibre santé, il CONTRIBUE, une fois restauré de façon naturelle et non agressive, à un retour à la santé et à une vie quotidienne normale.

Il faut absolument travailler sur les terrains du sommeil, de l’alimentation, et des émotions, et les médicaments conventionnels ne suffisent pas à enrayer cette maladie.

Par conséquent :
Il est criminel que l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament (ANSM) décide, le 27 septembre 2019, de porter suspension de la fabrication et l’importation, de la vente ou de la distribution à titre gratuit, ainsi que de l’utilisation de ces patchs transdermiques.
Il est indécent que l’ANSM demande aux patients concernés de ne plus utiliser ces patchs, argumentant qu’il y des risques pour leur santé.
De plus :
Le Professeur Fourtillan et le Professeur Joyeux ne m’ont jamais demandé d’arrêter mon traitement allopathique.
Le Professeur Fourtillan et le Professeur Joyeux n’ont jamais exigé des participants de financer ces tests : il est simplement demandé à ceux qui le peuvent de contribuer aux frais engendrés.
Le Fonds Josefa n’est pas une secte : contrairement à une secte, il est très difficile, en raison de la forte demande, de rentrer dans la phase de tests, et il est très facile d’en partir.

Conclusion:
Les malades, dont je fais partie, n’ont pas le temps d’attendre le bon vouloir des dirigeants de l’Agence Nationale de la SECURITE du MEDICAMENT qui devrait changer de nom et ne s’appeler que l’Agence du MEDICAMENT.
Les affaires récentes sur la pénurie de certains médicaments, l’affaire du MEDIATOR, le scandale du LEVOTHYROX nous en donnent la preuve et nous enlèvent toute confiance en un organisme d’état qui est plus prompt à interdire de simples tests sur des substances naturelles qui GUERISSENT les maladies, que d’interdire des médicaments qui AGGRAVENT les maladies.

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Témoignages des malades ayant essayé les patchs Témoignages des malades ayant participé aux Recherches du Pr Jean-Bernard Fourtillan Bonjour à vous, cette page a pour but de regrouper les témoignages directs ou indirects (conjoint(e), enfant..) des malades ayant testé les patchs et/ou participé simplement à l'expérimentation pour un dosag...

03/11/2019

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Etudes précliniques de toxicologie réalisées chez l'animal 29/10/2019

Contrairement à ce qui a été dit dans la presse, des études de toxicologie ont été réalisées chez l'animal, avant l'utilisation des patchs chez l'homme. Les rapports sont disponible à cette adresse : https://www.valentonine.fr/fr-fr/la-decouverte/etats-psychotiques-2.html

Etudes précliniques de toxicologie réalisées chez l'animal ETUDES PRE-CLINIQUES DE TOXICITE REALISEES CHEZ L'ANIMALContrairement à ce qui a pu être dit dans la presse, des études précliniques de toxicologie ont été réalisées chez l'animal. Vous trouverez ci-dessous :- d'une part le rapport du Pr. Fourtillan concernant les études toxicologiques réa...

Témoignages des malades ayant essayé les patchs 29/10/2019

Témoignage n°139 de Doreen et Albin :
Doreen et Albin, petits enfants de Patrick L[…]

Lorsque nous arrivons chez papi, nous savons de suite si notre papi est patché ou pas. Son visage, s’il ne l’est pas est tendu et fatigué, il a du mal à parler et il se déplace avec l’aide de mamie en fauteuil roulant.

L’autre jour, quand nous sommes allés les voir, papi avait ses patchs depuis plusieurs jours et il se déplaçait toute la journée de façon autonome sans l’aide de personne... et ça nous a fait très chaud au cœur de le revoir complètement autonome comme ça...

Il faut absolument svp que notre papi puisse avoir la possibilité de se soigner grâce à ces patches car il est beaucoup mieux que lorsqu’il se soigne par les médicaments habituels.

Svp, pensez à lui et a tous les autres et faites que ces patchs très efficaces puissent être en libre circulation dans nos pharmacies.

Doreen et Albin

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24/10/2019

https://www.alternativesante.fr/medecines-alternatives/valentonine-la-contre-offensive-des-initiateurs-du-projet-et-d-une-centaine-d-utilisateurs

Valentonine : la contre-offensive des initiateurs du projet et d’une centaine d'utilisateurs Le 19 septembre 2019, l'Agence nationale du médicament (Ansm) mettait fin à Poitiers à ce qu’elle identifiait comme un « essai clinique sauvage » organisé par le Fond Joséfa, une association créée par les professeurs Henri...

Témoignages des malades ayant essayé les patchs 24/10/2019

Témoignage n°11 de Marie-Thérèse et Jacques :

Suite aux calomnies entendues dans les journaux télévisés ou les radios à propos des recherches scientifiques du professeur Fourtillan, nous ne pouvons pas nous taire et ne pas donner notre témoignage.

Face à une maladie telle que Parkinson dont mon mari est atteint depuis 13 ans maintenant, nous avons recherché des traitements différents que ceux proposés par la médecine conventionnelle hospitalière.

Nous avons vite compris que les médicaments proposés n’apportaient qu’un re**rd des symptômes et doper le corps (la fameuse dopamine) mais n’empêchaient nullement la progression de la maladie.
Je parlerai d’un certain médicament (Le REQUIP) qui
entrainait chez mon mari des états de démence durant lesquels il se mettait à tout démonter dans la maison.
Cela a bien duré trois ans avant que le professeur qui le suivait décide de lui supprimer ce médicament… (Le pouding) … Il a fallu vivre ces folles années !!!!

Des personnes sont fichées dans les commissariats de police avec ce même Requip pour des passages à l’acte pour agressions sexuelles sur mineures, d’autres pour addictions sexuelles ou addictions aux jeux et la liste est très longue !!!!!!!

Quelle perspective avec la médecine conventionnelle sinon celle de finir sur un fauteuil roulant dans une maison de retraite.
Et je sais de quoi je parle : j’ai mes deux parents qui ont fini leur vie en maison de retraite avec Alzheimer, je peux décrire la dégradation progressive de cette maladie.

C’est par l’intermédiaire d’un couple d’amis dont la femme est aussi atteinte de la maladie de Parkinson et dont le mari est médecin que nous avons entendu parler des recherches du professeur Fourtillan.

C’est en toute notre âme et conscience que nous avons demandé à faire partie des malades volontaires. Personne ne nous y a forcés….. Nous ne regrettons pas du tout et assumons PLEINEMENT ce choix…

Nous avons participé à deux reprises à une prise de sang. La seconde fois nous avons eu un patch le soir avant d’aller dormir mais pas la première fois.

J’ai moi aussi participé en tant qu’accompagnante à ces recherches scientifiques. Ce n’étaient pas des essais cliniques mais nous participions à la recherche scientifique.

Chacun pouvait donner selon ses moyens. Je connais des personnes qui n’ont rien donné faute de revenus.

J’ai appris que j’avais un taux de mélatonine très bas, moins de 10. Ce qui peut expliquer mes insomnies depuis de longues années et qui peut entrainer une maladie d’Alzheimer dans quelques années.

Mon mari a reçu à plusieurs reprises des patchs à mettre la nuit. A chaque fois il a trouvé une amélioration dans son corps : un meilleur sommeil, moins de raideurs dans son corps, moins de dystonies, moins de douleurs abdominales, une amélioration dans la marche ……

Le problème est que mon mari a pris beaucoup de poids depuis son opération (la stimulation cérébrale profonde qui n’a apportée aucune amélioration à son état, qui a couté très chère à la collectivité et au cours de laquelle il a failli perdre la vie…) et qu’il a maintenant 13 ans de maladie de Parkinson.

Il lui faudrait plusieurs patchs chaque soir pour avoir une nette amélioration de son état de santé.

Nous ne comprenons pas pourquoi ces recherches seraient interrompues tant que les essais cliniques ne sont pas encore réalisés. Pourquoi tant de malades n’ont rien pour guérir de ces maladies Parkinson, Alzheimer, insomnies, dépression ?

Nous sommes d’accord pour participer aux futurs essais cliniques puisque nous sommes volontaires et en acceptons tous les risques. Il faut bien que la science progresse.

Que les instances publiques se prononcent après les résultats de ces premiers essais, là seulement que de véritables orientations soient prises en fonction des améliorations ou non des participants.

Pourquoi un chercheur n’aurait pas ENFIN trouvé l’origine des maladies neurologiques ? Ce ne serait quand même pas la première fois dans l’histoire de la science que de nouvelles thérapies sont découvertes ?

Nous attendons vivement que les essais commencent à grande échelle et puissent confirmer la véracité des recherches scientifiques du Professeur Fourtillan.

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Droit de réponse du Professeur Jean-Bernard Fourtillan 22/10/2019

Droit de réponse du Professeur Jean-Bernard Fourtillan :

Le FONDS JOSEFA et moi-même qui suis son fondateur, avons été l'objet d'une explosion médiatique organisée par l'ANSM via l'AFP, la veille de l'ouverture du procès du "MEDIATOR" dans lequel elle est gravement mise en cause.
La presse dans son ensemble a repris les termes d'"essais cliniques sauvages", qui auraient été menés par le FONDS JOSEFA dans une abbaye, sur des malades souffrant de troubles de sommeil, de la maladie de Parkinson et d'Alzheimer.

Les articles de presse dont celui du présent média ont pu faire penser que j'aurais abusé de la faiblesse des malades pour leur inoculer des produits au pire dangereux, au mieux inoffensifs, en tout cas inefficaces, en leur faisant croire qu'ils pourraient les soulager de leurs souffrances, le tout pour les déterminer à s'engager financièrement auprès du FONDS que je préside.

Toujours selon la presse, les malades auraient en outre eu pour consigne de cacher à leur médecin l’application des patchs et de stopper brutalement (pourquoi pas sauvagement ?) leur traitement classique.

Les "accents mystiques" du site internet du FONDS JOSEFA et le lieu de l'"expérimentation" qui faisait presque imaginer que les malades auraient été retenus contre leur gré pour subir des expérimentations hasardeuses ont fini de peindre le tableau de "l'horreur et du scandale" dont s'est aussitôt affligée la Ministre de la Santé sur les ondes.

Mon attitude n'étant dictée que par le sort des malades, et constatant que pas un journaliste n'avait semblé s'intéresser aux informations scientifiques données sur le site, j'ai préféré dans un premier temps laisser passer l'orage médiatique ; Il est désormais temps de répondre aux allégations déformantes qui sont parues, en expliquant ma découverte, et ses applications.

Mon CV est facilement accessible mais il est nécessaire de rappeler que je suis Ingénieur Chimiste de formation, Pharmacien, Pharmacien des Hôpitaux, Professeur de Chimie Thérapeutique et Pharmacocinétique, à la faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université de Poitiers, et que j'ai été pendant des années Expert Pharmacologue Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique (toxicocinétique) auprès du Ministère de la Santé.

J'ai dirigé avec mon épouse, elle-même pharmacienne, un centre de recherches biomédicales doté d’une clinique et d’un laboratoire de bio-analyse parmi les leaders mondiaux du dosage de médicaments en milieu biologique, par couplage des chromatographies gazeuses ou liquides avec la spectrométrie de masse.

C'est sans aucun doute ces compétences "transversales" qui ont permis mes découvertes.

En procédant en 1994 à des travaux de dosage sur la Mélatonine, j'ai découvert l'hormone du sommeil et de la nuit sécrétée par la glande pinéale, que j'ai baptisé Valentonine (VLT), pour laquelle j'ai déposé des brevets d'invention.
Testée chez les animaux à sommeil nocturne, la Valentonine s'est avérée parfaitement efficace pour déclencher un sommeil physiologique, n'ayant rien à voir avec les somnifères dispensés très largement en France. Dire comment cette hormone n'a pas à l'époque été commercialisée n'est pas le propos de cette réponse.
Cet "échec" m'a permis de poursuivre mes recherches, et de découvrir la relation de cette hormone avec le 6-Méthoxy-Harmalan (6-MH) et la Mélatonine (MLT).

L'hormone 6-Méthoxy-Harmalan (6-MH) a été découverte dans la glande pinéale par des chercheurs américains en 1961, dans un centre de recherches qui avait découvert la Mélatonine (MLT) trois ans auparavant. Mais les chercheurs n’avaient alors pas compris qu’il s’agissait en réalité de l’hormone de la veille et du jour.

Les trois hormones produites par la glande pinéale, Mélatonine, 6-Methoxy-Harmalan et Valentonine constituent une "cascade biochimique". Elles sont formées successivement à partir de la Sérotonine par trois acétylations enzymatiques successives.

Les deux hormones 6-MH et VLT constituent le système veille-sommeil qui assure la régulation totale des vies psychiques et végétatives de l'organisme pendant 24 heures chez tous les mammifères et les vertébrés supérieurs. Jusqu'alors, personne n'avait jamais été capable de comprendre et d'expliquer par quels mécanismes on dormait la nuit et on veillait le jour.

A partir de cette découverte, j'ai mis au point un patch qui sert à libérer par voie transdermique les deux hormones VLT et 6-MH d'une façon strictement identique à la sécrétion de la glande pinéale, pendant la nuit.

Ce patch sert donc à traiter les patients pour lesquels cette sécrétion pinéale est déficiente et ainsi, les troubles du sommeil, les dépressions nerveuses, de même que les maladies neurodégénératives de PARKINSON et d'ALZHEIMER.

Au vu des résultats des études précliniques toxicocinétiques confirmant l'innocuité totale des patchs transdermiques qui distribuent des hormones naturelles, j'ai considéré qu'au même titre que la Mélatonine ou que de nombreux "patchs conforts" présents sur le marché en vente libre, une Autorisation de Mise sur le Marché de la part de l'ANSM ne serait pas nécessaire dans le futur, ces patchs devant pouvoir être vendus librement.

J'ai divulgué ma découverte et ses futures applications thérapeutiques dans une déclaration à l’Académie de Pharmacie le 2 décembre 2015 dans une relative indifférence, alors qu'elle apporte des solutions évidentes à des maladies ne disposant d'aucun remède.

En vulgarisant ma découverte, de nombreux malades qui l'ont comprise se sont rapprochés de moi afin de pouvoir en bénéficier, ce que j'ai accepté. Je les ai informés de la progression de la fabrication des échantillons de patchs, des coûts et des obstacles rencontrés, ils savent tout.

Dans la mesure de ses possibilités compte tenu des difficultés d’approvisionnement, le FONDS JOSEFA a fourni des patchs à un certain nombre de personnes malades. Ils ne sont pas présentés comme des médicaments et ils n'en sont pas réglementairement, ils ne sont pas à vendre, ni en libre accès.

Ceux qui ont pu bénéficier des échantillons en quantité suffisante, même sur une période restreinte, ont pu voir leur état se transformer, je souhaite qu'ils fassent le choix de témoigner, même s'ils l'ont fait déjà fait de manière anonyme sur un site internet que nous avons dédié à la Valentonine. D'autres attendaient de pouvoir profiter d'une livraison d'échantillons du constructeur allemand, désormais en suspens par le fait de la décision de l'ANSM.

C'est la santé des uns et l'espoir des autres qu'on assassine, les responsables prendront leurs responsabilités, au moins morale je l'espère.

Il n'y a pas d'"essai clinique" car il n'y a pas de médicaments mais une substance naturelle que des gens responsables qui ont décidé de se soigner ont souhaité prendre, il n'y a pas de patchs qui se vendraient "sous le manteau", il n'y a pas d'"essai sauvage" avec des cobayes ignorants entre les mains de Professeurs manipulateurs, il n'y a pas de "confiance abusée", il n’y a aucune demande d’arrêt des traitements ni de vœu de silence, il n'y a pas de place pour les déclarations de la MIVILUDES.

Il peut y avoir de savants professeurs qui ne savent pas, et des chercheurs qui ne trouvent pas, je suis évidemment à leur disposition pour leur expliquer, il y a urgence à ce qu'ils comprennent au nom de la santé des malades.

Jean-Bernard FOURTILLAN

https://www.valentonine.fr/pr-jbf/droit-reponse-jbf.html

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