Amapola Kinésiologie

Parfois nous oublions de nous parler avec bienveillance, et c’est bien dommage, car si nous ne le faisons pas, qui le fera? Les mots que nous utilisons envers nous-même ont une vibration, et si nous nous parlons négativement, l’Univers nous renverra la même chose sous forme de personnes ou de situations. Pensez à votre meilleure amie ou à quelqu’un que vous aimez énormément: lui parlez-vous mal? Lui dites-vous des choses méchantes ou blessantes? Je pense que non, pourtant nous le faisons avec nous-même, ce qui n’a aucun sens puisque nous sommes la personne la plus importante de notre vie. Apprenons à nous parler avec bienveillance, avec passion et avec amour, car ce sont les vibrations que nous voulons attirer dans notre vie! ✨

Tague une personne qui a besoin de lire ce message 😉

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Tout est mouvement perpétuel. Le changement est chose inévitable.
Les événements vont et viennent mais nous affectent d’autant plus que nous leur donnons l’autorisation de le faire.
Et s’il suffisait d’accepter l’instant présent tel qu'il est !
Ce qui pourrait passer pour une inconscience puérile est peut-être un des meilleurs choix que l’on puisse faire, l’indifférence empêche de s’enfoncer dans la négativité et de souffrir inutilement.

On m'a raconté une bien jolie histoire empruntée à la tradition chinoise sur la façon dont nous nous pouvons (ou pas!) réagir face aux évènements ; peut-être permettra-t-elle d'ouvrir de nouveaux champs de potentiels.

Un pauvre paysan suscitait la jalousie des plus riches du pays avec
son magnifique cheval blanc. Chaque fois qu’on lui en proposait une fortune, le vieil homme répondait :
« Ce cheval est mon ami, ne comptez sûrement pas sur moi pour vendre un ami. »
Puis un jour, le cheval disparut. Tout le monde dans le village y est allé de son commentaire :
« Quel maladroit, tu aurais dû accepter l’argent qu’on te proposait, c’était évident qu’un jour ou l’autre, on te volerait un si bel animal. Quel malheur ! »
Le paysan ne montra cependant pas de signe de désespoir :
« Mon cheval n’est plus là, certes, mais je ne sais pas ce qu’il faut en penser.
Comment savoir, si c’est un bonheur ou un malheur ? »
Les gens trouvaient le vieil homme parfaitement stupide et ne cachaient pas leurs moqueries. Pour eux, c’était simple, il avait perdu la raison.
Quinze jours plus t**d, le cheval réapparut, il s’était simplement échappé.
Mais pour son retour, il n’était pas tout seul, ramenant tout un troupeau de superbes chevaux sauvages.
Tout le village accourut et les gens reconnurent que le vieil homme
avait peut-être bien eu raison. Finalement, cela s’avérait bien une chance.
Le paysan ne changea pas d’attitude pour autant : « Qui peut dire ce qu’il va en advenir ? Peut-on savoir ce qu’il y a dans un livre en n’en lisant qu’une seule phrase ? ».
Le fils du paysan se chargea d’entreprendre le dressage du troupeau. C’est là que, lors d’une des séances, il fit une violente chute et s’estropia la jambe.
Bien sûr, tout le monde se précipita pour donner son avis et le plaindre. Le paysan restait identique à lui-même : « Peut-on jamais savoir ? ».
Quelques temps plus t**d, la guerre éclata dans le pays. Tous les hommes en âge de se battre allaient être mobilisés.
« C’est bien toi qui a compris, lancèrent les villageois au vieil homme.
Aujourd’hui, tous nos fils vont sans doute se faire tuer et le tien reste à tes côtés».
« Gardez votre calme » dit le vieil homme. Mon fils est auprès de moi, les vôtres sont loin, c’est tout ce que l’on peut dire. »...

LA QUESTION À SE POSER :
En quoi ma vie serait-elle différente si j’acceptais ce que la vie propose ?

On pense souvent ne pas avoir assez de temps pour réaliser nos rêves !
La notion de temps est une notion perverse ; quand on se demande « combien de temps ça va prendre ? » c’est une question piège avec un vision linéaire…
Il convient de relativiser car 10 minutes de bonheur paraissent toujours beaucoup plus courtes que 10 minutes de galère ou 10 minutes de bisous paraissent toujours beaucoup plus courtes que 10 minutes de coups de pied au derrière…
Tout est question d’appréciation personnelle.
En fait, il convient de se dire que : « j’ai tout le temps que je veux pour réaliser mes rêves ».
Ne pas se fixer un objectif strict, pas de liste de choses à faire absolument mais se positionner et se ressentir comme quelqu’un qui incarne l’énergie de réalisation de ses rêves.
« je ne sais pas quand ni comment, mais je « sais » que je vais le (les) réaliser !!! »

Concrétiser ses rêves : Comment ? Par où commencer ?

Il n’y a pas de stratégie et zéro objectifs car cette vision est loin et « en dehors » de nous.
Il faut quelque chose maintenant et déjà en nous.

Commencer par s’AUTORISER ! à vivre, à ressentir la réalisation de nos rêves
- cela peut sembler curieux mais très souvent on ne s’autorise pas ; même dans l’imaginaire où il n’y a pourtant aucune limite, on n’arrive pas à s’autoriser à rêver grand, à rêver des trucs fous .. .

Il convient d’avoir une intention, de ressentir et vivre le rêve comme déjà réalisé ; travailler un état d’esprit et pas un objectif : « je suis la personne qui vit son rêve, qui vit ce qu’elle veut » Changer son énergie, ressentir le plaisir, l’émotion de vivre ce rêve quel qu’il soit (relations, maison, argent, amour, voyages etc…)
Si cela devient réalité en nous cela deviendra réalité à l’extérieur de nous.

Le mental ne fait pas la différence entre le réel et le virtuel alors autorisons nous la folie de grands rêves !!!

Est-il vraiment possible de réaliser ses rêves ?

Oui à partir du moment où on « SE DONNE L’AUTORISATION DE…» :
« Je m’autorise à transformer mes rêves en réalité, je m’autorise à vivre l’exceptionnel comme normal »
Et pourquoi pas le normal comme exceptionnel ?
Car, Si on y réfléchit un peu beaucoup d’habitants de notre belle planète considéreraient notre « normal quotidien » comme un de leur rêve le plus fou.
Si on ne se met plus d’interdits et qu’on se donne l’autorisation de vivre toutes les expériences qu’on a envie de vivre, alors il n’y a plus de limites à l’ouverture du champs des possibles ;
Changer sa vision des choses est parfois suffisant pour que les rêves prennent la couleur des jours heureux.

Concrétiser ses rêves : Comment ? Par où commencer ?

Il n’y a pas de stratégie et zéro objectifs car cette vision est loin et « en dehors » de nous.
Il faut quelque chose maintenant et déjà en nous.

Commencer par s’AUTORISER ! à vivre, à ressentir la réalisation de nos rêves
- cela peut sembler curieux mais très souvent on ne s’autorise pas ; même dans l’imaginaire où il n’y a pourtant aucune limite, on n’arrive pas à s’autoriser à rêver grand, à rêver des trucs fous .. .

Il convient d’avoir une intention, de ressentir et vivre le rêve comme déjà réalisé ; travailler un état d’esprit et pas un objectif : « je suis la personne qui vit son rêve, qui vit ce qu’elle veut » Changer son énergie, ressentir le plaisir, l’émotion de vivre ce rêve quel qu’il soit (relations, maison, argent, amour, voyages etc…)
Si cela devient réalité en nous cela deviendra réalité à l’extérieur de nous.

Le mental ne fait pas la différence entre le réel et le virtuel alors autorisons nous la folie de grands rêves !!!

Nous avons tous (ou avons eu) des rêves.
Mais souvent nous les avons mis de côté, ou « oubliés » ou encore soumis à validation de notre environnement, de notre extérieur avec des « si » : si j’avais un meilleur job, si j’habitais ailleurs, si j’avais plus de formations/diplômes, si on m’avais aidé(e)…..

Pourquoi se priver de « réveiller » ses rêves ???
Il suffit la plus part du temps de se poser une question.

qu’est ce que je veux ??? est une fausse question, elle va positionner notre bien être /bonheur à l’extérieur de nous ; la réponse ne sera donc pas satisfaisante.

Qu’est ce que je veux vraiment vivre ?? quelles expériences je veux réellement avoir ?? Serait une meilleure question à se poser pour réveiller l'enthousiasme de nos rêves

Tout est déjà à l’intérieur de nous : ce que l’on veut ressentir, éprouver, expérimenter, vivre…
Le chemin est déjà là, il faut juste désapprendre à passer par "l’extérieur de nous " et réemprunter les chemins intérieurs déjà existants (mais oubliés), d’ajuster nos comportements à ce que nous voulons vraiment, changer notre vision des choses et décider de ce que nous voulons nous apporter à nous même !! allez chiche?🤩

Comment braver le regard des autres pour s’affirmer ???
On ne pourra jamais empêcher les « gens » d’avoir un avis, mais on peut considérer cet avis d’une manière différente. Cela consiste à se dire ( penser) que « c’est un point de vue –intéressant ou pas, sans jugement, juste un point de vue – sans pour autant en faire une vérité !
Attention : si quelqu’un vous rapporte un propos ou agressif ou désagréable, il ne s’agit pas de le remballer en lui disant fortement « point de vue intéressant » …en faisant cela on se retrouve dans une situation émotionnelle, nous n’avons plus de recul et « subissons » la situation.
Alors que si nous restons dans la pensée silencieuse du « point de vue intéressant », on garde le recul nécessaire de l’observateur et ne subissons pas la situation.
Les « gens » dont nous faisons partie, tiennent souvent des propos pour argumenter, provoquer … il s’agit là encore de ne pas ouvrir une compétition d’argumentations, juste observer et penser… » Point de vue intéressant »
Parfois, c’est nous même qui donnons aux autres « un point de vue intéressant » hé oui! 😏, en face de nous notre interlocuteur peut penser que notre » point de vue est intéressant » ; il convient alors de ne pas insister sur le sujet en reconnaissant que « l’autre » à le droit de penser cela …
Les rapports/relations deviendrons beaucoup plus apaisés.

Comment empêcher les autres de nous empêcher d’être nous même ?
Le truc c’est d’en rire 🤩.
L’effet du « mat » (le fou !!) est une excellente parade contre ceux qui nous disent … »non, tu vas pas faire ça ? » ou « tu es fou (f***e) » ou encore « tu as bien réfléchi ? c’est trop risqué ? », « et si ça marche pas, tu vas être dans la galère.. !! » etc..
Après tout, ce ne sont que « des point de vue intéressants » reflets de leurs propres peurs.
A ceux là, confirmer votre projet en riant. Amener de la dinguerie dans sa vie est extraordinaire !!
A tous les spécialistes du « oui mais… » confirmer vos projets en riant avec un « oui mais je veux faire ça maintenant parce ce que je vais mourir… un jour, alors que moi ce que je veux c’est vivre maintenant!!!»

Les supers pouvoirs des personnes sensibles.
L’hypersensibilité est souvent difficile à vivre. Il faut « prendre régulièrement rendez-vous avec soi-même » dans un lieu choisi, au calme. Aller à l’intérieur de soi, respirer, ressentir sa respiration, sa densité, la peau, les muscles, les os...
Être dans le silence avec soi inverse le phénomène d’hypersensibilité, on ressent mieux les choses cela permet de choisir plutôt que de subir, de prendre les bonnes décisions de façon beaucoup plus sereine et intuitive.
De plus prendre régulièrement ce "rendez-vous avec soi-même" nous amènera petit à petit à nous accepter, nous respecter, nous considérer et à être bienveillant envers nous même. Quel plus précieux cadeau pourrions nous nous faire???

Pour oser être soi face au regard des autres il convient de :
- Avoir envie d’avoir une vie où on « s’éclate » plutôt que d’être conforme
(parce qu’à force de vouloir rentrer dans le « moule » on finit par devenir tarte : j’adore cette phrase, d’abord parce qu’elle me fait rire et puis parce que c’est tellement çaaaaaaa!!!)

- Avoir un enjeu bien plus fort que celui d’être aimé par tout le monde (ce qui dans tous les cas n’est jamais possible !!) Peut-être pourrait-on commencer par apprendre à s’aimer soi-même ; voilà un enjeu enthousiasmant !!

Petit exercice pour activer notre « feu sacré », notre énergie au quotidien.
L’important c’est l’intention qui est derrière cet exercice :
Sautiller sur place, en souriant avec envie et enthousiasme pendant 20 secondes, pas plus.
Cela active notre biorythme, booste notre énergie, notre bonne humeur…
Simplissime …. A condition de le faire !!! :-))

′′ À la NASA, ils ont un poster accroché avec des abeilles où on lit ce qui suit :
′′ Aérodynamiquement, le corps d'une abeille n'est pas fait pour voler ; ce qui est bon, c'est que l'abeille ne le sait pas. La loi de la physique dit qu'une abeille ne peut pas voler, le principe aérodynamique dit que l'ampleur de ses ailes est trop petite pour maintenir son énorme corps en vol, mais une abeille n'en sait rien, elle ne connaît ni la physique ni sa logique et Vole de toute façon...
C ' est ce que nous pouvons tous faire : voler et prévaloir à chaque instant devant toute difficulté et devant toute circonstance malgré ce qu'ils disent.
Soyons des abeilles, peu importe la taille de nos ailes, nous nous élèverons du vol et profiterons du pollen de la vie."
′′ Monde Positif ′′

On peut parfois se sentir « imposteur » : pas à la hauteur, d’une mission, d’une tâche, d’une promotion, d’une situation… ce n’est pas la peine de se coller une nouvelle « étiquette » !! C’est simplement que l’on manque d’expérience. Il nous faut accepter que dès qu’on avance on est en permanence en cours d’apprentissage en faisant de notre mieux à chaque pas.

Pourquoi il y a souvent un problème de confiance en soi ?
Et si ce « problème » n’existait pas ?
C’est juste que parfois on se retrouve face à des limites que l’on n’avait pas encore atteint ou qu’on n’a pas appris à faire face à un obstacle ; c’est un blocage face à un problème particulier. Il ne faut donc pas généraliser en se posant une étiquette de « manque de confiance en soi » toute sa vie.
En fait il ne s’agit que de faire quelque chose de nouveau, d’inédit.
Si on regarde dans notre histoire passée on se rendra compte que nous l’avons déjà fait de nombreuses fois; on peut donc le refaire dans n'importe quel domaine. Alors perfectionnons notre apprentissage : faisons le!!

Les 3 meilleurs moyens de se malmener :

a) vouloir absolument avoir une idée de nous même (égo) : insignifiant, nul, génial, comme ci ou comme ça (jugements)…. c’est un stress permanent !!!
b) vouloir tout analyser en permanence : le mental ne fonctionne que par rapport à ce qu’il connaît ; il est incapable de se projeter dans le non vécu.
c) la sensiblerie ; (à ne pas confondre avec la sensibilité) : c’est être réactif à tout ce qui se passe autour de nous : la bonne «case », la mode, la publicité, le consumérisme….

Comment ne jamais se « planter ».

Un obstacle n’existe que pour ceux qui sont en mouvement et qui avancent – s’il n’y a pas de mouvement, il n’y a pas ou peu d’obstacles !!!
Un obstacle = c’est une leçon, une formation. Il est toujours bénéfique de se demander « qu’est-ce que cela m’apprends ?? » Du coup, on ne se « plante » jamais :-))

Nous avons tous le potentiel d’être grands.
Pour cela il faut s’en donner l’autorisation – hé oui, lever les interdictions que l’on s’est imposées (ce n’est pas pour moi, je ne suis pas capable, je ne mérite pas, je ne suis pas assez bien, je n’ai pas les moyens etc….) – s’ouvrir aux « et pourquoi pas ??? ». Aller à la rencontre de notre potentiel par la découverte, l’expérimentation, partir à la chasse au trésor, nos trésors…

Petit à petit apprenons à nous considérer, à nous traiter avec respect et bienveillance, à être notre "meilleur ami".
Autorisons nous à être des débutants, à nous octroyer des marges de progressions, à toujours nous considérer comme des apprentis qui se perfectionnent un peu plus tous les jours.

Le charisme = énergie du recul
Pour être charismatique il convient de lâcher :
1/ son mental = ne pas passer son temps à réfléchir : « il a fait ci, il a fait ça… »
2/ son ego = qui veut constamment se défendre, argumenter, dire qu’il est supérieur ou inférieur aux autres = donc se libérer du besoin d’être identifié par les autres d’une certaine façon.
3/L’émotionna lité (ne pas confondre avec les émotions), la sensiblerie ( ne pas confondre avec la sensibilité), le côté « drama". Pour s’exercer à se libérer de cela un exercice
respiratoire simple : « l’expiration du soulagement » : gros soupir libérateur qui permet à l’énergie de descendre dans le bas du corps, centre de gravité, et active le processus de centrage et de recul.

La plus grande peur de l’humain est la peur du bannissement.
Peur d’être mis à l’écart, d’être rejeté par le « clan ». Cette peur nous influence en permanence avec parfois des conséquences dévastatrices : la peur du bannissement va faire que l’on se réfrène y compris sur des élans personnels, on va culpabiliser (de ne pas avoir fait), on va s’en vouloir et se juger. Petit à petit cela va avoir des conséquences extrêmement dures notamment sur notre bien être, la somatisation, la maladie…
Notre énergie ne circule plus bien car on aura le sentiment que quelque chose ne va pas, dysfonctionne, n’est pas fluide mais on ne va pas le régler car on pense que si on le fait on va à la « confrontation », au conflit et que du coup on risquerait le bannissement.
La peur du bannissement a une influence néfaste sur notre vie, imaginez être exclu de votre cercle social, professionnel, amical… du coup on cherche des compromis ;
On appartient à un même milieu social ni plus ni moins ; du coup on ne s’accorde pas plus que les autres ; s’ils ne se permettent pas de sortir du « rang » on ne doit pas le faire non plus sous peine d’être écarté, banni . Par exemple, si l’on vient d’une famille qui à galéré alors pour ne pas être rejeté par le cercle familial (loyauté familiale) on va inconsciemment se limiter à galérer, se coller une "étiquette" limitante…ce qui est une fausse « bonne idée » car si on s’autorise plus de tout on va donner envie à notre entourage de faire pareil, si on s’autorise à « briller » on va encourager les autres à s’autoriser briller aussi.
"

Libre comme le vent!!!!!
Si nous voulons notre liberté il nous faut foncer.
Oui mais c’est tellement difficile !!!
Pourquoi ? par ce que notre liberté va embêter tout le monde !! (et du coup, nos 3 peurs –être moqué, être jugé, se juger), sont exacerbées.
Dans nos sociétés hyper conformistes la liberté est quelque chose de très difficile à accepter :
Quand on voit d’autres personnes s’accorder la liberté d'être sans conformisme c’est très gênant = c’est des personnes « à part, à la marge, des originaux..." etc
S’accorder notre propre liberté nous sort du «rang, du clan acceptable » et embête tout le monde.
Les gens n’aiment pas cela. Cela leur renvoie leur propre incapacité à faire pareil, qu’ils n’osent pas y aller, n’osent pas faire ce qu’ils aimeraient faire…
Si l’on a envie de prendre (ou reprendre) notre liberté que ce soit de paroles, d’actes, financière…..il ne faut pas partir du principe que cela va être simple (dans une société conformiste) loin de là. Mais quand on le sait cela peut devenir génial d’être libre comme le vent et d’aller où le cœur nous porte et en conscience.
« Je mérite bien mieux que ça ! » s’accorder » cela est extraordinaire !!

Les 3 plus grandes peurs qui nous empêchent de nous montrer tels que nous sommes :

1° La peur d’ »être moqué » c’est horrible !
On ne veut pas que les autres se moquent de nous, rient de nous ; donc on s’empêche de faire un tas de choses dont on a envie et qui nous feraient du bien
2° La peur d’être jugé
C’est la peur que les « autres » ne soient pas d’accord avec ce que nous faisons, disons ou pensons = cela nous met très mal à l’aise et nous place « à la marge ».
3° La peur de se juger soi-même.
Après avoir été moqué ou jugé par les « autres » que l’on sait qu’ils ne sont pas d’accord avec nos actes, dires ou pensées, on se met à se juger soi-même.
Cette peur de se juger soi même est terrible car l’ennemi n’est pas à l’extérieur de nous, l’ennemi est à l’intérieur, l’ennemi c’est nous !!!
Pour éviter ces 3 peurs, il convient d’établir une sorte de plan de bataille à l’intérieur de soi ; étape par étape, un pas après l’autre se détacher de ces peurs pour se retrouver en conscience de soi et non de ces peurs.

Se laisser tranquille avec les autres.
Sartre disait « l’enfer c’est les autres »
Nous passons notre temps à nous prendre la tête avec les « autres » : ce qu’ils pensent ?, ce qu’ils ne pensent pas ?, comment ils nous perçoivent ?, comment ils nous jugent, est-ce qu’ils vont nous critiquer entre eux ? directement ? est-ce qu’ils vont se moquer ?
Les « autres » c’est une grande partie de notre charge mentale ; on passe notre temps à penser à eux dès que l’on fait quelque chose.
En réalité, quand on y regarde de près le comportement des autres, on se rend compte que la plus part du temps ils n’ont que faire de nous ; ils essayent déjà de s’occuper de leur vie ce qui est déjà beaucoup.
Le temps que les autres passent à s’occuper de « nous » est assez minime.
En s’observant soi, on peut constater que l’on passe peu de temps à s’occuper de ce que font les autres !! On peut avoir un avis sur certaine choses qu’ils font sans plus…
Se libérer de la charge mentale des « autres » libérera de la place pour y mettre des choses plus importantes et permettra de retrouver plus de liberté d’être et d’agir.

Une astuce aidante pour se libérer des autres : ne jamais se demander : « est-ce que j’ai bien fait ? mal fait ? etc
Juste se dire « je fais du mieux que je peux avec ce que j’ai » notre mieux étant fluctuant d’un jour à l’autre

Nous méritons tellement plus que cela !
Combien de fois nous sommes nous dit « je mérite plus que ça ! »
Ça : n’est pas quelque chose que l’on nous a imposé,
Ça : c’est le niveau d’AUTORISATION que l’on s’est donné !
C’est ce qu’il y a autour de nous.
Pourquoi on se contente de ça et que l’on ne s’autorise pas d’avantage (ou autre chose) ???
C’est parce qu’il y a en nous des « loyautés », des promesses, une éducation, une culture (mouvements inconscients)…
On peut se poser des questions : « est-ce que je vais m’autoriser ceci ? ou cela ? »
« Est-ce que je vais m’autoriser à être plus épanoui(e) dans mon job ?, dans mes relations ? dans ma vie sentimentale ? dans me vie familiale ? »
« Est-ce que je vais m’autoriser à gagner (un peu) plus d’argent de façon à vivre mieux ? » alors que nous avons été éduqués comme « pauvres » / « ouvriers », à vivre dans la difficulté, et que dans notre entourage tout le monde a des difficultés financières ou en tout cas le même niveau de difficultés que nous.
Est-ce que si l’on se donne ces autorisations d’avoir plus et mieux, cela ne va pas choquer, contrevenir aux croyances aux nôtres et celle de notre entourage ?
Est-ce qu’ils vont continuer à nous aimer ? Est-ce qu’ils vont continuer à nous accepter dans le « clan » ??
Est-ce que l’on ne va pas se déconsidérer soi même si l’on a plus d’argent ?? plus d’amour ? plus de ceci ou de cela etc….
L’opportunité de transformation nous l’avons tous entre nos mains : « je mérite mieux que ça ! »
Autorisons nous l’expansion de grandir, de créer un peu plus nouveau chaque fois…

C’est maintenant le grand changement ?
Aujourd’hui les choses sont ouvertes ; quelque chose est en train de se passer, les informations sont facilement accessibles. C’est une nouvelle ère qui s’ouvre dans un moment totalement chaotique (santé, crise, guerre …)
C’est le moment opportun pour créer de l’harmonie, de la relation, du mouvement, de transformer, d’inventer le nouveau….
Réinventer notre vie, prendre notre vie en main, prendre notre pleine responsabilité dans nos choix, dans nos décisions, dans notre vie !

Le monde nous attend, qu’est ce qu’on fait ??

On ne peut plus attendre demain- un demain qui ne viendra peut-être jamais – tout va très vite. C’est maintenant que cela se passe. C’est maintenant qu’il nous faut être le plus heureux possible.
Ceux qui pouvaient nous tendre la main hier ne le peuvent plus aujourd’hui car ils sont dans la même situation que nous.
On note donc une sorte d’élévation de conscience, sorte de nouvelle façon de voir la vie collective, qui nous pousse à décider par nous même, de nous mettre en mouvement.
Les stratégies pour « être heureux » ne fonctionnent pas sans une transformation personnelle.
Cette transformation se fait à partir de l’état d’esprit, de la façon dont nous même on conçoit le mouvement de notre vie. Cela personne ne peut le décider à notre place.
Il nous faut décider que l’on va faire les choses à partir d’un nouvel état d’esprit.
Chiche ?🤩😍

Aller chercher l’info pour nous permettre de grandir !!!
Plus que jamais, nous avons tout à disposition : conférences, internet, livres, échanges, observation autour de nous…
Tout se joue à une information que l’on n’a pas. Tout est question d’information et d’autorisation à se donner.
Cherchons l’information qui nous convienne et autorisons nous à vivre autrement, à expérimenter du nouveau avec une nouvelle conscience, à voir les choses sous un angle nouveau.

« Je suis fils ou fille d’ouvriers, ou je suis un enfant de banlieue, je suis de l’assistance publique… » ou encore « dyslexique, hyperactif, hyper sensible, né avec un handicap etc …c’est ce qui nous a défini un jour ; ce n’est plus ce qui nous défini aujourd’hui !
Au départ, on peut décider que puisque l’on est enfant d’ouvriers, de banlieue de l’assistance, ou encore dyslexique, hyper actif, hyper sensible etc … tout est fermé.
Mais on peut aussi décider que ce n’est ni un fatalité ni un handicap.
Ce n’est pas l’étiquette qui compte, c’est la capacité que nous avons tous à nous coller toutes sortes d’étiquettes !!!
Tout ce que l’on décide à partir de là c’est notre choix, nous qui le décidons.
On peut « décoller » l’étiquette que l’on s’est collé et qui nous détermine et décider que nous sommes complètement autre chose.
Plus tôt on le fait plus on gagne du temps à vivre serein.
S. Spilberg, M. Ali, A. Einstein, T. Edison, I Newton, L. Pasteur… sont ou étaient dyslexiques,
M.A. Le Fur, L. Thirionet, F. Nicolas Peifer, S. Houdet… sont des champions paralympiques
Ils ont « décollé » les étiquettes et décidé de leur chemin.

Se respecter pleinement, oui mais comment ?
Le concept du « je m’aime » est difficile à mettre en place. C’est mettre l’EGO (mental) en avant et c’est lui qui va nous déterminer en fonction de ce que l’on aime ou pas chez nous.
De plus nous allons évoluer et nous aimerons peut-être demain ce que nous n’aimons pas aujourd’hui et vice et versa.
Pourquoi ne pas aller plutôt vers le concept de la CONSIDERATION ? Se considérer tel que l’on est ?
Pour que la vie soit plus intéressante on peut se demander (ressentir) dans quel mouvement d’action et d’énergie nous voulons aller dans tel ou tel domaine? (amour, éducation, relations, profession…)
De même dans quelle énergie se trouve-t-on par rapport à « soi », à nos proches, à nos enfants :
Ouvert, fermé, à l’écoute, autoritaire, contrôlant, pénible, intolérant, impatient….
Après quoi il convient de prendre UNE décision radicale pour commencer le processus de transformation : par ex.
- arrêter de juger ou,
- arrêter de vouloir tout contrôler ou,
- arrêter d’être autoritaire ou,
- ou arrêter de ne pas écouter… etc

Une chose à la fois, petit pas à petit pas, avec beaucoup de bienveillance et de tolérance envers soi-même (pas toujours facile).
Ce mouvement va commencer à nous porter vers qui nous sommes vraiment et on va commencer à ce considérer !!!
Pour faire partie de l’histoire il faut y participer !!!

Le passé est souvent un bagage trop lourd à porter.
Déposons-le,
Allégeons-nous
Ce qui est arrivé est arrivé
Et hier ne peut être changé
Apprenons à tourner la page
Inutile de culpabiliser,
De regretter,
D'entretenir notre souffrance
Le regret comme un caillou dans la chaussure, il rend le voyage de la vie plus douloureux.

☀️✨☀️🍂🍁🍂🍁🍁🍁🍂🍁🍂☀️✨☀️

--Catherine Rambert--