Delphine Barthere
♥️ One world family
Je traduis l’invisible et l’ayurveda
🌍J’œuvre pour t’aider à retrouver tes racines…
🍃Programme d’Ayurveda
🌱1:1 et soins
Thérapeute holistique et conférencière
Site : https://www.delphinebarthere.com
Instagram : https://www.instagram.com/delphine.eleonore
Les messages subtils des hormones vont au-delà des fonctions biologiques. Dans le cas de la progestérone, messagère envoyée par les ovaires pour donner une chance à la nidation de l’ovule fécondé, sa participation à la biologie et son équilibre ou déséquilibre en disent long sur notre relation à la vie…
Quand il a été vu comme impossible de protéger nos créations potentielles, nos élans de vie, quand il est vu comme dangereux d’exister, de se permettre et d’oser (et de s’y déposer), quand le masculin a laissé l’empreinte que notre protection ne serait pas assurée… la messagère progestérone reçoit un message biaisé (et elle impactera nos créations en retour).
La santé hormonale devrait se saisir de notre rapport à la vie avant d’être analysée dans la biologie.
Notre corps est un temple d’amour et l’amour appelle la protection…
Je parlerai du cycle menstruel et des messages subtils des déséquilibres lors de l’atelier fertilité et pré conception samedi 27/7. Des cycles sains sont un socle de santé et un baromètre de notre fertilité ❤️
Infos sur le site : https://www.delphinebarthere.com/actualites
Qu’est-ce que l’humilité si l’arrogance n’a pas été goûtée ?
Qu’est-ce que la modestie si l’opulence n’a pas été embrassée ?
Et comment ce qui lutte à s’habiter pourrait s’exprimer en toute simplicité ?
Les voiles qui recouvrent notre expression (dans le sens de la libre circulation de l’énergie vitale dans le corps et dans l’esprit) sont nombreux, mais l’honneur n’est véritablement servie qu’au prix d’un éternel lâcher-prise.
Que veut la vie si ce n’est notre libération ?
Elle le désire parce qu’elle aime, et que rien n’est plus savoureux pour la vie qu’une union dans notre chair.
Ce qui désire se vivre devient alors une danse et non un but.
La vie, cette sauvage aux pieds nus, se répand dans le réceptacle humain, prenant notre chair pour sa chair, nos mots pour ses mots, notre direction pour sa direction, et notre courage pour le sien.
Peu auront l’audace de la permettre, parce que peu sont véritablement tombés amoureux…
Et combien sont prêts à croire sans voir ?
Car nombreux sont ceux qui véhiculent un message de paix mais si peu s’y sont abandonnés. Car de cet abandon au vide survient la Vie. Et qu’elle défige tout sur son passage…
[Nouvel article blog]
En ayurveda, on parle de 7 tissus, ils sont cités dans un certain ordre, du premier nourri au dernier dans le corps ; la nutrition de ce que l’on mange est d’abord distribuée au plasma et à la lymphe (rasa), aux tissus sanguin (rakta), aux muscles (mamsa), à la graisse (meda), aux os (asthi), au système nerveux et à la moelle (majja) et enfin aux tissus reproducteurs (sukra).
Pour une femme, la production des ovules démarre dès le premier tissu mais la nutrition doit aller jusqu’au dernier tissu pour que le corps soit véritablement prêt à accueillir la vie.
Rasa, le premier tissu soutient la production des règles, notre capacité à libérer l'ovule, mais d’autres fluides sont nécessaires ainsi qu’un climat propice à la conception.
Et certains fluides comme le liquide amniotique ou les fluides sexuels féminin et masculin dépendent du dernier tissu.
C’est dire l’importance du lien entre digestion et fertilité...
Lire la suite :
https://www.delphinebarthere.com/post/la-fertilité-et-l-ayurveda
Tout le monde désire être magnétique parce que tout le monde veut recevoir (l’attention, le pouvoir, la joie, l’argent, la reconnaissance, les biens matériels, les opportunités, les rencontres…). Pourtant regarde ce magnétisme, il fait marcher les gens sur la tête… en usant de leur magnétisme pour leurs propres désirs et arrogance, à convertir la force de leur direction, leur pouvoir personnel, dans le sens de l’égo et des attachements.
Le magnétisme est notre puissance intérieure, seule, elle n’est qu’ignorance, elle ne peut être qu’au service de plus grand.
Ce magnétisme, tant qu’il n’a pas atterri dans le silence du cœur, - où la clarté s’unit au renoncement, où les innombrables désirs ont péri sur les braises d’un feu plus grand - il sert la moitié de la vérité, et donc un mensonge…
Ma question alors, est pourquoi souhaites-tu être magnétique ?
Quelle récompense crois-tu obtenir ?
Et quelles benedictions y a-t-il à renforcer le pouvoir d’un désir qui ne sert que l’amour du pouvoir (dans le sens d’être quelqu’un, être vu, reconnu, aimé…).
Puisse votre magnétisme être puissamment gardé par plus grand.
La sensation d’infériorité coupe le lien quand elle refuse de se voir, elle ne fait que fuir en vérité… mais l’égo se satisfait d’avoir dominé un instant sa trajectoire. Il ne fait que vouloir exister… quelque part.
Sachez que quand la sensation d’infériorité s’infiltre entre nous, je le vois comme un échec. Parce que je suis nourrie de l’intimité, pas de la domination.
Et que la sensation d’infériorité s’épuise sous le feu de l’intimité, mais que pour brûler il faut y aller… accepter de se sentir impuissant, inférieur ou indigne, rencontrer sa vulnérabilité. Plutôt que de fuir.
Ce qui se joue dans le lien lorsqu’il y a une véritable intimité est si riche, mais veut-on vraiment être soi, grâce au lien ?
Cette authenticité, veut-on vraiment la goûter et s’y abandonner ?
Chacun a raison selon son point de référence. La question est : est-ce que ton point de référence est dans l’éternel ou dans le duel ?
L’addiction au contrôle tient sur ce point de référence duel, elle tient la société d’une main de fer sous son apparente sécurité, ce « j’ai raison »…
Alors « j’ai raison » s’améliore dans le jeu du pouvoir, il met de plus beaux habits, tiens des discours plus affirmés, se pare de connaissances.
Pourtant « j’ai raison » voulait bien faire. Il voulait ne pas se sentir vu dans son infériorité, sa sensation d’indignité…
Parce que dans son cœur, « j’ai raison » savait, que ce point de référence qu’il mettait tant d’efforts à chercher à l’extérieur ne lui apporterait pas la paix.
Chacun a raison selon son point de référence, pourtant tout le monde a tort car tant que ce point de référence n’a pas été planté en l’éternel, la terre est destinée à trembler sous les pieds du contrôle ; jusqu’à ce que raison et tort déposent leurs fardeaux aux pieds de l’ultime.
Et qu’il fasse de nous de simples serviteurs.
Et qu’il ne reste rien d’autre que cette constante dévotion.
https://youtu.be/Oqo6P8orVDs?si=nTvA5tpRLxS6ckDJ
Domination de l’intellect dans la société, faire des erreurs, estime de soi & intégration de l’éveil La plus grande sécurité est de faire un avec dieu And the dream of this world can never touch you… (j’ai fait un mix perso dans la vidéo je crois !)Magnifiqu...
La nature n’accorde sa véritable abondance qu’à ceux qui sont déjà remplis. Elle se languit de révéler son doux reflet, sa générosité… si seulement le cœur des hommes savait.
Elle pleure de voir l’envie, l’accumulation, la jalousie se déverser sur elle.
Car dès qu’elle montre une jambe, l’homme la saisit, ses yeux se transforment, il ne voit alors plus son environnement, ses frères et sœurs… et si encore il pouvait voir Sa Dulcinée.
Une jambe aura suffit à le transformer en loup.
Car rien ne peut satisfaire la faim du loup qui s’est cru isolé de Sa dulcinée. Aucun nourriture ne suffira, alors la dulcinée se cache… elle lui cache sa véritable abondance. Et lui la poursuit dans le monde, la notoriété, le succès, le pouvoir et l’argent.
Alors la nature, esclave de son œuvre, lui offrira du temps pour se retrouver, la notoriété, l’argent et le pouvoir n’ayant rien fait pousser. Elle instillera en son œuvre le respect et le goût d’une nuque pliée.
Car c’est uniquement par cette agilité, que le cœur d’un homme retrouvera sa vérité.
Et un jour il aura les yeux pour admirer
Ce que personne ne peut au monde révéler
Car il s’agissait en fait d’un reflet…
Cachée dans le cœur d’un homme
L’abondance de Sa dulcinée.
Comment peut-on se croire détenir les clés des lois de cause à effet.. à fuir la douleur, la peine et l’inconfort, à suivre le monde et ses hallucinations, à recouvrir son âme d’espérances illusoires, de quête d’un pouvoir qui n’existe que dans les yeux du soldat isolé, se battant seul pour son existence, détourné des lois du vivant…
Ce soldat s’est cru invincible, dictant au monde avec fierté le chemin que lui seul s’est tracé, embobinant les faibles, les aveugles du cœur et ceux dont on a réduit la réceptivité par des substances et des vices.
Car il tremble en-dedans, qu’un jour soit révélé aux yeux de tous le ruissèlement de faiblesses qu’il tient sous son bouclier. Car se croyant seul et isolé, ils n’a trouvé rien d’autre que cette fierté.
Seul et isolé, il se croit invincible sous son bouclier, niant que tout y compris le bouclier était emprunté à Dieu, dans le seul but de jouer.
Il se battra, luttera contre tout, sa douleur, ses vices et même sa fierté.
Niant que le néant qu’il croyait vide se serait un jour révélé… comme l’abysse qu’il était en vérité.
Combatant un jour, combatant il resterait, car cette abysse qu’il niait serait un jour sa dulcinée…
Et le bouclier du monde ne se briserait pas d’un simple ba**er.
Qu’il lui faudrait j***r d’une énergie plus élevée, d’un nectar, un puit au sein duquel le monde se servirait.
Rappelant à chacun ce qu’il est, le service, l’honneur et la dulcinée…
Car rien ne peut rappeler aux lois de la nature plus qu’un ba**er…
Qui n’a jamais été et ne sera jamais embrassé.
Les amis, je partage souvent sous forme de stories et elles sont partagées sur mon compte perso (Delphine Barthere), il y a un bug, elles ne sont pas partagées de Instagram ici…
Si vous voulez les voir, ajoutez moi en amie sur mon compte perso 🙏 à bientôt !
Notre capacité à rester avec l’inconfort est ce qui fait notre richesse. Il y a des zones où nul n’aurait prédit que s’y abandonner aurait transformé la réalité en or.
Périssent ces désirs des plaisirs furtifs, ils n’ont pas connu l’extase des abysses.
Car seuls les transis du silence, ceux dont le cœur s’est abandonné aux sources du chaos en dedans seront ressuscités, car eux n’auront pas péri sous le joug des illusions du monde. Et à eux il sera donné, ce qu’aucun n’aurait un jour imaginé…
Hier j’ai eu une très belle conversation sur l’honneur ♥️
Je vous partage un peu…
Dans la spiritualité, tout peut être source d’interprétation pour la prison duelle de l’égo, et c’est ce qui fait confondre le lâcher-prise et la soumission et malheureusement dans beaucoup trop de cas, est source d’abus en tous genres.
Quand le personnage se saisit de la spiritualité, il en fait un bouclier ou un dogme, et dans certains cas, le concept du moment présent recouvre les charges traumatiques et inhibe les dissociations, voilant ainsi la source de connaissance à l’intérieur de soi, où réside l’honneur.
Plusieurs cercles spirituels et faux gurus insufflent l’idée du moment présent pour donner à leurs actes une légitimité et encourager à rejoindre leurs pratiques loin d’être ancrées dans l’honneur. Parmi elles, l’idée de se libérer par la s.xualité en invitant à des pratiques de groupe ou des relations sans lendemain pour débloquer des choses en soi…
Alors l’honneur est recouverte par le trauma, la sidération ou le figement, la sensation de se sentir spécial(e) attisée et les concepts spirituels du moment présent saisis, le besoin d’appartenir au groupe ou de ne pas ressentir la honte, bref le cocktail parfait à la dissociation et non au moment présent.
Bien évidement, ces pratiques ne laissent pas indemnes, car les limites étaient franchies.
Et que les limites sont à Dieu.
Et que nous sommes à Dieu et non au monde, que le monde ne peut avoir de pouvoir sur nous que si nous lâchons l’honneur, et qu’obéir au plaisir n’est que source de souffrance.
Le corps est un miracle…
Si je devais donner un trajet point par point à ce qui l’a mené à prendre son indépendance au-delà du gaslighting médical, ce serait de l’art abstrait. Pourtant il y a une intelligence au service, un trajet intérieur qui s’est tracé par la force du lâcher prise.
Non seulement mon corps a prit son indépendance, dans le sens qu’il a appris à refonctionner de façon innée, s’est libéré des traumatismes, des empreintes isolées de celles de Dieu, mais il a aussi appris à se décalcifier.
Je ne saurai dire combien mon intuition m’a servi de socle depuis petite, même dans les fameux gaslighting médicaux où malgré mon manque de connaissances sur la tuberculose surrenalienne, j’ai trouvé à 6 de tension et des symptômes inimaginables, la force de donner sur un plateau les deux mots aux équipes de l’hôpital des maladies tropicales. Mais faut-il encore écouter, ce qu’aucun n’a fait, encore aujourd’hui.
Mon corps ce miracle a suivi des routes tracées par plus grand, que l’intellect ou la pensée ne peuvent comprendre ou même entendre, mais que la foi n’aura étouffé à aucun instant, parce que quoi qu’il m’eut été demandé de traverser, je n’ai pas eu d’autre choix que d’y aller.
L’ego cherche, toute son énergie est dédiée à la quête, que ce soit dans le but de protéger d’émotions comme la honte et l’impuissance ou pour avoir enfin la sensation d’une issue à la blessure d’infériorité… de façon subtile ou sous couvert de spiritualité, il cherche à exister, quelque part.
Lorsque la blessure d’infériorité est vue et que la victimisation peut se frayer un chemin, elle devient la porte ouvert à des abus sous forme narcissiques, car ceux qui en portent le fardeau rejettent la victimisation en eux et tout ce qui pourrait les mettre face aux émotions qui recouvrent la blessure d’infériorité.
Ce jeu est souvent mis en lumière par le duo empathe - narcissique, et se jouera tant que les miroirs ne se seront pas rencontrés.
Beaucoup d’empathes se réfugient dans la spiritualité et c’est souvent le jeu de nouvelles mises en lumière de ce même schéma, parce que la quête ne s’arrête pas quand on entre dans un cours de yoga ou qu’on a trouvé un enseignant spirituel.
La quête s’arrête quand elle a été naturellement épuisée, que la connaissance s’est intégrée et qu’il est clairement vu que l’infériorité ou la supériorité sont deux faces de la même pièce et que la vérité n'est pas en ces deux faces, mais au centre.
Lire tout l’article sur le blog :
Jeux de pouvoir, les limites et la honte L’ego cherche, toute son énergie est dédiée à la quête, que ce soit dans le but de protéger d’émotions comme la honte et l’impuissance ou pour avoir enfin la sensation d’une issue à la blessure d’infériorité… de façon subtile ou sous couvert de spiritualité, il cherche à exi...
https://youtu.be/Tnrn9e1S71Q?si=lIM80u6cE8FHLG1c
Émotions d’inexistence : l’égo fera tout pour contourner l’infériorité et y faire face Dans le fond de la bassine, les émotions liées à l’infériorité telle que la sensation d’inexistence, la peur d’être rejeté, ostracisé, de ne pas appartenir a...
Que cherche l’homme si ce n’est de voler ?
Et qu’y a-t-il de plus tentant que de fabriquer des ailes pour y arriver…
Il veut s’unir à Dieu mais pas être humilié. Peut-il encore imaginer que ce seul souhait lui vaudrait tout ce qu’il connaît.
Car de cette union divine s’immiscerait, une obéissance à Dieu et à son impénétrabilité.
O cher homme es-tu véritablement prêt ?
À donner tout ce que tu as, que tu aimes et que tu connaissais ?
Les peurs, le rejet, les masques et ta fierté…
À t’abandonner à l’ultime sans fuir ni négocier.
À renoncer à ton nom, tes rêves pour un simple ba**er
Un ba**er qui transformerait ta vie à jamais.
Es-tu véritablement prêt ?
Car peu ont déjà osé ou oseront jamais
Et de fou on te traiterait, serait-il alors possible d’imaginer…
Que même aussi fou qu’on te dirait, il n’y aurait qu’un chant que tu suivrais.
Cher homme, seul tu ne l’es jamais.
Ce chant te mènera où il doit te mener
O cher homme peu ont déjà osé…
Et je te le dis, rien n’a de saveur pour celui qui n’y a pas goûté…
Et qui en Dieu ne s’est pas abandonné.
https://youtu.be/0yuIP5_tOd8?si=n06MiGrrUHadrEE6
Témoignage de guérison, gardiennes de l’humanité et déviances dans la spiritualité new age
Puissent les voix s’ouvrir, et les humains se servir de leur courage pour protéger, parler et placer l’honneur au-dessus des peurs. Puissent la profondeur et la puissance de ces sur-vivantes aider d’autres sur-vivants à trouver leur propre chemin de foi et de résilience. Et que justice soit faite au nom de tous les enfants, et de l’innocence.
Le Kitchari est un plat traditionnel indien très digeste composé de riz et de lentilles Mung. Les graines sont importantes pour construire de nouvelles cellules, combiné avec les lentilles, le ghee, les épices et des légumes, il devient un plat équilibrant et nourrissant dont on peut varier la composition selon les doshas, les saisons et la qualité du feu digestif.
En Inde, on le donne aussi aux enfant quand ils commencent à manger pour la première fois autour de 1 an et plus.
Si vous le consommez en monodiète, il peut être idéal pour relancer le feu digestif. Sa composition procure de l'ancrage, il permet d'équilibrer Vata de par sa consistance chaude et humide.
Lire tout l’article :
Le kitchari et autres variations Le Kitchari est un plat traditionnel indien très digeste composé de riz et de lentilles Mung. Les graines sont importantes pour construire de nouvelles cellules, combiné avec les lentilles, le ghee, les épices et des légumes, il devient un plat équilibrant et nourrissant dont on peut varier la...
Personne n’est un génie, le génie traverse, s’il lui plaît.
La quantité de génie qu’un être peut recevoir dépend du vide, pas du plein, et plus le personnage s’associe au génie plus il est enclin à devenir fou et à souffrir. On le voit chez les acteurs, les chanteurs, quelque chose semble en posséder certains, on l’associe aux gandharvas dans les Vedas, des énergies associées à certains artistes connus, il est dit qu’elles apportent la joie à ceux qui profitent de leur art mais de la souffrance à ceux qui le partagent.
La dernière œuvre de Van Gogh, réalisée le jour de son sцicide représente des racines d’arbres floues, la dernière chanson que Michael Jackson ait interprétée avant de mourir était earth song…
Un appel à trouver son socle, ses racines, à ne pas s’approprier le génie qui nous traverse parce qu’il appartient à la terre, nullement au personnage.
Qu’il en soit de l’art sous sa forme chantée, dansée, que ce soit dans la science, la guérison, les mathématiques, le dessin… nous sommes vides et le resterons.
Si l’énergie monte et le génie opère, ce n’est que pour les grâces du monde et pour en nourrir ses racines, nous restons des vases, creux de vides.
Prêts à accueillir le génie comme son absence, la richesse et la pauvreté, la présence et l’absence, la reconnaissance et le manque de reconnaissance… car dans la nature rien ne peut s’accumuler sans flétrir ou pourrir.
Et que chaque attachement doit périr, car il n’appartient qu’à Dieu de nous décorer de sa saveur, et d’en nourrir le monde.
Je me réjouis de ses saveurs et honore leur absence, qu’y a-t-il de véritablement absent quand rien ne manque à ma complétude. Rien n’a véritablement de sens…
Rien ne me satisfait plus, que cette étreinte fidèle, je suis l’instant amoureux de lui-même.
Art .amalia.rachel
Au-delà de ce que l’ayurveda offre comme ressources pour préparer le corps à la conception (plusieurs mois avant pour les deux parents), on prépare la mère à reconnecter en profondeur à son corps, à libérer les émotions prisonnières de son utérus et qui peuvent laisser des empreintes au bébé.
Ce qui arrive souvent pour les femmes est qu’elles soient déconnectées de leur utérus, ce qui au-delà du lien à la fertilité peut lors de la grossesse générer des sensations d’insécurité ou de déconnexion qui peuvent s’imprimer ensuite dans la conscience du bébé. Habiter son utérus, c’est habiter sa féminité, c’est laisser s’habiter le climat naturel, chaud et humide de l’amour. Lorsque l’utérus est froid par exemple, il peut y avoir de la sécheresse, un manque d’énergie vitale dans la zone pelvienne et des problèmes de fertilité. Trop de chaleur est aussi un problème…
Des émotions comme la culpabilité et la honte lorsqu’elles sont très présentes et non conscientisées dans l’utérus donnent au fœtus la sensation que le simple fait d’être en vie est un poids, et à terme peuvent laisser l’empreinte qu’il faut se sacrifier dans la vie. Si l’utérus est très habité par le stress et l’anxiété, le fœtus baigne dans cette énergie ce qui peut mettre son système nerveux sur le qui-vive.
Notre utérus a pu retenir des impression, des sensations et des émotions qu’il est possible de rencontrer et de nettoyer avant de recevoir et de préserver la vie d’un autre être.
Les émotions comme la peur, la honte et la culpabilité sont particulièrement en lien avec cet organe.
🐣Lors de l’atelier pré-conception, je vous partagerai les ressources ayurvediques en lien avec cette phase importante de la vie…
À toulouse le 13 juin
Plus d’infos sur le site : https://www.delphinebarthere.com/actualites
Les problèmes d’infertilité d’aujourd’hui sont inséparable de notre relation à la nature envahie, polluée, intoxiquée, desséchée…
Le taux de sperme dans tous les pays occidentaux a chuté de 52% à 57%, depuis les 40 dernières années, un homme sur trois est infertile et une femme sur quatre. C’est une crise qui touche en profondeur la blessure d’infériorité, elle touche notre relation à l’insécurité, à l’échec, au désespoir, à l’abattement, à l’immobilisation…
Elle touche notre rapport au masculin et au féminin, à notre polarité de naissance… et dans tout ce qu’elle touche, c’est une crise de Foi qu’elle déclenche.
Retrouver les racines de la fertilité ne peut se désolidariser de notre lien à la terre, qui nous enseigne les rythmes ; la nature fertile d’un sol nous ramène à notre propre fertilité en tant que femme. Ce que partage l'ayurveda sur la pré-conception et la fertilité est intimement lié à la nature et ce lien ne peut être séparé.
La terre nous guide dans notre propre fertilité, il suffit de l'observer pour retrouver l'importance de l’union profonde du couple, le soutien de la communauté, les écosystèmes et les organismes vivants qui contribuent à la naissance, la chaleur douce et humide qui rend possible l'accueil de la vie dans le corps humain, et dans la terre...
Retrouver ce lien remet de l’ordre, l’imposition personnelle et individuelle laisse place au lâcher-prise et au respect des lois de la nature.
C’est de cet espace et avec la connaissance que la fertilité reprend ses droits. Car souhaiter la naissance n’est pas un acte égotique, c’est une évidence qui s’impose comme une graine qui a pour plan d’exister et qui par les plans de la nature et l’organisation divine, trouve son chemin vers la naissance.
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https://www.delphinebarthere.com/post/pré-conception-ayurvédique-et-le-lien-à-la-terre
L’égo ne lâche pas prise, le lâcher-prise se fait.
S’il n’y a pas de prise branchée sur un courant supérieur, l’idée de lâcher-prise fait entrer l’égo dans une quête de perfectionnement de lui-même, sans jamais véritablement lâcher-prise…
Quand je parle de courant supérieur, c’est à ça qu’ont servi les maîtres et les prophètes (hommes et femmes) depuis toujours. Aujourd’hui avec l’engouement du développement personnel et spirituel, l’appropriation culturelle, la perte de repères des sociétés occidentales et l’effacement de l’honneur au profit du consumérisme (matériel, humain, spirituel…), beaucoup de gens se retrouvent dans ce cercle vicieux. Ce qui crée parfois des burnouts, des visites en hôpitaux psychiatriques à cause de montées de kundalini, des dissociations et surtout ; des égos spirituels.
Quoi qu’il fasse, l’ego ne se libérera pas, il ne deviendra pas plus sage ou plus altruiste, aucune couronne de fleurs ou roulement de tambours ne le rendra authentique. Car seule la couronne d’épines peut laisser place à l’authenticité ; la rencontre avec les ombres, le face à face avec la souffrance et tout le contenu qu’elle cachait.
Aucune manœuvre de l’égo ne dévoilera ce que l’instant peut dévoiler dans une acceptation profonde. Et la main tendue d’un courant plus grand nous accompagne, est et sera toujours là, pour l’éternité.
Laisser se dérouler le fil de la pelote de laine
Peu importe la taille de la pelote, le bout du fil n’a d’yeux que pour lui-même en l’instant. Il se fiche des ragots sur ce à quoi ressemble la vie démêlée, son œuvre n’est pas l’après mais l’authenticité.
Parler de ce bout du fil, c’est parler de l’œuvre au noir en dedans, elle est si simple, banale et naturelle qu’elle n’en paraît pas spirituelle.
Le monde du développement personnel est une mine d’or pour les personnes dont la tête ne sait pas s’abandonner au déroulage de la pelote, parce que la tête n’a pas accès à la compréhension de tout ce qui englobe une pelote.
Elle va entortiller le fil qui se débrouillait très bien par lui-même en lui faisant monter la kundalini, donnant toutes les phases de son ascension pour que la tête soit bien sûre que le fil ne s’est pas perdu dans le néant…
Parce qu’il est impossible pour une tête de dérouler le fil et parce que la vie est pleine en elle-même, cet instant peut se satisfaire de lui-même dans tout ce qu’il a à donner.
La fertilité, au-delà de son rôle dans la conception est l’une des meilleurs indicateurs de santé pour la femme.
Et avant de parler du désir d’avoir un enfant, l’ayurveda nous donne les clés pour préparer un terrain idéal à la santé et à la conception ; de la même manière que pour la fertilité de la terre, le corps d’une femme a besoin un terrain chaud et humide, la femme étant majoritairement lunaire.
Une terre fertile est humide (ni trop sèche ni trop humide), elle a suffisamment de soleil, ni trop ni trop peu...
Préparer la conception, c’est apprendre à revenir à notre climat intérieur naturel, soutenir notre résilience naturelle pour la grossesse et le post-partum.
C’est aussi préparer un terrain de santé pour son bébé, prendre le temps, accueillir les émotions qui naissent avec l’arrivée d’une nouvelle conscience ou parfois lâcher-prise parce qu’on a l’impression que rien ne marche, lâcher-prise tout court.
C’est accueillir l’enfant que nous étions, nos blessures et sabotages ; parce que préparer la conception n’est pas une liste de courses, c’est aimer les zones en nous qui étaient dans l’ombre, car la santé est un état naturel et notre corps sait très bien retourner à l’équilibre quand on lui donne les ressources et l’écoute nécessaires.
Car comment être un source d’accueil pour un autre être si nous ne sommes pas aptes (physiquement, émotionnellement et spirituellement) à nous accueillir nous-mêmes ?
Beaucoup de parents vous diront qu’accueillir un enfant est la plus grande source de transformations intérieures qui leur ait été donnée de vivre, c’est une conscience qui vient faire miroir à nos mécanismes latents, retourne chaque pierre pour y apporter de la clarté !
Lors de cet atelier, je vous partagerai les bases ayurvédiques pour soutenir le corps et la digestion des émotions dans ce passage.
Je vous donne rdv à toulouse le 13 juin pour cet atelier ❤️
Toutes les infos ici : https://www.delphinebarthere.com/actualites
Ce que la plupart des gens cherchent, c’est d’être vus. Mais quand on ose les voir, ils trébuchent et perdent pieds parce que l’égo refuse de laisser voir ce qu’il juge inacceptable.
Alors beaucoup courent après des interactions spirituelles parce qu’on parle « un même langage », mais c’est le serpent qui se mord la queue.
L’intimité ne parle pas spirituel, elle parle l’authenticité, et ça se trouve à tous les coins de rue l’authenticité.
Souvent, les cercles spirituels rendent faibles parce qu’ils nous soumettent à un langage unique en nous faisant croire que c’est la maison.
Alors que la maison c’est la Vie, la diversité.
On se fiche de voir que tu es spirituel ou même authentique, peux-tu juste être à la maison en toi-même et en tout ?
Si oui, tu te ficheras d’avoir un certain langage parce que ce qui est dit se choisit à travers toi, tu te ficheras d’avoir des collègues comme toi parce que ce qui s’échange ou pas se fait tout seul et sans effort. Tu te ficheras d’être entouré ou pas parce que l’intimité que tu partages autour de toi est la même qui se vit en toi, tu te ficheras d’avoir l’air d’un imbecile parce que ta dignité est l’essence de ta vulnérabilité.
Aucun espace ne mérite notre apathie, notre ignorance, notre absence. Tant de zones se sont désertées du corps, elles errent assoiffées de notre attention, rampant en quête de miroirs qui pourraient nous rappeler à notre intimité oubliée.
Parce que ces zones désertes ont été colonisées par de faux guru ; un mental occupé, du contrôle acharné, des pensées pour combler, de la distraction sans s’arrêter…
Un beau jour un miroir intervient pour assurer notre souveraineté, il fait tout bousculer, le masque, le mental et les identités.
Et tout ce que le miroir montrait, que tant d’autres n’auraient pas osé…
Nous met face à notre propre intimité, et des espaces arrachés, du présent et de la vérité.
Mais peu de gens auraient osé, montrer toutes ces consciences inversées.
Pourtant un miroir a osé…
Seras-tu capable d’y aller ?
Dans les abysses abîmées…
Sauras-tu ne plus t’abandonner ?
Et rester uni(e) à jamais.
Parce que tu es l’intimité que tu cherchais,
En l’autre et dans l’humanité.
Mais aujourd’hui ce leurre est éclairé
Tu es La source, l’étreinte et la beauté
Le nectar, la tendresse et l’éternité
Peu de gens te l’ont soufflé,
Car peu l’ont déjà habité.
Va, plonge dans ton humanité
Accueille-la les yeux fermés
Car la Vie veut te vivre,
Mode exalté activé.
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