Paul Perfect Pindji
Je suis passionné de Poésie, de Psychologie, de Communication et de Marketing Politique !
Paul Perfect x Paul Perfect Pindji
Collaborateur de qualité pour le Président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema et le Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI 🇬🇦
• LE CHANGEMENT DES MENTALITÉS
avant LA RESTAURATION DES INSTITUTIONS
- DE LA PRIORITÉ À LA PROBITÉ
Dans la mémoire sociale au Gabon, l’on s’est tant répandu en éloges pour les dépositaires de l’autorité publique et politique, qu’on a peu parlé de vertu. Et la corruption de même que le vice n’ont rarement été réprimé et réprimandé aussi fermement et de façon aussi indignée que depuis le Coup vertueux du 30 août 2023.
Exceptionnellement polyvalente, l’absence de probité dans la gestion des affaires de l’État expose davantage le Gabon à un nanisme économique et à la pérennité de nombreux maux : abus de pouvoir aux fins de profit personnel ; subornation, vol, détournement de fonds ; fraude et acceptations de dessous-de-table ; activités d’acquisition de rentes ; fraude fiscale ; extorsion et intention de resquiller ; sollicitation de faveurs sexuelles ou autres ; pratique de la discrimination, des « clientélisme et népotisme », du patronage et du copinage (dit copain-coquin) ; omission de dire la vérité ; distorsion de la réalité ou falsification des preuves de façon malhonnête dans le but de s’insinuer dans les bonnes grâces des Autorités et la révérence vassale des « pauvres » populations.
Il m’apparaît donc fondamental, dans un processus d’édification, de suggérer que soit d’abord érigée une solide infrastructure de l’éthique dans la cité et dans la gestion des différents appareils de l’État; avant ou concomitamment à la restauration des Institutions.
S’y faisant, le changement des mentalités s’avère aussi stratégique que tous les autres ouvrages infrastructurels. Car aussi vertigineux, beaux et utilitaires qu’ils puissent se montrer une fois sortis de terre, ou écrits d’une encre éternelle, la gestion et animation de ces ouvrages infrastructurels sont l’œuvre de l’homme.
C’est donc pourquoi, si l’homme ou la femme, dépositaire d’une autorité publique, n’a préalablement reçu aucun examen de ses qualités de l’ordre de l’éthique; la déontologique; la droiture et la conscience de ses responsabilités; la probité, etc; l’irrespect de ces normes suprêmes serait fort dommageable à l’encontre des fondamentaux de la restauration de la bonne gouvernance et de la pérennité du contrat social inscrit à la base de la Charte de Transition portée par le Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI et le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, SEM Brice Clotaire Oligui Nguema.
Dès lors, les effets délétères de notre administration induiront à l’accroissement des inégalités; dans la mesure où ce sont les plus pauvres, incapables de payer, qui en sont les victimes. En outre, les comportements impropres à la probité nuiront gravement à la confiance des citoyens dans les Institutions en cours de restauration, avec le risque que cela comporte pour la vitalité de la démocratie aussi en cours de revalorisation.
Tout chose qui enfreint l’élan du CRTI, après la série d’arrestations de certains autocrates du régime déchu et les chefs d’accusation qui pèsent sur ces derniers.
Les circonstances et l’expérience devront de fait prêcher que la dimension éthique devrait être aujourd’hui plus qu’hier, inséparable de l’idée d’administration au service des citoyens car elle est consubstantielle à l’existence d’un État porté vers la restauration de la défense de l’intérêt général et du bien commun.
Tout bien considéré, si en pensant à Barack Obama (« L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions « ), le CTRI a priorisé la Restauration de nos Institutions pour les rendre fortes, je pense plutôt et prioritairement à l’exhumation de Kofi Annan, pour qu’il revienne nous expliquer pourquoi il disait que : « Rien ne nous mettra sur le chemin de la prospérité, aucune somme d'argent, aucune oeuvre de bienfaisance, en l'absence de bonne gouvernance ».
• POLITIQUE | FRANCE 🇫🇷
Le Rassemblement National, conformément aux prédictions des sondeurs mais contre toute volonté dite patriotique, est plus que jamais aux portes du pouvoir exécutif.
Marine Le Pen et Jordan Bardella se lèchent littéralement les babines devant les résultats des élections européennes de et des autres Partis de gouvernement (LR et PS), et en voyant surtout Emmanuel Macron agir dans le sens de l’agenda édicté par le RN en dissolvant l’Assemblée nationale.
« Puisque le peuple vote contre le Gouvernement, il faut dissoudre le peuple ».
Emmanuel Macron a exhumé Bertolt Brecht et déjà, les conséquences s’avèrent du moins pernicieux.
La solidité des bords politiques français, fragilisée par l’avènement jadis de Macron et En Marche, est mise à rude épreuve…
Place aux schismes au sein des familles politiques classiques. Si c’est fort ubuesque à Droite (les Républicains et RECONQUÊTE), ça l’est tout autant à Gauche (Parti Socialiste et La France insoumise). Que dire des Centristes de Nicolas Dupont-Aignan et autres… !
C’est quand la conquête du pouvoir (RN) s’affronte à l’exercice de celui-ci (RE) que les jeux politiques revêtent tous leurs enjeux !
Les 3 enjeux pour Macron :
1. Si Renaissance et son front patriotique gagnent : le pouvoir de Macron sera conforté (j’en appellerai d’ailleurs à François Baroin à Matignon. Enfin !) ;
2. Si le Rassemblement National et ses alliés gagnent de peu : Macron devrait céder Matignon au RN et Bardella ou autre lieutenant de Marine Le PEN deviendrait ainsi 1er Ministre ;
3. Si le Rassemblement National gagne de beaucoup : Macron s’exposerait à une résignation.
Tout se joue donc actuellement dans les alliances stratégiques et petits arrangements…
À SUIVRE…
• GABON vs GAMBIE
Les gars,
« Mettons les organes », sans lâche ni relâche.
Car en réalité, nos organes n’ont de sens que l’essence de la gagne !
JOUR DE FOOT, C’EST JOUR DE FÊTE ⚽️
Notre attachement au Gabon devra davantage se manifester aussi bien par la fierté du Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI à le défendre par les armes, que par l’invariabilité de notre dévouement à le promouvoir par… le football !
PLUS CHAUD, PLUS BEAU, PLUS HAUT…
ALLEZ GABAO !!!
Fédération Gabonaise de Football
• HOMMAGE À OMAR 🇬🇦
Longtemps servi aux côtés de feu Omar BONGO, le Président de la Transition, Président de la République, SEM Brice Clotaire Oligui Nguema préside ce jour aux côtés de la famille biologique la cérémonie de commémoration du 15e anniversaire du décès de celui dont la nostalgie des qualités de médiateur dans le dégèle des conflits et des crises politiques à travers le monde reste inconsolable.
En essayant, depuis son départ, de l’exhumer par le biais de ses actes de présidence, c’est sa divination qui continue plutôt de faire écho sur son sens élevé d’altruisme, de dévotion au service public et de maintien de tous les instants de la Paix.
La résurgence de sa célèbre divination : « Dieu ne nous a pas donné le droit de faire du Gabon ce que nous sommes en train de faire, il nous observe. Il dit : amusez-vous. Le jour où il voudra aussi nous sanctionner, il le fera » est certainement à l’origine de ce Coup vertueux du 30 août dernier orchestré par les Forces de Défense et de Sécurité, en tête desquels son fidèle aide de camp qui depuis explique qu’il s’est imposé cet acte héroïque pour empêcher des perfides trompeurs de continuer à semer le poison et répandre la peur au Gabon.
Alors, si commémorer ce jour, c’est comme rechercher la présence d’Omar BONGO à travers des visages, des lieux ou des mots, cette divination regorge en effet de nombre mots qui rappellent aux gestionnaires politiques la conscience et la souciance d’abord pour le peuple Gabonais.
Depuis le 30 août, le Général Président, répond à cette interpellation du feu Président Omar en présentant quelques incarnations qui rapprocheraient bien lisiblement son modèle politique à celui de ce prédécesseur. Mais nous pouvons aussi apercevoir un fort mimétisme d’avec feu Jerry RAWLINGS et feu le Général de GAULLE, respectivement présidents du Ghana et de la France.
D’Omar BONGO, nous pouvons observer le sens du « consensualisme » politique, illustré par la réunion réussie du CTRI autour de lui, la tenue du Dialogue National Inclusif. Sur le plan international, le Général OLIGUI s’est attaqué aux différentes suspensions sous régionales pesant sur le Gabon après le coup de la liberté. Il s’agit par exemple de la suspension de l’aide au développement, des accords de défense... mettant ainsi en avant son sens supérieur du dialogue, du pragmatisme consensualiste inspiré de feu le Président Omar.
De Jerry RAWLINGS, il se dégage une philosophie proche du « réalisme » économique que le Ghanéen avait si bien su mettre en branle dans son pays. Au Gabon, le Général l’a démontré par la saisie immédiate de certains biens matériels et financiers pour le financement des projets sociaux structurants. Les premières étapes de sa tournée nationale ont déjà permis de dégager la philosophe politique de son modèle de leadership. À Libreville, quelques réalisations sortent également de terre.
De feu le président Français, il semble proche par le Gaullisme. Ce courant de pensées qui est à la base une forme de nationalisme souverainiste, conservateur et défendant économiquement un capitalisme étatiste. Tout ce à quoi nous assistons depuis le 30 août avec le coup de la liberté qui marque la résistance au régime Bongo-Valentin (comme à une autre échelle De Gaulle avec les N***s) ; une forme d’accession à la souveraineté nationale par la réécriture d’une constitution issue des aspirations du peuple; la préférence nationale à certaines positions régaliennes; la réhabilitation de la Radio Panafricaine Africa N.1; l’investissement structurant au profit de la réhabilitation en cours de la SEEG; la création d’un fleuron du transport aérien national « Fly Gabon », entre autres actes de souveraineté nationale.
Les similitudes d’avec ces illustres personnages côtoyés soit personnellement soit idéologiquement du temps qu’il fut aux côtés de feu le President Omar BONGO témoignent de ce que le Général Président OLIGUI garde de son prédécesseur un réel héritage politique. Toute chose qui justifie, s’il en était encore nécessaire, les honneurs à ce référencement politique de choix, dans les actes de gouvernance posés depuis l’avènement du coup de la liberté.
• GLOIRE AU CAPITAINE N’TCHORERE 🇬🇦
Au lendemain du coup de la Liberté, l’ère de la restauration gage au Gabon de se montrer au monde bardé d’attributs tel N’TCHORÉRÉ.
- QUI ÉTAIT CHARLES N’TCHORERE ?
Né le 15 novembre 1896 à Libreville, mort le 7 juin 1940 à Airaines en France; Charles N’Tchoréré fut Officier Gabonais, au service par ailleurs de l’armée française lors des deux guerres mondiales.
Afin d’étoffer ses effectifs d’hommes de guerre, les autorités françaises lancèrent une vaste campagne de recrutement en Afrique. Elles promirent alors la citoyenneté française, en échange du sang versé sur les champs de bataille.
Installé au Cameroun avec ses parents, à la déclaration de guerre en 1914, il quitte cette colonie allemande pour rentrer au Gabon. En 1916, il se porte volontaire pour aller au front contre l’Allemagne.
Affecté au camp de Sauge, près de Bordeaux, il fut envoyé sur le front de la Somme où il prit le commandement de la 7e compagnie du 53e RICMS.
Le Gabonais devint, au fil des ans, l’un des hommes sur lesquels s’appuyèrent les autorités militaires de France, pour définir leurs politiques de gestion des troupes coloniales. Il fut aussi « la voix des tirailleurs sénégalais. »
En dépit de ses multiples qualités y compris pour son grand sens reconnu de “ l’observation et d’analyse hors normes”, Charles N’Tchoréré est confronté en France à un plafond de verre – dans cet entre-deux-guerres, le grade de capitaine est le plus élevé auquel peuvent prétendre les colonisés, même lorsqu’ils sont citoyens français.
Cette époque fut si imprégnée de préjugés racistes, que la hiérarchie militaire n’envisage pas de voir des officiers noirs commander à des soldats blancs, quelles que soient leurs qualités.
Charles N’Tchoréré qui avait été fait chevalier de la Légion d’honneur en décembre 1930, puis capitaine trois ans plus t**d (réf photo), demanda alors à partir. D’abord au Soudan, puis il est affecté à Saint-Louis au Sénégal où il commanda entre autres l’école d’enfants de troupe.
À la déclaration de guerre de septembre 1939, Charles et ses hommes sont faits prisonniers par la Wehrmacht (troupes allemandes) le 7 juin 1940. Ces derniers décidèrent alors de séparer les soldats blancs de leurs frères d’armes considérés par les n***s comme des untermensch (« sous-hommes »).
Le capitaine N’Tchoréré refusa de se plier aux exigences nazies et insista pour rester aux côtés de ses collègues officiers blancs. Il fut alors froidement assassiné (en violation de la Convention de Genève) d’une b***e dans la nuque.
Il est aujourd’hui le symbole de l’engagement et du sacrifice des troupes Afro-Gabonaises au service de la France et surtout du monde libre d’après-guerre.
- QUEL SENS REVÊT CETTE COMMÉMORATION ?
Le Général Président, SEM Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA poursuit le développement de son modèle politique caractérisé par un sens élevé du symbole.
Ces actes mémoriaux en l’honneur de cet héros national permettent de prolonger son souvenir, de célébrer les actes de son vivant et garder ainsi N’tchoréré toujours aussi présent dans la mémoire collective. Toute chose qui justifie le lien social, mais également d'éclairer les choix collectifs, d'établir l'autorité de la tradition et de nos valeurs communes.
Par ces hommage en France et à Libreville, le Général Président montre donc le respect, l'admiration et la reconnaissance de la République Gabonaise à l’endroit de ceux de ses dignes fils. Ainsi, les jeunes générations pourront comprendre puis à leur tour honorer et transmettre, car les monuments en hommage à nos héros sont des tableaux d’honneur qui hissent leurs noms et les noms de ceux dont les œuvres ont honoré le Pays.
• AGENDA PRÉSIDENTIEL 🇬🇦X🇫🇷
Le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition, Président de la République Gabonaise, Chef de l'État reçu ce jour vendredi 31 mai 2024 au Palais de l’Elysée par le Président de la République française Emmanuel Macron.
Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI
• GABON🇬🇦 - FRANCE🇫🇷
À l’ère de la restauration du gagnant-gagnant
Le Coup d’Etat vertueux du 30 août 2023 au Gabon a sonné le glas du régime Bongo-PDG.
La France, un des premiers partenaires du Gabon, condamnait ce Coup. Mais plongé dans des océans de sang innocent tous les 7 ans, le peuple Gabonais, resté beaucoup trop longtemps sous la servitude d’une minorité autocratique, a salué cet acte de bravoure suprême des Forces de Défense et de Securité, et l’a d’ailleurs dénommé “Le Coup de la Liberté”.
”Quand le peuple est écrasé par ses dirigeants avec la complicité des juges, c’est l’armée qui lui rend sa liberté et sa dignité” —Jerry Rawlings.
Après les événements aux Mali et Niger dans le Sahel, la France ne laissera pas filer cet allié stratégique d’Afrique centrale. C’est pourquoi, depuis ces heureux événements, le Président Français a dépêché au Palais du Bord de Mer de Libreville Alexis LAMEK et Franck PARIS respectivement ambassadeur de France au Gabon et Conseiller du président français sur les dossiers africains (Monsieur Afrique) pour tous deux suivre « la situation de près ».
275 jour après ce Coup de la Liberté, la France, spectatrice des actes de gouvernance conduits savamment par le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema se veut désormais plus entreprenante, et envisage même de se démarquer plus activement des arrangements d’avec le régime écroué.
”Si vous êtes neutres devant une situation d’injustice, c’est que vous avez choisi d’être du côté de l’oppresseur” —Desmond TUTU.
Pour cerner avec une particulière érudition l’avènement de ce forum Gabon-France qui à juste titre agrémente l’économie du tête-à-tête entre OLIGUI et MACRON, il conviendrait de préalablement faire remonter le temps pour référer la contextualité des relations entre la France et le Gabon.
Les premiers traités entre ces 2 États frères datent de la fin des années 1830, quand la plupart des colonies françaises remontent aux années 1880. Libreville est une vieille colonie, ce qui explique le lien particulier entre le Gabon et la France. Autre preuve de ce lien, lorsqu’en 1958, le général de Gaulle organise le référendum pour instaurer la Ve République, le président gabonais Léon Mba réclame le statut de département d’Outre-mer pour son pays. De Gaulle refuse. Il craignait que la France soit accusée de manipulation destinée à conserver des ressources en pétrole et en uranium. Indépendant en 1960, le Gabon d’Omar Bongo va rester au cœur de la « Françafrique ».
Président de 1967 jusqu’à sa mort en 2009, Omar Bongo a arrosé financièrement tous les partis français au pouvoir. D’abord, à droite, il aide Valéry Giscard d’Estaing, dont il se détourne en 1977, au moment de l’affaire des diamants de Bokassa. Puis, François Mitterrand. Beaucoup à l’époque s’attendaient d’ailleurs à ce que Mitterrand mette fin à cette relation particulière après son élection, ce qui n’a pas été le cas.
En 1990, François Mitterrand envoie des militaires français au Gabon après la prise d’otages d’employés de la compagnie pétrolière Elf. Les auteurs de cette prise d’otage exigeaient le renversement du gouvernement. À l’époque, le chef de l’État français sauve le régime. Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy ont perpétué ces relations intéressées. En 2009, Nicolas Sarkozy se rend même aux obsèques d’Omar Bongo. Et entérine de fait la succession par son fils, Ali Bongo.
Mais aujourd’hui , si les relations sont anciennes, elles sont depuis quelques années en régression totale. Au niveau politique, elles se sont absolument délitées. La preuve la plus saillante est qu’en 2022, Ali Bongo a fait adhérer le Gabon au Commonwealth. Se rapprochant ainsi des Britanniques et des Américains.
Au niveau économique, si leurs géants Pétroliers et Miniers restent quelque peu présents au Gabon, ils sont tout de même témoins impassibles de l’arrivée en trombe du devenu-géant Indiens ARISE et ses innombrables tentacules dont OLAM et autres.
Avec l’élection en 2012 de François Hollande. Si le socialiste maintient les relations économiques, il gèle les relations politiques. Il est le premier président français à ne pas s’y rendre en visite officielle et s’efforce de prendre ses distances avec les potentats d’Afrique centrale. Emmanuel Macron est sur la même ligne. Il tient à ne pas s’immiscer dans la vie politique gabonaise. Parfois sans même défendre les intérêts économiques français, laissant les influences asiatiques et marocaines s’y développer. S’il s’y est rendu pour débuter sa tournée africaine en mars 2023, c’était simplement pour un sommet sur la forêt équatoriale lancé à l’issue de la COP27.
Aujourd’hui, après avoir condamné le putsch du 26 juillet au Niger contre le président Mohamed Bazoum et la constatation notoire de ses distances d’avec les nouvelles autorités de la Transition au Gabon (Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI ), la France fait marche en arrière et affûte l’éclat de son perron pour l’arrivée solennelle du Président Gabonais et pour discuter des actes de progrès politiques de la Transition (les résolutions du Dialogue National Inclusif), du prochain retour à l’ordre républicain (élection d’août 2025), les accords commerciaux entre nos deux États (économie) et tourner définitivement la page des Bongo !
L’occasion faisant le larron, c’est idoinement en France, Pays du Général Charles De GAULLE, qu’il est temps de comprendre, s’il en était encore nécessaire, que “ Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts”.
L’affluence observée à l’occasion du forum cité supra (50 entreprises attendues, mais plus de 100 reçues) laisse donc aisément entrevoir non pas que l’engouement mais aussi l’intérêt que suscite davantage la destination Gabon depuis le 30 août dernier. C’est la preuve que le Coup de la Liberté a fait place à une Transition de progrès.
Tout bien considéré, la visite du Président OLIGUI laisse entrevoir un réchauffement relationnel gagnant-gagnant pour nos deux grands pays.
L’illustration de ce Forum d’affaires qui vise ni plus ni moins la rénovation et la modernisation du partenariat économique réunissait plus de 600 chefs d’entreprises et hommes d’affaires Gabonais et Français (B2B). À la clé, plusieurs contrats signés d’une valeur totale de plus de 1 milliard d’euros.
Ces contrats ont été signés pour servir entre autres utilitaires à moderniser notre pays dans le secteur ferroviaire qui permettra la mobilité des peuples, la logistique du fret et le transport du minerai de manganèse ; densifier la production d’énergie et sa distribution qui fait tant de mal aux ménages et aux petites entreprises. Ainsi que dans le secteur de l’eau, de façon à ce que les Gabonais y soient tous à tout moment alimenter qualitativement et quantitativement. De même l’aménagement des routes, pour mieux relier les provinces entre elles et la capitale entre les provinces. Car la route est la voie du développement. Aussi, il est judicieux qu’à travers ces échanges commerciaux, les Gabonais y trouvent de l’emploi décent pour baisser considérablement ce taux de chômage qui depuis de longues années oscille précairement entre 30 et 35%.
À l’instar des initiatives de même acabit entreprises par le Général Président au Moyen Orient et à travers le reste du monde, l’enjeu affiché clairement ici, c’est la rupture des relations internationales du Gabon fondées uniquement sur la diplomatie politique classique et des entourloupes nombrilistes. Il est désormais temps de vendre la destination Gabon sous toutes ses belles autres formes de transparence, afin de redéfinir une politique économique gagnant-gagnant de nos accords commerciaux, pour financer la restauration et l’ouvrage de l’édifice nouveau auquel rêve le peuple Gabonais.
⚜️ LE GRAND-LIBREVILLE 🇬🇦
La commémoration du “30 août” prochain comme ''Journée Nationale de la Libération'', sera l’occasion d'ancrer notre étendard au pinacle et déployer sa belle grandeur.
Le Grand-Libreville, plutôt que de miniaturement le caractériser par l'extension urbaine de la capitale, il devrait être la réponse juste à la gabegie des temps surannés, par la grandeur, l'ambition et l’exaltation du BEAU !
Car perçu en l'état actuel, il a déjà exécuté sa part d'actualité. Cette l'actualité-là périssable telle une mode qui se succède l'une à l'effet de l'autre. Éphémèrement. Lâchement. Inélégamment !
Pour le Grand-Libreville, comme je l'entends, il nous faut poser des gestes architecturaux qui résistent à l’épreuve du temps pour ancrer notre héritage. Il faut des projets structurants qui distinguent Libreville, le Gabon et les Gabonais... Au point, pourquoi pas, d'être référé même par notre immédiateté frontalière.
À l'instar du Monument de la Renaissance Africaine, haut de 52 mètres érigé au sommet d'une des deux collines qui surplombent la ville de Dakar, que ma contemplation admirative aperçoit depuis ledit Grand-Libreville...
Il n’y a pas un pays qui veuille se restaurer, se reconstruire sans un projet d'envergure. Il nous faut donc marquer cet instant éternel qu'est le Coup de la Liberté par une œuvre symbolique retentissante !
Le Grand-Libreville devra donc être grand. Bien plus grand que les limites géographiques qui lui sont exigées. Bien plus grand que Libreville 2 qui sera déjà la copie moderne et urbanisée de Libreville 1.
La restauration de nos Institutions nous impose par définition une rénovation architecturale de nos édifices. De fait, chacun de nous devra se munir de la truelle du patriotisme pour ensemble bâtir ce monument qui devra incarner la bravoure suprême de nos forces de défense et de sécurité.
D’où la nécessité pour nous de creuser, fouiller, bêcher; ne laissez nulle place où notre génie ne passe et repasse.
Nous avons cette grâce naturelle de notre positionnement stratégique au creuset de l’équateur où nous pouvons richement contempler le tutoiement de la flore avec la faune, la Pointe Denis et l'océan avec la baignade exclusive de ses vagues sur nos plages... Toute chose qui rafraîchit notre quotidien, sans que l’on ne se mouille onéreusement.
À ce naturellement beau, un geste architectural qui témoignerait de l’audace, l’exubérance, la démesure, la légèreté, bref le sacrement nôtre, saurait maquer du sceau de l'honneur et de la fidélité à tout ce que nous avons de chèrement BEAU !
Ce sera notre façon d’aimer le Gabon : autrement, dignement, grandement. Car le Beau ne réside pas dans la mêmeté urbaine des infrastructures, mais plutôt dans l’audace de la symbolique architecturale.
• COMMÉMORATION : ⚜️1er mai 2024⚜️
BONNE FÊTE DU TRAVAIL
D’abord au Numéro 1 Gabonais, Monsieur Le Président de la République, Président de la Transition, Chef de l’État, SE Brice Clotaire Oligui Nguema, pour avoir conduit cet opportun Coup de la Liberté qui a à juste titre su libérer le génie architecturale de La Nouvelle République.
Excellence, nombreux sont encore ces compatriotes-là, diplômés ou non, talentueux ou non, mais ils sont tous pétris d’une même opiniâtreté revigorée à servir l’essor du Gabon.
BONNE FÊTE DU TRAVAIL
À tous ces patriotes travailleurs, comptant dans leurs rangs civiles et Forces de Défense et de Sécurité tous triomphants par la souveraineté reconquise au prix du sacrifice suprême. Ce jour et pour toujours, nous penserons à vous tous, fils du Gabon. Demeurons dévolus et bâtissons ensemble l’édifice commun auquel tous nous rêvons.
BONNE FÊTE DU TRAVAIL
Aux amis du Gabon, ce regain de la préférence nationale est non-exclusif ni de votre force de travail, ni de votre génie de l’innovation. Notre chantier national s’offre à toutes les compétences au nom du concert des Nations. Mais en contrepartie, nous exigeons désormais une inflexible assimilation à ces valeurs de notre Pays si chèrement restaurées.
⚜️CÉRÉMONIE DE CLÔTURE DU DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF 🇬🇦
Qu’il me plaise de vous faire revivre quelques fines lignes du Discours du Président de la République, Président de la Transition, Chef de l’État SEM Brice Clotaire Oligui Nguema recueillies par le Cabinet d’Intelligence en Communication Intellekt.
⚜️CÉRÉMONIE DE CLÔTURE DU DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF 🇬🇦
Au terme du Dialogue National Inclusif - DNI qui a mobilisé en amont plus de 600 participants et plus de 38 000 propositions, les plus hautes Autorités du Pays ont reçu dans ce Rapport final plus de 1 000 résolutions pour enfin faire l’écho de l’élan patriotique que le Général Président et l’ensemble du CTRI ont à cœur de sacraliser dans la nouvelle Loi électorale, la nouvelle Constitution et dans tous les autres actes légaux de La Nouvelle République.
Outre des fortes mesures qui ont donné lieu à des sanctions fermes contres certaines formations politiques et personnalités politiques du premier cercle de l’ancien régime (2016-2023), il serait fort profitable de se réjouir de ce que les propositions inhérentes à la relance de l’Économie nationale et à la restauration de la dignité Sociale convergent tous en faveur d’une préférence nationale mieux épanouie.
▪️Quelques fragments de l’allocution du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État SEM Brice Clotaire Oligui Nguema.
• Je suis persuadé que dans les pages de ce Rapport, se trouvent les grandes lignes du Gabon nouveau que nous appelons de tous nos vœux (…).
• Le Dialogue est un essai réussi. Nous avons fait un pas, je dirai un pas de géant vers la restauration de notre édifice commun (…).
• Toutes ces diligences et ces aspirations profondes, confortent le grand rêve que je porte pour notre cher pays; celui de bâtir ensemble un tout autre Gabon (…).
• Cette grande et légitime ambition est bien celle que je viens de retrouver avec vous tous à travers ce Dialogue : le regain de l’élan patriotique, l’alliance pour la reconstruction d’un pays qui avait perdu tous les repères, et donc nous scellons aujourd’hui de nouvelles fondations (…).
• Il est important de souligner que, par ces différents mécanismes, le CTRI a pour missions pendant cette période de la Transition, de restaurer les Institutions et de faire du Gabon un pays digne d’envie (…).
• Mes frères d’armes et moi-même, accordons la plus haute valeur à cette œuvre commune, la plus formelle des vocations; nous qui avons pris l’engagement de défendre la Patrie jusqu’à en mourir s’il en était besoin (…).
• AU NOM DU PAYS 🇬🇦
Épris d’incertitudes dans le sinueux virage qu’emprunta jadis notre Pays, nombreux furent résolus à tout décliner, méditant peut-être sur cette divination de Friedrich Nietzsche : « Il vaut mieux être à la périphérie de ce qui s'élève qu'au centre de ce qui s'effondre ».
Aujourd’hui, en comparaison du déjà bel actif présidentiel et des projets de gouvernance d’envergure inspirés et instruits par le pragmatique de notre Général Président, il est opportun qu’au nom du Gabon, nous prenions tous une part active à l’édification de La Nouvelle République !
Le prix de la grandeur du Gabon, nous devons tous le payer par le sens élevé de notre patriotisme. Nous ne pouvons donc pas échapper à la responsabilité de demain en continuant de l'esquiver aujourd'hui.
Barack Obama nous a d’ailleurs dit que : « Le changement ne viendra pas si nous attendons une autre personne, ou si nous attendons une autre fois. Nous sommes ceux que nous attendions. Nous sommes le changement que nous recherchons ».
Ainsi, en sonnant le glas le 30 août 2023, le Général Président et le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions ont réalisé ce que le Constitutionnalisme qualifierait d’accession à « La Souveraineté du Peuple ».
Les énergies sont enfin libérées. L’on peut ainsi effleurer des effusions de bonnes odeurs. Laissant entrevoir un relent d’espérance… exutoire par excellence de nos génies !
Continuons donc à émettre de belles ondes à l’adresse de la grandeur du Gabon. Peut-être qu’un jour, il adviendra que celui-ci nous retourne les siennes, soupirant que nous ancrions ensemble ses lettres de noblesse ✍🏾
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