MEDIA Universitaires.
MEDIA D'ACTUALITÉ UNIVERSITAIRE
🟥🟥 : le Ministre de l'enseignement supérieur du Gabon lance les travaux de l'université de .
L'actualité des Écoles, Universités, Centres de formations, Instituts et Lycées et Collèges du Gabon.
Université Omar Bongo : Les étudiants entrent en grève pour réclamer la révision du décret portant attribution des bourses en République Gabonaise. Un point essentiel concernant l'âge ou encore la limite d'âge semble déplaire aux étudiants depuis plusieurs années. Seulement, sans réel réponse venant des gouvernements, les étudiants espèrent une résolution définitive du problème de part du CTRI.
: l'UASPOM gratifie ses diplomés de licences et Master.
Steev Bie Etoughe
MEDIA Universitaires.
UASPOM
Pour la Culture de l'excellence.
12 pour avoir la bourse au Premier Cycle
Et
11 au second cycle.
Une vérité indéniable....
A lire absolument.
: .
L'étudiant MATCHIGHAN MBEDJICKA Alain Verlain, Étudiant à l' au département de philosophie et Étudiant à l' ,au département de philosophie option master donne sa pensée sur
l'État-nation au Gabon : un déni du propre à soi ?
La philosophie, entendue comme une reprise de soi par soi-même et pour soi-même, nous permet de questionner notre quotidien et notre vécu. Le geste philosophique est de ce fait, une prise en compte de notre expérience, notre singularité, notre historicité et du contexte dans lequel nous nous trouvons. Ceci corrobore avec le thème choisi au Gabon pour cette journée mondiale dédiée à la philosophie : la philosophie en situation, le contexte gabonais à l'épreuve. Ici, dans notre communication, nous montrerons que le modèle d'État-Nation , tel qu'il se pratique au Gabon, est , en soi , une négation de la réalité identitaire des communautés gabonaises (nzebi, fang, punu ,kota , Bawoumbou, omyènè et bien plus ).
l'État-nation, en tant que concept politique, construit la nation à partir d'une l'égalité juridique : la citoyenneté. Dans un État-nation, ce par quoi on s'identifie collectivement, c'est la citoyenneté. En Afrique, l'État-nation, est issu du partage artificiel du continent à l'époque coloniale. Les Anciennes Puissances coloniales avec leur f***e passion dominatrice vis-à-vis des anciennes colonies ont imposé aux États africains le modèle politique d'État-nation aux mépris des réalités sociologiques et socioculturelles des communautés qui constituent leur ipséité, leur en-soi,et leur propre à soi. Le Gabon , comme tout les pays de la sous-région, n'y échappe pas à la règle: il hérite du legs du côlon au sortir de son indépendance en 1960. Ceci dit, institutionnellement parlant, au Gabon, ce qui nous identifie de manière collective et ce que nous avons en commun , c'est la citoyenneté.
1/ La non-reconnaissance de la culture Gabonaise dans l'espace public : une exclusion de notre ipséité ?
Au Gabon, dans l'espace public, l'État, ne consacre qu'une seule expression, c'est l'expression citoyenne. La citoyenneté, ce statut juridico-politique est celui qui est reconnu par l'État dans le domaine public.
Au Gabon, dans l'espace public, l'État, ne consacre qu'une seule expression, c'est l'expression citoyenne. La citoyenneté, ce statut juridico-politique est celui qui est reconnu par l'État dans le domaine public. l'État, en faisant de la citoyenneté, le haut pavé du débat du public, nie d'une certaine manière l'identité culturelle des communautés gabonaises. Pour l'État, le gabonais est uniquement un sujet politique. Or, l'homme n'est pas seulement un sujet politique, il est aussi un sujet culturel. Il n'existe nulle part dans ce monde, un homme, qui n'a point de culture. Cette dernière concoure à la réalisation et à l'accomplissement de l'homme. Elle est l'expression identitaire des peuples. La culture, c'est ce qui propre et inhérent à l'homme. Elle est de ce fait, un en-soi, c'est ce qui est propre à soi. L' affirmation d'une culture permet à un peuple de préserver son être, d'être identique à lui-même, et de pérenniser son >. Cette culture se déploie et s'exprime à l'intérieur des Us et Coutumes, des rites et des traditions. Elle est une réalité phénomènale. l'État Gabonais conçoit la culture comme un simple héritage dont il faut préserver et conserver. C'est ce que montre le préambule de l'ancienne constitution Gabonaise : > , La Constitution de la République Gabonaise, La loi n°001/ 2018 du 12 janvier 2018.
Au Gabon, la culture, ne revêt pas un caractère tangible encore moins vivant. Cette exclusion de la culture dans l'espace public rend compte d'un refus, d'un rejet, et surtout d'une dissolution de manière latente de l'ipséité du gabonais. En d'autres termes, la non-reconnaissance publique des expressions culturelles et cultuelles des nationalités gabonaises, plonge l'être du gabonais dans l'oubli. C'est dire que l'absence, l'inexistence, et l'invisibilité de la culture gabonaise dans le débat public a conduit à la perte de notre identité collective. Le gabonais a donc perdu ce qui constitue sa particularité, son exclusivité , et sa singularité.
2/ La langue française : un déni de soi au profit d'autrui ?
L'ancienne loi fondamentale Gabonaise, en son titre premier, De la République et de la souveraineté, dispose en son article 2 que >
Autrement dit, l'État Gabonais exclu les langues nationales de l'espace public, et reconnaît exclusivement et uniquement le français. Les langues nationales tout comme la culture sont réduites à un héritage. Elles ne peuvent êtres parlées publiquement. Ce qu'il est important de savoir c'est que , la langue française a été importé. L'institutionnalisation du français comme langue officielle de notre pays , est le résultat de cette volonté de puissance de l'ancienne puissance coloniale d'universaliser ses particularités. En d'autres mots , l'adoption du français au Gabon comme langue officielle, s'inscrit dans une vision occidentalocentrée du monde, dont l'impérialisme est la marque de fabrique. La langue française, qui, est la seule reconnue dans le débat public, est un déni de soi au profit d'autrui car, elle est déconnectée des communautés gabonaises. Elle est le symbole de la domination et de l'hégémonie du côlon vis-à-vis du colonisé. Cette langue laboure ontologiquement l'être des populations gabonaises. Le philosophe allemand Fichte, montrait déjà l'importance d'avoir une langue qui soit le produit de la culture des peuples. En effet, chez l'auteur du "Discours à la nation allemande", la langue n'est pas un simple instrument de communication, c'est la pensée du plus grand nombre et aussi une communion des peuples. La langue est un sentiment d'appartenance et d'attachement à une communauté. C'est un élément essentiel et quasi important dans la construction d'une nation. Car, la langue, est un Esprit, qui lie les hommes entre eux , qui les transforme en un Tout, en une Totalité. C'est dans cette perspective que Fichte estime que >.
La langue est comme le dit Leibniz : >. Elle est le miroir de la vie matérielle et spirituelle des communautés humaines. La langue est la matière et l'esprit d'un peuple. Fichte l'a qualifie dont la citoyenneté est la seule expression des peuples, et de se pencher vers la > dans laquelle, la culture est l'expression des peuples. Dit autrement, il s'agit pour le Gabon, de construire sa nation non plus par le haut avec la citoyenneté , mais par le bas en usant de son génie, de
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L'étudiant MATCHIGHAN MBEDJICKA Alain Verlain, Étudiant à l' au département de philosophie et Étudiant à l' ,au département de philosophie option master donne sa pensée sur
l'État-nation au Gabon : un déni du propre à soi ?
La philosophie, entendue comme une reprise de soi par soi-même et pour soi-même, nous permet de questionner notre quotidien et notre vécu. Le geste philosophique est de ce fait, une prise en compte de notre expérience, notre singularité, notre historicité et du contexte dans lequel nous nous trouvons. Ceci corrobore avec le thème choisi au Gabon pour cette journée mondiale dédiée à la philosophie : la philosophie en situation, le contexte gabonais à l'épreuve. Ici, dans notre communication, nous montrerons que le modèle d'État-Nation , tel qu'il se pratique au Gabon, est , en soi , une négation de la réalité identitaire des communautés gabonaises (nzebi, fang, punu ,kota , Bawoumbou, omyènè et bien plus ).
l'État-nation, en tant que concept politique, construit la nation à partir d'une l'égalité juridique : la citoyenneté. Dans un État-nation, ce par quoi on s'identifie collectivement, c'est la citoyenneté. En Afrique, l'État-nation, est issu du partage artificiel du continent à l'époque coloniale. Les Anciennes Puissances coloniales avec leur f***e passion dominatrice vis-à-vis des anciennes colonies ont imposé aux États africains le modèle politique d'État-nation aux mépris des réalités sociologiques et socioculturelles des communautés qui constituent leur ipséité, leur en-soi,et leur propre à soi. Le Gabon , comme tout les pays de la sous-région, n'y échappe pas à la règle: il hérite du legs du côlon au sortir de son indépendance en 1960. Ceci dit, institutionnellement parlant, au Gabon, ce qui nous identifie de manière collective et ce que nous avons en commun , c'est la citoyenneté.
1/ La non-reconnaissance de la culture Gabonaise dans l'espace public : une exclusion de notre ipséité ?
Au Gabon, dans l'espace public, l'État, ne consacre qu'une seule expression, c'est l'expression citoyenne. La citoyenneté, ce statut juridico-politique est celui qui est reconnu par l'État dans le domaine public.
Au Gabon, dans l'espace public, l'État, ne consacre qu'une seule expression, c'est l'expression citoyenne. La citoyenneté, ce statut juridico-politique est celui qui est reconnu par l'État dans le domaine public. l'État, en faisant de la citoyenneté, le haut pavé du débat du public, nie d'une certaine manière l'identité culturelle des communautés gabonaises. Pour l'État, le gabonais est uniquement un sujet politique. Or, l'homme n'est pas seulement un sujet politique, il est aussi un sujet culturel. Il n'existe nulle part dans ce monde, un homme, qui n'a point de culture. Cette dernière concoure à la réalisation et à l'accomplissement de l'homme. Elle est l'expression identitaire des peuples. La culture, c'est ce qui propre et inhérent à l'homme. Elle est de ce fait, un en-soi, c'est ce qui est propre à soi. L' affirmation d'une culture permet à un peuple de préserver son être, d'être identique à lui-même, et de pérenniser son >. Cette culture se déploie et s'exprime à l'intérieur des Us et Coutumes, des rites et des traditions. Elle est une réalité phénomènale. l'État Gabonais conçoit la culture comme un simple héritage dont il faut préserver et conserver. C'est ce que montre le préambule de l'ancienne constitution Gabonaise : > , La Constitution de la République Gabonaise, La loi n°001/ 2018 du 12 janvier 2018.
Au Gabon, la culture, ne revêt pas un caractère tangible encore moins vivant. Cette exclusion de la culture dans l'espace public rend compte d'un refus, d'un rejet, et surtout d'une dissolution de manière latente de l'ipséité du gabonais. En d'autres termes, la non-reconnaissance publique des expressions culturelles et cultuelles des nationalités gabonaises, plonge l'être du gabonais dans l'oubli. C'est dire que l'absence, l'inexistence, et l'invisibilité de la culture gabonaise dans le débat public a conduit à la perte de notre identité collective. Le gabonais a donc perdu ce qui constitue sa particularité, son exclusivité , et sa singularité.
2/ La langue française : un déni de soi au profit d'autrui ?
L'ancienne loi fondamentale Gabonaise, en son titre premier, De la République et de la souveraineté, dispose en son article 2 que >
Autrement dit, l'État Gabonais exclu les langues nationales de l'espace public, et reconnaît exclusivement et uniquement le français. Les langues nationales tout comme la culture sont réduites à un héritage. Elles ne peuvent êtres parlées publiquement. Ce qu'il est important de savoir c'est que , la langue française a été importé. L'institutionnalisation du français comme langue officielle de notre pays , est le résultat de cette volonté de puissance de l'ancienne puissance coloniale d'universaliser ses particularités. En d'autres mots , l'adoption du français au Gabon comme langue officielle, s'inscrit dans une vision occidentalocentrée du monde, dont l'impérialisme est la marque de fabrique. La langue française, qui, est la seule reconnue dans le débat public, est un déni de soi au profit d'autrui car, elle est déconnectée des communautés gabonaises. Elle est le symbole de la domination et de l'hégémonie du côlon vis-à-vis du colonisé. Cette langue laboure ontologiquement l'être des populations gabonaises. Le philosophe allemand Fichte, montrait déjà l'importance d'avoir une langue qui soit le produit de la culture des peuples. En effet, chez l'auteur du "Discours à la nation allemande", la langue n'est pas un simple instrument de communication, c'est la pensée du plus grand nombre et aussi une communion des peuples. La langue est un sentiment d'appartenance et d'attachement à une communauté. C'est un élément essentiel et quasi important dans la construction d'une nation. Car, la langue, est un Esprit, qui lie les hommes entre eux , qui les transforme en un Tout, en une Totalité. C'est dans cette perspective que Fichte estime que >.
La langue est comme le dit Leibniz : >. Elle est le miroir de la vie matérielle et spirituelle des communautés humaines. La langue est la matière et l'esprit d'un peuple. Fichte l'a qualifie dont la citoyenneté est la seule expression des peuples, et de se pencher vers la > dans laquelle, la culture est l'expression des peuples. Dit autrement, il s'agit pour le Gabon, de construire sa nation non plus par le haut avec la citoyenneté , mais par le bas en usant de son génie, de
: Le ouvre le restaurant de l'université demain pour le compte de l'année #2023-2024.
Les Étudiants invités à un déjeuner gratuit. 💥💥💥💥💥
Un jour spécial pour le Fondateur de MEDIA Universitaires. .
Force et santé à toi Big.
Depuis la fermeture du secrétariat d'orientation scolaire universitaire et professionnelle #(SOSUP) , l'agence nationale des bourses du Gabon a prise en main l'orientation des Étudiants dans certains établissements. Seulement, plusieurs étudiants ayant obtenu des accords de bourses par L'ANBG et eyant été Orienter dans certaines universités pour leur formations, ont malheureusement été rejeté par ces écoles, universités et institutions pour de multiples raisons. C'est le cas par exemple des étudiants ayant obtenus des bourses pour des formations à L'uss qui malheureusement n'ont pas vus leur noms apparaître sur les listes des étudiants retenus.
Seulement, sans deuxième choix valides par L'ANBG, ces deniers se retrouvent sans solutions. Que faire alors ?
: Fâcher, les étudiants bloquent la SG de l'université Omar Bongo pour signer leur documents.
Ce matin à l'université Omar Bongo, une foule d'étudiants désireux de faire signer leurs diplômes a entouré la SG de l'université Omar Bongo alors qu'elle essayait de prendre congé de son lieu de travail repoussant par la même occasion la signature des documents des étudiants pourtant venus en masses.
En effet, depuis l'annonce du recrutement à ma fonction publique, plusieurs étudiants essayent tant bien que mal de faire reconnaître leurs diplômes 🎓 professionnels par les instances agrées en la matière dont le secrétariat général de l'université Omar Bongo.
Seulement , depuis ce matin , alors que nombreux étudiants attendaient impatiemment la SG depuis 7h voir 6h du matin pour certains, cette dernière serait arrivée à son lieu de travail quasiment à 9h et aurait face à la forte foule repousser le jour de signature des documents. Ce qui malheureusement a conduit les étudiants à bloquer son véhicule l'empêchant totalement de se déplacer.
Selon la SG , cette décision de repousser la signature des documents à une date ultérieure est justifiée par le fait de l'importance du nombre des étudiants qui nécessite une vérification minutieuse des documents afin de ne point commettre des erreurs.
Seulement, au vu de l'annonce des plus hautes autorités, les étudiants semblent ne pas disposer d'assez de temps. Entre incompréhension, lenteurs administratives et procédures trop longues , la communauté estudiantine a exprimer fortement son mécontentement et espère une nette amélioration de l'action administrative dans les structures universitaires.
MEDIA Universitaires.
Université Omar Bongo
Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI
| Université Omar Bongo 🎓🧠 | COMMUNIQUE SUR L'OUVERTURE DE LA CAMPAGNE D'INSCRIPTIONS AU TITRE DE L'ANNÉE ACADÉMIQUE 2023-2024.
POUR LES NOUVEAUX BACHELIERS 👨🏾🎓👩🏽🎓.
MEDIA Universitaires. 🎓🧠
Cette journaliste 🤝🤝🤝
| Université Africaine des Sciences Politique et de Management 🎓 | PRÉSENTATION DE L'OUVRAGE DU DR MARCELIN MVE EBANG INTITULÉ ; LE GABON ET SES INSTITUTIONS : LE GUIDE DU CITOYEN.
| CNOU GABON 🎓 | CONCOURS DU MEILLEUR LOGO.
Télécharge tous documents directement ici sur le lien
Lire attentivement les documents relatifs au concours avant inscription téléchargeable sur le lien : https://bit.ly/42ScOMJ
Inscription : https://bit.ly/3M31w1z
| UNIVERSITE OMAR BONGO 🎓 | JOURNEE CAMPUS PROPRE 06 MAI 2023.
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Maison de production audio-visuelle. Principal producteur de la Chorale Cri Du Coeur.
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Les news sur les lycées du Gabon mais pas que ,politique, sport .... Dm pour une pub #lyceedugabon #g
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