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L’ONERA étudie l’avion du futur
Le projet NOVA (pour Next Onera Versatile Aircraft) a pour but d’étudier un avion avec des caractéristiques proches d’un A321 ou d’un B737-900, c’est à dire un avion capable d’embarquer environ 180 passagers, sur 3 000 nautiques (5 500km) à une vitesse d’environ Mach 0,8. lire la suite http://syftsenegal.com/articles.php?id=232
VIDEO. Le nouveau Boeing 787-9 Dreamliner décolle presque à la verticale La compagnie aérienne a mis en ligne une vidéo impressionnante où l'on peut voir l'appareil réaliser une ascension étonnante. Des images renversantes. A quelques jours du salon international Paris Air Show, qui se tiendra du 15 au 21 juin au Bourget (Seine-Saint-Denis), Boeing a mis en ligne une vidéo où l'on peut voir un 787-9 Dreamliner effectuer un décollage presque à la verticale. "Un effet de perspective", selon un pilote Sur cette vidéo diffusée jeudi 11 juin sur YouTube, il semble que l'avion de la Vietnam Airlines effectue un décollage à 90 degrés. "Un effet de perspective, assure Patrick Smith, un pilote interviewé par CNN (en anglais). On dirait que le décollage se fait à la verticale (...), mais croyez-moi, ce n’est pas le cas." "Je suppose que l’avion devait être léger, sans passagers, avec peu de carburant, afin d’effectuer une ascension plus verticale que la normale - mais pas aussi verticale que la vidéo semble le montrer", poursuit-il expliquant qu'une telle ascension n'avait "rien de dangereux" à effectuer une telle ascension.
Mercedes dévoile son camion à pilotage automatique, le Future ...
Mercedes-Benz a testé son prototype du Future Truck 2025, un camion Actros à conduite semi-autonome, équipé du système "Highway Pilot". Une véritable révolution dans le monde du transport routier. Le test s’est déroulé avec succès sur une section de 30 km, dans des situations réelles de conduite, sur une autoroute près de Magdebourg, en Allemagne.
Le Future Truck 2025, un camion intelligent à conduite autonome
Conçu pour les trajets longues distances, l’Actros est équipé d’une caméra 3D, de quatre capteurs radars, de connexions sans fil pour permettre aux camions de communiquer entre eux, et d’un logiciel d’analyse de données. Avec cette technologie nommée "Highway Pilot", le camion du futur peut rouler sur la voie publique jusqu’à 85 km/h, sans l’intervention d’un conducteur. Le Future Truck 2025 de Mercedes est également doté du système de régulation de vitesses prédictif, le Predictive Powertrain Control, qui se base sur la technologie GPS.
Les objectifs de Mercedes pour son camion du futur
Selon Mercedes, le prototype pourrait être commercialisé d’ici 10 ans, alors que les coûts du transport et les volumes transportés n’auront cessé de progresser. La conduite sera semblable au pilotage d’un avion. La cabine du futur camion de Mercedes a été conçue pour que le conducteur puisse profiter du mode conduite autonome, par exemple en travaillant sur son ordinateur portable. Le constructeur allemand a conçu son Future Truck 2025 pour être plus sûr, plus efficace et plus écologique.
De nombreuses questions ont été soulevées, notamment le cadre législatif sur la conduite autonome, la responsabilité en cas d'accident, ou encore l'avenir des conducteurs routiers.
Découvrez la vidéo du camion du futur :
regardez Premier porte-avions à propulsion nucléaire au monde
Six remorqueurs ont guidé le navire à environ un mile à son nouvel emplacement. Plus de 200 constructeurs de navires ont aidé à la réinstallation du navire, un effort de deux- heures et demi. Les travaux se poursuivront dans la cale sèche avant la fin de l'année 2016.
"Nos constructeurs de navires de la Marine et des partenaires continuent à travailler en étroite collaboration que nous accomplissons ce contrat unique», a déclaré Chris Miner, vice-président de Newport Nouvelles des programmes de porte-avions en service. "Nos constructeurs navals de slogan pour l'inactivation de l'USS Enterprise est Honoré une légende». La fierté du constructeur et équipe de la Marine ont à faire partir de l'histoire de ce navire légendaire est démontrée chaque jour car ils complètent en toute sécurité chaque étape de ce travail difficile ".
1123 pieds (342 mètres) de long Enterprise a été commandée en 1961 avec huit réacteurs nucléaires à bord, et l'année suivante a été déployé pour participer à un blocus de Cuba pendant la crise des missiles cubains.
Depuis, il a joué un rôle dans un certain nombre de missions navales, y compris les déploiements au Vietnam et au Moyen-Orient dans le cadre de la réponse des États-Unis aux 11 septembre 2001, les attaques.
Surnommé le "Big E", l'entreprise était le plus vieux bateau de service actif dans la flotte de la marine américaine, selon l'armée, et a été le huitième navire militaire américain à porter le nom Enterprise.
Vidéo: Projet d'agrandissement du canal de Panama - 88% complète
Le plus grand projet d'infrastructure depuis la construction originale de la voie navigable, le Programme d'expansion du canal de Panama va créer une nouvelle voie de circulation le long du canal à travers la construction d'un nouvel ensemble d'écluses, de doubler la capacité de la voie navigable.
Les nouvelles écluses auront trois chambres, bassins d'épargne, remplissage latéral et système de vidange et portes roulantes.
En vidéo : des cargos hybrides propulsés par des cerfs-volants
Les navires qui sillonnent le globe libéreraient d’importantes quantités de gaz à effet de serre. Ils peuvent désormais réduire leur pollution, et par la même occasion leur consommation de carburant, de 10 à 15 % en acceptant de se faire tracter par un cerf-volant ! Le système SkySails, une invention de Stephen Wrage, a déjà été testé et approuvé sur plusieurs cargos.
Plus de 40.000 cargos voyagent sur les mers et océans du globe quotidiennement . Ils libéreraient annuellement 4 à 5 % des gaz à effet de serre mis en cause dans la problématique du réchauffement climatique. Un navire de 10.000 tonnes consomme en effet 14 t de fioul par jour.
Stephan Wrage, un ingénieur allemand, a eu une idée simple pour réduire de 10 à 15 % la consommation en carburant des navires : il en a équipé quelques-uns d’un cerf-volant ! Et a créé pour exploiter cette idée l'entreprise SkySails. Le lancement, la gestion et la récupération de l’aile sont fortement automatisés. Tout est dirigé depuis le poste de commandement. De plus, ce dispositif ne requiert aucune personne supplémentaire à bord.
Pour économiser du carburant, les navires-cargos mettent à nouveau les voiles. Enfin, pas tout à fait, ils sortent plutôt des cerfs-volants !
Fonctionnement du cerf-volant SkySails
Le système de vol comprend un mât, un câble et la voile. Lors de son déploiement, le mât, situé à l’avant du navire, s’allonge et prend de la hauteur. La voile se gonfle alors progressivement, puis s’envole. Arrivée à une altitude appropriée, entre 100 et 300 mètres, elle se met à exécuter des huit. À cette altitude, le vent est en général plus fort et plus stable. Particularité : l’aile n’est reliée au pont que par un seul et unique lien. Le système de contrôle, installé sous l’aile, est commandé par une liaison sans fil.
L’installation du dispositif coûte entre 0,5 et 2,5 millions d’euros, en fonction de la taille du navire. Le Beluga Negotiation fut le premier à tester le SkySails dans le cadre d’une utilisation com
VIDEO - 26 remorqueurs portuaires chargés sur un bateau semi-submersible Quand un bateau en transporte d'autres.... Les bateaux semi-submersibles sont des navires destinés à transporter des colis lourds, qui ont la particularité de s'enfoncer dans l'eau, en remplissant d'immenses ballasts, pour charger leur cargaison en se glissant dessous. Ces navires sont particulièrement adaptés au transport d'objets volumineux comme les plates-formes pétrolières ou d'autres navires. Ce type de navires est apparu en 1979, dans le domaine de l'offshore, pour remplacer le remorquage de plateformes pétrolières en mer, ou leur transport par barge semi-immergée, elles aussi remorquées. Le premier navire semi-submersible fut le Super Servant 1, qui offrait une vitesse de croisière double de celle d'un remorquage, pour une plus grande sécurité de transport. Depuis lors, ce type de navire s'est banalisé mais leur déplacement à la charge reste toujours très impressionnant, à l'instar du MV Fjord, filmé depuis un hélicoptère en 2011, alors qu'il transportait 26 remorqueurs portuaires pour le compte d'une société de Singapour.
TRIPLE-E : PARMI LES PLUS GRAND PORT-CONTAINERS DU MONDE Parmi les plus grand navire du monde, le Triple-E, vient révolutionner l’univers avec sa taille et ses capacités. Pur produit d’une avancée technologique, ce navire est la propriété de la célèbre compagnie de transport maritime Maersk Line. Découvrez ici les caractéristiques de ce géant. Le Triple-E est le successeur direct des navires de classe E de Maersk. Ce monstre des mers a été élaboré par le coréen Daewoo qui s’est basé sur trois principes pour mettre sur pieds la machine. Il s’agit de la sauvegarde de l’environnement, de l’efficacité énergétique et des économies d’échelles. Ce navire est un gigantesque porte-conteneurs avec une capacité de 18.000 EVP (Containers de 20 pieds de long). Il mesure 400 mètres de long, 60 mètres de large et a la capacité de transporter plus de 2 500 conteneurs en plus de ceux des navires-classe E. Ce navire possède 2 moteurs à 2 temps de marque diesel ayant une puissance de 32 mégawatts, ce qui lui donne la possibilité de naviguer avec une vitesse de 35 km/h. Aussi, il faut ajouter que la consommation en carburant de cette machine est réduite de 50 % en CO².
La déconstruction de trois bâtiments de la Marine nationale
En 2013 et en 2014, la société Topp Décide a procédé, avec ses partenaires industriels, à la déconstruction d’un pétrolier ravitailleur (ex « Saône ») et de deux bâtiments de débarquement de chars (ex « Dives » et ex « Argens ») dans le port de Toulon. Les opérations de découpe des blocs ont été exécutées à bord d’un dock flottant, assurant la stabilité et la sécurité nécessaires pour ces tâches complexes.
Le dock a été mobilisé pour une année. La découpe de la « Dives » et de l’ « Argens » a pris respectivement 4 semaines puis 2 semaines. Les élus et les associations de protection de l’environnement ont visité le chantier à bord du dock flottant, le 26 novembre 2014 exprimant, à l’issue, toute leur satisfaction.
Depuis cette première expérience, il est apparu clairement que le dock flottant est un outil industriel portuaire adapté à la déconstruction comme à la réparation navale, performant, flexible et sûr.
Roll-off pour conteneur maritime
Ce camion roll-off auto-chargeur a été équipé pour le transport de conteneurs maritimes. Sans que l'opérateur ait besoin de quitter son siège, le conteneur est récupéré à l'aide de 2 guides montés sur des glissières et rouleaux, pour finalement être solidement arrimé et prêt pour le transport vers un autre site.
Routes maritimes
Les routes maritimes sont les chemins suivis par les navires qui parcourent les mers du globe. Ce sont des couloirs de quelques kilomètres de large, définis en fonction des points de passage obligatoires (caps, détroits, canaux), des contraintes physiques (force des courants, profondeur, présence de récifs) et des contextes géo-politiques.
Les routes maritimes les plus empruntées relient les zones de production aux lieux de consommation. Les principaux exportateurs et importateurs de produits chimiques sont Europe, les états-unis, le Japon et la Chine. Ainsi, trois grands pôles d’activité se dessinent à l’échelle mondiale : l’Europe, l’Amérique du nord et l’Asie de l’est.
En 2013, au niveau mondial, une cinquantaine de ports dépassent les 100 millions de tonnes échangées par an. Le port de Ningbo Zhoustan (Chine), premier port mondial, dépasse 810 millions de tonnes à lui seul. Douze des 15 premiers ports sont chinois.
Par ailleurs, des pays comme le Brésil, l’Afrique du sud, l’Arabie Saoudite et l’Inde ont une production de produits chimiques en forte croissance alors que la croissance en production de produits chimiques de l’Amérique du nord et de l’Europe est faible.
Impressionnante mise à l’eau du nouveau voilier école omanais
Les images sont impressionnantes, mais tout s’est parfaitement déroulé. Le nouveau voilier-école commandé par le ministre de la Défense du sultanat d’Oman a été mis à l’eau aux chantiers Damen de Galati en Roumanie.
Le navire, dont on ne connaît pas encore le nom, aura un gréement proche de celui des clippers, ces navires de commerce rapides du XIXème siècle. Il est constitué, en plus des voiles d’avant, de trois mâts de 50 mètres de haut en acier et alu équipés de voiles carrées, représentant une surface totale de 2700 m2. Le design du navire a été développé par le cabinet d’architecture navale amstellodamois Dykstra, spécialisé dans les grands voiliers (il a notamment dessiné le Cisne Branco, voilier école brésilien ou encore le Stad Amsterdam).
La construction du voilier omanais a commencé en mars dernier au chantier de Galati où a été réalisée sa coque en acier. Son armement, et notamment la pose du gréement et celle du revêtement intérieur et extérieur en bois, sera ensuite réalisé sur le site de Flushing aux Pays-Bas, fin 2013. Le navire sera livré en 2014, il pourra accueillir 34 stagiaires en plus de l’équipage, constitué de 58 hommes.