Elom 20ce
đ» "AMEWUGA" dispo ici đđżhttps://elom20ce.com/ Art et Activism
đžâšïž "...Nous Ă©tions prĂ©venus. Tous les signes Ă©taient lĂ . Ăa faisait longtemps que la BĂȘte agonisait. Mais tellement habituĂ©s Ă sa terreur, qu'il Ă©tait impensable de la voir tomber.
Grande salle climatisĂ©e, la BĂȘte Ă©tait couchĂ©e, dans un blanc lit position de fĆtus. Ses enfants lui dĂ©voraient les parties encore en vie. Sa tĂȘte, la premiĂšre Ă mourir. Ăa faisait longtemps qu'elle ne pensait plus. Ses yeux grands ouverts, un profond puits sans fond. Ses gosses se gavaient comme ils pouvaient. Ils ne savaient pas ce que l'avenir leur rĂ©servait. La BĂȘte avait logĂ© tous les chasseurs, leurs armes avec eux, dans la grande geĂŽle de l'Asile. Dans les rues, il n'y avait que des hommes. Des fous qui marchaient nus, sur leur tĂȘte, leurs dreads dans la poussiĂšre. Ils balançaient leur phallus au pas des chants qu'on jouait sans cesse aux quatre coins de l'Asile. Parmi ces fous, yâavait les fousemblants. CatĂ©gorie de ceux qui avaient dĂ©cidĂ© de rentrer dans la danse. Sain dâesprit pourtant comme Oya et Shango, ces types voulaient sauver leur tĂȘte. « Si tâas vu tes pĂšres se faire fusiller par vagues successives, mon fils tu fais le fou comme moi ». TassikpĂŽ gnawoa ! mgba wĂŽ nouwon ! No kpĂŽ woadoa tchalĂ©, ola so ta na woĂ© ! Ils n'avaient pas rĂ©ussi Ă escalader les murs pour trouver refuge quelque part dans la brousse. Ceux qui avaient rejoint la forĂȘt, vivaient en Quilombos prĂ©sidĂ©s par des Bondo.
Sur l'Asile, rĂ©gnaient les Animaux sauvages puisque l'Ăšre des humains Ă©tait rĂ©volue. Des camĂ©lĂ©ons, des haut-parleurs dans leur bouche, passaient de temps en temps en jeep chanter la gloire de la BĂȘte. Les fous, les fous, les plus fous chantaient Ă cĆur joie. Cacophonie incroyable. Hymne de la dĂ©chĂ©ance. La chanson parlait de flamme. Disait en substance quelque chose comme ça : Tout corps surpris en train de rĂ©flĂ©chir sera fouettĂ© et ira enfer. C'Ă©tait un tube ce morceau. Au top des hits parades. Il faisait rire le monde. Tous, sauf... La BĂȘte. Les camĂ©lĂ©ons envoyaient les hommes en enfer pour rĂ©server le paradis Ă la BĂȘte, toute elle seule.
Dans un camp, il n'y a pas de place pour les esprits libres. Dans un asile, les gens normaux sont pris pour des fous. Depuis leurs Quilombos, au sommet des cerveaux, les Fourmis observaient la BĂȘte agoniser.
SystÚme s'effondre ! Chùteau de cendres ! Avril en Décembre ! Poison indécent !
Mais les fous étaient habitués... Et pourtant ils étaient prévenus ! Et pourtant ils étaient prévenus ! Et pourtant ils étaient prévenus ! Et pourtant ils étaient prévenus, tous les signes étaient là ..." from
Pic by La Emotionne pour Asrafobawu âšïž
â€ïžđż "OÉola lĂ©ssi nĂ© Doukoa kpata. KĂŽnou collectives ! EÉi wou doua !
"Quand les frĂšres se battent dans les champs. Ce sont les singes qui recoltent, qui prĂ©parent, qui se gavent et rigolent. Laisse ton cerveau tranquille. C'est ton cĆur qui ne bat plus. LĂšve le drapeau en berne. Que l'Ă©toile touche le ciel. Tu parles de paix sans justice ? Peux-tu chanter sans la voix ? Fouiller la nuit ! Anon dzi Donkousua ? Terre frĂȘle tant tellement bu du sang que ton ciel ne vomit que des squelettes vivants. Bella Bellow, Paul Ahyi et autres ont laissĂ© un hĂ©ritage qui se noie dans nos larmes. Prends ma main et marchons sur les cendres d'une nation tribalisĂ©e, traumatisĂ©e par la cravate et le treillis. "
J'ai Ă©crit ce couplet sur une reprise reggae de Togbe Agbodjan Jad Fosiz, du morceau de .
Vend. 29 mars 2096. Se pencher sur la situation au Togo et se dire que les enjeux doivent ĂȘtre colossaux pour qu'on en arrive lĂ . Les choses de l' . Des coupures intempestives d'Ă©lectricitĂ© aux coups d'Ă©tats par des "honorables" ! Comme dans un film. Et ce couplet qui me revient dans le bouche... Avec cette pensĂ©e :
OÉola lĂ©ssi nĂ© Doukoa kpata. KĂŽnou collectives ! EÉi wou doua !"
Pic by Copyright
đ€đž « Tout ce que tu avales, tu devras le ressortir un jour.
Mardi, 26 mars 2096. Comme une sensation de chercher dâautres moyens pour mieux respirer. LâĂ©cho quâĂ©met ma terre natale est fort bouleversant. Nos cordons ombilicaux hurlent de colĂšre. La lune Ă©tait pleine. Ils ont rajoutĂ© des cadenas aux horizons dĂ©jĂ scellĂ©s. Pas dâalternative ! One way ! On prend les mĂȘmes, on recommence ! On aime bien ce mot, « AutoritĂ© ». La maladie est descendue dans nos habitudes. Se fond dans nos gestes, nos paroles,, nos bruits, nos silencesâŠ
La souris, il parait, quand elle te mord, souffle dessus pour que tu ne tâ en aperçoives pas. Hier nuit, ils nous ont mangĂ© le visage Ă pleines dents. Leurs crocs sont restĂ©s planter dans nos yeux. Kpodzro est mort en exil : Silence ! AgbĂ©yomĂ© est mort en exil : Silence ! Quand la souffrance est absolue, elle devient muette : Le silence⊠est un cri.
Et lâAncĂȘtre continue le doux murmure : « Tout ce que tu avales, tu devras le ressortir un jour... »
Pic Copyright
â€ïžđż ...Donc, Ă quelques semaines des Ă©lections rĂ©gionales et lĂ©gislatives, des « honorables » qui vivent sur le dos des pauvres contribuables Togolais, dĂ©cident de vouloir, non pas rĂ©viser mais, changer la Constitution. Foulant Ă terre toutes les rĂšgles quâils ont eux-mĂȘmes fixĂ©es pour ne pas en arriver lĂ ! Un nouveau test pour la CEDEAO ? Yakubo Gowon, un des pĂšres fondateurs de cette organisation aura exprimĂ© sa profonde tristesse pour rien ?
La gloutonnerie politique mĂšne indĂ©niablement Ă la maladie et Ă la mort comme aime Ă le dire un frĂšre. . Jâen ai Ă©crit deux chapitres sur . « Quel sacrifice devrons-nous encore consentir pour espĂ©rer vivre en paix ? Combien de guerres sans gloire devront nous encore livrer ? » Ainsi dĂ©butera le chapitre trois.
à écouter sur Analgézik ici : https://orcd.co/elom20ce-analgezik Bon dimanche !
"1er Couplet
Je me dĂ©place avec mes taches comme un lĂ©opard, des qualitĂ©s et des dĂ©fauts, des combattants mais des traitres aussi. Ici câest lâharmattan, les feuilles mortes se font la course dans la poussiĂšre portĂ©es par le vent. Moi, derriĂšre un stylo courbĂ©, jâĂ©cris mon testament. Des idĂ©es Ă lĂ©guer, des tĂąches Ă dĂ©lĂ©guer. Quelques bouquins, beaucoup de problĂšmes. Les fossiles de ma bohĂšme mis en poĂšme pour la descendance. Que Dieu mâen fasse grĂące avant que je nâaille rĂ©gler mes comptes avec la classe dirigeante qui nous mĂ©prise autant. DerriĂšre leurs verres fumĂ©s je suis assis dans leur rĂ©tine. Sâils battent les cils, je disparais. ObligĂ©s de veiller comme cet Ćil sur leur monnaie fiduciaire. Chers frĂšres, Ă qui profite le crime ? La fĂ©lonie a fait son nid sur les branches de nos arbres gĂ©nĂ©alogiques nous plongeant tous dans le mĂȘme abĂźme.
2Ăšme couplet
Faudra donc quâon sâimmole comme Bouazizi pour quâils comprennent quâon en peut plus dâĂȘtre traitĂ© comme des parasites ? On nous a torturĂ©, physiquement et moralement pour des histoires de gĂ©ographie, de pouvoir et dâethnie. DĂ©pecĂ©e comme MulĂ©lĂ©, la nĂ©graille baigne dans le lâhuile bouillante sur feu comme du KĂ©lĂ©wĂ©lĂ© ! Faudra battre le fer quand il est chaud, le frĂšre quand il est faux, notre propre monnaie car câest ça quâil faut. PĂ©cuniaire est la carence qui fait de nous des esclaves, comme ces nĂšgres bradĂ©s contre fusil et tabac. Fais un tour Ă Ouidah, renseigne-toi sur Chacha de Souza ! Blaise lâa fait Ă Thomas, Joseph Ă Patrice, mais bien avant Agboliagbo lâa mis profond Ă BĂ©hanzin le requin. La fĂ©lonie a fait son nid sur nos arbres gĂ©nĂ©alogiques nous logeant tous dans le mĂȘme abĂźme.
3Ăšme couplet
Des corps sans vie, au regard vide, dans mes yeux gisent, prĂšs des fleurs couvertes de sang, de viol et de cris, des bras et des jambes, de cranes et des seins au corps arrachĂ©s comme la Shoa au peuple Falasha. SPLA, FRELIMO, UNITA, RENAMO, MPIGO et que sais-je encore ! La haute couture Ă la Foday Sanko. La guerre est civile, biafraise, gĂ©nocide rwandais, froide est la guerre qui a givrĂ© nos cervelles. Si lâamour sâen fout de lâethnie, la politique lâidylise. Diviser pour mieux rĂ©gner comme le fit Gallieni. â90 on a puisĂ© nos pierres dans les gravats du mur de Berlin pour affronter chars et tyrans, Cobra ou Ninja, on a saignĂ©. 20 ans aprĂšs, dynastique est le coton qui bouche encore nos narines. Ces mains coupĂ©es me hantent toujours. Mains de N***e entassĂ©es dans les paniers pour le compte de LĂ©opold II. Elles viennent ovationner chaque conflit, chaque gĂ©nocide qui Ă©clate sur cette terre qui nâen peut plus de saignerâŠ" Pic by AdotĂ© pour / Copyright Asrafo Records
â€ïžâšïž arrive. EnregistrĂ© en une nuit. En attendant, rĂ©trospective.
"Le serpent qui veut sâĂ©lancer sait que, câest sur sa queue quâil doit sâappuyer."
Dim, 17 mars 2096. J'avance lentement dans une file interminable. Dans mes oreilles, Eklin au 1er couplet du titre . Il y a 12 ans jour pour jour, je sortais .
Beaucoup Ă dire. De la pochette, qui est une photo d'une sculpture d'Anani, au concept mĂȘme de l'album pensĂ© comme un mĂ©dicament. Le livret, une notice. 1Êłá” collaboration avec Nathalie Ahadji sur . Les feats avec Renya et Kezita. , enregistrĂ© avec Dj Courage et Koffi Assimadi. Le clip tournĂ© dans un froid glacial Ă Lille en totale improvisation... : morceau gĂ©opolitique avec les vibes de Kezita. Et ce morceau : 3 ou 4 morceaux en 1 ? Ăpoque du jazz club Byblos Ă LomĂ©. Morceau full live avec ces grands frĂšres que j'allais voir jouer dimanche soir. Elias Ă la trompette. Franck (Paix Ă son Ăąme) au piano, qui me challengeait. Joe Kayzer Ă la batterie. Jean Ă la basse. Que des tontons. Un morceau oĂč se mĂ©lange jazz, rap, blues, reggae et tradition. 15 titres chargĂ©s.
Géraldo (45 scientific) avait produit 3 titres. Si j'ai pressé un joli CD à l'époque, c'est grùce à lui. Quand il a écouté , il m'a dit "FrÚre, toi aussi. Termine bien ce que tu as commencé."
avec les FrÚres du RAO Staff. Des flows et des textes qui me donnent encore la chair de poule. HMD ouvre le bal avec un flow saccadé. Anani Koffi enchaine avec un texte d'une puissance phénoménale. Sitou rentre dans le beat comme un "Pachyderme dans un magasin de porcelaine". Lex prend le relais. Voyage astral. Allez écouter. Lasmo vient dessiner un cercle que je viens fermer. Le clip n'est jamais sorti...
: Des mĂ©lodies pentatoniques sur un beat produit par Ultrason. 3 couplets coup de poings sans refrain. "Igwa s'est occupĂ© de nous comme un frĂšre. On est vraiment obligĂ© de le tuer ?" Et l'autre qui rĂ©pond "Nous avons reçu un ordre, il faut que tu sois fort". C'est grĂące au titre , que j'ai pris conscience que j'avais quelque chose Ă proposer en termes de rĂ©alisation. Le 1á”Êł clip Ă©tait une catastrophe. Je l'ai sorti. Puis retirĂ©. Ăa ne me ressemblait pas. J'ai demandĂ© Ă Kareem de me laisser gĂ©rer. En 4h le clip est pliĂ©. . Crown est Ă la prod. Le clip tournĂ© par Skarfo Ă KpalimĂ©. La pluie nous a jouĂ© un sale tour Ă l'Ă©poque. On a dĂ» cacher le matĂ©riel sous les feuilles de bananiers. Puis le 1á”Êł titre . "Je suis un homme pĂ©tri d'argile. Dans mes narines soufflent les vents de la victoire. Des ocĂ©ans coulent dans mes veines. Le feu dans les yeux. L'Ă©ther dans le sang et les organes gĂ©nitaux".
Bref, cet album, depuis la "mort" de Zimbalam n'Ă©tait plus dispo sur les plateformes. Il l'est Ă nouveau ici : đž https://orcd.co/elom20ce-analgezik đž
Quels sont tes titres préférés sur ce projet ?
Pour atteindre de niveaux plus Ă©levĂ©s, il est important de prendre le temps dâapprĂ©cier les fondations quâon a dĂ©jĂ posĂ©es : "Le serpent qui veut s'Ă©lancer? sait que c'est sur sa queue qu'il doit sâappuyer." Bon dimanche đđżđ€
â€ïžâšïž arrive. EnregistrĂ© en une nuit. En attendant, la vie continue de nous Ă©duquer !
"Quand le sol se dĂ©robe sous nos pieds, c'est peut-ĂȘtre pour nous apprendre Ă voler !
Dim. 10 mars 2096. Omar Sosa est au piano. L'album « Senses ». Le titre « Shadow of clouds » coule dans l'air. Mon fils lit le tracklist de "Hors-Temps". A haute voix. Puis, Ă©clate de rire. « Le dernier titre c'est vraiment Titre Ă trouver ? » « Bien sĂ»r que oui ». Double Ă©clatement de rire. Je grattais un texte avant qu'il ne dĂ©barque dans la chambre avec sa sĆur. Tu nous le lis stp ? :
"Un voile blanc couvre ma tĂȘte
Un miroir s'est allumé derriÚre mes paupiÚres.
DâoĂč proviennent ces lucioles qui sâaccouplent dans la chair de mon cerveau ?
M'gba bidjio ! Enou moulé apoussio voa éminamé
Ne t'Ă©nerve pas ! La mer n'a pas de bouche mais elle avale les gens."
Ma fille répond "ça c'est vrai". Puis enchaine avec une histoire de la tata à l'école qui leur a dit que la mer est à craindre. Je lui montre une photo. Celle-ci : "Papa fait attention sinon tu vas tomber. Et si le train commençait à avancer ?"
C'est lĂ que je lui ai rĂ©pondu que quand le sol se dĂ©robe sous nos pieds, c'est peut-ĂȘtre une occasion pour apprendre Ă voler !"
â€ïžâšïžPS : A la base je voulais vous parler de mon dernier post sur . Ce sera pour une autre fois.
â€ïžâšïž arrive. EnregistrĂ© en une nuit. En attendant, rĂ©trospective.
« Le serpent qui veut sâĂ©lancer sait que câest sur sa queue quâil doit sâappuyer.
Dim, 03 mars 2096. Une douce pluie arrose la ville. Lâair est frais. Je rĂ©Ă©coute " ". 14 ans dĂ©jĂ . Premier solo. 7 titres. Je voulais me prouver que je pouvais le faire seul. Les problĂšmes dâĂ©go et de sous dans les groupes mâavaient fatiguĂ©. Je me suis dit jâarrĂȘte le rap. Retourner Ă KpĂ©mĂ©, Ă la petite citĂ© qui mâa vu mourir et ressusciter Ă plusieurs reprises. Remarcher dans ses ruelles bordĂ©es de fleurs de toutes les couleurs et parfums oĂč je rĂȘvais la libertĂ©, lâamour, lâaventure⊠Jâai pris la dĂ©cision de faire un projet Ă moi.
Une « » oĂč Che Guevara ouvre la voie, laissant Cheikh Anta rĂ©pondre Ă Sarkozy. LâAmour dit-il devrait ĂȘtre la qualitĂ© premiĂšre de tout rĂ©volutionnaire. enchaine ! Lyrics Tshakatu sur une instru volcanique ! Clip pas du tout gentil avec la complicitĂ© de Gerdt ! Toujours dâactualitĂ© ! Va check ! , nouvelle version, diffĂ©rente de celle posĂ©e sur " " . Un beat Kung Fu â Lyrics Aikido. Ă©tait paru sur le mixtape " Le goĂ»t dans lâoreille " ! : un album photo dâune Ă©poque. Sur scĂšne, il me donnait envie de chialer. Jâai donc arrĂȘtĂ© de le faire !
« Je compte les Ă©toiles dans le ciel. Je pisse en mĂȘme temps. Les pieds dans la poussiĂšre depuis longtemps⊠» Cette image je lâai vĂ©cu, une nuit, en vidant ma vessie dans lâun des Ă©gouts qui bordent les rues qui parsĂšment le quartier HanoukĂŽpĂ© . 2Ăšme couplet du morceau . Enfin, avec Zendegi et Moses ! Epoque de Myspace. Je dĂ©couvrais le rap en allemand. Puis ce feat qui ouvre sur une sĂ©quence du film « Apocalypto ». La scĂšne oĂč un petit jetait des sorts⊠Jâadore !
Cet album, je lâai gardĂ© longtemps uniquement sur Bandcamp. Il est dĂ©sormais dispo sur toutes les plateformes : đž https://orcd.co/elom20ce-legitimedefense
Quels sont tes titres préférés sur ce projet ?
VoilĂ ! Pour atteindre de niveaux plus Ă©levĂ©s, il est important de prendre le temps dâapprĂ©cier les fondations quâon a dĂ©jĂ posĂ©es. Câest pour cela que lâancĂȘtre dit que « le serpent qui veut sâĂ©lancer sait que câest sur sa queue quâil doit sâappuyer. Bon dimanche ! ».
â€ïžâšïž arrive, enregistrĂ© en une nuit ! En attendant, la vie accouche de nouvelles piĂšces. Puzzle !
Dim. 18 fĂ©vrier 2096. LâannĂ©e rampe Ă toute vitesse. Je mâagrippe Ă son dos pour ne pas tomber. Et si les papillons Ă©taient des pĂ©tales qui ont cru en leurs ailes ? Il y a de lâencens dans la sĂšve de certains arbresâŠ
Comme une bougie gĂ©ante qui perd sa tĂȘte dans le ciel, je danse ma flamme entre vents et marĂ©es. Ventre de tempĂȘtes. Le visage couvert de fleurs qui portent dans leurs yeux les Ă©pines de toutes nos boussoles Ă©clatĂ©es.
Hier, Kamarou me racontait lâenterrement dâun ami pianiste Ă nous. Son cercueil Ă©tait petit. Ils ont dĂ» lui tordre le cou pour quâil puisse tenir dedans. Quelle est la place de la musique et des musiciens dans notre sociĂ©tĂ© ?
Hier, toujours. Rues de KodjoviakopĂ©. JâĂ©tais avec Vlad. Une dame nous « braque » Ă lâangle dâun restau avec un portable : « Mon fils est malade. Je vends cet appareil Ă 4000 F CFA pour lâemmener Ă lâhĂŽpital. » Dans une main son fils, dans lâautre le fameux tĂ©lĂ©phone ! Les Ă©lections arrivent ! Quelles politiques de santĂ© publique seront proposĂ©es aux populations ?
Certaines urgences convoquent Ă plus dâancrage. Il y a des blessures que nous seules pouvons lĂ©cher. Quâelles soient individuelles ou collectives⊠Il y a de lâordre Ă mettre dans nos cĆurs, dans nos tĂȘtes, dans nos familles, dans nos chambres, nos maisons, nos rues, nos quartiers, de lâordre⊠Hors-Temps arrive, enregistrĂ© en une nuit !
Pic pour Asrafobawu âšïžâšïžâšïž
â€ïžđ " arrive. EnregistrĂ© en une nuit⊠En attendant, voici le ticket pour une belle rĂ©flexion autour des idĂ©es portĂ©es dans lâalbum qui fĂȘte 4 ans aujourdâhui.
Les fils invisibles qui nous lient sont plus solides que les liens que nous pensons tisser.
Paris. Je ne sais plus quelle date. Un studio dans un quartier calme. Je ne me souviens plus du nom. Une journĂ©e entiĂšre Ă parler. Interview avec HĂ©lĂšne. HĂ©lĂšne et .by ont pris le train. GenĂšve-Paris. Tout a commencĂ© Ă GenĂšve, quelques semaines plus tĂŽt. Film UMOJA projetĂ© Ă Afrikalab. HĂ©lĂšne est dans lâassistance. AprĂšs le film, prend la parole et peint un mystĂ©rieux tableau oĂč Mambety, SembĂšne, Med et autres cinĂ©astes africains se tiennent la main. Va Ă©couter mon travail. Un article acadĂ©mique. Faudra 2 ans pour lâĂ©crire. Okay. Il nous faudra plusieurs entretiens. Bref, câest comme ça quâest nĂ©e cette vidĂ©o. Celle-ci est le premier Ă©pisode. « DĂ©tournements au creux des bruissements du monde. »
Jâaime ce titre et cet entretien. Il mâa permis dâappuyer des idĂ©es dessinĂ©es dans les visuels et chansons de lâalbum AMEWUGA. Les liens entre le titres, les liens entre les clips et courts mĂ©trages : fiction ou docu.
Les fils invisibles qui nous lient sont plus solides que les liens que nous pensons tisser.
Merci Ă Perrine pour les liens tissĂ©s. Merci Ă HĂ©lĂšne de se pencher avec Ă©lĂ©gance sur lâabĂźme⊠Merci Ă LusD, mon FrĂšre du Niger, de mâavoir prĂȘtĂ© ses yeux et ses oreilles sous le voile de nos questionnements.
Câest mon cadeau dâanniversaire pour nous qui depuis 4 ans diffusons les messages dans lâalbum AMEWUGA. 4 ans Ă tisser et Ă nous rappeler que lâETRE HUMAIN A PLUS DE VALEUR QUE LES BIENS MATERIELS.
Vidéo complÚte ici : https://www.youtube.com/watch?v=rm1EIokkFIQ
arrive. EnregistrĂ© en une nuitâŠ
â€ïž " arrive. EnregistrĂ© en une nuit⊠En attendant, RDV ce soir Ă 19H GMT sur le compte YouTube AHOĂ - La web-sĂ©rie âšïž
Jâavoue ĂȘtre de ceux qui ne suivent pas encore Ă la sĂ©rie . Je commence aujourdâhui. Les retours qui me viennent me donnent des frissons. Frissons pour mes morceaux qui circulent entre les histoires. Mais surtout, frissons pour l'exemple concret : Regardez ce que nous pouvons faire quand on est ensemble. Une sĂ©rie par nous, avec et pour nous !
Notre peuple a besoin de voir. Il nây croit plus !
Quand Angela Aquereburu Rabatel m'a appelé, et expliqué la démarche, je lui ai dit "Prends-tout" ou presque...
Aujourdâhui lâavant dernier Ă©pisode ici : www.youtube.com/ âšïž
Si tu veux soutenir le projet afin que dâautres Ă©pisodes voient le jour, check https://TuMetsCombien.com/Ahoewebserie / T-money : (+228) 70 50 00 00 / Flooz : (+228) 96 01 01 96
Bravo Ă et toute son Ă©quipe dâoser ces initiatives. arriveâŠ" , Elom 20ce, 26 janvier 2096
Pic by pour Asrafobawu âšïž
â€ïžđą « ⊠arrive. EnregistrĂ© en une nuit. Tu mâcrois pas ? Demande Ă Kamarou. Demande Ă Rodrigue. Jâai jetĂ© mes tripes dans le sable. Ceux qui ont les mains propres peuvent essayer de les cueillir. ScarabĂ©a ! » Extrait du titre
Je vous souhaite Excellence & Joie ! DĂ©tachez vos ceintures, nous allons sauter dans le vide !
Bienvenue en 2097 ou 2024 si vous le voulez !
Pic by pour
â€ïžđż "On va continuer de crĂ©er. Car crĂ©er câest !
A toutes celles et ceux qui mâont portĂ© depuis le dĂ©but.
A nos familles qui connaissent le poids de nos vécus.
A tous les musiciens de rue, de cabaret, de metro, de... !
On va continuer de crĂ©er. Car crĂ©er câest RESISTER !
Lâautre jour, je suis tombĂ© dans un jam au Cotton Club. buvait son thĂ©. Joachim se dĂ©ambulait au piano. HonorĂ© enrhumĂ©, cachĂ© dans son coin, enchainait les kleenex quand ses doigts ne massaient pas sa guitare base. .enam un bonnet du pĂšre NouwĂ«l sur la tĂȘte magnifiait son saxophone par les mĂ©lodies quâil propulsait dans le ciel. , lui, fouettait, caressait, faisait trembler dans tous les sens son arsenal de batterie. BĂ©nito Ă©tait dans la salle. Philipo aussi. Lâun un piano quâon joue avec la bouche (je sais plus comment ça se dit đ) entre les mains. . Lâautre une trompette. Merveilleux moment de freestyle flow, la science mĂȘme de la chose hahaha.
A tous ! Câest pour vous ce Prix.
A ceux qui lâont donnĂ©, (pas dans le sens de Merci. Mais dans le sens oĂč je vous retourne les bĂ©nĂ©dictions , !)
Recevoir ce prix, lâaccepter, me met dans lâobligation, de mâasseoir avec les organisateurs des , partager des idĂ©es. A essayer : Faire de ce prix, un vĂ©ritable tremplin pour lâascension des Artistes.
VoilĂ , jâespĂšre que vous passez de moments agrĂ©ables en ces derniers jours de l'annĂ©e.
On va continuer de crĂ©er. Car crĂ©er câest !" , Elom 20ce, Anyigba, 26 dĂ©cembre 2095.
â€ïžđż « Je souffle dans les yeux des fleurs, pour crĂ©er des bulles au-dessus de vos tĂȘtes. My people, pour clĂŽturer lâannĂ©e en beautĂ©, lâinspecteur chef gare sera au pop-up gĂ©ant de Syswoe Prosper ce samedi Ă 16h, au WÉÉLab
Je serai sur le stand Asrafobawu , pour vous embarquer dans une aventure hors du commun : , , , and for sure ! Un moment de dĂ©tente entre nous. Une petite rĂ©union de famille oĂč je vous offre un mini show en total , avec ma voix et mes lĂšvres brulĂ©esâŠ
Que les poĂštes ramĂšnent leurs textes. Inscrivez-vous Ă votre arrivĂ©e..Yâaura un concours avec des prix cadeaux Ă gagner.
Ce samedi, je vous propose une expĂ©rience inĂ©dite. Je soufflerai dans les yeux des fleurs pour crĂ©er des bulles gĂ©antes au-dessus de vos tĂȘtes. » , Elom 20ce, Anyigba, 22 dĂ©cembre 2095.
đ€ Le est situĂ© au quartier AdidogomĂ© - ApĂ©dokoĂ©, Ă deux rues derriĂšre le dĂ©pĂŽt Ebomaf .
đż GĂ©olocalisation : https://maps.app.goo.gl/nYz41KWTxyaGzBgP7
Pic by for .yeye âšïžâšïžâšïž
#
â€ïžđż Il Ă©tait une fois Ă Paris sur Couleurs Tropicales - RFI ! Extrait d'une belle Ă©mission avec LĂK SĂN. Click, check and share. Peaceâšïžâšïžâšïž
â€ïžđż "AmĂ©wazĂŹn ! AzĂŹwĂŽdan !
Un serpent noir traversait la route. Juste avant lui, un varan gri, vers le ciel dressait son cou, statique, tel un poing debout, comme pour nous dire, laisser le passer.
Sur cette mĂȘme route, une voiture sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e. A dĂ» klaxonner, aprĂšs le passage du reptile pour que le varan sâĂ©clate dans les buissons. JâĂ©tais assis Ă lâavant du vĂ©hicule, du cĂŽtĂ© non chauffeur. Suivait la scĂšne en face. Le temps de mĂ©diter ce qui se passait nâa pas eu lieu. Deux hommes arrĂȘtent le vĂ©hicule. Ils Ă©taient avec deux vieilles dames. « Pourriez-vous nous rendre un service sâil vous plait ? », nous sommes les tels dâun tel dâun tel que vous connaissez. « Pouvez-vous nous avancer un peu ? » Moi, ironique qui lui demande « mais nous pensions que vous demandiez le service pour les vieilles ? ». « Non ! Elles, vont plus loin⊠» Ils rentrent dans le vĂ©hicule, serrent mes deux acolytes assis derriĂšre, et monopolisent la parole. Il faut dĂ©lier le tel du tel du tel ! Puis ce proverbe : « Owazi. AziwĂŽdan. », littĂ©ralement, « On a crĂ©Ă©/fait lâĆuf, De lâĆuf a germĂ© le serpent/ LâĆuf a fait le serpent ! ». Lâunion entre deux personnes Ă©tend des racines et des ailes qui volent au-delĂ dâeux deux. Quelques minutes avant, sous des cocotiers, huit femmes, dâun certain Ăąge, pour la plupart, divisĂ©es en quatre groupes de deux prĂ©paraient du gari. Bel instant dâĂ©changes et de fous rires sur les liens entre « lâintime », « le spirituel » et ce quâon peut nommer « le politique ».
Un des enjeux du panafricanisme sur le continent, est quâil reste lâaffaire des citadins qui sont coupĂ©s des rĂ©alitĂ©s de la masse qui vit dans les campagnes. Câest cet apport de rĂ©flexion que je voulais montrer en tournant la trilogie « Le silence est un cri ». Il existe une Afrique que nous peinons Ă voir avec amour vĂ©ritable et affection. Une Afrique qui pourtant est celle qui porte la planĂšte entiĂšre.
Il nous reste des liens Ă crĂ©er pour Ă©tendre la rĂ©flexion. Il y a « une » Afrique qui demande Ă ĂȘtre visitĂ©e. Elle est, avant dâĂȘtre un lieu physique, un espace de la pensĂ©e qui nous invite à « nous » voir autrement.
AmĂ©wazĂŹn, AziwĂČdan !" Pic Ă Addis pour .yeye â€ïžđż
â€ïžđż « La force solitaire est toujours plus faible que la force solidaire. » Amzat Boukari-Yabara
Le soleil est une fleur qui ne se fane pas. Câest ainsi que je me sens ce matin. Ainsi que je me sens quand je vois ces photos. Ainsi que je me sens quand je pense Ă cette annĂ©e. Longue, dure, mais extrĂȘmement belle. Nuit tumultueuse Ă essayer de dĂ©poser sur papier les Ă©motions diverses qui me traversentâŠ
Toutes les graines semĂ©es pousseront un jour. Quâon soit lĂ , ou pas pour les voir ! Elles pousseront ! Donneront des fruits, ou du moins serviront dâombrage aux ancĂȘtres de demain. Merci Farida pour ton engagement et ta luciditĂ© !
Je vais vous partager un secret, nâallez le rĂ©pĂ©ter Ă personne (avec la voix de Fela lol). NâespĂ©rez rien recevoir de la vie si vous ne pouvez donner inconditionnellement. Une main fermĂ©e ne peut ĂȘtre remplie. Et une seule main nâapplaudit pas ! Câest peut-ĂȘtre pour cela que le FrĂšre Amzat dit que « La force solitaire est toujours plus faible que la force solidaire. » , Elom 20ce, Africa, 08 dĂ©cembre 2095.
đŽđż Si vous ĂȘtes Ă LomĂ© ce matin. RDV Ă 10h30 Ă l'auditorium de l'universitĂ© de LomĂ©.
Entrée gratuite et ouverte à toutes et à tous.
"Notre dignité est plus vieille que nous." Norman Ajari
Le chantier est vaste. Que chacun fasse part. Excellente semaine đđŸđ€
â€ïžđż "Arcueil, 17h37. Erik Satie est au piano. De tristes mĂ©lodies suintent des baffles. « Clair de lune » danse avec les trois versions de « GymnopĂ©dies ». Leur entrelacement crĂ©e une Ă©nergie qui rythme mes doigts sur le clavier. Câest dans la ville dâErik, qui est aussi celle dans laquelle rĂ©sidait Dulcie quand elle habitait en France, que je me retrouve pour finaliser Asrafozine n° 28. Je nâai pourtant pas choisi Arcueil. Je cherchais juste un cocon pour me rassembler. Il a fallu que ça soit Ă Arcueil.
Enchainer les mĂ©tros. ChĂątelet. RER B, direction Robinson. Les portes sâouvrent Ă la station « La Place ». Je sors. Sur quoi je tombe ? Un...' La suite de mon Ă©dito, dispo dans Ă tĂ©lĂ©charger gratuitement ici https://arctivism.org/wp-content/uploads/2023/11/Asrafozine-28-DULCIE-SEPTEMBER-.pdf
Les armures Asrafobawu sont dispo ici : Asrafobawu ;)
Bon dernier virage Ă vous ! Peace
Pic by La Emotionne in Geneva !
đŽđżÂ« Si lâaliĂ©nation, lâexpropriation et le gĂ©nocide, se retrouvent systĂ©matiquement associĂ©s dans lâhistoire noire, câest quâils ont tous pour fondement la nĂ©gation de lâhumanitĂ© noire. LâaliĂ©nation se fonde sur lâattribution dâune absence dâintelligence et de traditions artistiques ou savantes. Lâexpropriation prĂ©suppose la prise de vies, câest-Ă -dire la dĂ©lĂ©gitimation radicale de toute existence africaine. Enfin, le gĂ©nocide postule la figuration des Noirs comme des vermines dont il vaudrait mieux ĂȘtre dĂ©barrassĂ©. » P.44. Norman Ajari in Afro-DĂ©colonial Manifesto aux Editions
My people, si vous ĂȘtes Ă LomĂ© ce samedi, ne ratez pas la prĂ©sentation du livre en prĂ©sence de son auteur. Ce nâest pas tous les jours quâon reçoit des penseurs de cette pointure.
Ăa se passe ce sam. 02 dĂ©c. A 15h00 Ă Tempo Coworking La rencontre sera animĂ©e par LĂ©onora Miano. Si vous nâavez pas encore confirmez votre place, merci de le faire ici : www.the-quilombo-publishing.com
Norman Ajari est philosophe et maĂźtre de confĂ©rences en Ătudes noires francophones Ă l'universitĂ© d'Edimbourg (Ecosse). Auparavant, il a enseignĂ© Ă l'universitĂ© Villanova (Ătats-Unis) et Ă l'universitĂ© de Toulouse (France). Ses recherches portent sur l'histoire et l'actualitĂ© des pensĂ©es africaines et afro-diasporiques. Membre exĂ©cutif de la Fondation Frantz Fanon, il est l'auteur de plusieurs livres parmi lesquels "La dignitĂ© ou la mort" (La DĂ©couverte) et "Noirceur: Race, genre, classe et pessimisme dans la pensĂ©e africaine amĂ©ricaine au 21Ăšme siĂšcle" (Ăditions Divergences).
â€đż Regardez ce quâon peut faire si on est ensemble !
Cette annĂ©e, je lâai ouvert avec le court mĂ©trage , prĂ©sentĂ© grandement au Wilde Le Lieu sous la direction de Sika Abbey . Ce film est dĂ©diĂ© aux prisonniers politiques, trois en particuliers : Mumia Abu Jamal , Julian Assange et Ferdinand AYITE . Je nâai pas eu le temps de me rĂ©veiller que Locarno sâest enchainĂ©. Que font un asiatique, un europĂ©en et un africain ensemble ? Notre film , tournĂ© au Ghana il y a un an a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ© Ă Locarno Film Festival . Ce film est une pure improvisation. Jâen ris parfois. Bref, je ne me suis pas rĂ©veillĂ© de Locarno que Paris est arrivĂ© : avec sur .
Cet raconte ce dernier beau pĂ©riple de la plus des maniĂšres. « RĂ©sister dans lâamour » est le titre de mon Ă©dito. On y trouve de trĂšs belles conversations : Maa Damarys et Alexandra Kpomda , Rhita et moi dans les rues de Bilbao, AnyĂšs Noel et Niyabja dans un podcast, TALRI dit T**I Banlieusard et Ryaam avec qui j'ai conversĂ©. Et cet entretien avec Bruce Clarke visual artist que vous pouvez voir sur la page Vimeo dâ . Chimurenga nous a donnĂ© lâautorisation de publier des articles parus chez eux. Amzat Boukari-Yabara et Nestor Bidadanure aussi ! Gratitude Immense ! Merci Ă vous, pour ce « coup de poing » donnĂ© dans le ciel !
Merci Ă Jane et Yoleni qui ont acceptĂ© traduire des textes de lâanglais au français. Merci Ă KlĂ©tus Situ qui a travaillĂ© sur lâencadrĂ©. Merci Ă Mustafa Boutadjine dâavoir acceptĂ© quâon utilise sa toile comme base de notre affiche. Merci Ă Rodrique dâavoir ttraitĂ© les sons. Pour la 1Ăšre fois, intĂšgre des conversations audios et filmĂ©es, Ă©galement restranscrits en texte pour les old school qui aiment lire, surligner, barrer đ ! Merci Ă Bilal pour les retranscriptions (ce type câest quelquâun). A Adjo pour sa patience et son petit cĆur. A Edem qui arrive toujours comme un magicien pour calmer la tempĂȘte. Merci Ă Vous qui y avez contribuĂ©, bĂ©nĂ©volement.
Cet Asrafozine nâaurait pas vu le jour sans toutes ces personnes ! Câest ce que je voulais partager ce matin. Il est dispo sur www.arctivism.org
Regardez ce quâon peut faire ensemble !" , Elom 20ce, 26 nov 2095
Click here to claim your Sponsored Listing.