Vivre longtemps en bonne santé - Donner du sens à sa vie

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La perte de confiance en soi à la retraite

Du top ....

Avant, je conduisais des réunions dans le contexte du handicap à l’école. Nous étions cinq à sept adultes autour de la table et c’est moi qui convoquais, animais la réunion et en rédigeais le compte rendu. Plus de 300 fois par année scolaire.
Je me sentais valorisée dans mon rôle de médiation entre les partenaires. Je bénéficiais d’une identité forte et reconnue.

Au degré zéro,

Du jour au lendemain, tout le paragraphe précédent s’écrit à la forme négative. Je me sens tout à coup dévalorisée, sans aucun rôle à jouer. Mon identité est compromise. Et quand l’identité est fragilisée, la confiance en soi et l’estime de soi dégringolent avec.

Un regard nouveau
Cela m’amène à me regarder d’une façon différente et à me demander qui je suis devenue.

Craquer or not craquer ?

L’identité, première victime du passage à la retraite
Le vendredi, vous êtes infirmière, professeur, avocate, gestionnaire …et le lundi, vous n'êtes plus rien. Finito, basta, fertig, nada. Certains retraités considèrent même qu’il sont devenus “personne”, qu’ils n'existent plus.

Le descente vers la depression
Comme nombre de nouveaux retraités, j'ai vécu moi aussi cette perte d'estime. Je me sentais descendre lentement dans l’isolement, la dépression, la solitude, malgré une famille autour de moi.

Se créer une identité nouvelle
Alors, je fais quoi ?
Je craque et je pave mon chemin vers la mort ?
Ou je réagis et j'active ma résilience ?
Je fais quoi et comment ?
La réponse est plus facile à dire qu'à faire mais je peux résumer en disant que je me suis trouvé de nouveaux objectifs de vie. Je me suis créé une identité nouvelle.
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Vivre longtemps en bonne santé est possible
Vivre longtemps en bonne santé commence par un état d'esprit. C'est un changement de paradigme. Non, on n’est pas obligé de tomber malade parce qu’on vieillit !
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Le mental pour vivre longtemps en bonne santé en 3 points

Point 3 Mettre en place une stratégie sur trois axes :
- Développer son esprit, le moteur de cette démarche : questionnement, coaching, lectures, recherche scientifique, spiritualité….
- Entraîner son corps (activités physiques, alimentation, médecine anti-âge)
- Cultiver son cœur, ses relations en live (avec amour) et aussi son audience sur les réseaux sociaux.
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Le mental pour vivre longtemps en bonne santé en 3 points

Point 2 « Décider » de l'âge de sa mort. Ce n'est pas une décision cognitive mais un questionnement qui harmonise son corps , son cœur et son esprit.
La question est spirituelle…. et personnelle.
Moi, j’ai choisi 110.
Et toi, à quel âge décides-tu de mourir ?
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Le mental pour vivre longtemps en bonne santé en 3 points
Point 1 - Accepter d'envisager sa propre mort.
Comment vous situez-vous face à cette perspective ?
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La vieillesse n'est pas une maladie
Généralement, dans les pays développés, on meurt des maladies liées à l'âge mais pas de vieillesse. La mort naturelle par vieillesse, c'est plutôt 120 ans d'après les recherches actuelles.
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Vivre longtemps en bonne santé s'apprend
Choisir de vivre longtemps en bonne santé commence par un mental adapté qui se travaille.
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Après 5 années de retraite, je me réveille. Je sors de ma léhargie et je développe ma présence sur les réseaux sociaux autour des thèmes , , , , , .
La retraite est un toboggan mental vers la mort.

Bonjour,
Je suis une retraitée rebelle à la retraite. Je viens du secteur public, sans expérience de l'entreprise.
En ce moment, je me professionnalise pour devenir coach et accompagner les personnes en transition.
PM et ce challenge représentent pour moi une opportunité de m'entraîner à gérer un business. Une sorte d'effet Monopoly.
Comme j'ai 25 ans de re**rd dans les réseaux sociaux, interagir ici est un vrai challenge pour moi.
Je ne lâche rien.
Je tiens bon !
Vous m'encouragez ?

Édification
Hello, j'espère que tu vas bien.
J'organise mon premier zoom, le zoom de mes débuts et je suis heureuse de t'inviter.
Vendredi 23 à 20h.
J'invite Claire, la directrice de PM Auvergne-Rhône-Alpes qui est si inspirante par son dynamisme à 50 ans.
Elle nous présente en avant première les nouveaux compléments PM qui révolutionnent l'anti-âge. Une gamme soft qui vient chatouiller le cœur des cellules pour nous aider à vivre longtemps en bonne santé.
Tu es en voyage ici ?

Tu es occupé ?
😀
Il te suffit d'une bonne connexion.
Alors, je peux compter sur toi ?
A bientôt
Christine
2K 23

Mes croyances limitantes


Quand j'ai commencé dans ce job, c'est à dire la semaine dernière, je croyais que ce ne serait pas possible parce que je n'avais pas assez de contacts. Je n'utilise pas les réseaux sociaux et la retraite isole, comme on sait.
Puis j'ai commencé à me former – et je n'ai pas fini ! - et j'ai compris la puissance des réseaux. Je sais que je peux attirer vers moi des personnes que j'intéresse. Magique !
Je suis des tutos et les formations de mon équipe pour apprendre à publier. C'est un vrai défi de parler de moi en live ou de livrer mes ressentis et mes opinions sur le net.
Et c'est aussi pour ça que je suis ce challenge. Pour apprendre et dépasser mes croyances limitantes.

Je n'ai pas confiance en moi

Je te raconte l'histoire d'un jeune homme qui vit dans une maison perdue au milieu de la forêt. Sa maison s'appelle « Mon confort » ; il s'y sent en sécurité et il n'a pas envie d'en sortir. Puis un jour, sa maison prend feu. Tout est détruit. Il doit partir.

Il se retrouve seul au milieu des grands arbres sombres qui lui font peur. Il se sent perdu et en danger. Il ne voit pas d'issue. Il ne sait ni quoi faire, ni où aller. Mais le feu le pousse à avancer sous les arbres. Terrifié, il se met en marche d'un pas hésitant.

En avançant, il aperçoit des fleurs le long du chemin et des champignons et des coccinelles. Il remarque qu'en avançant, la vision qu'il avait de la forêt quand il la voyait par la petite fenêtre de sa maison, est différente. Il la trouve plus sympathique. Il s'y sent mieux. Plus il avance et moins il a peur. A chacun de ses pas, un paysage nouveau s'ouvre devant lui, plus beau que le précédent. Ça lui donne envie de rire, d’accélérer.

Quand il sort du sous-bois, il devine au loin les faubourgs de la ville toute proche. Des gens lui font signe au bord du chemin et l'invitent à partager leur repas. De nouveaux amis, un nouveau pays à découvrir. Il rit avec eux, incrédule d'avoir fait tout ce chemin. Il n'en revient pas : d'abord il a osé quitter sa forêt, il a traversé les arbres sombres qui lui faisaient peur, il a découvert de belles choses qu'il ne connaissait pas. Il s'est découvert lui-même sous un jour nouveau.

C'est en se mettant en mouvement que les choses changent.

Quelques idées pour faire face aux objections des personnes qui n'osent pas se lancer dans l'aventure

Je ne connais personne.
Tu peux commencer par parler des produits autour de toi, simplement en disant, comme moi par exemple que tu dors mieux avec les cocktails du matin et du soir. C'est tout. Pour le reste, fais confiance aux réseaux sociaux et aux outils proposés comme ce challenge pour trouver du monde. Tu peux poster des publications qui parlent de toi sur ton profil, juste pour que les personnes te connaissent. Fais-toi connaître et on te connaîtra. Les réseaux sociaux sont là pour ça, précisément.

Je ne sais pas travailler sur les réseaux.
Ça s'apprend. Apprendre nous force à sortir de notre zone de confort, cet endroit où tout nous est connu et où on se sent en sécurité. En tant que coach, je propose de voir l'évolution personnelle comme un chemin qui va de sa zone de confort à sa zone de croissance. En chemin, on trouve des peurs dans la zone des peurs : peur de ne pas y arriver, peur de prendre des risques, peur de se mettre en danger.
J'aime bien suggérer aux personnes que je suis en coaching l'image du sentier en montagne : quand on est en bas sur le parking (zone de confort) et qu'on nous dit qu'on va monter jusque là-haut (zone de croissance), on se dit qu'on ne va jamais y arriver (zone de peur). Pourtant, il faut accepter de se mettre en chemin, de bouger son angle de vue sur le paysage pour découvrir, pas après pas, la petite sente cachée derrière les rochers. Il faut accepter le risque de grimper, faire les efforts nécessaires. Et au bout de quelques heures, on voit le refuge qui est juste là, perché sur ce rocher au-dessus de nous.
Pour sortir de sa zone de confort, on passe nécessairement par un zone de peur qu'on traverse en se mettant en mouvement, en étant actif, en faisant des choses. Comme par exemple suivre des tutos pour se former aux réseaux.

Pourquoi un abonnement ?
Quand on s'adresse au corps, il faut tenir compte de son rythme. En naturopathie, on considère que le corps a besoin de 21 jours pour réagir. De plus, le cerveau a besoin de ces trois semaines pour acquérir une nouvelle habitude. Ce n'est pas parce que les produits FitLine agissent rapidement que toutes les cellules ou le cerveau vont en profiter au même rythme.
L'idée de l'abonnement est de laisser le temps au temps.

Je ne peux pas, je ne sais pas.
Pose-toi la question : tu ne peux pas quoi ? Tu ne sais pas quoi ? Je dis souvent aux personnes que j'accompagne de se remémorer un « exploit » qu'elles sont arrivées à faire dans un domaine qui leur est familier. Ce peut être une recette de cuisine compliquée pour un repas de fête ou bien repeindre le salon. Un truc inhabituel qui fait peur a priori mais qu'elles sont arrivées à faire. Je leur demande d'analyser leur processus par écrit. Qu'est-ce qui les a motivées ? Comment elles ont fait pour y arriver quand même ? Est-ce qu'elles ont fait un « brouillon » comme expérimenter la recette la semaine d'avant ou repeindre le cagibi au fond du couloir le mois précédent ? En général, tout le monde a ce genre d'expérience. Est-ce qu'elles se sont servi de tutos sur le net ? De conseils d'un vendeur ? D'un livre ?
Il suffit de mettre en parallèle ce nouvel apprentissage avec ce qu'elles ont déjà réussi et qui est inscrit sur leurs notes, pour que les personnes se rendent compte qu'elles sont capables de mobiliser des compétences, acquises mais inexploitées, pour affronter ce nouveau défi.

"Toute mort avant 120 ans peut-être considérée comme prématurée." Dr. Frédéric Saldman
Provoc ? Utopie ? Réalité ? Avec quelques précautions d'usage, on devrait pouvoir y arriver.
Et vous, jusqu'à quel âge vous aimeriez vivre ?