BOSS MUSSO

Aucune limite exactement 👏🏿👏🏿👏🏿

Merci les Mali Jolies Dew 2

8 mars des mjd: elles se sont faites toutes seules.
Fatou Coulibaly fondatrice de Boss Musso

Peux tu te présenter ?
Je m’appelle fatou Coulibaly, j’ai 38 ans et je suis d’origine Malienne.
J’ai 10 ans d’expérience professionnelle dans le CRM en marketing.

J’ai créé la page Boss Musso sur facebook et instagram, une page de conseil sur l’entreprenariat féminin en Afrique. Cette page a pour but de valoriser les femmes entrepreneures africaines et prochainement d’accompagner les futures Boss Musso dans le lancement ou le développement de leurs commerces/entreprises en Afrique, que ce soit des femmes vivant en Afrique ou en France. Je veux donner encore plus de valeur aux commerces africains au niveau national et international et de l’excellence à notre beau continent.

En tant que mère, salariée, future entrepreneure, je dois porter plusieurs moussoros pour organiser et gérer mes journées. Être une femme dans l’entreprenariat s’est popularisée car les femmes ont réussi à encore plus s’imposer dans ce domaine. J’échange avec bien plus de femmes sur l’entreprenariat que d’hommes. Il faut savoir vendre son projet pour faire adhérer les gens.

La journée internationale des droits de la femme est un rappel chaque année des combats menés par les femmes pour s’épanouir aussi bien personnellement que professionnellement. C’est aussi une journée de rappel pour montrer à toutes les femmes que nous pouvons réussir à atteindre nos objectifs grâce à notre volonté et motivation.

Mon rêve serait de faire en sorte que grâce à Boss Musso, des femmes en Afrique ou de la diaspora qui ne parviennent pas à être rentable dans leurs activités en Afrique, parviennent à devenir financièrement indépendantes grâce à notre accompagnement.

A méditer les boss musso de Mali Jolies Dew 2

Connaissez-vous Massogbè Touré Diabaté ?
Cette femme entrepreneure est une figure incontournable quand on évoque la filière de la Noix de cajou en Côte d'Ivoire. En valorisant l'anacardier, la patronne de la Sita SA est devenue une capitaine d'industrie qui relève quelques-uns des défis les plus actuels des pays africains: industrialisation et émancipation économique des femmes.

Son entreprise dont le chiffre d'affaires est environ de 3 milliards de francs CFA (4,6 millions d'euros) emploie quelque 800 personnes dont 750 femmes. «On ne peut pas avoir de développement durable sans l’implication effective des femmes. Si quelqu’un vous dit le contraire, éloignez-vous de lui!»

Aujourd'hui, «98% de la production est exportée et nous développons le salé-grillé sur le marché national où il y a une demande croissante. Avant, les gens ne mangeaient pas la noix de cajou parce que c’est un produit de luxe.» un produit qui a fait d'elle une femme d'affaires. 

«Quand je suis arrivée dans ce secteur, ce n’était pas facile. Ce sont souvent des hommes qui y travaillent. Mais c’était surtout une culture méconnue»

« C’est lors d’un de ses voyages en Inde, à Madras, en 1987, que elle s’est rendue compte qu’on avait le même climat et surtout que la dynamique économie de cette région reposait sur la noix de cajou.» Massogbè Touré Diabaté décide alors de tenter l'aventure chez elle.
Elle et son mari démissionnent de leurs postes. Elle possédait quelques hectares. On les traitait de fou parce qu’il avait délaissé un bureau climatisé pour la poussière.» 

C’est donc un peu grâce à elle que la Côte d’Ivoire est le deuxième producteur de noix de cajou au monde, après l'Inde.  

Le principal concurrent de la Sita, c’est le géant singapourien Olam. Mais pour dame Diabaté. «Je suis une fourmi à côté de cet éléphant. Aujourd’hui, nous sommes à moins de 10% de matière première transformée. Je ne peux donc pas parler de concurrence. Il y a assez de place pour nous tous.»

Connaissez vous Lerato Motsamai, PDG d’une entreprise en pétrochimie en Afrique du Sud ?

Lerato est la fondatrice et PDG de Petrolink, une société sud-africaine qui élabore, mélange et distribue des lubrifiants, des huiles, des graisses et des produits chimiques spécialisés pour l’industrie automobile à l’aide d’huiles de base vierges et d’additifs de haute qualité.

Avec une carrière de 21 ans dans le secteur de la pétrochimie, Lerato dirige une équipe diversifiée.

Sa clientèle inclut des brasseries, des mines, l’aviation, l’agriculture, l’industrie automobile et les industries lourdes.

Son expertise créative dans la gestion de Petrolink lui a valu d’être reconnue par le Business Report de IOL comme l’une des trois femmes les plus influentes dans le secteur de l’énergie sud-africain et par Financial Mail comme une force motrice de l’énergie.

De plus, l’activisme passionné de Lerato dans l’avancement économique des jeunes femmes et des filles, s’exprime à travers Girlignite Africa Academy, une jeune ONG qu’elle a fondée en 2014 et qui a touché 7500 jeunes grâce à un programme global d’autonomisation axé sur le développement des compétences et une éducation STEM en Afrique du Sud, au Zimbabwe, à Madagascar, aux Comores et au Mozambique, des marchés où Petrolink est opérationnel.

Cette BOSS MUSSO est impliquée dans sa communauté en créant une académie pour les filles. De plus, son produit répond aux besoins d’une clientèle diversifiée.

Connaissez vous honorine ollo, propriétaire d’une compagnie aerienne en Côte d’Ivoire ?

Titulaire d'une maîtrise en droit, obtenue en 1979, madame OLLO dispose de 21 ans d'expérience dans le domaine de l'aéronautique et ce à de différents postes, allant d’hôtesse de l’air, chef de cabine à instructeur du personnel navigant. Toutes ces expériences ont été faites à Air Afrique, Air Ivoire, Air France et Air Inter. Elle a créé une Agence de Tour Operator, puis a été consultante au Ministère des Cultes de la Côte d’Ivoire pendant deux ans pour les vols de pèlerinages en Arabie Saoudite. Elle a créé sa société CI TOURS en 2007, sa compagnie aerienne ivoirienne. Comment lui est venue l’idée?

Elle remarque la disparition de la plupart des compagnies aériennes nationales et le manque de compagnies aériennes commerciales privées africaines en Afrique de l'Ouest qui ont conduit à un manque d'offres de service.
 
Ce manque a entraîné une augmentation constante des niveaux de passagers, et une demande plus forte dans les échanges nationaux et internationaux.

C'est ainsi qu'en janvier 2007,Madame OLLO Nazert Honorine décide de fonder CI-TOURS en tant que compagnie aérienne en réponse à cette opportunité.
 
CI-TOURS est accréditée par l'OACI et la FAA, et continue de rechercher des investisseurs privés désireux de saisir cette opportunité d'investissement.

sa vision est de bâtir l’une des principales compagnies aériennes internationales qui se distinguent par ses origines africaines. Avec ses 23 employés, elle souhaite relier les pays africains entre eux et le reste du monde empreint de l’hospitalité traditionnelle africaine.

Elle a su saisir une opportunité malgré que son service demande des capacités financières importantes. Si votre produit ou service a une forte demande, vous aurez plus de chances de trouver des investisseurs. Ne reculez pas face à une problématique, cherchez. Trouvez des solutions mais avancez!

🇨🇲

Connaissez-vous Kate Kanyi-Tomedi Fotso, propriétaire de plantations de cacao au Cameroun ?

Elle est la femme la plus riche d’Afrique Francophone, avec une fortune estimée à 252 millions $. Fondatrice et à la tête de l’entreprise Telcar Cocoa LTD, la reine du cacao contrôle plus de 30% de l’exportation du cacao camerounais et elle est la 20 eme fortune d’afrique subsaharienne francophone. Son sens élevé des affaires et sa grande capacité de négociation lui ont permis de faire son chemin dans un univers très masculin. Véritable femme de poigne, elle est à la base de plusieurs innovations dans le secteur (organisation des planteurs en coopératives, formations de 21 000 producteurs de cacao…) elle est aussi l’initiatrice du cacao certifié au Cameroun pour rendre la production locale plus compétitive sur le marché international.
Par ailleurs, Kate Fotso a distribué environ 2 millions de dollars de primes aux producteurs de cacao certifié.

Elle évolue depuis plus d'une vingtaine d'années dans cette filière aux côtés des hommes, sans afficher le moindre complexe. Très active, cette productrice du cacao participe à plusieurs rencontres qui regroupent les opérateurs du secteur cacao à travers le monde, où elle encourage les jeunes filles africaines à s'intéresser à l'agriculture, notamment du cacao.
Ses propos : « L'agriculture est une immense richesse, qui permet à tous ceux qui la pratiquent avec détermination de réaliser des succès dans la vie. L'agriculture recèle un large éventail de produits à développer. J'ai personnellement fait fortune dans l'agriculture et j'ai opté pour la production du cacao. J'avoue que les débuts n'ont pas été faciles, les hommes et même certaines femmes se sont dit que j'allais m'essouffler à mi-parcours et par la suite abandonner cette aventure. Mais au contraire j'ai persévéré et à ce jour je compte parmi les leaders dans le secteur cacao en Afrique et dans le monde. J'invite donc les jeunes filles à s'investir dans l'agriculture, qui est une activité qui peut leur permettre à sortir de la pauvreté et de devenir véritablement autonomes ».

Les boss musso, imposez-vous dans les secteurs même s’ils vous semblent fermés ou masculins !

Un coucou pour les BOSS MUSSO. Je vous envoie plein d’ondes positives pour vos projets 💪🏿💪🏿💪🏿

Connaissez vous Madina Traoré, propriétaire d’une fraiserie au Burkina ?

Gestionnaire comptable , elle est également proprietaire de 2 fraiseries à Ouagadougou et à Koudougou depuis 3 ans au Burkina et commercialise ses produits bio au pays et à l’international.

C’est dans son village, qu’elle décide de faire ses premiers pas dans la culture de la fraise. Certains de ses proches tentent de l’en dissuader en lui disant que ça ne poussera pas. Mais Madina a cru en son projet avec comme seul guide sa passion.
Elle se souvient des premiers commentaires. « Ça là, ça va donner quoi ? tu es sûre que ça va pousser », lui demandait-on. Sa détermination finit par payer où elle récolte ses premières fraises.

Si l’on en croit ces propos, la production de la fraise est rentable : « On ne peut pas donner de chiffres exacts mais quand on investit dans la fraise, on obtient son retour sur investissement, la même année ». Selon elle, cela s’explique par le fait que la fraise est prisée au Burkina et à l’extérieur. La quantité demandée est même supérieure à l’offre disponible sur le marché. « Avec ma production, ajoutée à celle des autres, on n’arrive pas à satisfaire la demande », indique t’elle.
Pour remédier à la faiblesse de l’offre, Madina Traoré souhaite former des femmes aux techniques de production de la fraise. A travers cette formation, elle espère aider d’autres femmes à être autonomes. « Comme c’est un secteur rentable, je sais que si des sœurs s’intéressent au domaine, ça sera bénéfique pour elles.», précise-t’elle.
Elle reconnait que la culture de la fraise est difficile. L’accès au financement et le manque d’eau à certaines périodes de l’année constituent les principaux goulots d’étranglement.
L’autre difficulté, c’est la fixation du prix de vente.  « Quand il n’y a pas d’accord, ceux qui viennent prendre en gros font la loi. Vous n’avez pas d’autres choix que d’accepter puisque c’est un produit périssable », déplore-t-elle.
Pour le moment, Elle ne produit que des fraises mais elle compte étendre son activité à d’autres fruits et ouvrir une confiserie.

Si vous êtes passionnée, vous serez capable de surmonter l’impossible !

Connaissez vous Victoria Mwafulirwa, dirigeante d’une usine d’agroalimentaire au Malawie ?

Elle a fondé Homes Industries, une unité de transformation de produits locaux qui contribue à augmenter les revenus de plus de 1 000 petits exploitants.
Fondée en 2015, c’est l’une des premières unités à fabriquer de l'huile de tournesol au niveau local. Mais la jeune entrepreneure, qui s’est donné pour mission de soutenir les petits exploitants agricoles, va encore plus loin en transformant farine et arachides. Elle conditionne également l’ambérique verte (haricot mungo, connu sous le nom de soja vert), ainsi que du riz brun et blanc. Sa mission, être la référence en matière de produits alimentaires, en terme de qualité, de santé et de prix.

Ses efforts pour améliorer le secteur agroalimentaire ont été récompensés par le prix de l’Africa Women Innovation and Entrepreneurship Forum.

J’espère pouvoir l’interviewer pour vous présenter son parcours !

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Connaissez vous Rockya Bachir fondatrice de la marque Sahel Délices ?

créée en 2015, cette entreprise nigérienne du secteur agro-alimentaire valorise la matière première locale en produisant des jus à base de plantes locales comme le bissap ou le baobab des tisanes, épices et confitures.

La propagation du covid-19 a affecté ses activités économiques, et elle s’est adaptée pour survivre.

Plusieurs difficultés ont émergé.
1. l’approvisionnement en matière première : les fournisseurs de matières premières ne pouvaient plus se déplacer facilement. Cela a entrainé la hausse des prix des matières premières.

2. l’approvisionnement en emballage : Avec la fermeture des frontières, la livraison des emballages étaient compliquée et les coûts ont augmenté.
3. Le manque de rigueur des livreurs face au obligations sanitaires. Les livreurs oubliaient les masques ou les gants pendant leurs services. Au niveau de la production, il n’y a pas eu de problèmes puisque les masques et gants étaient déjà obligatoires, mais pour les livreurs, il a fallu insister par manque d’habitude.

Sahel Délices a dû faire face à une baisse des ventes car les gens ont tellement dépensé pour le confinement qu’ils ont dû réduire leurs dépenses. Le couvre-feu, fixé à 19h, a également limité le temps de consommation.

L’entreprise a été accompagnée pendant la crise par ses partenaires. Par exemple, Sinergi les a aidé à l’acquisition de certaines machines.

Son objectif, que ces produits soient connus sur tout le territoire et à moyen terme dans la sous-région.

Même si 2020 a été une année difficile pour l’entreprise, elle ne baisse pas les bras. Elle identifie les problèmes pour trouver des solutions rapidement. Il ne faut pas abandonner car la vie d’entrepreneur c’est un combat permanent. Si c’était facile tous les jours, tout le monde serait entrepreneur ! La clé c’est l’adaptation.

Malgré la situation sanitaire, elle a su trouver des alternatives pour faire face à cette crise. Ne rien lâcher, toujours se battre.
J’espère pouvoir l’interviewer pour vous présenter son parcours !

Pour celles qui se sont déjà lancées, quelles difficultés avez vous surmontées ?

La découverte de l’histoire de Pili Hussein sur le site d’ m’a fait réfléchir sur la volonté de changer sa condition de vie.

Née dans une famille nombreuse, victime de violence conjugale, elle a bien failli se retrouver en prison pour avoir exercer le métier de mineur qui est réservé aux hommes.

D’origine tanzanienne, Son père était marié à six femmes et avait 38 enfants. Obligée de travailler dans les champs et de s’occuper du bétail, la jeune Pili Hussein n’aura jamais accès aux bancs de l’école.
Son premier époux la battait régulièrement et à 31 ans, elle fuie cette relation violente.
Elle s’installe à Mererani où elle découvre le site minier éponyme, le seul endroit au monde où il serait possible de déterrer des tanzanites, pierres précieuses bleues d’une valeur inestimable. Malheureusement, il faut être un homme pour devenir minier.
elle se fait donc passer pour un homme pendant 10 ans.

Suite à une accusation de viol d’une jeune fille sur son groupe de minier, elle avoue être une femme pour ne pas être condamnée.

Aujourd’hui, elle est mariée, maman et à la tête d’une société minière qui emploie plus d’une soixantaine de personnes. Ces propos au sujet de son parcours :
«JE SUIS FIÈRE DE MON PARCOURS – IL M’A RENDUE RICHE, MAIS C’ÉTAIT DIFFICILE. »

Cette histoire nous montre que nous sommes les seules à décider de notre destin en nous donnant la motivation et de l’ambition les BOSS MUSSO ! Vous seule pouvez décider de la direction de votre vie si vous vous en donnez les moyens. Alors, vous êtes encore plus motivées ? 💪🏿💪🏿💪🏿💪🏿.

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Hello les BOSS MUSSO, j’espère que vous allez bien et que vos projets avancent et pour toutes celles qui fêtaient la tabaski, j’espère que vous avez passé une bonne fête !

Je vous propose un cas pratique autour de la cible et du positionnement.

Vous travaillez sur le lancement de votre prochain institut de bien être dans votre pays d’origine. Les prestations proposées sont manucure, pédicure, massage, soin du visage.

1. D’après vous, qui sera votre cible ?

2. Comment allez-vous les démarcher ?

Vous constatez que vous avez plusieurs concurrents sur le marché qui proposent la même offre que vous !

3. Quelle stratégie comptez-vous mettre en place pour vous démarquer des concurrents ?

Alors quelles décisions prendrez-vous ?

Il n’y a pas de bonnes ou mauvaises réponses. Répondez comme vous le sentez ! ☺️

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Connaissez vous Folorunsho Alakija .folorunsho ?

Folorunsho Alakija est une femme d’affaire importante en Afrique qui a fait fortune dans le secteur pétrolier !

Cette nigériane, qui a grandi dans une famille polygame et fille d’un dignitaire de la communauté musulmane et d’une mère vendeuse de textiles, a commencé sa carrière en tant que secrétaire dans une banque de Lagos.
A la suite de la faillite de celle-ci, elle étudie la mode en Angleterre et elle se lance dans le prêt à porter au Nigeria avec la création de sa propre marque vestimentaire « Supreme Stiches ». Sa marque devient célèbre auprès des Nigérians et s’impose dans les milieux mondains. Ce qui lui permet de gagner le prix de la meilleure designer-styliste de son pays.

Elle acquiert une licence de prospection de pétrole, le bloc OPL 216, large de 250 000 hectares.

À différence de la majorité des acquéreurs de ces blocs qui les revendent à des groupes étrangers, Folorunsho Alakija décide d'exploiter elle-même son bloc pétrolier, et s'associe en 1996 à Star Deep Water Petroleum Limited (filiale à 100 % de Texaco). En parallèle, elle crée sa société Famfa Oil Petroleum Limited. Cette entrée retentissante dans le secteur pétrolier renforce le statut de la femme d’affaires. Elle est désignée comme la femme la plus riche du continent africain, selon le magazine Forbes. La valeur de ses parts dans le pétrole est estimée entre 6,14 et 8,3 milliards de dollars.

J’espère pouvoir l’interviewer pour vous présenter son parcours !

On peut commencer en bas et s’élever professionnellement toute seule en prenant les bonnes décisions ! Alors les boss Musso, vous êtes motivées ?

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J’ai reçu plusieurs messages de femmes, qui souhaitaient lancer leur entreprise mais qui ne savaient pas par où commencer.

Voici quelques étapes pour structurer votre projet !

* A quel besoin, votre produit ou service, répondra-t’il à la clientèle ?

* Qui est votre cible ? Définissez les différents personas pour qui votre produit s’adresse ?

* Avez-vous fait une étude de marché ? Qui sont vos concurrents ? Qu’est ce qui démarque les concurrents des uns des autres ? L’emplacement, Le prix agressif, la qualité, le service, le concept… ?

* Quel est votre positionnement ? Quel est la valeur ajoutée, la différenciation de votre produit ou service par rapport aux concurrents ?

* Quel est votre plan de communication ? Comment allez-vous vous faire connaître ? Plus vous êtes visible, plus on retient votre produit !

* Quel est votre plan financier ? calculez vos coûts et vos charges et ensuite combien de produits et de CA vous devez vendre pour rentabiliser votre entreprise ?

Voici déjà quelques questions à vous poser en amont avant de vous lancer.
L’idée c’est de travailler la viabilité de votre business.
Alors les BOSS MUSSO, quels autres aspects de votre business devez- vous travailler avant de vous lancer ?

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A qui s’adresse vos produits ou services ? Aux femmes, aux entreprises. Aux moins de 30 ans…

Cette question est importante car cette cible devra être votre coeur de cible même si elle ne représentera pas la totalité de votre clientèle.
Vous devez pouvoir identifier sur cette clientèle, si c’est personne ont la capacité financière pour acheter vos produits.
Par exemple, la marque nanawax s’adresse aux working girl en Afrique.

C’est grâce à cette cible que vous pourrez réaliser votre chiffre d’affaires car c’est un bon indicateur de votre activité. Lorsque vous aurez défini votre cible, cela vous permettra de trouver plus facilement l’axe de communication.

Vous avez réussi à recruter vos clients, FIDELISEZ LES !
Assurez une partie de votre chiffre d’affaires en faisant revenir votre clientèle. Et en plus, plus votre cible revient, plus cela veut dire qu’elle aime vos produits ou services et elle sera votre meilleur ambassadrice pour promouvoir vos produits ou services à d’autres personnes.

Alors les BOSS MUSSO, qui est votre cible ? Comment allez vous les fidéliser ? Dans quel pays ?

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Détermination, passion, motivation sont les qualités primordiales pour vous lancer. Mais devenir entrepreneur, c’est avant tout vendre son concept à votre clientèle, partenaire, entourage…
Pour cela, vous devez être bon communiquant, être sociable.

C’est savoir faire face à l’adversité, s’adapter aux obstacles car des freins vous en rencontrerez.

C’est être à l’écoute de sa clientèle pour améliorer son produit ou service.

C’est savoir déléguer car vous ne pourrez pas être sur tous les fronts

C’est être ouvert d’esprit en échangeant avec tout le monde pour se créer son réseau

C’est aussi être proactif que réactif. Essayez d’anticiper et d’agir au maximum

Voici quelques axes d’amélioration pour vous aider les BOSS MUSSO.

Alors, allez-vous travailler sur ces qualités ?
Quelles sont les autres qualités indispensables pour être entrepreneur ?

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