DPersonal Training

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J'aide les gens à utiliser le stress comme une ressource et non comme un problème.

10/06/2022

Pourquoi la graisse abdominale est-elle si dangereuse pour la santé?

Un booster de maladies cardiovasculaires et métaboliques».

« Le tour de taille est un indicateur de santé : mieux vaut éviter d’avoir trop de graisse abdominale, prévient le Dr Frédéric Saldmann, cardiologue et nutritionniste. Cela augmente considérablement le risque de maladies cardiovasculaires, le risque de maladies métaboliques comme le diabète, ainsi que le risque de cancer ». Un facteur de risque qui augmente tant pour les hommes que pour les femmes.

Par quels mécanismes la graisse abdominale déploie-t-elle ses effets délétères ?

« Cette graisse viscérale n’est pas un tissu inerte, elle est composée de cellules graisseuses et est aussi très vascularisée, explique le Pr Claire Mounier-Vehier, cardiologue et présidente de la Fédération française de cardiologie. Elle sécrète des substances inflammatoires qui favorisent la rigidité et le vieillissement des artères. Parallèlement, cet excès de graisse abdominale active l’insulinorésistance et stimule le système nerveux sympathique, ce qui peut à terme précipiter un AVC, ou favoriser le développement d’un anévrisme aortique. L’excès de graisse abdominale est une maladie de l’environnement, et c’est un booster de maladies cardiovasculaires ».

Faut-il s’inquiéter pour un petit bourrelet localisé sous le tee-shirt ? Non, la graisse abdominale représente un danger pour la santé « au-delà de 88 cm de tour de taille pour les femmes, et dès 102 cm de tour de taille pour les hommes, indique le Pr Claire Mounier-Vehier. Dès lors, les risques cardiovasculaires et les risques de diabète sont multipliés par deux à trois », prévient la cardiologue. En pratique, « mieux vaut un corps en forme de poire que de pomme, illustrent de concert le Pr Mounier-Vehier et le Dr Saldmann. Avoir de la graisse localisée dans le bas du corps n’a pas l’impact délétère qu’a la graisse localisée autour de l’abdomen ». En clair, « avoir de grosses fesses est moins dangereux pour la santé qu’un gros ventre », ajoute le Dr Saldmann.

Le fruit d’une hygiène de vie inadaptée

Le plus souvent, c’est au fil des ans que cet excès de graisse s’installe lentement mais sûrement. En cause, des modes de vie sédentaires, auxquels s’ajoutent le stress du quotidien, des repas pas toujours équilibrés et un manque d’activité physique. « La graisse abdominale localisée en excès autour de l’abdomen correspond à de mauvaises habitudes alimentaires, c’est que l’on mange trop, trop gras et trop sucré, et que l’on consomme trop de boissons alcoolisées, indique le Dr Frédéric Saldmann. Cela augmente l’encrassement des artères ».

Par ailleurs, il y a un facteur environnemental de risque à ne pas négliger. « L’alimentation contient des pesticides, en particulier pour les produits transformés, poursuit le cardiologue et nutritionniste. Ainsi que des substances chimiques et des perturbateurs endocriniens. Or, quand on consomme ces produits en excès, toutes ces substances toxiques vont se loger profondément dans la graisse abdominale et n’en partent pas. C’est ainsi que les personnes obèses sont davantage touchées par le cancer, en raison notamment de ce facteur environnemental, et d’une surconsommation de sucre, qui est l’un des carburants des cellules cancéreuses ».

Un raccourcisseur d’espérance de vie

Conséquence : en excès, la graisse abdominale se transforme en raccourcisseur d’espérance de vie. « Un homme dont le tour de taille passe de 90 à 110 cm augmente de 50 % son risque de décès prématuré, avertit le Dr Saldmann. Et une femme dont le tour de taille passe de 70 à 90 cm augmente quant à elle ce risque de 80 % ».
Pour les personnes en grand surpoids, le risque explose : « si le tour de taille est égal à 80 % de la hauteur, soit par exemple plus de 136 cm de tour de taille pour une personne mesurant 1,70 mètre, son espérance de vie sera considérablement raccourcie, et elle mourra en moyenne 17 ans plus tôt que la moyenne », ajoute le Dr Saldmann.

« Transpirer » pour se débarrasser de sa graisse abdominale

Heureusement, il est possible de rectifier le tir. Mais pour faire fondre sa bouée et réduire son potentiel impact négatif sur la santé, il n’y a pas de secret, « il faut restaurer un bon équilibre alimentaire, et il faut bouger, prescrit le Pr Mounier-Vehier, ne pas rester statique, notamment lorsqu’on est sédentaire et que l’on passe sa journée assis(e) à son bureau ». On veille à « faire des petites pauses toutes les deux heures pour se lever et se dégourdir les jambes. Et surtout, il faut pratiquer une activité physique régulière », mais pas n’importe laquelle.

Pas la peine de vous échiner à enchaîner les séries d’abdos, le mieux pour faire fondre le gras de son ventre, « c’est pratiquer au moins deux fois par semaine une activité physique d’endurance, qui fait transpirer, prescrit la cardiologue. Marche rapide, vélo, natation ou encore prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur : c’est tout cela qui va consumer des calories et de la graisse abdominale ». Un conseil qui s’adresse à tous et en particulier « aux femmes ménopausées, précise le Pr Mounier-Vehier, parce que le bouleversement hormonal induit par la ménopause favorise le développement des adipocytes abdominaux. Ainsi, à la ménopause, une femme sur deux est atteinte d’obésité abdominale ». Et il vaut mieux s’attaquer au problème le plus tôt possible. « Plus on est jeune et plus il est facile de réduire son taux de graisse abdominale avec une hygiène de vie saine, indique la cardiologue. Avec le temps, les tissus adipeux deviennent de plus en plus fibreux et difficiles à éliminer ».
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Source: 20minutes

10/05/2022

08/04/2022

Si vous avez encore des doutes pour vous bouger:

1. l'Entraînement physique vous incite à vous connecter avec les autres
2. l'Entraînement physique peut rendre votre cerveau plus sensible à la joie
3. l'Entraînement physique rend courageux
4. l'Entraînement physique avec les autres renforce la confiance et l'appartenance
5. Essayer une nouvelle activité peut transformer votre image de soi

14/09/2021

Les bienfaits méconnus du beurre sur notre santé

Longtemps accusé d'être dangereux pour la santé, le beurre est réhabilité. À dose raisonnable, il apporte même de précieux nutriments.

Les idées reçues ont la vie dure. Mettre une noisette de beurre sur ses épinards ou sur une tartine passe souvent encore pour une hérésie nutritionnelle. Bien que naturel, ce corps gras a encore l'image d'un pourvoyeur d'obésité et de maladies cardiovasculaires.
Cette diabolisation semble aujourd'hui sans fondement.
Le beurre est certes très calorique (72 kcal par portion de 10 g), mais pas davantage que les margarines ou l'huile d'olive. Et contrairement à ce qu'on pensait, sa consommation ne fait pas grimper en flèche le risque d'infarctus ou d'accident vasculaire cérébral (AVC).

À doses raisonnables, le beurre est sans danger pour le coeur et les artères

En juin 2016, des chercheurs américains et australiens ont croisé les données de plusieurs grandes études scientifiques sur le sujet, portant sur un total de 636 000 personnes résidant dans quinze pays différents.

Leur conclusion : si le beurre augmente bien le taux de cholestérol sanguin, en raison de sa teneur élevée en acides gras saturés, il n'induit pas d'effets délétères. En ingérer à dose raisonnable (10-12 g/jour, soit une cuillérée à soupe) est donc sans danger pour le cœur et les artères.

Un aliment adapté aux personnes intolérantes au lactose

Mieux : cet aliment semble même protéger contre le diabète, en réduisant de 4 % la probabilité de survenue de la maladie. Un bonus non négligeable.
Il présente de surcroît d'autres atouts santé. "Contrairement aux produits laitiers, le beurre ne contient pas de lactose", constate Alexandra Dalu, médecin nutritionniste, auteure des 100 idées reçues qui vous empêchent d'aller bien.

Les intolérants à ce sucre peuvent en manger les yeux fermés et bénéficier d'un apport en calcium (15 mg/100 g) et en vitamine D (1,13 µg/100 g), indispensables à la préservation du capital osseux.

Il regorge de vitamine A, un antioxydant qui participe à la bonne qualité de la peau, à la vigueur du système immunitaire et à la synthèse de plusieurs hormones, comme la progestérone.

"Une petite portion permet d'apporter environ un tiers des besoins quotidiens en vitamine A", assure la spécialiste. Il délivre aussi de la vitamine E, qui protège les cellules des méfaits des radicaux libres engendrés par le stress oxydatif. Enfin, il est une bonne source d'acide linoléique, un anti-inflammatoire qui maintient la souplesse des artères. Et apporte de l'acide butyrique, qui a des propriétés antifongiques et antitumorales.

Le beurre, exempt d'acides gras trans, des graisses néfastes

Le beurre n'a donc rien à envier aux margarines et autres "pâtes à tartiner végétales".

Ces ersatz fourmillent d'additifs (arômes, colorants et conservateurs), mais recèlent aussi des acides gras trans générés durant l'élaboration industrielle. Or on sait que, même à toute petite dose, ces graisses sont néfastes pour le système cardiovasculaire.

Les fabricants ont beau avoir réduit drastiquement le taux de gras trans dans leurs produits en lançant des margarines "non hydrogénées", il
en reste encore près de 1 % dans leur composition.

Autant opter pour des huiles végétales (olive, colza, noix ou cameline), dont les polyphénols et les acides gras sont des valeurs sûres : ils éloignent le spectre du vieillissement cérébral et des maladies coronariennes.

Comme toujours en diététique, l'idéal est de miser sur la diversité.
"Alternez au fil de la semaine entre le beurre et différentes huiles, conseille la diététicienne Thérèse Ellul-Ferrari. C'est un bon compromis santé afin de tirer profit des bienfaits de chacun."
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Source: marieclaire

Photos from DPersonal Training's post 10/09/2021

Le sucre, un poison ravageur pour notre corps

Le sucre ne fait pas seulement grossir. Il a un impact désastreux sur notre santé, selon le Dr Robert Lustig, endocrinologue et pédiatre américain, auteur du best-seller "Sucre, l’amère vérité" (éd. Thierry Souccar).

Notre consommation de sucre a explosé en quelques décennies. Les Suisses consomment en moyenne 39 kg de sucre par an. La Suisse se place 13e au baromètre global de consommation de boissons sucrées.. Pire : le sucre représente désormais près du quart de nos apports énergétiques, alors qu’il ne devrait pas dépasser la barre des 5%.

La moitié de nos rations de sucre est ingérée à notre insu car nombre d’aliments industriels contiennent des sucres cachés : les desserts et les sodas, mais aussi les sauces salades, le jambon, le pain, les chips... "Les fabricants en ajoutent en masse dans la mesure où le sucre est un ingrédient peu cher qui masque les imperfections des aliments et les rend plus appétissants", explique le Dr Lustig.

Le sucre, aussi toxique que l'alcool ou le tabac

La mode du "No sugar" n’est pas une lubie sans fondement. L’overdose de sucre à laquelle nous sommes confrontés est en effet néfaste pour la santé. Une étude canadienne, publiée en août 2017 dans la r***e "The Lancet", prouve que les grands consommateurs de glucides ont un risque de mort prématuré accru de 28%.
Si on remplace 5% de son apport calorique venant des sucres par de bonnes graisses (huile de colza ou de poissons), on réduit déjà sa mortalité de 12% !
Selon le Dr Lustig, le sucre s’avère ainsi aussi toxique que le tabac ou l’alcool. "C’est le principal responsable de l’épidémie de diabète de type 2 et d’obésité, soutient ce spécialiste. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de calories ingérées et le diabète, mais entre le nombre de calories issues du sucre et des aliments sucrés." Cent calories supplémentaires avalées sous forme de sucre élèvent la prévalence du diabète de 0,9%.

Le fructose, destructeur de la peau et du foie

Le sucre est constitué pour moitié de glucose et moitié de fructose. C’est ce dernier qui est principalement en cause dans l’apparition des maladies métaboliques chroniques.
Il caramélise (réaction de Maillard) 7 fois plus vite que le glucose, ce qui endommage les cellules de tout le corps, à commencer par la peau. En détruisant le collagène, il accentue les marques visibles du vieillissement (creusement de rides, relâchement cutané…).
"Au niveau du foie, le fructose induit les mêmes maladies que l’alcool, affirme le Dr Lustig. Il est métabolisé sous forme de graisse et active une enzyme qui induit une inflammation hépatique". Résultat : le foie engraisse et est susceptible de développer une fibrose, voire une cirrhose qui peut évoluer en cancer. C’est la fameuse "maladie du soda" - ou Nash pour "Non Alcoolic Steato Hepatitis" - qui a valu au journaliste sportif Pierre Ménès une double greffe foie-rein.

Une calamité pour le cerveau

"L’excès de sucre est l’un des principaux poisons de l’encéphale", assure pour sa part le Dr David Perlmutter, neurologue auteur de "Ces glucides qui menacent notre cerveau" (éd. Marabout).
Le cerveau consomme en effet 40% des glucides apportés par l’alimentation. Ces derniers constituent son carburant de base. Mais lorsque l’afflux devient trop important, certaines régions cérébrales régressent. Des chercheurs australiens de l’université de Canberra ont notamment décelé par scanner une atrophie des zones impliquées dans la mémoire – en particulier au niveau de l’hippocampe - chez les personnes dont la glycémie était élevée, mais néanmoins considérée comme normale. `
À fortes doses, le sucre perturbe en outre la flore digestive et fragilise la barrière intestinale, "ce qui renforce l’inflammation chronique de l’organisme et irrite à la longue le système nerveux", constate le Dr David Perlmutter. Une maladie de Parkinson ou d’Alzheimer peut en résulter.

Consommation du sucre : les pièges à éviter

"Il est donc urgent de revenir à une alimentation qualitative, prône Robert Lustig. C’est-à-dire avec peu de produits industriels transformés et davantage d’aliments naturels".
Pour limiter les dégâts, il faut également manger beaucoup de fruits et légumes car ils renferment des fibres qui freinent l’absorption des sucres et contrecarrent en partie ses effets négatifs. Donc des oranges entières et non en jus. Même sans sucre ajouté, un jus d’orange recèle 5,4 g de fructose/décilitre, soit plus qu’un verre de soda !

07/09/2021

S'organiser, c'est la clé 👍

07/09/2021

Quand nos habitudes de vie nous empêchent de trouver le bon équilibre alimentaire

Parce qu'on ne peut pas passer l’année en mode farniente, ni cuisiner du bio à la vapeur à chaque repas, on doit toujours composer avec les "empêcheurs" de mincir qui s’immiscent sans prévenir dans notre vie quotidienne.

Quand on a du mal trouver notre rythme alimentaire - notamment lorsque l'on veut perdre quelques kilos ou avoir un mode de vie "sain", c'est souvent la faute aux mauvais réflexes.
Mais pour changer nos habitudes, il faut d'abord comprendre ce qui ne va pas dans notre routine pour ensuite chercher des solutions sur le long terme.
Zoom sur toutes ces situations qui nous empêchent d'avoir un bon équilibre alimentaire.

Habitudes alimentaires, les situations à risque :

-Les états anxieux et le stress-

"Vivre stressée, c’est comme avaler des comprimés de cortisone", indique la docteure Paule Nathan, nutritionniste et endocrinologue. Quand on stresse, on gonfle, on se barde de graisse, et toute perte de poids est gelée. La faute à l’hormone cortisol, qui augmente proportionnellement au stress et sème la zizanie : elle stimule la faim et freine de 25 % la combustion des calories.

Car c’est un "état de guerre" pour le corps, qui stocke en mode accéléré le maximum de munitions pour lutter. Comment ? À travers d’incoercibles pulsions sucrées et lipidiques, que l’insuline, en bon soldat, s’empresse de convertir en graisse.

-Les différents troubles du sommeil-

L’équation est imparable... Sommeil à minima = appétit à maxima. Les victimes de micro réveils ou d’insomnies, qui dorment six heures ou moins, ont 73 % de risque d’être en surpoids, et leur indice de masse corporelle est plus élevé.
En fait, les nuits amputées perturbent les hormones, contrôlant l’appétit, la satiété, et contribuant à réguler la prise de poids. Une étude montre que 1 h 20 min de sommeil en moins pousse à dévorer 549 Calories en sus le jour suivant.

-Les déjeuners trop pressés au travail-

Manger en travaillant (au resto ou au bureau) conduit à s’abonner aux dépassements énergétiques chroniques, estimés à 15 à 20 % en plus par repas. La raison ? Cela dévie l’attention des sensations gustatives et de rassasiement, et on zappe les signaux de satiété.
Et comme on ne choisit pas toujours son plat ni l’en-cas déniché à la cafétéria, et qu’on ne veut pas chipoter devant les clients, le patron ou les collègues, au café, l’addition pèse le triple poids de la contrariété, de la culpabilité et de la surconsommation, les meilleurs agents de stockage.

-Les repas calqués sur les désirs des enfants-

On peut tenir son régime au self d’entreprise ou seule, mais certaines ne résistent pas, en famille, quand tous se régalent sous leur nez.

L’organisme déteste les montagnes russes énergétiques entre menus hypocaloriques perpétuels et écarts gourmands familiaux. Non seulement il flanque d’emblée en réserve une partie du surplus de carburant qui lui est servi, mais encore il consume à peine les calories supplémentaires, habitué qu’il est à faire flamber le métabolisme à l’économie lors des phases basses calories.

Notre appétit ne regarde que nous

-Le manque de sport-

Pour mobiliser les graisses, il faudrait pratiquer une activité avec endurance plus d’une heure durant. Sur un temps court, le sport confirme sa pole position minceur, car on grille 18 % d’énergie en plus en développant nos muscles, gros consommateurs.

Sédentaire, on se prive de ce gaspillage gratuit. Or, pour maigrir, il faut que les dépenses énergétiques – métabolisme de base et activité physique – soient supérieures aux apports alimentaires.

-Habiter en centre-ville-

La pollution atmosphérique bride la transformation des graisses de réserve en énergie dispo­nible, et la pollution sonore pousse à manger 30 % en plus. Le corps passe en mode combat comme avec le stress. Résultat : les adipocytes déstockent peu, tandis qu’on les renfloue toujours plus.

Les astuces qui nous sauvent
Maintenant que l'on connait le pourquoi du comment, on se focalise sur les solutions qui rééquilibreront notre quotidien.

-Ne plus se sentir obligée de finir son assiette-

Lors de déjeuners de travail ou en famille il faut vraiment "apprendre à en laisser sans culpabiliser." Certes, on ne refuse pas ce qu’on nous propose, on goûte à tout. Mais on mange de tout, en quantités modérées, sans se sentir forcée d'expliquer pourquoi.
"Notre appétit ne regarde que nous", insiste le Dr Apfeldorfer. On fait des compliments sur les plats, afin de montrer que l'on a été attentive au goût et que l'on a apprécié."

-Réguler la prise de calories sur la semaine, pour contrôler son poids-

Lorsque l'on mange trop copieux ou trop calorique, on réduit ses apports le soir ou les deux ou trois repas suivants.

"Si manger 'trop' est une condition nécessaire à la prise de poids, elle est insuffisante, indique le Dr Zermati. Pour grossir, il faut que les surconsommations – trop de calories et au-delà de ses besoins – ne soient pas compensées par une réduction ultérieure des prises alimentaires." C’est donc bien l’accumulation de repas en excès sur une durée prolongée qui empêche le système de régulation de se stabiliser.

-Compenser sainement un excès-

Après un écart, on peut adapter le repas suivant pour ne pas culpabiliser. Pour cela, on se compose une assiette avec 2 filets de dinde, des légumineuses, 2 blancs de poulet grillés, ou encore une omelette, accompagné d'une salade (endives, mâche) ou 1 potage de légumes sans matière grasse. Et on termine avec un laitage ou un yaourt au soja pour les intolérantes au lactose.

-Ceinturer le stress en se mettant au yoga-

Une heure de yoga fait chuter d’un quart la sécrétion de l’infernal cortisol. À alterner avec 30 min de marche à bon rythme. On fait le plein d’endorphines calmantes.
C’est également bénéfique pour retrouver un sommeil réparateur. À ne pas pratiquer, toutefois, avant de se coucher : si la température du corps grimpe, cela expédie un signal de réveil.

-Renforcer nos apports en fibres-

Par fibres on entend, les légumes, les fruits, les légumineuses, et les céréales complètes) pour limiter la sécrétion d’insuline et être rassasiée longtemps. 150 à 200 g de protéines par repas (volaille, viande, œufs) + 1 assiette de légumes + 2 fois par semaine, à midi : 2 c. à s. de féculents ou de légumineuses + 1 laitage + le midi ou au goûter : 1 fruit frais.
À la place du sandwich à la mayonnaise, on pense au wrap. Cette galette de blé complet fraîche (197 Cal) remplace avantageusement le pain de mie (300 Cal et 4 sucres les 2 tranches).
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Source: marieclaire

13/04/2021

C'est le plus difficile, mais c'est le plus sûr👍
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08/03/2021

À toutes les merveilleuses femmes sur cette planète.
Joyeuse fête des femmes 🎆🥂🎊🌺🌺🌺🌺🌺
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19/01/2021

L’Art de conserver sa santé.

“Il est plus aisé de prévenir les maladies que de les guérir”, on le sait très bien.

Aujourd'hui, nous sommes obligés de faire encore plus attention à notre santé qu’avant. C’est devenu une sorte d’urgence de faire tout ce qui est possible pour prévenir ou pour vivre certaines maladies avec légèreté, sans trop de peur et trop de préoccupation.

Devez-vous attendre le moment quand c’est déjà trop t**d?

Ou c’est plus facile de enfin pouvoir être fier/ère de soi?

Personne ne pourra le faire à votre place, ça ne tient qu'à vous.

Vous connaissez les principes de base de la santé:

1)Manger sainement
2)Bouger le plus possible ( faire du sport ).

En conclusion, la clef de la réussite, c'est de trouver la motivation pour effectuer les changements.

Ça sera difficile?

Oui

Ça vous prendra du temps?

Un peu, mais après 21 jours ça peut devenir une habitude ;)

Vous serez tentés.es de laisser tomber?

Probablement plusieurs fois…

Mais ça en vaut la peine!

Ça va coûter cher?

Surement beaucoup MOINS cher que les traitements médicaux! Vous ne dépensez pas dans votre santé, vous investissez!

Pour commencer, beaucoup de personnes arrivent toutes seules, mais souvent ils choisissent les méthodes qui ne sont pas adaptées à leur état physique ce qui provoque les regrets ou la déception et ils reviennent en arrière dans leur habitudes du passé.

Vous n’allez pas réparer une voiture en panne si vous n’êtes pas le spécialiste, et c’est la même chose pour la santé.

Si vous ne savez pas comment faire, aujourd’hui il n'y a plus d'excuse! Vous avez toutes les informations disponibles grâce aux différents spécialistes de la santé et bien-être.

Consulter, clarifier et commencer!

Et pour de vrai, prenez soin de votre corps, c’est le seul endroit où vous êtes obligé de vivre…

Toujours Bien à Vous,

Dario De Matteis

DPersonal Training
Coaching sportif & Bien-Être
"J'aide les gens à utiliser le stress comme une ressource et non comme un problème.”

Tél: +41 79 723 55 74
Email: [email protected]
www.dpersonaltraining.com

25/12/2020
17/11/2020

Comment bien se réveiller ? 10 astuces

Vous, vous n’êtes pas du matin ! Pas de panique, en matière de sommeil nous avons tous des habitudes et des besoins différents. De ce fait, nous ne sommes pas tous égaux quand il s’agit de se lever chaque matin. Certains sont dits « du matin » et d’autres « du soir », cela dépend principalement de votre rythme biologique. Pourtant, en modifiant quelque peu vos habitudes et avec les astuces présentées ci-dessous, on peut réussir à se réveiller plus facilement. Alors comment bien se réveiller ? Nous vous avons sélectionné 10 astuces pour bien vous réveiller de façon scientifique, logique ou ludique !

Comment bien se réveiller, c’est scientifiquement prouvé !

Le sommeil est un état d’inconscient qui n’est pas toujours facile de décrypter. Nous avons pourtant extrait 4 astuces scientifiquement prouvées qui vous aideront à sortir plus facilement du lit.

Astuce n°1 : la lumière

Le corps se réveille naturellement plus vite lorsqu’il fait jour. Une fois la lumière perçue par votre organisme, le cerveau comprend naturellement qu’il est l’heure de se lever. C’est pourquoi vous pouvez laisser vos volets ou rideaux légèrement ouverts, afin de bénéficier de la lumière du jour dès le réveil. Une fois réveillé, n’hésitez pas à vous exposer à la lumière du jour. Faites la grimace ou plissez les yeux, mais après quelques secondes d’exposition, vous serez naturellement bien réveillé.

Astuce n°2 – Le petit-déjeuner pour synchroniser l’organisme

Comment bien se réveiller avec l’aide de notre petit-déjeuner ? Viennoiseries, céréales ou encore charcuterie ! Chacun y trouvera sa source de motivation pour sortir du lit. L’important reste de prendre son temps, environ 15 minutes.
Au même titre que l’exposition à la lumière, le petit déjeuner synchronise l’organisme et aide naturellement votre corps à comprendre qu’il est temps de se réveiller.

Astuce n°3 – Réveillez-vous intelligemment

Vous réveiller en fonction de vos besoins, et plus en fonction de vos horaires, c’est possible ! Cette fonction est intégrée dans les réveils intelligents. Ces réveils déterminent le meilleur moment pour vous réveiller, en fonction de vos cycles de sommeil. Ainsi l’alarme matinale se déclenche lorsque vous serez dans une phase de sommeil léger pour que votre éveil soit plus confortable.

Astuce n°4 – Hydratez-vous!

La nuit le corps se déshydrate, si bien qu’on est parfois réveillé par la soif. Boire dès le réveil aide le corps à mieux se réveiller et constitue une forme de rituelle qui permet de mieux appréhender la journée. Conseil : vous vous sentirez plus éveillé en buvant de l’eau.

Astuce n°5 – Étirez-vous!

C’est prouvé : l’allongement vertébral relance l’énergie ! Prenez le temps de vous étirer dès le réveil pour faire le plein d’énergie et corriger les éventuelles mauvaises postures de la nuit. Conseil : bougez en premier les extrémités : pieds et mains avant de vous lever en continuant les étirements.

Astuce n°6 – Une do**he chaude

Prendre une do**he chaude le matin permet au corps de mieux se réveiller grâce à l’augmentation de la température corporelle. Notre température corporelle diminue pendant notre sommeil, ainsi prendre une do**he chaude aide le corps à se réchauffer et facilite ainsi votre éveil.

Comment bien se réveiller, c’est tellement logique!

Astuce n°7 – Avancez votre réveil

Pas de panique, vous serez à l’heure ! Prenez votre temps le matin, cela vous aidera à vous lever. C’est simple, avancer son réveil de 15 minutes permettra de passer une journée moins stressante et vous pourrez enfin profiter de vos matins, sans courir dans tous les sens. Conseil : Si vous vous réveillez quelques minutes avant que le réveil sonne, levez-vous. Le fait de se rendormir n’est pas forcément bénéfique. Consultez notre article sur les cycles de sommeil pour en apprendre plus.

Astuce n°8 – Changez de sonnerie

Étant habitué à votre sonnerie, votre cerveau ne réagit plus tout à fait de la même façon. C’est pourquoi changer de sonnerie permet de créer un « électrochoc » qui se traduira par un effet de surprise. Cela engendrera un réveil plus rapidement, résultat garanti ! Conseil : afin de maintenir cet effet de surprise, réveillez-vous au son d’une radio.

Astuce n°9 – Préparez tout la veille

« Ce qui est fait n’est plus à faire » alors débarrassez-vous des tâches « ingrates » au plus tôt. Préparez vos documents, vos vêtements et faite votre sac la veille afin de conserver seulement les tâches agréables au réveil.
Astuce n° 10 – Placez le réveil loin du lit
Pour bien commencer la journée, il faut se lever du bon pied ! Mais faut-il déjà poser un pied au sol. C’est pourquoi, placer son réveil loin du lit permet de se réveiller à coup sûr.

Source: dreem

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13/10/2020

❗Stress perceptibles et stress imperceptibles induisent les mêmes effets néfastes sur la santé.
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01/09/2020

Les avantages du sport pendant la grossesse sont nombreux et prouvés par de nombreuses études

Plusieurs études mettent en évidence que les mamans sportives avaient une grossesse et accouchement plus faciles que les autres.

Elles ont une meilleure musculature abdominale et ressente mieux les mouvements de leur corps. Leur périnée est plus souple et se déchire moins.

Tout au long de leur grossesse, elles ont moins mal au dos, elles sont moins constipées et se plaignent moins de lourdeurs de jambes et de varices.

Leur prise de poids est mieux maîtrisée, presque idéale. Elles prennent en moyenne 12,5 kilogrammes contre 16,3 pour les sédentaires.

Elles retrouvent plus rapidement la ligne après leur accouchement et ont moins de risque de souffrir de dépression post partum. Elles souffrent beaucoup moins d’hypertension artérielle de grossesse (éclampsie) ou de diabète gestationnel.
La science montre des bénéfices encore plus surprenants

Un impact positif sur le cerveau de votre bébé

Une étude canadienne réalisée à l’Université de Montréal et présentée en Novembre 2013 au salon Neuroscience de San Diego, a prouvé que le cerveau du bébé d’une femme enceinte pratiquant une activité sportive modérée se développe plus rapidement.

Les chercheurs ont comparé deux groupes de femmes enceintes : le premier devait effectuer 20 minutes de sport modéré (marche, vélo, natation, stretching) à raison de trois fois par semaine pendant la grossesse. Le deuxième groupe devait être sédentaire et ne pas faire de sport.

Après les accouchements, l’activité cérébrale des nouveau-nés a été étudiée entre les âges de 8 et 12 jours. Les résultats ont montré que les cerveaux des bébés dont la mère a été physiquement active pendant la grossesse étaient plus matures, ce qui laisse entendre qu’ils se sont développés plus rapidement que celui des autres.

Une diminution du risque de césarienne

Une autre étude dont les résultats ont été publiés en 2014 dans le American Journal of Obstetrics and Gynecology met également en évidence les bienfaits de l’exercice physique régulier pendant la grossesse, qui diminuerait de 50% le risque de syndrome de macrosomie foetale, mais également de 34% le risque de naissance par césarienne.

Des effets bénéfiques sur le cœur de votre bébé

Enfin, une étude réalisée par l’Université de Kansas City en 2011 a montré que la pratique de l’exercice physique de façon régulière et modérée pendant la grossesse avait un impact positif sur le cœur du bébé jusqu’à un mois après sa naissance.

L’étude a été menée sur 61 femmes enceintes. Selon ces chercheurs, faire du sport pendant sa grossesse pendant 30 minutes trois fois par semaine a des effets positifs sur le cœur de son bébé jusqu’à un mois après sa naissance.

Les nouveau-nés ont un rythme cardiaque moins élevé, ce qui signifie que leur cœur est en meilleure santé.

Top 4 des sports à faire pendant votre grossesse:

Muriel Hurtis a obtenu la médaille de bronze pour le relais 4×100 m pendant les J.O. d’Athènes alors qu’elle était enceinte.

La patineuse Myriam Delobel a continué les entraînements intensifs sur glace jusqu’à 7 mois et demi de grossesse.

La judoka Anne-Sophie Mondière, triple médaillée aux Championnats du monde, a fait de la natation, de l’aquagym et du step jusqu’au dernier trimestre, à raison de trois fois par semaine.

La triple championne olympique Marie-Josée Pérec a continué la course à pieds tout au long de sa grossesse.

Je ne cite pas ces athlètes de haut niveau pour vous faire culpabiliser de ne plus décoller de votre canapé, mais plutôt pour vous montrer que les femmes enceintes sont souvent beaucoup plus résistantes qu’on ne le croit !

Après avoir vérifié avec votre médecin ou votre sage-femme, vous verrez que vous pouvez tout à fait continuer votre activité sportive, ou en commencer une nouvelle plus modérée.

Parmi les sports tout à fait compatibles avec la grossesse, on peut citer la natation, le yoga, la danse classique et rythmique, le golf, l’aquagym, le tennis, le vélo…

Si vous ne faites pas de sport et que vous ne savez pas par où commencer, voici une liste des exercices les plus recommandés pendant la grossesse :

La marche

La marche est une activité douce, idéale si vous n’êtes pas une grande sportive, qui vous permet de rester en forme sans forcer sur vos genoux et vos chevilles.

La marche est également sans danger pendant ces neuf mois et elle a de nombreux bienfaits : elle active la circulation sanguine, particulièrement celle des jambes, améliore la respiration et renforce la sangle abdominale.
Marchez pendant au moins une demi-heure par jour.

La natation

La natation est aussi un excellent sport pendant la grossesse, car elle aide à soulager de nombreux maux de grossesse. En plus de diminuer les nausées du premier trimestre, la natation améliore la circulation sanguine et augmente le tonus et la force musculaire.

Nager aide aussi à aligner et assouplir votre bassin, pour favoriser la bonne position et la bonne descente de votre bébé au moment de l’accouchement. Et au dernier trimestre, quel bonheur de se sentir toute légère dans l’eau…

Les bons exercices pour muscler votre périnée

Les exercices du périnée, on en parle beaucoup après l’accouchement, mais ils sont aussi très importants pendant la grossesse pour trois raisons :

Ils préparent les muscles de votre plancher pelvien à l’accouchement.

Ils préviennent l’incontinence urinaire, ces petites pertes d’urine qui peuvent survenir lorsqu’on tousse, qu’on rit ou qu’on soulève des choses lourdes.

Ils tonifient les muscles de votre vagin, ce qui facilite la reprise des relations sexuelles après la naissance du bébé.

Si c’est votre première grossesse, vous n’êtes peut-être pas encore très familière avec votre périnée. Je vous invite à découvrir ces trois exercices et à lire l’excellent ouvrage du docteur Bernadette de Gasquet, « Périnée arrêtons le massacre ».

Faire du fitness

Il est important d’obtenir l’autorisation de votre médecin ou sage-femme avant de faire des exercices plus intenses, mais beaucoup de femmes sont capables de faire du fitness pendant leur grossesse.

Comme nous l’avons vu plus haut, il existe de nombreuses preuves que ces types d’exercices peuvent aider à tonifier l’utérus pendant la grossesse et à améliorer le tonus musculaire pendant l’accouchement.

Les sports à éviter pendant votre grossesse

Les sports qui sont à éviter pendant la grossesse sont tous les sports de contact (sports collectifs et sports de combat) ou toute les activités qui impliquent la possibilité de tomber : ski, équitation, VTT, alpinisme, ski nautique…

Il est également important d’éviter tous les sports trop intenses qui risquent de vous provoquer des contractions, comme la course à pied, le squash et l’aérobic.

Enfin, la plongée sous-marine est absolument contre-indiquée à tous les stades de la grossesse. Le manque d’oxygénation peut s’avérer dangereux pour le bébé.

Des exercices adaptés à chaque trimestre de grossesse

Sport et exercices pour le premier trimestre

Comme votre ventre ne vous gène pas encore, vous pouvez continuer votre entraînement habituel aussi longtemps que vous vous sentez à la hauteur.

A la fin de ce premier trimestre, votre bébé mesure seulement la taille d’un abricot ! Il n’y a donc aucune raison physique qui vous empêche de pratiquer votre sport habituel.

Cependant, même si vous pouvez toujours le faire, cela ne signifie pas que vous en ayez envie.

En plus de l’envie de vomir, vous pouvez aussi vous sentir très fatiguée, avoir des douleurs dans la poitrine, être très sensible aux odeurs… Parfois, l’exercice peut aider.

Une marche rapide dans l’air frais peut aider à réduire vos nausées et à vous donner plus d’énergie.

Pensez aussi à vous étirer, à vous grandir et à respirer profondément.

Sport et exercice pour le deuxième trimestre de grossesse
Le deuxième trimestre est la période idéale pour débuter une activité physique, surtout pour les femmes qui n’en pratiquaient pas avant la grossesse.

Les nausées et la fatigue ont généralement disparu et vous devriez avoir plus d’énergie. Vous pouvez continuer à faire du sport aussi longtemps que vous vous en sentez capable.

Il suffit juste de bien vous écouter, de respecter vos limites et de prendre quelques précautions supplémentaires car de nouveaux phénomènes étranges (mais tout à fait normaux !) commencent à faire leur apparition :

Votre ventre commence à s’arrondir à vue d’œil et cela signifie donc que votre utérus est maintenant assez grand pour faire pression sur votre veine cave lorsque vous vous allongez sur le dos. Évitez au maximum de vous allonger sur le côté droit pendant vos exercices de fitness car vous risquez de vous sentir très vite étourdie et d’avoir le souffle court.


Une nouvelle hormone, la relaxine, fait son apparition dans votre corps pour agir sur vos ligaments afin de les assouplir et de les étirer. Vous êtes plus souple certes, mais vous risquez aussi plus facilement de vous blesser. Écoutez votre corps et ne forcez aucun mouvement.

Un troisième phénomène, très fréquent et tout à fait normal, fait son apparition dans le bas de votre ventre. Appelées “syndrome du ligament rond”, ces douleurs qui peuvent parfois ressembler à de petites décharges électriques sont dues à l’étirement des muscles et des ligaments (tissus très résistants, mais flexibles, qui maintiennent les os ensemble) qui soutiennent votre utérus.

Sport et exercices à pratiquer pendant le troisième trimestre de grossesse

Les choses commencent à devenir sérieuses, vous avez peut-être les petits pieds de votre bébé coincés dans vos poumons, des brûlures d’estomac, les pieds et les jambes gonflées, et la fatigue est de retour…

Ces trois derniers mois vont vous paraître longs, voire interminables, mais le fait de rester active va vous aider à vous préparer mentalement et physiquement à la naissance.

Vous pouvez vous représenter votre accouchement comme une véritable épreuve sportive à laquelle vous vous préparez intensivement.

En marchant, respirant, nageant, prenant l’air et en vous relaxant chaque jour, vous mettez toutes les chances de votre côté pour être en pleine forme le jour de la naissance de votre enfant.
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Source: Naturelle maman
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