Halte à la pollution sonore à Bruxelles

Nous vous invitons à écouter le débat au Conseil Communal du 4 septembre 2023 de 1h41' à 1h52' concernant la pollution sonore engendrée par des soirées en plein air et les réponses du bourgmestre :
https://www.bruxelles.be/rediffusions-du-conseil-communal-2023

Notons que
-le bourgmestre laisse entendre que la pollution sonore générée par les voitures serait supérieure à celle engendrée par des soirées (???). On ne savait pas que les voitures généraient plus de 100 dB...
-A aucun moment il ne dit pourquoi ces fêtes sont organisées en plein-air et pas dans des salles de concerts.
- Sans dire pourquoi, il refuse a priori le silence en ville (peur du silence, angoisse?)
- Il avoue à demi-mots que les gens ont renoncé à se plaindre à Tranquillité publique. Peut-être parce que sous les ordres du bourgmestre?
- Il prétend chercher un équilibre pour que les normes "n'explosent pas tout". Or les normes sont "explosées" à chaque fête et il a dit ailleurs qu'il n'avait pas à respecter les normes de Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel. Il s'érige donc en autorité normative.
- Il prétend défendre une "diversité culturelle". Or c'est toujours la même musique et le même public.
-Plus loin dans ce conseil il affirme ne jamais permettre de dépasser 23h. On sait ce qu'il en est en 2024 où il autorise 23h30, minuit et récemment 2h du matin en plein centre-ville. Sa parole est donc bien changeante et peu digne de confiance.
-M. Philippe Close prétend que la ville compte de plus en plus d'habitants. On lui répond que la ville perd 40 000 habitants par an et notamment à cause du bruit.

David Weytsman Brussels Major Events Delphine Houba

Rediffusions du Conseil communal 2023 Notification - recevoir les dates de diffusion en direct du Conseil communal [collapsed title="Rediffusion du Conseil communal du 22 mai 2023"]

https://notesfrompoland.com/2024/07/17/krakow-appoints-night-mayor-to-reconcile-tourists-residents-and-business-owners/

Lors du conseil communal du 4 septembre 2023 (nous publierons prochainement l'extrait du Conseil enregistré) , Philippe Close a affirmé à David Weytsman qu'il n'était pas question de construire un toit-terrasse place de Brouckère, malgré ce plan sorti dans la presse il y a un an. Alors que nous lui posions clairement la question, il l'a réaffirmé devant témoins le 6 octobre 2023 lors de l'inauguration du bar Continental.

Pour ceux qui croiraient encore à la bonne foi du bourgmestre :
Extrait : "je prends toute ma responsabilité politique. Je ne pense pas que c'est à l'administration de gérer la Ville. Elle remet des avis mais l'autorité politique doit décider [autrement dit, il décide seul et n'accepte aucun contre-pouvoir].
Ce n'est malheureusement pas la première fois : "Bruxelles-Environnement ne sait pas très bien ce qu'est Bruxelles […]", a encore déclaré le bourgmestre bruxellois avant de faire une allusion grosse comme une boîte de nuit au conflit ouvert qui oppose le PS et Ecolo sur la nomination de la future patronne de Bruxelles-Environnement, la très socialiste Marie-Pierre Fauconnier."

David Weytsman Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel Brussels Major Events Politie Brussel HOOFDSTAD Elsene - Police de Bruxelles CAPITALE Ixelles MR Bruxelles

https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/2023/02/19/alain-maron-accuse-philippe-close-de-deni-de-democratie-dans-le-dossier-du-fuse-ce-quil-a-dit-est-insense-on-nest-pas-au-far-west-AEPNLW3DJFGY7G7VWIUWUHITCQ/?fbclid=IwY2xjawD56btleHRuA2FlbQIxMQABHdYnx0qnwx_Ea9VDrSFUptNH6QVT--fOrGDTcqcFRT09sJgoYP7dcp-Ncg_aem_bjpXk7NMcbEe12zRJxlqDg

Alain Maron accuse Philippe Close de "déni de démocratie" dans le dossier du Fuse: "Ce qu'il a dit est insensé. On n'est pas au far-west" Le ministre bruxellois de l'Environnement a répondu aux questions des députés en commission Environnement du parlement bruxellois hier. En mode offensif…

L'enfer sur terre !
Au plus grand mépris de ses administrés, voulant imposer de manière tyrannique la "fête pour tous" (toujours et partout dans le même style, comme si rien d'autre ne devait exister) et vider le centre-ville pour en faire un parc d'attraction et une boîte de nuit à ciel ouvert, Philippe Close franchit encore un cap dans la destruction de la vie et de la santé psychique des habitants en permettant à une boîte de nuit (qu'il appelle "patrimoine culturel" pour couper court à toute contestation), de fêter ses 30 ans en plein air. Évidemment, aucune norme n'est respectée et on entend les basses extrêmement fortes jusqu'à la Bourse.
Les riverains subissent déjà des nuisances sonores (travaux permanents, foire du Midi) et une insécurité endémique mais les pauvres n'ont qu'à se taire devant les profits générés pour les jeunes amis du bourgmestre socialiste...

David Weytsman Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel Politie Brussel HOOFDSTAD Elsene - Police de Bruxelles CAPITALE Ixelles Plaisirs d'Été / Zomerpret Brussels Major Events
Delphine Houba Fuse

Une lettre ouverte qui explique l'abrutissement de masse et le tapage nocturne et diurne organisé par Philippe Close et sa majorité :

David Weytsman Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel

https://www.facebook.com/100054338448192/posts/987069846447621/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v

Le silence des femmes et hommes politiques sur l'abandon de la Galerie Bortier aux commerces de bouches contraste avec la colère de citoyens. Comme ici avec cette lettre de Pierre Loze:

Lettre 11/ "Une autre très mauvaise idée"

Le tableau de la dégradation de l'esprit public, de la corruption et de l'inculture qui se développent à la ville de Bruxelles au sein des élites dirigeantes serait incomplet sans une évocation du cas de la galerie Bortier. Il y a parmi ses responsables tant à l'hôtel de ville que dans sa haute administration, une féroce tendance à éradiquer le passé, ou à utiliser fallacieusement l'histoire ou le patrimoine, comme instrument de marketing publicitaire pour le tourisme et la consommation. Cette tendance, animée par l'esprit néo-libéral et la volonté de réduire le rôle de l'État à un marche-pied pour le monde du commerce et du profit, est animée par un penchant populiste, simplificateur, qui est le pendant exact du wokisme. Elle s'unit complaisamment à lui pour anéantir ce que l'on peut appeler la civilisation, ce mot qui apparaît de nos jours comme un concept sujet à caution. Honte au vieux monde! Haro sur le passé.

Nous sommes à l'ère d'Internet et de la réalité virtuelle! Que faire du vieux barda des livres. Poubelle ! Déchetterie ! Ou encore, à la rigueur, des tranches ornementales de livres reliés pour des étagères de salon où l'on se réunit entre amis autour de quelques bonnes bouteilles ! Et avec ces copains-coquins, nous allons faire la plus belle chose du monde : du fric!

Nous avons un élu, arrivé au sommet de la décision politique à Bruxelles, qui tout Degand vêtu, passa un jour par cette galerie et fut épouvanté par le calme et le silence qui y règnent. Où est la musique ? Où sont les odeurs de café, le fumet de bonnes choses ? Et il fut traversé par une vision, que dis-je par une illumination : l'idée d'y apporter un peu d'animation conforme à sa vision de la ville festive, la ville kermesse. Il y décela ce que l'on appelle du potentiel. Et l'élu de contacter aussitôt quelques acteurs du business en vogue pour débarrasser les lieux de ces petits crabes qui tiennent des libraires poussiéreuses avec des objets dignes du marché aux puces, dans un décor ancien digne d'être revalorisé.

On a presque oublié qu'à deux pas de la rue de la Madeleine où se trouve la Galerie Bortier était installée jusqu'au début du 20e siècle l'Université Libre de Bruxelles. Les facultés occupaient l'ancien palais de Granvelle, qui avait été agrandi au 18e siècle pour abriter l'administration autrichienne. L'animation apportée par les étudiants dans cette partie de Bruxelles la fit surnommer le Quartier Latin. En ce temps-là les étudiants lisaient tout ce qui se publiait de neuf en Europe, s'intéressaient aux courants d'idées novateurs de leur temps, à l'art, à la peinture, la gravure, ils se réunissaient pour jouer de la musique, et se fournissaient en partitions, en instruments. Horta donnait des cours à l'École polytechnique, d'autres professeurs les formaient dans les divers domaines des sciences ou de l'histoire. L'enseignement était une mission, il éveillait les esprits sur ce que l'on appelait alors le libéralisme, un courant bien différent de celui qui aujourd'hui rouspète sur les impôts et voudrait voir l'État et la chose publique, la res publica fondre et se réduire à la mise en place d’une relation win-win, comme on dit si joliment aujourd'hui.

C'est ainsi que bien qu'elle ait souffert de la création du prétentieux Mont des Arts et de la démolition d'un de ses côtés au profit du parking du Carrefour de l’Europe, la rue de la Madeleine a gardé longtemps et jusqu'à nos jours des commerces, galeries d'art, libraires spécialisés, marchands d'objets rares, bouquinistes. Ezio Gogoli, qui venait à Bruxelles pour corriger les épreuves de ses livres sur l'Art Nouveau, descendait volontiers à la Galerie Bortier et remontait jusqu'à la rue aux Laines chez son éditeur, les bras chargés de publications, de livres ou de gravures rares, dont les Belges ne voyaient pas toujours l'intérêt et qui valaient des fortunes à Florence.

Jusqu'il y a peu, la galerie Bortier est parvenue à maintenir dans cet oasis une large gamme de commerces spécialisés : livres de collection ou publications rares, premières éditions, revues spécialisées, gravures anciennes ou modernes, ou encore photographies des premiers temps, commerces qui s'étendaient d'ailleurs tout au long de la rue Saint-Jean. Ils ont tenu le coup en dépit du désintérêt, voire du mépris des édiles et des fonctionnaires de la régie foncière, malgré des chantiers intempestifs de rénovation autorisés aux alentours, malgré les débordements d'une exploitation maximaliste de la salle de la Madeleine qui envahit les rues et malgré la mutation progressive et dramatique de la ville en kermesse touristique permanente.

L'initiateur du Temple de la Bière et du mirage du projet Néo veut parfaire son œuvre et laisser ainsi une empreinte dans la ville à la mesure de son inculture et de son incompétence. Il a décidé de confier à ses hauts fonctionnaires, sur base de son storytelling, le soin de mettre en place une rentabilisation maximum des espaces par l'élimination progressive des libraires qui, vaille que vaille, ont jusqu'ici tenu le flambeau. Il a d'abord songé à ce sympathique entrepreneur en librairie, qui s'est révélé être un épouvantable harceleur de son personnel et est entré dans de sérieuses difficultés. Sans surprise, vu sa parfaite méconnaissance du monde du livre, il s'est tourné alors vers un autre opérateur, et sur un thème plus porteur en relation avec ses penchants personnels : les artisans de bouche, un concept food en uber plateforme, bref la boustifaille, mais avec une pincée littéraire. En somme, la nourriture n'est-elle pas un pan de la culture ? rabâche un haut fonctionnaire de la ville. Comme la bière !

Et le loup et le renard sont entrés dans la bergerie, sous le masque des deux compères qui ont conçu et développé les Food Market Wolf (ex CGER, rue Fossé aux loups) et Fox (ex Royale Belge, boulevard du Souverain). Des opérateurs habitués aux montages de grands projets qui utilisent et s'approprient les qualités du lieu ou d'un site existant, et les travestissent à leur façon pour y introduire une ambiance nouvelle, un public jeune et dynamique, mettant en place des sous-traitants, sur lesquels ils prélèvent un pourcentage systématique sur toutes les transactions lesquelles se font obligatoirement en ligne. Les libraires s'ils subsistent seraient aussi soumis à ce traitement. Et ce loup et ce renard sont ceux de la fable : la loi du plus fort est toujours la meilleure. Nous sommes passés d'une économie basée sur la production de richesse à une économie reposant complètement sur la prédation. Tant p*s pour l'économie réelle, tant p*s si elle s'étiole et si l'éducation, la culture, l'initiative, l'invention qui ont évidemment leur rôle dans une véritable économie disparaissent. Mise en place d'un piège à cons, discours win-win avec les malheureux partenaires qui galèrent : prends au plus vite le maximum d'oseille et casse-toi quand ça foire.

Voilà le monde de nos édiles servant le monde du grand capital : 1984, la post-vérité, l'idéologie de la compétitivité, des cerveaux vidés du passé, dirigé par des grands groupes, un monde habité par des esclaves franchisés, uberisés, ayant de moins en moins d'éducation, asservis par des emplois précaires ou même plusieurs emplois pour s'en sortir. Ainsi paieront-ils à force d'efforts de minuscules studios où l'on vit seul, dont la construction a été autorisée par la ville et par les mêmes décideurs et leur service d'urbanisme soumis.

Ces hommes et leurs comparses imaginent avec le projet Néo des villes nouvelles tournant autour de la consommation et de méga centres commerciaux, mues par l'idéologie du sport et de la performance, des gens réduits à vivre dans de petits appartements, dont l'achat enrichira des banques, des crèches qui mangeront les salaires autant que les mensualités des crédits, et des seniories où l'on finira ses jours, après avoir vendu son pauvre bien pour pouvoir en payer les frais. Fin de la petite propriété, fin de la classe moyenne. Que des gros bonnets se prenant pour des empereurs romains.

En sont-ils conscients ? Ces organisateurs de notre avenir sont des mafieux, des bandits, des hommes sans scrupules. Ils détournent les lois. Ils nous volent nos villes et nos vies. Ils capturent le foncier, ils fabriquent des cités où eux-mêmes ne veulent pas vivre et se retranchent dans les beaux quartiers qu'ils quitteront fortune faite pour de lointains paradis ou des resorts, des clos privés, où ils se retrouveront entre eux. Ils obèrent notre avenir.

Débarrassons-nous de ces nouveaux seigneurs, qui ruinent les finances publiques et qui, aux frais de la ville, font même aménager avec soin un square, au pied de leur immeuble, pour agrémenter la vue depuis leur appartement situé au bout de l'avenue Louise.

13.000 personnes ont signé pour le maintien des commerces de livres de la Galerie Bortier. Leur pétition n'a même pas reçu un accusé de réception !

Pierre Loze

Pour le comité Sauve Lebeau Sablon et l’Association du Patrimoine artistique

Continuez à nous soutenir :
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Chris Bosma, Dominique Vautier et Pierre Loze

Nous apprécions que BME ait revu sa programmation pour ne pas faire vivre l'enfer que les riverains ont subi l'année dernière (DJ toute la journée sans concertation préalable avec les riverains) .
La vie implique le repos.. Ouf!

La deuxième édition de Plaisirs d’été fera danser Bruxelles du 26 juillet au 18 août La deuxième édition de Plaisirs d’été, placée sous le signe de la danse, se tiendra à Bruxelles du 26 juillet au...

Le règlement de police interdit aux bars de diffuser de la musique ou de placer des enceintes dans l'espace public. En vertu de quelle autorisation les bars des toit-terrasses seraient-ils exemptés de cette interdiction? Ce d'autant plus qu'étant en hauteur, la pollution sonore ainsi générée jusqu'à des heures très tardives est entendue dans tout le quartier alentour.

Philippe Close Brussels Major Events Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel Plaisirs d'Été / Zomerpret Politie Brussel HOOFDSTAD Elsene - Police de Bruxelles CAPITALE Ixelles Bianca Debaets

Des concerts gratuits sont organisés durant tout le mois de juin sur ce rooftop bruxellois Durant tout le mois de juin, un festival de concerts gratuits s'installe sur le toit-terrasse d'un bâtiment emblématique de Bruxelles. On vous dit tout.

https://www.euronews.com/green/2024/06/10/the-city-that-is-trying-to-sleep-paris-seeks-to-cut-noise-pollution-by-four-decibels?insEmail=1&insNltCmpId=257&insNltSldt=10080&insPnName=euronewsfr&isIns=1&isInsNltCmp=1

Why is Paris aiming to cut noise pollution by four decibels? The French capital has launched a public consultation on how to protect residents’ ears.

Sur le toit de la Bourse est annoncée une soirée samedi 8 juin au soir jusqu'à 6h du matin. Contactés, les organisateurs assurent que les normes seront respectées. Mais s'il s'agit des normes internes préconisées pour protéger les tympans du public (95 dB), les voisins seront évidemment empêchés de dormir par les basses pendant toute la nuit, ce d'autant plus que les portes resteront probablement ouvertes pour les fumeurs ou à cause de l'affluence.
La ville, en août 2023, nous avait assuré qu'il n'y aurait jamais de DJ dans le Skybar de la Bourse. Comment désormais leur faire confiance ? Le but est-il de forcer les riverains de la Bourse à déménager ?
Pourquoi cet évènement n'est pas annoncé sur le site du Hangar? Est-ce un test pour imposer "la fête pour tous" et que les riverains n'aient pas le temps de réagir? Tout est possible avec cette majorité !

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Sur BX1 le 6 juin à 18h30 !

Le 6 juillet, un concert en plein air près de la gare du midi "de la manière la plus bruyante possible" (ce sont leurs termes) est organisé par le Fuse. Serait-ce une provocation ?
Notre commentaire sous leur annonce a immédiatement été supprimé et notre page a été bloquée.

On voit là le sens du dialogue, le respect des riverains et sans doute suffisamment de mauvaise conscience pour être sur la défensive.

La commune a dû s'empresser d'imposer cette violence sonore à ses administrés, en appelant cela "culture"...

Philippe Close Brussels Major Events David Weytsman Politie Brussel HOOFDSTAD Elsene - Police de Bruxelles CAPITALE Ixelles Delphine Houba Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel

C'est l'occasion de soumettre à la police nos préoccupations !

Rejoignez votre inspecteur de quartier lors de la Zinneke Parade pour un café et une conversation ce samedi 1er juin de 14h à 18h (Rue du Midi, 44 à Bruxelles). 👮‍♂️☕ 🎉️
L’occasion idéale pour poser vos questions et discuter directement des enjeux de votre quartier.

Vergezel uw wijkinspecteur tijdens de Zinneke Parade voor koffie en een gesprek op zaterdag 1 juni 2021 van 14u tot 18u (Zuidstraat 44 te Brussel).
👮‍♂️☕ 🎉
De ideale gelegenheid om uw vragen te stellen en te praten over enkele wijkvraagstukken.

Le Conseil supérieur de la Santé préconise d'interdire les vols de nuit à Brussels Airport: le gouvernement bruxellois acquiesce

Le Conseil supérieur de la Santé préconise d'interdire les vols de nuit à Brussels Airport: le gouvernement bruxellois acquiesce Le ministre bruxellois en charge de l'Environnement et de la Santé Alain Maron (Ecolo) a abondé mardi dans le sens des recommandations du Conseil

De nouveau un immense scandale : Une interpellation citoyenne au Conseil communal a eu lieu il y a 2 ans pour le même problème et, au lieu de reconnaître que cette interpellation est bafouée, le gérant de l'Horeca qui veut s'enrichir sur le dos des riverains montre son mépris en affirmant que ces gens "ressassent" le même problème.
L'échevin aux affaires économiques Fabien Maingain (DéFI) affirme sans honte que ce quartier est "très calme", ce qui pour lui semble être un problème à résoudre en imposant du bruit la nuit. Cette majorité a perdu tout sens commun et veut évidemment vider le centre-ville pour imposer leur politique ultra-libérale propre à faire du fric en détruisant la vie et la santé de ces habitants.

On a le sentiment d'une fuite en avant avant les élections avec une multiplication exponentielle de l'Horeca dans toutes sortes de bâtiments en imaginant que l'étiquette "culture et social" très abusive va suffir pour paralyser toute réaction des habitants.

Philippe Close Brussels Major Events Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel David Weytsman

https://bx1.be/categories/news/des-riverains-lancent-une-petition-contre-loccupation-temporaire-du-grand-hospice/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR1F5P36Zip9U6WU_YIPu5gwlvezXiXX09WfLb0vJxCeJQiUcHbbYDNPrUE_aem_AWsKZOONabLIhjzI6tJGa0lgua8s6qDC1jEJZvKK_h5sigrL6sFNm-PI8z7FQSmWqH9m_C6oR6Npklqf3eSqTYmd

Des riverains lancent une pétition contre l’occupation temporaire du Grand Hospice Le site situé près du Marché aux poissons dans le centre de Bruxelles accueille aujourd’hui différents projets “à forte orientation sociale et culturelle” gérés par le CPAS. Les citoyens à l’origine de la pétition appellent les autorités à refuser la demande de permis d’urbanism...

Encore un scandale et une boîte de nuit à ciel ouvert ! 😡
De qui se moque-t-on?

"Les riverains pointent également d’autres aspects dans une pétition lancée : le changement d’affectation qui vise à autoriser l’organisation de concerts, d’événements de masse et l’exploitation d’une boîte de nuit dans les locaux et les jardins."

Philippe Close David Weytsman Brussels Major Events Bruxelles Environnement Leefmilieu Brussel

Un haut lieu culturel bruxellois provoque la colère des riverains, une pétition lancée Les riverains pointent plusieurs aspects dans une pétition lancée, notamment le « débit de boissons consommées démesuré ».

Trois nouvelles plaintes contre le Fuse : un an après la fermeture temporaire, la boîte de nuit bruxelloise dérange encore ses voisins C’était il y a un an, quasiment jour pour jour. Le Fuse, institution des Marolles, était contraint de fermer ses portes,...

Débat entre les riverains et BME au sujet des "'Plaisirs d'hiver".
L'émission en entier :

+ d’Actu – Plaisirs d’hiver: l’heure du bilan Quel bilan tirer des Plaisirs d’hiver ? Avec 4 millions de visiteurs, l’édition 2023 a battu un record de fréquentation. Une bonne affaire pour l’économie bruxelloise, en particulier pour le secteur Horeca. Mais est-ce que cela profite aux commerçants du centre-ville? Quelles sont les nuis...