François Ghislain - Cabinet d'alcoologie

On n’est pas obligé de ne boire que de l’eau quand on décide de ne pas boire de boisson alcoolisée.
Il y a beaucoup d’alternatives en softs et en boissons 0,0%…alors pourquoi se priver? 🥳

'Dry January' : et si vous testiez ces boissons sans alcool et belges ? Dès ce 1er janvier, vous allez peut-être déjà mettre en application vos bonnes résolutions. Pour certains, c’est...

"Ces bars produisent des espaces inclusifs où chacun peut se sentir à l’aise, indépendamment de ses préférences de consommation. Ils favorisent la réduction de la stigmatisation sociale associée au non-alcoolisme et mettent en évidence qu’il n’est pas forcément nécessaire de boire de l’alcool pour profiter de bons moments de plaisir."

Les bars sans alcool : la tendance qui arrive en Belgique La tendance du no-low (pour "no alcohol, low alcohol", traduisez sans alcool, peu d'alcool) a le vent en poupe. Si bien qu'après l'émergence sur le marché de nouvelles boissons sans alcool, un nouveau concept fait son apparition : les bars sans alcool. Une arrivée aussi attendue que surprenante....

Officiellement Expert Judiciaire depuis aujourd’hui!

Une autre manière de mettre mes compétences au service des autres.

Dès notre plus jeune âge, nous pensons que boire de l’alcool est “normal”, que c’est un “truc de grande personne”. Petit, on ne peut pas y toucher. En grandissant, on peut parfois y tremper ses lèvres et certains bénissent le jour où ils peuvent étreindre leur première bière comme jour d’adoubement parental où on peut enfin “faire comme tout le monde”.



« Faire comme tout le monde » et donc être dans la norme. Faire partie du groupe. Être reconnu par ses semblables. Pouvoir nous aussi boire ce breuvage si mystérieux qui enjaille les parents, la famille et les amis qui s’y joignent. Boire de l’alcool comme rite initiatique et d’appartenance à une société qui valorise la consommation d’un psychotrope comme s’il ne s’agissait que d’une boisson festive totalement inoffensive. 

Lisez la suite de cet article, gratuitement sur https://www.fgalcoologue.com/blog/lalcool-une-drogue-nbspnormalenbsp

Très bonne idée! Il est grand temps que les mentalités évoluent et que boire de l’alcool ne soit plus une espèce d’obligation sociale pour être considéré comme quelqu’un de « normal ».

Un premier bar sans alcool a ouvert ses portes à Liège - rtbf.be C’est un nouveau bar pas tout à fait comme les autres qui a ouvert ses portes ce samedi à Liège. Et à quelques jours...

C’est un jour un peu spécial aujourd’hui …je fête deux années passées sans avoir bu une seule goutte d’alcool.
Une décision prise après un moment de réflexion sur la place que je voulais donner dans ma vie au psychotrope le plus nocif de la planète.
Le choix a été de le supprimer de ma consommation et je ne le regrette pas une seule seconde.
Pas un jour ne passe sans que je vois les effets bénéfiques de cet arrêt sur mon corps et mon esprit.
Après deux ans, je peux dire que cette décision est la meilleure que j’ai jamais prise et l’influence de ce comportement sur certaines personnes de mon entourage me renforce dans cette vision que l’alcool est totalement inutile à notre bien être.
J’ai appris à accepter mes sentiments, à gérer les problèmes au fur et à mesure, à plus me faire confiance et à refuser qu’une drogue modifie ma perception des choses et mon comportement en ayant cette influence négative sur ma vie de tous les jours.
J’espère continuer à susciter la réflexion autour de moi et à faire en sorte que les gens que je côtoie et aide puissent se rendre compte qu’une vie avec moins d’alcool (ou sans!) est une vie plus belle, plus sereine et certainement pas plus difficile!

L’alcool est, malgré ce que l’on peut croire, l’ennemi du sommeil. Il le perturbe et empêche une bonne récupération.
Trois mois sans alcool suffisent à récupérer un sommeil réparateur pour se sentir à nouveau en pleine forme.

Comment la qualité du sommeil est-elle perturbée par l'alcool ? Il est connu que l’alcool n’est pas le meilleur ami du sommeil, le corps médical le confirme. Eric Mazuy, caviste...

7 signes que vous avez peut-être un problème avec votre consommation d'alcool :

1. Votre entourage vous a déjà exprimé des inquiétudes à propos de votre consommation de boissons alcoolisées. Même s'il ne s'agit que d'une seule personne, cela doit attirer votre attention.

2. Vous avez fait des recherches sur internet sur ce que c'était que d'avoir des problèmes avec l'alcool ou pour savoir « quand est-on alcoolique? »

3. Vous vous considérez comme étant une personnalité « tout ou rien ».

4. Vous vous êtes déjà demandé si vous aviez un problème de consommation d'alcool.
Les personnes qui n'ont pas de problème ne se pose généralement pas la question.
Quand est-ce que vous vous êtes demandé pour la dernière fois si vous buviez trop d'eau ?

5. Vous avez une sorte de double vie. Vous donnez une certaine image de vous publiquement mais une fois seul, il y a une certaine consommation de boissons alcoolisées dont votre entourage n'a pas connaissance.

6. Vous cachez aux autres votre véritable consommation de boissons alcoolisées. Par exemple, vous dites n'avoir consommé que deux ou trois verres de vin quand vous avez réellement bu plus d'une bouteille.

7. Vous avez l'habitude d'avoir de l'alcool sur vous quand vous sortez ou des endroits où vous entreposez de l'alcool pour qu'il soit facilement disponible, à la maison ou ailleurs.

Un seul de ces signes doit vous alerter sur le fait que vous avez peut-être un problème de consommation de boissons alcoolisées.

5 mythes sur la sobriété 👻🎅🏻🧝🏻‍♀️🧜‍♀️🧛🏻‍♂️

1. Il faut toucher le fond

Vous n’avez pas besoin de toucher le fond pour décider d’un changement. Vous pouvez décider de ce changement dès que vous vous rendez compte que l’alcool vous pose certains problèmes. En plus, toucher le fond ne veut pas dire que vous allez décider de changer pour autant…

2. Vous allez louper plein de choses en étant sobre

La réalité est que vous allez rater beaucoup plus de choses en étant sous l’effet de l’alcool. Ne pas boire va vous permettre de réaliser les choses que vous souhaitez faire alors que vous ne faites qu’en parler quand vous avez bu. Ne pas boire va vous permettre d’agir dans le sens que vous le souhaitez là où ces idées ne sont que des fantasmes alcoolisés qui ne se réalisent jamais quand vous avez bu.

3. Vivre sans alcool est ennuyeux

Si vous éliminez l'alcool de votre vie et ne changez rien d'autre, alors la vie peut être ennuyeuse car l'alcool rendait les choses ennuyeuses supportables, en vous déconnectant de la réalité.
Si vous voulez que la vie sans alcool soit amusante, vous devez tout faire pour qu’elle le soit. C'est le moment idéal pour découvrir qui vous êtes.
C’est le moment idéal pour essayer un tas de nouvelles choses et trouver de nouveaux passe-temps.

4. Il n’y a qu’un seul moyen de vivre sans alcool

Il y a en fait plusieurs manières de vivre sans alcool et c’est à chacun de trouver celle qui lui convient le mieux. Nous pouvons apprendre beaucoup des personnes qui ont déjà fait ce choix mais nous devons également trouver celui qui nous convient le mieux.

5. Ne plus boire va régler tous vos problèmes

Devenir sobre ne va pas soudainement régler tous vos problèmes, mais cela vous permettra de commencer à travailler dessus. L'élimination de l'alcool n'est que le début de votre voyage. Il faut ensuite travailler sur toutes les choses qui vous ont poussé à boire en premier lieu et ne pas hésiter à vous faire aider pour y arriver.

Ce drame met en évidence l'importance cruciale d'éduquer les enfants et les adolescents à ce qu'implique la consommation d'alcool.

Avant 25 ans, les dégâts sur le cerveaux sont très importants et entrainent, entre autres, des problèmes de concentrations et renforce les troubles liés à l'attention, à un moment où l'apprentissage est primordial.

Au delà de ces risques sur leur santé, il faut aussi éduquer les jeunes sur les effets qu'a l'alcool sur leur comportement. Beaucoup savent le risque lors de la conduite de véhicules mais l'état d'ébriété va parfois jouer un rôle sur la consommation de stupéfiant et aussi favoriser des relations sexuelles à risque (non consentie ou non protégée).

L'alcool modifie parfois fondamentalement notre manière de voir les choses et les conséquences sont parfois graves.

Mais cet article pose aussi la question de la vente d'alcool aux mineurs. En Belgique, la vente de bière et de vin n'est autorisée qu'à partir de 16 ans et les autres boissons alcoolisées sont autorisées à partir de 18 ans.

On est en droit de s'interroger sur cette différence de traitement entre la bière et le vin d'une part et l'alcool de l'autre quand on sait que certaines bières titrent à plus de 10 degrés d'alcool et sont tout aussi dangereuses que du vin, du pastis ou tout autres boissons alcoolisées. Pour exemple, une bouteille de whisky contient autant d'alcool qu'un bac de bières. Les effets sont bien entendu différents mais il semble hypocrite d'autoriser la vente de l'un et pas de l'autre alors que les effets seront similaire en augmentant simplement la dose consommée.
Alors, à quand une politique alcool à la hauteur des risques encourus par les jeunes (et les adultes)? A quand une politique alcool calquée sur ce qui a été fait pour le tabac? N'oublions pas que l'alcool est la drogue dure la plus nocive (tous effets confondus), qu'elle est en vente libre et qu'on la traite avec moins de précaution que la cigarette. Christie Morreale Alain Maron Frank Vandenbroucke

Lidl risque 5.000 euros d’amende après la mort de Kilian, 16 ans, en France: «Si ce jour-là, l’alcool n’avait pas été vendu à son enfant, il y a de grandes chances que ma cliente n’ait pas eu à porter de fleurs sur son cercueil» L’enseigne allemande risque 5.000 euros d’amende suite au décès d’un mineur ayant consommé de la Vodka achetée quelques heures plus tôt chez Lidl.

Personellement, je trouve que c’est une assez bonne nouvelle. Et vous?

La Gen Z, une génération sans alcool ? La consommation d'alcool des 16-25 ans est en baisse. La Gen Z découvre les avantages de la sobriété bien plus tôt que...

L’auteur principal, le Dr Charles Holahan, professeur de psychologie résume ainsi : « une personne dont la consommation totale est de 7 verres le samedi soir présente un profil de risque plus élevé qu'une personne dont la consommation totale est une boisson quotidienne avec le dîner, même si en fin de compte leur niveau de consommation hebdomadaire est le même ».

Ce constat doit permettre d’envisager autrement la consommation de boissons alcoolisées.

https://www.santelog.com/actualites/binge-drinking-quelques-exces-suffisent-lalcoolodependance

BINGE DRINKING : Quelques excès suffisent à l'alcoolodépendance La consommation excessive d'alcool augmente le risque de développer des problèmes d'alcool, même chez les buveurs modérés, conclut cette étude d’une équipe de l’Université du Texas à Austin : les conclusions, présentées dans l’American Journal of Preventive Medicine révèlent que c...

« - Et si l’alcool était une drogue ?
- Je pense que c’en est une…
- Ok, si l’alcool était une drogue dure alors ?
- Ho c’en est une aussi, c’est certain…
- Vous le savez déjà ?
- Bien entendu !
- Si vous le savez, pourquoi en consommez-vous autant ? »

Une des première information que je donne en formation sur l’alcool est cette définition du produit :

« L’alcool est une substance psychoactive capable d’entraîner la dépendance. L’usage nocif de l’alcool entraîne une charge de morbidité ainsi qu’un fardeau économique et social important pour les sociétés.

L’alcool agit sur les personnes et sur les sociétés de nombreuses façons et ses effets sont déterminés par la quantité consommée et le mode de consommation.

L’usage nocif de l’alcool peut également avoir des effets sur l’entourage tels que les membres de la famille, les collègues ou des étrangers. En outre, il a des effets sanitaires, sociaux et économiques importants sur la société en général. » (source : Organisation mondiale de la santé)

Ce que j’aime dans cette définition c’est que vous pouvez remplacer le mot alcool par n’importe quelle drogue illicite, ça marche aussi. Essayer avec Héroïne, Cocaïne, Crack ou Méthamphétamine, ça marche toujours. Pourquoi cela ? Parce que l’alcool est tout simplement une drogue dure comme les autres. Mais plusieurs choses la différencient de ses consœurs et en font la drogue la plus nocive sur la planète, tous effets confondus, je m’explique…

Lisez la suite de l’article gratuitement sur https://www.fgalcoologue.com/blog/ffm7u4kvyflishece6pvvzhve00tyg

Je ne peux résister à l'envie de partager avec vous cette capsules sur ce qui est pour moi un questionnement assez intéressant ( https://www.arte.tv/fr/videos/104840-001-A/allons-nous-prendre-plus-de-drogues/ ). L'utilisation de certaines drogues illégales dans le traitement de certains troubles tel que la dépression voir l'addiction à l'alcool.

Ici, l'alcool est présenté pour ce qu'il est réellement c'est à dire la drogue la plus dangereuse, tous effets cumulés.

Il est intéressant de voir que le L*D et les champignons hallucinogènes seraient moins dangereux que de l'alcool. Même le cannabis est considéré comme moins dangereux que la cigarette qui elle même atteint la sixième position des drogues les plus dangereuse lorsque l'alcool est en pole position devant l'héroïne, le crack et la cocaïne.

Une fois de plus, mon but n'est ici que de vous éclairer sur ce qu'est réellement l'alcool pour qu'enfin, les consommateurs qui utilisent ce produit le fassent en toute connaissance des conséquences liées à la consommation de boissons alcoolisées.

Où en êtes vous avec l’alcool? 🤔

Voici un questionnaire pour faire le point sur votre consommation et savoir où vous vous situez.

Ces trois derniers mois :

-vous est-il arrivé de ne pas vous rappeler ce qui s'était passé la veille au soir parce que vous aviez trop bu?

-avez-vous été en conflit avec votre famille ou vos amis à cause de votre consommation d'alcool ?

-avez-vous remarqué que vos mains tremblaient le matin parce que vous aviez beaucoup bu la veille ?

-avez-vous ressenti de la culpabilité ou des remords après avoir bu ?

-votre travail a-t-il été perturbé par votre consommation d'alcool?

-avez-vous le sentiment d'avoir négligé vos responsabilités parce que vous aviez trop bu?

-avez-vous ressenti le besoin de boire un verre d'alcool le matin pour vous calmer ou vous donner un coup de fouet ?

-avez-vous constaté que vous n'étiez plus capable de vous arrêter de boire une fois que vous aviez commencé ?

-avez-vous besoin de boire un verre pour faire face à une situation ou à un problème ?

-avez-vous rencontré des difficultés financières à cause de l'alcool?

-avez-vous laissé tomber certaines activités parce que vous passiez plus de temps à boire ?

-avez-vous été ivre plusieurs jours de suite ?

-avez-vous été agressif ou violent après avoir bu ?

-avez-vous été interpellé en état d'ivresse par la police ?

-la boisson est-elle en permanence ou presque dans votre pensée ?

-recherchez vous les personnes qui aiment bien boire de l'alcool?

Si vous répondez oui à minimum trois questions, il est inreressant pour vous de remettre votre consommation en cause car elle semble être à risque, voir nocive si vous avez plus de trois réponses oui.

On en parle?

Un an sans alcool. 365 jours de sobriété. Pas par nécessité mais par choix total et délibéré de supprimer un produit nocif de mon corps.
Pour quel résultat?

- Sommeil fortement amélioré,
- Diminution d’au moins 90% des angoisses (en nombre et en intensité),
- Chute vertigineuse de mon irritabilité et donc une plus grande stabilisation de l’humeur,
- Avoir l’esprit beaucoup plus clair entraînant une prise de décision plus raisonnée,
- Amélioration de mes capacités cognitives,
- Aucune envie envahissante de consommer des boissons alcoolisées,
- Et pour finir par ce qui m’a le plus étonné, une bonne humeur et une joie de vivre plus présente ainsi qu’une tendance beaucoup plus développée à rire! 😄

Je ne dirai rien à ceux qui ont douté de ma démarche, ne l’ont pas prise au sérieux ou autre…je l’ai fait pour moi uniquement en me moquant de l’impact que ça aurait sur ceux qui préféraient me voir boire. J’espère juste bousculer ceux qui sont perclus de certitudes dans leur consommation et à qui je dis très sincèrement : « Si un jour vous doutez, parlons en! »

N’oubliez jamais que l’alcool, comme le tabac, est une drogue toxique pour l’organisme dont on devient dépendant bien avant l’apparition de symptômes physiques de manque.

Je le répète, je ne veux pas d’une société sans alcool mais d’une société où toutes les personnes qui consomment des boissons alcoolisées le fassent en connaissance de cause. Une société dans laquelle ne pas boire d’alcool n’étonne personne et est tout à fait normal, comme le fait de ne pas fumer. Je voudrais voir une société ou une drogue aussi dangereuse que l’alcool soit traitée, au minimum comme le tabac et donc qu’elle ne soit pas accessible, avant au moins 18 ans (et c’est encore trop tôt!).

N’oubliez jamais que la liberté ça n’est pas de boire mais, au contraire, de pouvoir s’en abstenir!

La dépendance à l’alcool et les problèmes liés à la consommation sont déjà un tabou dans notre société mais s’il y a bien un tabou dans le tabou c’est bien les problèmes de consommation de boissons alcoolisées chez les femmes.

Les femmes ont, à mon avis, plus honte quand elles détectent le problème mais je pense aussi que la société veut encore (stupidement) croire que l’alcool, c’est un problème d’homme.

Un mur de plus a abattre entre hommes et femmes pour que le problème soit traité de manière égale!

"Alcool au féminin": pour en finir avec ce tabou de société En Europe, on estime que 13 millions de femmes ont un problème avec l’alcool. Et 55.000 d’entre elles en meurent...

A l’heure où la première polyclinique d’alcoologie pour mineurs va voir le jour à Anvers, il est peut-être important de se questionner sur le rapport que nos enfants et en particulier les adolescents et les jeunes adultes entretiennent avec l’alcool.

Lorsque j’avais partagé sur les réseaux sociaux un article sur les abus d’alcool à l’Université de Louvain-la-Neuve, il y a quelques mois, j’avais lu en commentaire : « On est tous passé par là… »

Cette phrase tombant comme une fatalité de l’abus d’alcool dans le début de l’âge adulte, voire même de l’adolescence.

Cela revient à dire : « Les jeunes boivent, c’est normal. Il faut les laisser faire. Ca fait partie de l’apprentissage de la vie. Laissez-les se défoncer la gu**le. C’est un passage obligé ! »

Vous vous douterez bien que je ne suis absolument pas d’accord avec cette affirmation. Pas sur le fait de l’expérimentation, je la comprends tout à fait, cependant, je ne suis pas du tout d’accord sur le passage obligé de cette expérimentation. Ce côté inévitable, voire même obligatoire.

Pour lire gratuitement la suite de cet article rdv sur https://www.fgalcoologue.com/blog/alcool-lenjeu-jeune

Aujourd’hui j’étais avec les chefs de l’Unité Saint-Hubert de Loverval. On parlait de la consommation de boissons alcoolisées dans le cadre de l’animation scoute. Très chouette moment!

Apéro sans alcool…qui a dit qu’il n’y a pas de plaisir gustatif en dehors des boissons alcoolisées? 🤔🥳

Déjà le troisième week-end de Tournée Minérale qui s'amorce ! 😳 Vous tenez le coup ? N'oubliez pas la modération, même pour l'eau 😇

Blague à part, on entend souvent parler de la "modération". Mais qu'est-ce que ça signifie, boire de manière modérée ? 🧐 Pour rester dans les repères santé, on conseille de ne pas dépasser dix verres standard par semaine, avec deux jours sans boire, et éviter de dépasser quatre verres standard par occasion.

Pour en savoir plus sur les verres standard et le concept "d'unité d'alcool", c'est par ici : https://tournee-minerale.be/conseils-participants/