Le Pain Se Sent Rire
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L'équipe du Pain Se Sent Rire a le plaisir de vous accueillir tous les jours y compris sur le temps de midi. http://www.lepainsesentrire.be/
Retrouvez le goût de la vraie crème vanille, à la vraie vanille et aux œufs, du chocolat de première qualité, des biscuits au pur beurre frais, de la tarte au riz crémeuse à souhait au lait de ferme tout frais, des quiches aux légumes du jour, moelleuses et juteuses, de la crème au beurre moka ou chocolat qui vous fond en bouche comme un miracle gustatif... Et le petit plus: tous nos produits sont certifiés bio!
"On finissait par croire qu’être milliardaire et patron d’un réseau social mondial était un sésame d’invincibilité. Une sorte de laissez-passer par-delà toute limite morale ; un passe-droit irrécusable autorisant tous les écarts. Eh bien non. Les plateformes ne sont pas des zones de non-droit. Et leurs PDG, quand bien même rêvent-ils de sauver le monde, l’exporter sur Mars ou le faire basculer dans le métavers, restent des justiciables. (…) Et ce ne sont pas les nouveaux règlements visant à réguler l’espace numérique qui ont permis de les rappeler à l’ordre. Mais le bon vieux droit, pénal notamment. Comme une démonstration de force salutaire des missions régaliennes."
Pourquoi le Brésil débranche le réseau social X Le réseau social X, propriété du milliardaire Elon Musk, est bloqué depuis samedi matin au Brésil. Cette mesure intervient après la décision d’Alexandre de Moraes, un juge de la Cour suprême fédérale, de suspendre la plateforme en raison d’infractions judiciaires.
https://www.petitionenligne.be/stop_a_la_destruction_du_projet_dextension_du_tram_de_liege
Stop à la destruction du projet d’extension du tram de Liège ! Nous, citoyens de Liège et du Grand Liège, dénonçons fermement la décision électoraliste de François Desquesnes, ministre wallon du Territoire et de la Mobilité, du parti Les Engagés, d'annuler le projet des extensions du tram. Ce projet...
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« Cela souligne la nécessité d’une action urgente » : l’Antarctique sur le point de franchir un « point de bascule » Les scientifiques ont découvert qu’un nouveau « point de bascule » pourrait être sur le point d’être franchi, l’Antarctique se dirigeant vers une « fonte incontrôlée » de ses calottes glaciaires, selon une étude publiée mardi.
Par Bernard Demonty, édito Le Soir
L’histoire montre que les régimes les plus dangereux arrivent parfois de la manière la plus normale du monde. A ce titre, il y a lieu de s’inquiéter en Belgique de ce qui se joue aux Pays-Bas. D’une manière parfaitement classique, les électeurs néerlandais se sont prononcés, les formations politiques gagnantes ont négocié quelques mois, ont ficelé un accord de gouvernement et vont nommer le Premier ministre et son équipe dirigeante. Chacun aura fait des compromis, abandonné quelques points de programme qui ne font pas consensus, et voici la continuité d’un pays démocratique assurée.
Normal, quoi. Normal, oui, de voter en masse pour Geert Wilders, un leader pro-Poutine qui s’en prend de manière obsessionnelle aux musulmans. Normal, pour les autres formations de droite, de négocier avec lui. Normal de conclure un accord de majorité puisqu’il a mis de l’eau dans son vin : pensez donc, il ne compte plus interdire le Coran, ordonner la fermeture des mosquées ou supprimer la télévision de service public. Bon, il pourra quand même retirer 100 millions de subsides aux médias, réguler les appels à la prière, entraver l’accès à la justice des migrants mais, bon, on a échappé au pire, n’est-ce pas ?
À lire aussi Pays-Bas : Wilders imprime un tour de vis migratoire au gouvernement
Mais quand donc les autres partis néerlandais de la coalition, dont les libéraux du VVD, ont-ils baissé les bras ? Quand donc ont-ils cessé de refuser par principe de s’allier aux partis antidémocratiques au nom de cette normalité si confortable ? Pourquoi donc acceptent-ils la mutation des Pays-Bas en « une nation angoissée repliée sur elle-même, un pays qui ne regarde plus par-delà les digues », comme le dit joliment le NRC, un quotidien libéral qui, lui, ne s’est pas endormi.
Tous les regards démocratiques se tournent évidemment vers la Flandre, où le Vlaams Belang, un parti dur et nettement plus structuré que celui de Wilders, est aux portes du pouvoir alors que certains milieux économiques et médiatiques commencent à trouver cela normal. Il n’y a heureusement pas de fatalité. Les Flamands ne sont pas plus moutonniers envers les Pays-Bas que les francophones ne le sont vis-à-vis de la France, et les dernières déclarations de Bart De Wever, président de la N-VA, le parti le plus susceptible de s’allier à l’extrême droite, ne sont pas désespérantes. Et si l’exemple de La Haye ne porte pas à rêver, il y en a d’autres, plus glorieux. La droite portugaise vient de dire non à l’extrême droite, quitte à former un gouvernement minoritaire et très inconfortable, et d’autres libéraux, au Parlement européen, refusent par avance toute alliance de compromission.
Il reste à espérer qu’après un éventuel plébiscite pour des partis qui ont fait de l’égoïsme et du rejet de l’autre une industrie performante, il restera des hommes et des femmes pour refuser cette « normalité » et regarder encore par-delà les digues, qu’elles soient de Flandre ou d’ailleurs.
https://www.lesoir.be/588564/article/2024-05-17/linsupportable-normalisation-du-populisme
"Je crois que notre secteur est comme tous les autres. Les plus petits vont disparaître au profit des plus gros. Il ne restera plus beaucoup d'agriculteurs sauf si l'Europe se décide à ne plus donner de l'aide aux grosses sociétés et à aider l'agriculture familiale."
"Nous, on aime notre métier, on croit en ce qu'on fait, le travail ne nous fait pas peur, on essaye de transmettre, on essaye de nourrir correctement la Planète. C'est pour ça que je suis triste d'entendre qu'on nous oppose à l'écologie alors qu'on est les premiers écolos sur le terrain. On est aux premières loges du réchauffement climatique. La Terre, c'est notre outil de travail, on n'a pas l'intention ni intérêt à l'abîmer. Qu'on nous accuse de vouloir à tout prix mettre des produits phyto, c'est un faux débat. On veut simplement plus d'argent pour pouvoir travailler autrement."
Armel Jeghers, fermier à Aubin (Pays de Herve)
https://www.facebook.com/mireille.tyberghein/posts/pfbid025FDymthMGk18XWc9rA9qyPPZrePtQxYUdrpxh27gHwt6MpTNiqrRWYXXGFqbqYLl
🫢 😵💫 🐍 🦀 🦴 ❌ ⛔️ ⚠️ 🟤 🏴☠️
[🚜Manifestation à Bruxelles - 26 février🚜]
📢 On l’avait annoncé : sans réelles avancées au regard de nos revendications, nous maintiendrons la pression !
⛔️ Jusqu’à présent, aucune proposition structurelle n’est proposée par la Commission qui pense apaiser le secteur avec des mesurettes destinées à apaiser certains acteurs dominants.
Un petit rappel s’impose : la FUGEA montera donc à Bruxelles avec des tracteurs 🚜 le lundi 26 février à l’occasion du conseil des ministres pour faire entendre la voix de ses membres et les VRAIES propositions qu’ils défendent !
La FUGEA demande depuis le début des contestations des mesures fortes pour :
📌 Sortir des accords de libre-échange et de la concurrence déloyale ;
📌 Mettre un coup d’arrêt définitif aux négociations de l’accord UE-Mercosur ;
📌 Réguler les marchés afin de garantir des prix justes et stables, protégés de la spéculation ;
📌 Rendre obligatoire la directive sur les pratiques déloyales en s’inspirant de la loi espagnole ;
📌 Garantir une PAC forte et juste pour soutenir les pratiques agro-écologiques.
⚠️ L’impasse dans laquelle se trouve actuellement le secteur n’est pas le fruit du hasard.
➡️ C’est la conséquence de plusieurs décennies de politiques ultra-libérales qui ont 1️⃣ creusé les inégalités sociales et 2️⃣ miné notre environnement.
Une autre voie est pourtant possible, venez tous et toutes avec nous à Bruxelles pour leur rappeler !✊
Lien vers notre communiqué ici 👉 https://www.fugea.be/accueil/bruxelles-nous-revoila/
Invité: Philippe Lamberts :
"La situation actuelle est le résultat de choix politiques qui ont coincé, enfermé les agriculteurs dans un modèle économique totalement inviable. Aujourd’hui, vous êtes agriculteurs, on vous impose vos prix d’achat et on vous impose vos prix de vente. Ça veut dire que vos marges sont pélicullaires. Le seul moyen de vivre décemment, c’est la course au volume. Mais pour la course au volume, il faut s’équiper, s’endetter et vous vous retrouvez dans une situation inviable.
Si vous ajoutez des contraintes à des gens qui ont déjà le nez juste au-dessus de l’eau, c’est évidemment impossible.
On ne peut pas faire l’impasse sur la transformation profonde du modèle économique qui permette alors aux agriculteurs de vivre de leur travail correctement. Nous avons besoin de marchés agricoles qui ne sont pas biaisés et capturés par les grands de l’agro-business et de la grande distribution. Il y a des actions anti-concurrence drastiques qui sont à prendre par l’UE. Il faut que les agriculteurs puissent vivre correctement de leur travail et que,- en plus,- ils puissent toucher de la PAC des primes en fonction des services agro-écologiques qu’ils rendent à la société. Autrement dit, restaurer la biodiversité, les haies…, contrairement à leurs productions, ça ne se vend pas! Pour ça, ils doivent être rémunérés par la communauté.
Il y a urgence à changer de modèle économique, à commencer par NE PAS signer le MERCOSUR qui est un non-sens économique, un dinosaure hérité d’une logique néo-libérale à laquelle il faut mettre fin.
Le traité récemment signé avec la Nouvelle-Zeelande est un accord d’un nouveau type: c’est la 1ère fois, le 1er traité au monde dans lequel le chapitre social et environnemental est juridiquement contraignant. Donc, son non respect peut entraîner la suspension de l’accord. Par ailleurs, les détenteurs de capitaux n’y jouissent d’aucune protection particulière: dans ce traité (contrairement par ex. au CETA), si un investisseur n’est pas content, il va devant les tribunaux normaux et non des tribunaux d’arbitrage. Ce sont des changements fondamentaux dans la logique de traité."
L'invité: Philippe LAMBERTS, eurodéputé - L'invité de Matin Première
Tant p*s pour l'industrie! me direz-vous. Bin fé po s'gueûye!
Sauf que c'est LE modèle unique que défendent bec et ongles l'EFSA européenne et, chez nous avec encore plus d'étroitesse, l'Afsca. Voilà comment fut tué le Fromage de Herve fermier, le seul AOC belge. ⚰️ 🪦
"Si vous êtes un amoureux du camembert ou du roquefort, cette information va (…) vous rendre un peu triste. La raison ? Ils seraient en voie d'extinction selon une étude menée par des chercheurs de l'Université de Paris-Saclay, rapporte un article du CNRS.
En cause ? Les activités de l'industrie agro-alimentaires. Cette dernière détient le monopole sur la production du roquefort. Conséquence, elle veut fabriquer en grande quantité. Cela exerce alors "une pression de sélection" sur les champignons, des micro-organismes qui se révèlent précieux car ils permettent au fromage d'être affiné. Or, "les fromages, non fermiers et non protégés par une AOP, présentent aujourd’hui une diversité de micro-organismes extrêmement pauvre". Comme le résument très bien nos confrères de France 3 Occitanie, "les micro-organismes ne se reproduisent quasiment plus, ce qui pourrait menacer l'identité même du roquefort".
La chercheuse au CNRS Jeanne Ropars indique : "il s’est produit pour les micro-organismes ce qu’il se produit à chaque fois qu’on sélectionne trop drastiquement des organismes, gros ou petits : cela a entraîné une très forte réduction de leur diversité génétique. En particulier chez les micro-organismes, les producteurs n’ont pas réalisé qu’ils avaient sélectionné un seul individu et que ça n’était pas durable à long terme".
Le camembert aussi en danger
Le camembert est quant à lui aussi encore plus menacé de disparition selon l'article du CNRS. Avant les années 1950, le camembert avait une apparence radicalement différente de celle que nous lui connaissons aujourd'hui. Le fromage présentait des traces de moisissures grises, vertes et parfois orangées, nous apprend l'article du CNRS. Un aspect loin de séduire les industriels qui ont décidé de miser sur l'utilisation d'une souche appelée P. camemberti albinos.
Cette dernière est à l'origine de la croûte si blanche et duveteuse du camembert. Problème, cette souche a perdu de ses capacités de reproduction. Conséquence, la production de camembert diminue."
Ces deux fromages français emblématiques risquent de disparaître Vous aimez le camembert et le roquefort ? Nous avons une mauvaise nouvelle pour vous... Selon un article du très sérieux Centre national de la recherche scientifique (CNRS), ces deux fromages pourraient purement et simplement disparaître. Explications.
On a beaucoup ri. On s’est gaussé. On a dit : « N’y a-t-il pas de choses plus sérieuses à faire ? » De la politique, de l’économie… des choses sérieuses, quoi ! Près de quatre ans et demi plus t**d, l’objectif jugé à l’époque farfelu semble atteint – un comble pour un gouvernement. Alors qu’en trois ans le précédent exécutif wallon était péniblement parvenu à faire sortir de terre 110 km de haies, celui-ci en a fait surgir plus de 4.200 km et 1,4 million d’arbres.
Précisons qu’il y a des promesses dans le lot et que l’affaire n’a pas été gratuite (20 millions en tout), mais le constat est sans appel. Et il correspond aux recommandations des experts en matière de biodiversité, d’érosion des sols, de gestion hydrique… – pas des rigolos, ceux-là. La restauration des haies, des plantations d’arbres et la reconstitution d’un réseau écologique digne de ce nom sont indispensables si l’on veut poursuivre un objectif de protection de la biodiversité, d’adaptation aux phénomènes climatiques extrêmes que sont les inondations et les vagues de chaleur. C’est aussi plus qu’utile pour préserver la production agricole. Ils le disaient déjà à l’époque, on les écoutait peu.
À lire aussi Environnement: planter des haies en Wallonie, c’est plus sérieux qu’on ne le pense
Peut-être les temps ont-ils un peu changé : les coups de boutoir des impacts climatique ne laissent plus indifférent. On sait qu’ils vont s’aggraver dans les années à venir. On ne plaisante plus lorsque des universitaires affirment que les inondations de 2021 dans la vallée de la Vesdre auraient pu être beaucoup moins dévastatrices si le réseau de haies avait été plus fourni.
Pour réussie qu’elle soit, l’opération « Yes we plant » ne doit cependant pas être considérée comme terminée. Le livre ne peut pas se refermer. D’abord, parce que planter des haies, c’est bien ; arrêter d’en arracher l’est tout autant. Planter des haies, c’est bien ; les entretenir et s’assurer qu’elles sont pérennes, c’est mieux. Et planter des haies, c’est une bonne idée, mais elle n’a aucun sens si on continue à bétonner le territoire ou à mener des politiques nuisibles à la biodiversité. Et, dernier élément : « Yes we plant » a été l’occasion de mobiliser pour une bonne cause un nombre incroyable de personnes, d’associations, de communes, de groupes d’amis, d’entreprises, de collectivités… Cette leçon-là, d’une nature qui rassemble, elle doit aussi continuer à pousser.
Par Michel De Muelenaere
« Yes we plant », un livre qui doit rester ouvert L’opération wallonne de plantation des haies et d’arbres est un succès de chiffres et de mobilisation. Mais la préoccupation pour ces brins de nature qu’on a tissés doit devenir pérenne. Et la politique ne pas tirer à hue et à dia.
Pendant que nos Petites et Moyennes Entreprises sont soumises à des normes strictes, il est inacceptable que notre marché soit inondé par des multinationales qui ne respectent rien.
"Le député wallon Ecolo Olivier Bierin a saisi, vendredi passé, le point de contact national de l’OCDE, pour y dénoncer les dérives de Shein, le groupe chinois de «fast fashion». La plainte est cosignée par la sénatrice France Masai, le député fédéral Samuel Cogolati et la députée bruxelloise Margaux de Ré, apprend-on lundi. «Que ce soit les émissions de gaz à effet de serre inhérentes au processus de fabrication des vêtements, au transport ou encore à la gestion des déchets, nous considérons que l’OCDE doit se saisir du problème», explique le député régional. (…)
Les écologistes pointent également les problèmes de droits humains, et notamment les conditions de travail des employés du groupe."
Quatre parlementaires Ecolo saisissent l’OCDE contre Shein Les écologistes pointent également les problèmes de droits humains, et notamment les conditions de travail des employés du groupe.
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Ce qui est pourtant remarquable avec la Maison Andrien, - en plus d'être une des seules maisons Art Nouveau de Visé, c'est que son intérieur est aussi parfaitement préservé que l'extérieur. Elle devrait être classée depuis longtemps.
Chacun peut introduire une réclamation au Service d'Urbanisme jusqu'à ce vendredi 2 juin à 15h.
Déjà une belle moisson d'inscriptions pour ClimACTES 2023 ! 😄
Il reste des places, saisis ta chance, 🍀 n'hésite plus et inscris-toi !
www.climactes.org
🖐❌⛔️🚫🛑 STOP à la volonté indécente de raser une forêt séculaire en Région Wallonne pour y construire un zoning! 🖐❌⛔️🚫🛑
Signons la pétition officielle sur le site du Parlement Wallon pour empêcher ça!
Une pétition sur le site internet du Parlement de Wallonie Site internet du Parlement de Wallonie
Temploux - appel à projets sur 1,05 + 1,6ha – Terre-en-vue Appel à projets pour la location de 3 parcelles de terrains agricoles (1,05 ha à destination de maraîchage/culture/pâturage & 1,6 ha à destination d'écopâturage par volailles) à TEMPLOUX (Namur) à titre…
Les fromages de chèvre de la Fromagerie du Pont de Pierre font le retour au magasin 🤩:
📌Fleur d’oranger
📌Caramel beurre salé
📌Cuberdon framboise
📌Miel truffe
📌Tapenade d’olive
✅Le magasin est ouvert ce vendredi de 15h30 à 19h
Caroline Nieberding, biologiste, décrypte le monde de demain: pour sauver la nature, l’homme devra apprendre à se faire léger Signaux d’alarme au rouge pour la biodiversité mondiale. Et du souci à se faire en Belgique aussi. Les causes et les solutions sont identifiées, détaille la biologiste et écologue Caroline Nieberding (UCLouvain). Qui épingle quelques tabous… Notamment du côté de l’agriculture.
De vrais bijoux offerts par Le Soir pour nos étrennes, à lire absolument avant le réveillon!
Et utiles aussi toute l'année 2023, que nous vous souhaitons salutaire, engagée et savoureuse!
Comment briller au réveillon si Tonton Gérard se montre un peu relou « La prison ? Ce n’est plus assez dissuasif. » « Mes factures impayables ? La faute à l’Europe ! » « Des réfugiés ? La Belgique est le pays qui en accueille le plus ! » Il n’est pas exclu que l’une de ces phrases soit lâchée par un convive, le soir du 31. Pour éviter le silence g...
Au fil des années, divers pesticides ont été interdits dans l'Union européenne et ne peuvent donc plus être utilisés dans nos champs en raison de leur toxicité pour l'environnement et la santé humaine. Et pourtant, de nombreuses substances interdites sont encore produites au sein de l'UE puis exportées ailleurs dans le monde.
Parmi ces produits, on retrouve par exemple l'herbicide dangereux paraquat (produit par le géant Syngenta), dont une petite gorgée suffit pour tuer et dont on soupçonne qu'il cause la maladie de Parkinson. Le paraquat est interdit depuis 2007 dans l'UE, au motif qu'il serait trop dangereux pour les agriculteurs, même avec des équipements de protection. Pourtant, nous en exportons toujours des dizaines de milliers de tonnes par an.
En 2017 dans l'État d'Odisha en Inde, des médecins ont entamé une grève de la faim pour réclamer l'interdiction du paraquat après qu'il ait tué plus de 170 personnes en deux ans. Au Vietnam, des médecins estimaient que l'empoisonnement au paraquat causait 1000 décès par an avant son interdiction en 2017.
Ce deux poids deux mesures insupportable doit cesser: si l'UE juge que ces produits sont dangereux, elle ne peut permettre à l'agrochimie européenne de continuer à les exporter ailleurs!
En 2020, la Commission proposait de veiller à ce que ces produits chimiques interdits ne soient plus exportés. Mais depuis, aucune proposition concrète n'a été faite en ce sens...
C'est finalement la France qui s'est résignée à montrer le chemin en introduisant une loi qui interdit l'export de pesticides interdits. Mais là encore, des failles importantes dans la loi ont permis aux agroindustriels français de continuer à en exporter plus de 7400 tonnes vers le Brésil, l'Inde ou encore l'Ukraine.
En Belgique, la ministre fédérale de l'Environnement Zakia Khattabi et le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke viennent de présenter un arrêt royal visant à interdire ces exportations à l'été 2023. L'Allemagne nous devancera de quelques mois, puisqu'elle vise une interdiction au printemps.
Vous l'aurez compris: ça ne suffira pas. Nous voulons que la Commission tienne sa promesse et propose un projet d'interdiction à l'échelle européenne. Une alliance d'ONG a lancé une pétition que je vous invite à signer : https://actions.sumofus.org/a/ue-interdire-des-maintenant-les-exportations-de-produits-chimiques-interdits
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"En grande surface, comme vous le voyez, pour un « plateau » raclette (comprenez des tranches de fromage emballées dans du plastique), vous payerez 28,15€/kg.
Au magasin, la moyenne de nos fromages à raclette est de 22,5€/kg. A noter qu’ils sont en plus bios! 🧀
Soit 25% moins cher ‼️
Il est rare que je me rende en grande surface…
Et donc quand j’y passe, je ne peux m’empêcher d’analyser certains prix! 🧐 (je tairais le nom de l’enseigne car il n’y a pas d’intérêt à le préciser.)
Ici, comme vous le voyez, pour un « plateau » raclette (comprenez des tranches de fromage emballées dans du plastique), vous payerez 28,15€/kg.
Au magasin, la moyenne de nos fromages à raclette est de 22,5€/kg. A noter qu’ils sont en plus bios! 🧀
Soit 25% moins cher ‼️
Loin de moi l’idée de faire le procès aux grandes enseignes ou de déclarer que tout est plus cher… Mais il est parfois interessant de faire des comparaisons intelligentes! Et surtout arrêter de croire que les petits magasins sont d’office plus chers…
Sur ce, belle soirée! 💕
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