Monik Bouffard, m.a. Psycho-pédagogue

Offre de cours sur la communication: " Savoir s'exprimer pour mieux communiquer." Pour adolescents et/ou adultes, en privé et/ou en groupe.

LA COMMUNICATION sous toutes ses formes pour une:
- Estime de soi améliorée
- Confiance en soi grandie
- Meilleure relation avec les autres
- Meilleure qualité de vie avec soi et avec les
autres.
- Adaptation plus heureuse et satisfaisante à
son quotidien. Offre de cours en privé et /ou en groupe, s'adressant aux adolescents et aux adultes.

02/18/2024
Spinoza et sa philosophie à portée de main dans le dernier roman historique de J.R. Dos Santos 12/08/2023

Spinoza et sa philosophie à portée de main dans le dernier roman historique de J.R. Dos Santos La philosophie de Spinoza n’attire pas les foules. Sauf que J.R. Dos Santos, au fil d’un roman historique, « Spinoza, l’homme qui a tué Dieu » (éditions Hervé Chopin), en fait un récit passionnant, plein d’enseignements.

10/11/2023

À l'ombre de ma plume.

Il fait nuit dans mon cœur,
Et il pleut sur mes jours,
Depuis que la douleur
A noyé mon amour.

C'est une nuit sans fond,
Un gouffre d'abandon,
Abîme de ténèbres,
Désertés par le rêve.

Accablée d'amertume,
De chagrin, de colère,
Je pleure mon infortune,
Ma profonde misère...

Mais l'éclat de la lune
Au profond de tes yeux,
Ce souvenir heureux...
A dissipé la brume
Qui ternissait mes cieux.

Le soleil a brillé
Dans toute sa splendeur,
Et mon cœur n'a gardé
Que tendresse et douceur,
De l'amour qui se meurt...

À l'ombre de ma plume
Émergée de sa brume,
Le monde est merveilleux...
Je te fais, sans rancune,
Mes plus tendres adieux.

Amina Jerjini.
Juillet 2022

09/26/2023

« La poésie, c’est un des plus vrais, un des plus utiles surnoms de la vie. »
Jacques Prévert.

L’ÂME POÈTE

Elle plane
S’élève légère dans les airs
Jusqu’aux confins de l’univers
Elle glane
Une perle de pluie scintillant
Sur la branche secouée par le vent
S’enflamme
À l’or des rayons du soleil
Flambant, majesté dans le ciel
Émane
Du parfum des roses d’antan
Au souvenir du bon vieux temps
S’incarne
Dans les mots de l’amour de la vie
Dans les mots de la mort de l’ennui
Se damne
Pour le cœur de l’enfant qui gémit
Sous les cris de la terre trahie
Elle rame
Dans ce monde où le rire et l’oubli
Profanent la beauté de l’esprit
C’est l’âme
Poète qui dans l’air du temps
Flotte dans un éther troublant
Elle clame !
Renaissance éblouie..
Je suis la Vie,
La Poésie !

Amina Jerjini
28/02/2020
« Le silence des mots »

09/22/2023

Muse de mes nuits.

Lorsque revient la nuit...
Dans mon ciel étoilé,
Au royaume des fées,
Une muse s’éveille...
Je la vois qui sourit
Dans mon ciel embelli.

Lorsque revient la nuit,
Longue nuit d’insomnie,
Un souffle de magie
Envoûte mon esprit,
Et mon âme éblouie
S’ouvre à la poésie...

Lorsque revient la nuit,
Que le sommeil me fuit,
Place à la frénésie
De ma plume qui danse
Dans une fièvre intense...
Vibrations du silence...

Et sur ma page blanche,
Les mots viennent en cadence
Pour exprimer l’essence
De mon esprit en transes,
Extase d’une naissance...
Ivresse de mes sens...

Lorsque revient la nuit...
Ô mystère infini !
Caprice de ma muse
Qui chaque nuit s’amuse,
Et me tient en éveil,
L’espace d’un poème.

Ô muse de mes nuits,
Mon soleil de minuit...
Tu as fait de mes jours
Un univers d’amour,
De beauté infinie...
Un rêve de poésie.

Les hivers, les redoux,
Les délires les plus fous,
Les amants d’une nuit,
Les printemps d’une vie
Revivent, comme par magie,
Épargnés par l’oubli.

Et au petit matin,
Un signe de la main,
Je la vois qui s’enfuit
Et de loin me sourit..
Sombre dans le sommeil,
Noyée par le soleil..

Là, ma plume apaisée...
S’en va pour retrouver
Dans les bras de Morphée,
Ma muse, belle endormie
Complice de mes nuits...
Ma muse, mon embellie...

Amina Jerjini.
21/09/2019

09/11/2023

" Votre cercle d'amis va se réduire. Les conversations habituelles vous sembleront de moins en moins intéressantes. Vous ne serez pas capable de soutenir les conversations sur le monde qui va de mal en pire, sur la culpabilité de ce type, etc. Vous deviendrez inconfortable pour vos amis, car vous gâcherez le jeu habituel.

Vous trouverez pénible de faire le travail que vous n'aimez pas ou de faire ce qui n'a pas de sens. Par conséquent, vous choisirez de tout changer, radicalement. Vous n'aurez pas les facteurs qui vous retenaient auparavant dans votre travail (nécessité, peur, habitude).

Vos relations en prendront également un coup. La plupart des relations ne sont pas des unions d'égaux mais un ensemble de dépendances et de compensations.

Vous vous sentirez seul, car les relations construites sur le vide, l'égoïsme, le consumérisme seront coupées. Et ce nouveau vide vous effraiera d'abord, mais bientôt il sera rempli de toutes les choses vivantes et vraies que vous avez en vous.

Vous ne pourrez plus vous mentir ni mentir aux autres ; vous serez de plus en plus conscient de tout mensonge intérieur dans vos paroles, vos pensées, vos actions.

Vous vous rendrez compte que les gens autour de vous souffrent. Si auparavant vous étiez très occupé à vivre votre propre souffrance, maintenant vous ne l'êtes plus, et vous pourrez donc aider les autres.

Vous aurez honte de vos paroles et de vos actions passées, car vous comprendrez que la source de vos problèmes, c'est vous et non les autres. Mais une fois que vous aurez compris cela, la honte disparaîtra et un calme intérieur s'installera.

Vous parlerez moins, car il n'y aura plus de place pour les mots prononcés par peur, par envie, par égoïsme. Vous comprendrez que le silence est cet or que vous ne pouviez pas voir auparavant.

Votre image de la réalité s'effondrera. Vous comprendrez qu'il n'y a pas que votre seule opinion, la seule juste, et toutes les autres injustes, mais un espace infini de variations et de possibilités. Vous vivez la vie que vous méritez, et vous n'en aurez pas d'autre si vous ne devenez pas responsable de ce que vous faites.

Jour après jour, tout ce qui est vrai va croître, se renforcer et prendre racine. Ce n'est pas un processus agréable, il s'agit souvent de briser de vieilles habitudes et des stéréotypes.

Mais au bout du compte, vous vous rendrez compte que cela en valait la peine. "

Ki Ara ( Page , Delphine Blondel - Psychonutritionniste )

08/28/2023

— J’ai toujours été le « mouton noir » de la famille. Celle qui n’a pas fait comme les autres, celle qui prend des chemins différents, l’artiste, la sensible, la décalée, la tarée même, parfois. Et à certains moments, ça me pèse. Il y a des blocages en moi, des portes que je n’arrive pas à ouvrir… sur l’estime et la valeur que je m’accorde à moi-même. C’est très profond, ça vient des origines, c’est familial, lourd…

— J’aurais donc un message important à te transmettre :
Le mouton noir de la famille est la pièce centrale de la systémique familiale, autour de laquelle se joue un bal tragique. C’est elle qui catalyse les traumas de la fratrie, des parents, des ancêtres. C’est sur elle que, par ses capacités de transmutation hors du commun, repose la guérison cathartique et libératrice de toute une famille. C’est le Petit Poucet qui sauve tout le monde en semant les cailloux blancs, c’est le médicament, le remède, l’étincelle, la goutte d’eau qui fait se briser le vase. En toi réside la grâce de tes ancêtres, en toi se jouent les non-dits des autres, en toi dansent leurs désirs inavoués, en toi s’est harmonisé le chaos de leurs subconscients en une mélodie qui les bouscule, parfois les irrite. Et il t’appartient maintenant de faire danser.

Retiens ceci : Qu’es-tu prête à perdre pour ouvrir cette porte, qui, retiens-le, est fermée de l’intérieur ?

🙏 Stephan Schillinger©️

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(Illustration : M. Proski)

08/27/2023

"Enfant, je me sentais solitaire, et je le suis encore aujourd’hui, car je sais et dois mentionner des choses que les autres, à ce qu’il semble, ne connaissent pas ou ne veulent pas connaître. La solitude ne naît point de ce que l’on n’est pas entouré d’êtres, mais bien plus de ce que l’on ne peut leur communiquer les choses qui vous paraissent importantes, ou de ce que l’on trouve valables des pensées qui semblent improbables aux autres.

Ma solitude commença avec l’expérience vécue de mes rêves précoces et atteignit son apogée à l’époque où je me confrontais avec l’inconscient. Quand un homme en sait plus long que les autres, il devient solitaire. Mais la solitude n’est pas nécessairement en opposition à la communauté, car nul ne ressent plus profondément la communauté que le solitaire ; et la communauté ne fleurit que là où chacun se rappelle sa nature et ne s’identifie pas aux autres.

Il est important que nous ayons un secret, et l’intuition de quelque chose d’inconnaissable. Ce mystère emplit la vie d’une nuance d’impersonnel, d’un "numinosum". Qui n’a pas fait l’expérience de cela a manqué quelque chose d’important. L’homme doit sentir qu’il vit dans un monde qui, à un certain point de vue, est mystérieux, qu’il s’y passe des choses, dont on peut faire l’expérience – bien qu’elles demeurent inexplicables, et non seulement des choses qui se déroulent dans les limites de l’attendu. L’inattendu et l’inhabituel font partie de ce monde. Ce n’est qu’alors que la vie est entière. Pour moi, le monde, dès le début, était infiniment grand et insaisissable."

Carl Gustav Jung ( Ma vie ) Souvenirs, rêves et pensées

08/13/2023

L'histoire d'Argos, le chien qui a attendu 20 ans le retour de son maître pour pouvoir mourir.

Après un long voyage accidenté, le seul être au monde qui ait reconnu Ulysse en rentrant chez lui était Argos, son chien fidèle.

De retour d'un voyage de décennies, ce n'est pas sa femme qui l'a reconnu. Parmi la foule de personnes anonymes, un héros rentrait à la maison, Ithaca, pourtant venu à moins après l'une des plus importantes guerres de la Grèce antique. Seul Argos, son chien, savait de qui il s'agissait : Ulysse était rentré à la maison.

Parmi les grands héros de la mythologie grecque, Ulysse ou Ulysse, comme il est fait allusion à l'épopée qui a reçu son nom pour son intelligence. Grâce à ses tactiques de guerre ingénieuses, il a conduit les Achéos à la victoire à Troie, avec la bataille mythique qu'ils ont gagnée avec le cheval chargé de soldats grecs.

Après des années de participation à ce conflit de guerre, à l'Odyssée (Cant XVII), le voyage de retour du héros à la maison est raconté. Il a affronté des sirènes, des tempêtes inclémentes et des sorcières qui ont transformé tout son équipage en cochons. Ulysse a réussi à mener toutes ces batailles avec astuce, jusqu'à ce qu'il arrive finalement - selon le poème d'Homer - à Ithaque : sa patrie.

Ulysse est arrivé vieux et fatigué. Les cheveux gris ont peuplé son visage et son crâne. La peau de son corps n'était plus tendue, comme quand il a commencé le voyage pour se battre à Troie. Au contraire, les années et la guerre lui avaient fait payer des factures élevées. Dix ans de bataille; dix ans de plus pour rentrer à la maison.

De retour à Ithaque, Ulysse craignait que ses ennemis le reconnaissent. C'est pourquoi il invoqua le pouvoir d'Athéna, la déesse de la sagesse, dont il avait une grande sympathie pour qu'elle soit protégée par les factions et l'habille comme un mendiant. Même sa femme ne l'a pas reconnu à son retour.

Le seul être sur toute l'île qui ait reconnu le héros était son chien, Argos. Le voyant arriver, négligent, poussiéreux et vieux après deux décennies sans le voir, l'animal a rampé comme il pouvait jusqu'aux pieds de son maître. Quand il est retourné les yeux pour le saluer, il a agité la queue travaillante, pour lui dire qu'il savait parfaitement de qui il s'agissait.

Cependant Ulysse ne pouvait pas s'empêcher de cacher son rôle de mendiant. Pour cette raison, et même s'il savait que c'était son chien, il ne pouvait pas le saluer. Le héros n'a versé que des larmes. Argos est mort après ça, aux pieds de son maître, en symbole de loyauté absolue.

🎨 : MORT D'ARGOS APRÈS AVOIR RENCONTRÉ ULYSES

08/12/2023

Si tu ouvres mon coeur
Tu découvriras dans ses profondeurs
Ma tristesse et mes douleurs
Dans un coin gris
Est gravée l'injustice que j'ai subie
Le masque des personnes qui m'ont trahie
Mes blessures qui ne sont pas guéries
Tu entendras les gémissements de mon âme et ses cris
Tu remarqueras ma course jour et nuit
Et mes plus grands soucis:
La vie et l'avenir de mes petits
Tu sentiras le fardeau des contraintes infinies
Tu y trouveras écrits
Mon chagrin, ma souffrance
Et ma belle endurance
Dans un coin éclairé
Tu toucheras à ma gaîeté
Mon arme contre la méchanceté
Ma générosité t'éblouira
Ma pureté t'attirera
Ma sincérité se joindra à ma fidélité
Pour te transporter dans mon monde ensoleillé
Où sont bannies la haine et la méchanceté
Là où trônent mon optimisme , mon humilité
Ma force, mon courage et ma ténacité .
J'ai bravé la vie et ses intempéries
Devant ses épreuves courageusement je souris.

Habiba Allouche Boudaya

06/05/2023

Nous passons notre vie à poser des cloisons, ériger des murailles, et couler des chapes sur l'inconsolable pour pouvoir continuer à avancer debout.

Nous passons notre vie à conforter la conception individualiste d'une société malade en renforçant des concepts clivants : ego, identité, couple, famille, pays, race, genre.

Nous passons notre vie à nous individualiser et à nous éloigner d'une source originelle dont nous sommes issus. Cette source dont notre ego et nos carapaces nous isolent.

Nous ne guérissons jamais vraiment de nos blessures, nous les enfermons, ou au mieux nous les dépassons par l'atteinte d'un autre niveau de conscience.

Le surpassement de toute blessure nécessite l'atteinte d'un niveau de conscience plus élevé que celui dans lequel nous avons été blessé.

L'atteinte de cette nouvelle conscience implique une introspection que seuls ceux qui sont prêt à « aller au front », et à « toucher le fond » pourront entamer. Et cela démarre souvent par l’atteinte d'un degré inacceptable, et insupportable, de souffrance.

C'est, enfin, décider d’attaquer à la pioche la chape qu'ils ont coulée sur leurs traumatismes. C'est un parcours de guerrier fou, de sage malade. Un chemin sur lequel tu te jettes corps et âme, pour aller combattre puis converser avec tes démons les plus enfouis.
C'est entreprendre une destruction de toutes les couches de protection, carapaces et boucliers, pour reprendre contact avec « l’enfant intérieur », originel, en nous. A chaque âge se forme sa conviction rassurante, sécurisante, protectrice, comme un parapluie ou un bouclier contre le vent. Alors on pense année après année le renforcer de ses expériences, le solidifier.

Vient alors le jour où il nous est soudainement lourd. Lourd. Lourd de convictions et de certitudes, où l'on apprend le poids du superflu. Et vient avec lui le sentiment qu’il faut s’alléger et se laisser porter par le vent, noyer par la pluie, évaporer par le soleil.

🙏 Stephan Schillinger©️

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📸 instagram.com/paruncurieuxhasard

🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

(illustration : moebius)

06/04/2023

« Je n’ai pas de patience pour certaines choses, non pas parce que je suis devenue arrogante, mais simplement parce que je suis arrivée à un stade de ma vie où je n’ai pas envie de perdre davantage de temps avec ce que je n’aime pas ou qui me blesse. Je n’ai aucune patience avec le cynisme, la jalousie, la critique excessive et les exigences de toute sorte. J’ai perdu la volonté de plaire à qui je n’aime pas, d’aimer qui ne m’aime pas et de sourire pour ceux qui ne veulent pas me sourire. Je ne perds plus une minute de mon temps pour quelqu’un qui ment ou qui veut me manipuler ou manipuler d’autres.
J’ai décidé de ne plus cohabiter avec le faux-semblant, l’hypocrisie, le superficiel, la malhonnêteté et les éloges bon marché. Je ne peux plus tolérer l’érudition sélective et l’arrogance académique. Je ne supporte pas les conflits et les comparaisons. Je crois en un monde d’opposés et pour cette raison j’évite les personnes au caractère rigide et inflexible.»

[ Meryl Streep ]

05/24/2023

Il était une fois une âme venue des étoiles pour s'incarner sur Terre, pour apprendre à s'aimer et à aimer, trouver sa lumière et l'offrir au monde..
Elle a choisi de revivre les blessures d'abandon et de trahison pour apprendre que l'amour ne dépend de rien ni de personne, mais qu'il est là toujours..
Elle a connu la peur de ne pas être assez, la peur du vide, la peur d'être seule, pour comprendre que le faire ne remplacerait jamais l'être, qu'elle n'était jamais seule même dans le plus profond silence..
Elle a connu la violence, la manipulation, l'envie de mourir pour sentir toute la valeur de la vie et de la liberté..
Elle a caché sa vulnérabilité, fermé son coeur de peur d'être blessée, fait semblant d'être forte, insensible pour découvrir la force de sa sensibilité et la puissance de l'amour
d'un coeur ouvert..
Elle a connu le doute, le pragmatisme, a été cartésienne à l'extrême pour que le sens de la vie, la foi et la confiance lui soit révélée..
Elle a éprouvé le mensonge, la traîtrise pour apprendre la richesse de la sincérité, lui donnant l'élan de marcher sa vérité..
Elle a traversé ses ombres pour enfin accepter pleinement sa lumière, ses talents, les découvrir et les incarner, pour comprendre que ce pourquoi elle était venue, au bout du compte, c'est partager, transmettre, rayonner et aimer, en toute humilité..
Il était une fois une âme venue s'incarner sur Terre pour rallumer les étoiles, partager sa lumière et son amour..
Et pour œuvrer à travers eux à l'émergence d'un nouveau monde...

Frederique Roussel.

05/16/2023

Alors Almitra dit:

Parle-nous de l'Amour.
Et il leva la tête et regarda le peuple assemblé, et le calme s'étendit sur eux. Et d'une voix forte il dit :
Quand l'amour vous fait signe, suivez le.
Bien que ses voies soient dures et rudes.
Et quand ses ailes vous enveloppent, cédez-lui.
Bien que la lame cachée parmi ses plumes puisse vous blesser.
Et quand il vous parle, croyez en lui.
Bien que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord dévaste vos jardins.
Car de même que l'amour vous couronne, il doit vous crucifier.
De même qu'il vous fait croître, il vous élague.
De même qu'il s'élève à votre hauteur et caresse vos branches les plus délicates qui frémissent au soleil,
Ainsi il descendra jusqu'à vos racines et secouera leur emprise à la terre.
Comme des gerbes de blé, il vous rassemble en lui.
Il vous bat pour vous mettre à nu.
Il vous tamise pour vous libérer de votre écorce.
Il vous broie jusqu'à la blancheur.
Il vous pétrit jusqu'à vous rendre souple.
Et alors il vous expose à son feu sacré, afin que vous puissiez devenir le pain sacré du festin sacré de Dieu.
Toutes ces choses, l'amour l'accomplira sur vous afin que vous puissiez connaître les secrets de votre cœur, et par cette connaissance devenir une parcelle du cœur de la Vie.
Mais si, dans votre appréhension, vous ne cherchez que la paix de l'amour et le plaisir de l'amour.
Alors il vaut mieux couvrir votre nudité et quitter le champ où l'amour vous moissonne,
Pour le monde sans saisons où vous rirez, mais point de tous vos rires, et vous pleurerez, mais point de toutes vos larmes.
L'amour ne donne que de lui-même, et ne prend que de lui-même.
L'amour ne possède pas, ni ne veut être possédé.
Car l'amour suffit à l'amour.
Quand vous aimez, vous ne devriez pas dire, "Dieu est dans mon cœur", mais plutôt, "Je suis dans le cœur de Dieu".
Et ne pensez pas que vous pouvez infléchir le cours de l'amour car l'amour, s'il vous en trouve digne, dirige votre cours.
L'amour n'a d'autre désir que de s'accomplir.
Mais si vous aimez et que vos besoins doivent avoir des désirs, qu'ils soient ainsi:
Fondre et couler comme le ruisseau qui chante sa mélodie à la nuit.
Connaître la douleur de trop de tendresse.
Etre blessé par votre propre compréhension de l'amour;
Et en saigner volontiers et dans la joie.
Se réveiller à l'aube avec un cœur prêt à s'envoler et rendre grâce pour une nouvelle journée d'amour;
Se reposer au milieu du jour et méditer sur l'extase de l'amour;
Retourner en sa demeure au crépuscule avec gratitude;
Et alors s'endormir avec une prière pour le bien-aimé dans votre cœur et un chant de louanges sur vos lèvres.

Le Prophète de Khalil Gibran.

05/08/2023

Certains gestes sont loin d'être anodins
Et le ba**er sur le front, lui non plus n'en n'est pas un
Ce simple geste qui déborde de douceur
Ce geste qui signifie "tu es dans mon cœur"
C'est un langage totalement muet
C'est un "je t'aime" un peu fluet

Une façon de parler sans rien dire
Il suffit juste de ressentir
Ce qui émane d'un tel ba**er
Une émotion qui n'est pas parlé
Des mots qui restent silencieux
Mais que des lèvres murmurent un peu
Car on dit qu'un ba**er sur le front
Est synonyme de protection...

©Emmanuelle Girin L' éprise des mots - Textes & poèmes
***Tous droits réservés***

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