Jazz'Loft

Modern'jazz et assouplissement pour enfants et adultes à Carouge
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01/09/2022
23/11/2021

ALORS ON DANSE ?
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12/10/2021
Eileen Kramer, la danseuse de 106 ans qui monte encore sur scène 06/06/2021

Eileen Kramer, la danseuse de 106 ans qui monte encore sur scène « Je ne suis pas vieille; je suis juste là depuis longtemps », dit cette danseuse, qui est aussi autrice.

La Culture se déconfine enfin ! 20/05/2021

La Culture se déconfine enfin ! Ca y est, la Culture peut enfin se déconfiner ! Avec quels tableaux allez-vous danser aujourd'hui ? ;)

07/05/2021

Le B A BA de la danse...
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06/05/2021
06/05/2021
La danse augmente le volume de l'hippocampe cérébral 02/05/2021

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La danse augmente le volume de l'hippocampe cérébral Danser augmente le volume de l'hippocampe cérébrale

30/04/2021

In the blues circle on the South Side of Chicago, Waters was a god. But back then, people just referred to him as “The Mud”. Buddy Guy talks about the first time he met Muddy — after showing up Otis Rush at a blues club. “The Mud wants you,” someone told Buddy, who misheard and thought someone wanted to mug him. Instead, The Mud offered Buddy a sandwich and asked him to be a part of the blues that they had invented. by Matt Marshall

30/04/2021
25/04/2021

Un film poignant sur parcours de la famille cambodgienne de BONNY B bluesman.

12/03/2021

Force et élégance
des hommes dans la danse..
Alvin Ailey
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12/03/2021

Hommage à Patrick Dupond de Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault - Eglise Saint-Roch 11/03/21

Patrick, comment trouver les mots justes pour te rendre hommage ? Nous sommes devant ta famille, tes amis, toutes celles et tous ceux qui t’aiment et pleurent ta disparition, le monde de la danse en deuil d’avoir perdu son plus bel astre.

Tu es parti si vite, trop vite sans que nous puissions t’embrasser une dernière fois ; rire avec toi une dernière fois et écouter avec gourmandise tes anecdotes, tes conseils ; ta vision toujours généreuse et éclairante sur le métier, sur cet art exigeant qu’est la danse.

Nous garderons précieusement en mémoire tes envols qui semblaient ne jamais finir, tes manèges qui étourdissaient les salles du monde entier, tes pirouettes offertes comme des cadeaux, ta présence magnétique et espiègle, ta joie de danser qui était une joie de vivre.

« Pour bien danser, il faut bien vivre » disais tu…

Nous avons donc perdu notre plus grand danseur ; un monstre sacré, une légende de la danse.

De ce petit garçon plein d’énergie passé par le football et le judo jusqu’au danseur étoile mondialement connu devenu directeur, tu as ébloui les regards, fasciné tes contemporains, levé les foules comme aucun autre artiste de cette grande maison.
Tu rayonnais sur scène avec fougue, puissance et insolence. Tu magnifiais la danse classique en lui apportant ton élan et ta sincérité. Tu étais un danseur moderne, un précurseur et un génie du mouvement.

Nous avons perdu un artiste exceptionnel transcendant son art pour l’offrir à tous et pour tous. Ta nomination au poste de directeur du Ballet de l’Opéra de Paris par le président de la république de l’époque, François Mitterrand n’est d’ailleurs pas anodine. C’est un temps où la France s’est construit la cité des sciences et sa géode, la pyramide du Louvre, la grande arche de la défense et l’Opéra Bastille et souhaite ouvrir la « grande » culture à tous les yeux, toutes les oreilles, toutes les âmes de tous les citoyens. Tu en es alors le symbole vivant, celui de l’élite républicaine, de l’ascension fulgurante d’un gamin parisien devenu étoile à 21 ans, directeur du Ballet de Nancy à 26 ans, et directeur du Ballet de l’Opéra de Paris à 31 ans.

Tu as gravi les échelons comme tu bondissais sur scène de cour à jardin, tu as brûlé les étapes par l’incandescence de tes interprétations, tu étais une « star » …celle que tu voulais devenir.
Acclamé aux États-Unis, adulé au Japon, emmenant la danse dans des villes de France qui n’en avaient jamais vu auparavant…ta vie d’artiste flamboyant est ce grand écart permanent, comme si tu avais pu apprendre à Icare à réparer ses ailes.

« Notre langage, à nous autres artistes, est à la portée de toutes les oreilles et de tous les yeux, parce qu'il est chant, lumière, galbe, sourire. » - disait le poète.

Nous ne reverrons plus ce sourire d’un homme juste et généreux toujours le bon mot de sortie de scène aux artistes. Pour nous les danseurs, dont la carrière est aussi éphémère que magnifique, tu étais une bénédiction Patrick, tes conseils et tes encouragements cicatrisaient nos blessures du moment. Tu savais quoi dire pour encourager, quoi dire pour remonter le moral, quoi faire pour donner l’envie d’y retourner et reprendre son envol.
Ta seule présence nous donnait l’énergie du dépassement. Te savoir dans la salle n’était pas un risque mais au contraire une assurance ; celle de savoir pourquoi nous étions là.
Frère de lumière et de danse, tu étais le reflet de tes résurrections, un mythe moderne que Roland Barthes aurait appelé… un message.

Nous avons aussi perdu un ami, un frère, un fils, une âme sœur, un professeur…un petit prince. « On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux. » écrivait Saint Exupéry pour son personnage que tu aurais pu incarner.
Tes élèves se souviendront du pédagogue bienveillant, de celui qui montre le chemin, un guide ayant lui-même gravi la montagne de nos espérances d’artistes. Patrick, ton érudition et ton élégance ont permis à tant de jeunes danseuses et danseurs de se sentir fiers de suivre ton exemple.
Tu étais un homme sujet aux mêmes passions, aux mêmes faiblesses que nous. C’est ce qui t’a rendu si populaire, Patrick : une étoile au firmament à portée de toutes les mains tendues, de tous les sourires échangés. Tu étais accessible et impressionnant, humain et ange à la fois. C’est pourquoi te ressembler était une louange, être ta partenaire un compliment.

Tu es entré dans la légende que tu as su écrire toi-même. Tu as su démocratiser cet art plus qu’aucun autre avant toi, tu as inspiré les plus grands créateurs, les plus grands chorégraphes, tu as suscité tant de vocations, provoqué tant de réactions, inspiré tant de tendresse, d’amour et d’applaudissements.

Patrick, nous sommes conscients aujourd’hui que nous te devons beaucoup. Cette place que tu prenais n’était pas exclusive ; tu nous donnais l’impression qu’elle nous appartenait également. Nos vies sans toi auraient été plus mornes, nos éclats de rire moins sonores, nos ambitions altérées car tu as sans cesse attiré la lumière pour nous en faire bénéficier, risquer la danse pour nous la faire aimer, briser les codes pour les réinventer.

Aujourd’hui je sais que tu resteras présent dans nos cœurs et dans nos mémoires à jamais. Tu nous laisses ce message à transmettre : celui de croire à ses rêves d’enfant et de travailler dur pour les réaliser. Nous tenterons de perpétuer cette flamme ; ce feu sacré dans nos cours, nos échanges, nos chorégraphies ou sur scène.

Tu nous as relié les uns aux autres comme tu savais le faire quand tu faisais défiler les anciennes et nouvelles générations d’étoiles de l’Opéra côte à côte, soudées par ta tendresse à leurs égards.

Des paroles longtemps retenues, des silences entre nous souvent trop long ; tu as encore une fois quitté la scène de la vie en nous offrant un dernier cadeau, un dernier salut, un dernier clin d’œil malicieux et tendre pour rappeler à tous combien la vie est fragile, l’art essentiel, l’amour irremplaçable.

Merci Patrick, merci pour tout ; et si tu vois Max, Maurice ou Rudolph, n’oublies pas de leur dire à quel point tu nous as fait aimer la vie en t’admirant danser, et combien tu nous manqueras à tous terriblement.

Marie-Claude Pietragalla & Julien Derouault

Patrick Dupond, le bel hommage de sa complice et amie Pietra 09/03/2021

Patrick Dupond, le bel hommage de sa complice et amie Pietra Suite au décès brutal de Patrick Dupond, Pietragalla a pris la plume pour esquisser le portrait d’un être rare, qui lui était si cher.

07/03/2021

😢Au revoir Patrick Dupond (14 mars 1959 - 5 mars 2021) !

Patrick Dupond, étoile de l’Opéra national de Paris, photographié par Jack Mitchell pour Dance Magazine en 1984

06/03/2021

Mon ami, mon partenaire, mon compagnon de route, tu étais né pour être danseur, mais pas un danseur comme les autres, un être d’exception, lumineux, talentueux et un inclassable. Une Étoile, une icône, une légende de la Danse qui enflammait les scènes du monde entier et électrisait tous les publics.

Ta passion, ton talent, ta générosité et ton humanité ont fait de toi un « artiste total » comme aimait le dire Maurice Béjart, un homme qui danse avec force , fougue, instinct et fragilité, dans l’amour absolu de la danse et ce qu’elle représente.

Tu as marqué de ton empreinte l’Opéra de Paris et son histoire par ton rayonnement d’Etoile et de directeur de la danse.
Tu as su conquérir le cœur des générations futures et leur transmettre ta flamme en faisant naître de multiples vocations.
Je garde pour moi, intimement notre relation d’amitié sincère et fidèle.

Mon Patrick...ta Pietra.

05/03/2021

DANSE DU CYGNE..
CYGNE DE LA DANSE....
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26/02/2021

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