La Case Éducative
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Abidjan-Cote D'ivoire
BP
NEANT
Gilbert
أبيدجان
00225
24
Koumassi Boulevard du Gabon
Bp 4389 Abidjan
Plateforme humanitaire en milieu scolaire qui vise à conseiller, encadrer l'élève et l'étudiant en di
🚩𝐐𝐔𝐄𝐋𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐓𝐑𝐀𝐈𝐓𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐃𝐄́𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐂𝐇𝐄𝐙 𝐋𝐄𝐒 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄𝐒 ?
Le traitement de la dépression chez les jeunes repose sur le soutien psychothérapeutique, avec l'aide d'un professionnel du psychisme des enfants. Il peut également se révéler nécessaire de modifier l’environnement de l’enfant s’il est malheureux là où il est. Chez l’adolescent, les médicaments antidépresseurs sont réservés aux cas sévères où les symptômes nuisent au bon déroulement de la psychothérapie. Chez les enfants, ces médicaments ne doivent être prescrits que de façon exceptionnelle.
𝐄𝐍 𝐄́𝐕𝐀𝐋𝐔𝐀𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐒𝐘𝐌𝐏𝐓𝐎̂𝐌𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐃𝐄́𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐃’𝐔𝐍 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄, 𝐐𝐔’𝐈𝐋 𝐒’𝐀𝐆𝐈𝐒𝐒𝐄 𝐃’𝐀𝐍𝐗𝐈𝐄́𝐓𝐄́, 𝐃’𝐈𝐍𝐒𝐎𝐌𝐍𝐈𝐄 𝐎𝐔 𝐀𝐔𝐓𝐑𝐄, 𝐂𝐄𝐒 𝐏𝐑𝐎𝐅𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍𝐍𝐄𝐋𝐒 𝐏𝐎𝐔𝐑𝐑𝐎𝐍𝐓 𝐒𝐄 𝐏𝐑𝐎𝐍𝐎𝐍𝐂𝐄𝐑 𝐒𝐔𝐑 𝐔𝐍 𝐓𝐑𝐀𝐈𝐓𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐄𝐓 𝐋𝐔𝐈 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋𝐋𝐄𝐑 :
📍d’améliorer ses habitudes de vie
d’amorcer une psychothérapie (en cas d’un conflit familial, par exemple)
d’envisager la médication, en particulier lorsqu’il y a des antécédents de troubles psychologiques dans la famille.
🚩𝐐𝐔𝐄𝐋𝐒 𝐓𝐑𝐀𝐈𝐓𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓𝐒 𝐂𝐇𝐄𝐙 𝐋𝐄𝐒 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄𝐒 ?
Pour traiter la dépression chez les jeunes, il faut d’abord évaluer la sévérité de ses symptômes (dépression légère, modérée ou sévère) et leurs causes. La prise en charge doit être adaptée : en plus de protéger l’adolescent (contre une éventuelle crise suicidaire), elle doit l'aider à retrouver confiance en soi.
📍𝑳𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒓𝒆𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒏𝒄𝒊𝒑𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒓 :
•𝒍𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒗𝒊 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒔𝒚𝒄𝒉𝒐𝒕𝒉𝒆́𝒓𝒂𝒑𝒊𝒆 : il existe plusieurs types de psychothérapies, qui répondent à différents besoins et s’adaptent au profil de chaque individu. Basées sur l’empathie et le dialogue, elles permettent de faire régresser les symptômes, de prévenir les récidives et parfois d’obtenir une rémission totale. La dépression chez l’ado peut être liée à des difficultés relationnelles avec les parents : ces derniers doivent donc s’impliquer dans la thérapie si cela est nécessaire ;
•𝒍𝒂 𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒎𝒆́𝒅𝒊𝒄𝒂𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒂𝒏𝒕𝒊𝒅𝒆́𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓𝒔 : si les séances de psychothérapie ne suffisent pas à faire disparaître les symptômes, ou si la dépression est sévère et durable, une prise en charge médicamenteuse peut être envisagée. Le traitement doit être prescrit par un pédopsychiatre, et une surveillance étroite est mise en place pendant les premières semaines ;
•𝒖𝒏𝒆 𝒉𝒐𝒔𝒑𝒊𝒕𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 : elle n’est réservée qu’aux situations graves (en présence d’un risque de passage à l’acte suicidaire, notamment), ou sur recommandations d’un psychiatre ou d'un pédopsychiatre.
🚩𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐒𝐎𝐈𝐆𝐍𝐄𝐑 𝐋𝐀 𝐃𝐄𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐂𝐇𝐄𝐙 𝐋𝐄𝐒 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄𝐒 ? 𝗟𝗮 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗶𝗲.
"À court et moyen terme, l'objectif de la prise en charge de la dépression est de gérer la crise suicidaire et de protéger l'adolescent".
Les antidépresseurs sont formellement déconseillés en première intention chez l’enfant et l’adolescent par la Haute Autorité de santé (HAS). Ces médicaments aggravent le risque suicidaire chez les jeunes et/ou les comportements agressifs. Leur prescription est réservée à des cas exceptionnels et de préférence sous l’autorité du psychiatre.
Le généraliste peut inciter le jeune à engager une psychothérapie en lui expliquant qu’il souffre d’une véritable pathologie (ce dont il est encore moins conscient que l’adulte) et qu’il peut être soigné. Le médecin adressera ensuite l’adolescent à un spécialiste.
Ce dernier doit adopter "une approche empathique et collaborative centrée sur l’adolescent". "Face à une souffrance, il doit prendre en compte les différents facteurs de risque (individuels et environnementaux, ainsi que les signes de risques suicidaires), rechercher une dépression sous-jacente et prévoir avec l'adolescent une prochaine consultation dont le délai sera adapté à la gravité des symptômes".
La psychothérapie, traitement de référence
Le but de la psychothérapie est d'essayer très vite d’évaluer le risque suicidaire et de le contrer en proposant si besoin l’hospitalisation d’urgence (dans un service pour adolescents de préférence). Le médecin traitant ne doit pas négliger non plus la possibilité d’une maltraitance physique, psychique ou sexuelle dans la famille ou à l’école.
La psychothérapie reste le premier traitement de la dépression chez l’ado. À envisager éventuellement sous la forme d’une thérapie familiale ou plus généralement systémique (travail sur les relations avec autrui). "La place de la famille dans la prise en charge doit faire intégralement partie du processus de prise en charge dans la mesure où la dépression est souvent liée à une problématique relationnelle avec les parents".
🚩𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐀𝐈𝐃𝐄𝐑 𝐔𝐍𝐄 𝐏𝐄𝐑𝐒𝐎𝐍𝐍𝐄 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐕𝐄 ? 𝐐𝐔𝐄 𝐏𝐔𝐈𝐒-𝐉𝐄 𝐅𝐀𝐈𝐑𝐄 ?
Jeune dépressif : que faire ?
Si elle n’est pas diagnostiquée et prise en charge, la dépression peut rapidement se compliquer, avec l’apparition d’autres troubles psychiatriques et de conduites à risque. Il est donc essentiel de consulter en cas de doutes. Une fois le diagnostic confirmé, le médecin peut prescrire le traitement adapté. Cependant, ce qu'il convient de faire à votre niveau est de :
📍𝑴𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒍𝒆 𝒅𝒊𝒂𝒍𝒐𝒈𝒖𝒆 𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕
Pas facile de parler aux ados qui ont tendance à se refermer sur eux-mêmes, voire à être irritables ou agressifs. Parfois, la conversation tourne toujours autour de l’école, du planning de la journée ou des tâches ménagères. Essayez de trouver d’autres sujets à aborder, d’apprendre à connaître les motivations profondes de votre enfant, ses rêves, ses envies et ses éventuelles difficultés. Maintenir ce dialogue ouvert permet de prévenir les troubles d’anxiété et la dépression avant qu’il ne soit trop t**d.
📍𝑫𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒔𝒑𝒂𝒄𝒆
Laisser les adolescents exercer leur autonomie est important pour forger leur caractère, mais en tant que parent, vous pouvez surveiller leur comportement d’un œil attentif. Ont-ils abandonné des activités qu’ils avaient l’habitude d’apprécier ? Ont-ils des problèmes d’insomnie ou d’alimentation ? Leur attitude a-t-elle changé brusquement ? Si vous êtes inquiet, abordez la question sans jugement.
📍𝑵𝒆 𝒑𝒂𝒔 𝒔'𝒆́𝒏𝒆𝒓𝒗𝒆𝒓
Même si la tentation est très forte, car les adolescents savent très bien comment pousser leurs parents à bout, essayez de faire un effort pour voir au-delà de leur comportement. Si vous apprenez que votre enfant a fait une bêtise, parlez-lui et essayez de le comprendre avant de vous énerver ou de le punir. C’est peut-être sa façon de vous faire savoir qu’il a un problème et qu’il a besoin de votre attention. Cherchez à instaurer un climat de confiance plutôt que de confrontation. Si votre écoute ne suffit pas à résoudre ses soucis, n’hésitez pas à demander de l’aide à des professionnels de santé.
Quelles sont les mesures préventives de la dépression ? Rdv dans le prochain articles.
📍Nous souhaitons que les autorités ivoiriennes, songent à créer un centre d'aide et d'écoute au sein des etablissements scolaires et universitaires.
⛔️Plus qu’une simple déprime passagère, la dépression plonge l’enfant dans une véritable détresse quotidienne nécessitant une prise en charge psychothérapeutique adaptée.
🚩𝐐𝐔’𝐄𝐒𝐓-𝐂𝐄 𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐀 𝐃𝐄́𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐅𝐀𝐍𝐓 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐃𝐎𝐋𝐄𝐒𝐂𝐄𝐍𝐓 ?
Chez l’enfant et l’adolescent, la dépression est une véritable maladie qui engendre une profonde tristesse sur une longue période, et qui entraîne des changements de comportement. La dépression se complique parfois par une fugue, ou une tentative de su***de, en particulier chez les adolescents. Un enfant dépressif peut souffrir au point d’envisager le su***de, même si les moins de 12 ans passent rarement à l’acte. On estime que la dépression frappe 0,5 % des enfants, ce qui représente environ 45000 cas.
🚩𝐐𝐔𝐄𝐋𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐒𝐘𝐌𝐏𝐓𝐎̂𝐌𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐐𝐔𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐃𝐄́𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐂𝐇𝐄𝐙 𝐋’𝐄𝐍𝐅𝐀𝐍𝐓 𝐄𝐓 𝐋’𝐀𝐃𝐎𝐋𝐄𝐒𝐂𝐄𝐍𝐓 ?
Les symptômes de la dépression chez l’enfant sont l’irritabilité, l’agressivité, une excitation débordante, ou encore une tendance à l’isolement, ou une perte d’intérêt pour le jeu. On peut également observer des difficultés scolaires inhabituelles, un decrochage scolaire, des troubles de l’appétit ou une perte de l’estime de soi. Ces troubles sont le plus souvent soudains et durables. Chez l’adolescent, on observe des comportements provocants : abus de drogues ou d’alcool, fugues, délinquance, automutilation, troubles alimentaires, etc.
🚩𝐐𝐔𝐄𝐋𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐒𝐈𝐆𝐍𝐄𝐒 𝐐𝐔𝐈 𝐃𝐎𝐈𝐕𝐄𝐍𝐓 𝐀𝐋𝐄𝐑𝐓𝐄𝐑 𝐂𝐇𝐄𝐙 𝐋’𝐄𝐍𝐅𝐀𝐍𝐓 ?
Les parents doivent rester attentifs aux éventuels symptômes d’une dépression chez leur enfant. Ces comportements apparaissent souvent d’une manière soudaine :
Il rencontre des difficultés à l’école, qu’il ne rencontrait pas auparavant. Ses résultats se dégradent, il a du mal à se concentrer, il est souvent perdu dans ses pensées, il est renfermé ou, à l’inverse, perturbe la classe.
Il a souvent des sautes d’humeur. Il alterne les phases d’irritabilité où il se met facilement en colère, et les phases de repli où il n’a plus goût à rien. Il dédaigne les activités qui l’amusaient jusque-là, jeux vidéo, sport, jeux entre amis, lecture, etc.
Il est triste et affiche une forte tendance à l’autodévalorisation (« Je suis nul », « Personne ne m’aime »).
Il mange beaucoup ou manque d’appétit. Sa courbe de poids varie de plus de 5 % en un mois ou affiche un ret**d inhabituel.
Il s’ennuie et regarde la télévision excessivement t**d.
Il a du mal à s’endormir, son sommeil est perturbé, il fait des cauchemars ; il est fatigué et grognon pendant la journée.
Il se plaint fréquemment de maux de tête ou de maux de ventre.
🚩𝗤𝗨𝗘𝗟𝗦 𝗦𝗢𝗡𝗧 𝗟𝗘𝗦 𝗦𝗜𝗚𝗡𝗘𝗦 𝗤𝗨𝗜 𝗗𝗢𝗜𝗩𝗘𝗡𝗧 𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘𝗥 𝗖𝗛𝗘𝗭 𝗟’𝗔𝗗𝗢𝗟𝗘𝗦𝗖𝗘𝗡𝗧 ?
L’adolescence est une période perturbée et perturbante : acceptation des transformations de son corps, renoncement au monde de l’enfance, découverte de la sexualité, rejet de l’image parentale, abus sexuel, etc. Ce passage à l’âge adulte, naturellement chaotique, se fait parfois dans une douleur extrême et peut déboucher sur une véritable dépression. On estime qu’environ 3 % des adolescents connaissent une période de dépression, et que deux tiers d’entre eux sont des filles.
La dépression de l’adolescent prend souvent une forme masquée et peut, si on ne la repère pas à temps, se révéler brutalement par une tentative de su***de. Le su***de est la seconde cause de mortalité chez les 15 à 24 ans. La maladie peut s’exprimer par des comportements provocants : abus de drogues ou d’alcool, fugues, délinquance, désinvestissement scolaire soudain, automutilation, troubles alimentaires (anorexie, boulimie). Les filles se plaignent plutôt de troubles somatiques (maux de ventre, insomnie, mal de dos (lombalgie) alors que les garçons ont tendance à souffrir d’agressivité ou de comportements asociaux. L’entourage adulte (parents, professeurs) ne pense pas forcément à une dépression et peut mettre ces manifestations sur le compte d’une crise d’adolescence particulièrement intense.
D’autres troubles doivent amener à consulter un médecin comme une réticence à parler, un absentéisme scolaire, des troubles du sommeil, des pleurs incontrôlés ou des idées noires récurrentes.
Les jeunes qui ont connu un ou plusieurs épisodes dépressifs seront plus exposés à ces troubles à l’âge adulte, surtout si la dépression n’a pas été correctement traitée à l’adolescence.
🚩𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐐𝐔𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐃𝐄𝐏𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐄𝐍 𝐌𝐈𝐋𝐋𝐈𝐄𝐔 𝐒𝐂𝐎𝐋𝐀𝐈𝐑𝐄 𝐄𝐓 𝐔𝐍𝐈𝐕𝐄𝐑𝐒𝐈𝐓𝐀𝐈𝐑𝐄
La depression entraîne de façon presque inévitable des conséquences négatives chez ceux qui la subissent personnellement ou qui l’observent chez d’autres.
Ces impacts négatifs peuvent être de nature psychologique (anxiété, stress, perte de motivation scolaire, image de soi négative, sentiment d’impuissance, idéations suicidaires, etc.) ou sociale (rejet par les pairs, isolement social, marginalisation).
Outre ces conséquences négatives sur le plan personnel, l’ensemble des manifestations de depression , combiné aux réactions qu’elles suscitent, contribuent à modifier directement le climat social (relationnel, de sécurité, d’appartenance, etc.) et éducatif.
Chez certains enfants ou adolescents dépressifs nous pouvons constaté des actes de violence. Ce dernier affecte l’ensemble des individus de la classe et de l’école, et peut nuire aux conditions d’apprentissage des jeunes qui peut se manifester par:
— les violences contre les biens individuels (vols, racket) ;
— les violences contre la propriété collective (vandalisme, incendies volontaires) ;
— les violences verbales ou morales contre les personnes (élèves et personnel d'encadrement et d'enseignement).
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🚨Dans le prochain article, nous verrons les solutions à ce problème qui commence à prendre de l'ampleur en Côte d'Ivoire mais aussi les mesures préventives.
⛔️𝗟𝗔 𝗗𝗘𝗣𝗥𝗘𝗦𝗦𝗜𝗢𝗡 𝗘𝗡 𝗠𝗜𝗟𝗜𝗘𝗨 𝗦𝗖𝗢𝗟𝗔𝗜𝗥𝗘 𝗘𝗧 𝗨𝗡𝗜𝗩𝗘𝗥𝗦𝗜𝗧𝗔𝗜𝗥𝗘
🚨ℚ𝕦'𝕖𝕤𝕥 𝕢𝕦𝕖 𝕝𝕒 𝕕𝕖́𝕡𝕣𝕖𝕤𝕤𝕚𝕠𝕟 ?
Trouble mental caractérisé par un état dépressif persistant ou une perte d'intérêt pour tout type d'activité, ce qui produit des effets très néfastes dans la vie quotidienne.
Ce trouble peut être causé par une détresse qui peut être à la fois biologique, psychologique, environnementale et sociale. De plus en plus, les études montrent que ces facteurs peuvent entraîner des modifications dans le fonctionnement du cerveau, y compris un changement dans l'activité de certains circuits neuronaux.
🚨𝕃𝕖𝕤 𝕔𝕒𝕦𝕤𝕖𝕤 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝕕𝕖́𝕡𝕣𝕖𝕤𝕤𝕚𝕠𝕟
📍𝐋𝐚 𝐝𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭 𝐝’𝐮𝐧 𝐦𝐞́𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐟𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬:
●𝑭𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒈𝒆́𝒏𝒆́𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔
De nombreuses études démontrent une influence génétique dans la survenue des dépressions, mais il ne s’agit toujours que d’une prédisposition (vulnérabilité) à développer la maladie, ce qui veut dire que si un des parents a développé une dépression, la probabilité d’en développer une soi-même est plus élevée ; (Même en cas de prédispositions génétiques d’autres facteurs doivent s’ajouter pour le déclenchement d’un épisode dépressif) (modèle bio-psycho-social).
Qu’il s’agisse d’une cause ou d’une conséquence de la dépression, des études scientifiques ont identifié une corrélation entre perturbations biologiques et notamment du fonctionnement cérébral et la survenue des symptômes de la dépression. Des dérèglements au niveau de certaines substances chimiques présentes dans le cerveau comme les neurotransmetteurs ou des dérèglements hormonaux peuvent être liés à la dépression. L’action des antidépresseurs et la psychothérapie entraînent une amélioration biologique de ces dérèglements et donc de l’état du malade.
●𝑭𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒓𝒐𝒏𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒖𝒙
Certains mécanismes psychiques peuvent entretenir ou être « co-responsables » d’un état dépressif (difficultés dans la gestion des émotions, des relations ou du stress, croyances limitantes,…).
●𝑭𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒔𝒐𝒄𝒊𝒂𝒖𝒙
La perte de repère, l’éclatement des structures familiales, la solitude, ou encore la précarité sont autant de facteurs déclencheurs d’un épisode dépressif.
●𝑭𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒑𝒔𝒚𝒄𝒉𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔
Certains mécanismes psychiques peuvent entretenir ou être « co-responsables » d’un état dépressif (difficultés dans la gestion des émotions, des relations ou du stress, croyances limitantes,…).
En résumé chaque personne est unique et vit, subit, réagit à sa façon dans une situation difficile.
○○Néanmoins, on peut essayer de dresser une liste (non exhaustive) de facteurs « déclencheurs » de la dépression :
- Evénement traumatisant
- Changement dans la vie d’une personne ;
- Diverses maladies (hypothyroïdisme, AVC, certains cancers, maladie de Parkinson, etc.), une interdépendance entre la dépression et les problèmes de santé ;
douleurs chroniques ;
- Utilisation abusive d’alcool et/ou certaines drogues (amphétamines) ;
- Certains médicaments comme les narcotiques, les calmants, corticostéroïdes, stéroïdes anabolisants, pilules hormonales, etc.
🚩Dans le prochain article, nous verrons les conséquences de la dépression sur l'adolescent et le jeune adultes lui même et les conséquences en milieu scolaire et universitaire.
🚨𝗟𝗘𝗦 𝗕𝗢𝗡𝗡𝗘𝗦 𝗥𝗘́𝗦𝗢𝗟𝗨𝗧𝗜𝗢𝗡𝗦 𝗔̀ 𝗣𝗥𝗘𝗡𝗗𝗥𝗘 𝗗𝗔𝗡𝗦 𝗟’𝗘́𝗗𝗨𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗗𝗘 𝗦𝗢𝗡 𝗘𝗡𝗙𝗔𝗡𝗧 𝗘𝗡 𝟮𝟬𝟮𝟯
Si vous voulez que vos enfants se comportent convenablement, vous devez donner l'exemple du comportement et de l'attitude que vous espérez qu'ils adoptent et continuer à vivre selon la discipline que vous avez établie. Ne vous contentez pas d'expliquer oralement le bon code de conduite, agissez en fonction de cette discipline.
Les enfants ont tendance à devenir ce qu'ils voient et entendent à moins de faire l'effort conscient et concerté pour briser ce modèle. Vous n'êtes pas tenu d'être un parent parfait, mais vous devez faire de votre mieux pour agir comme vous voulez voir vos enfants agir. Vous passerez pour quelqu'un d'hypocrite si vous prêchez la politesse à vos enfants alors que vous vous laissez emporter par votre tempérament en leur présence par exemple.
Personne n'est à l'abri des erreurs, mais vous devez vous excuser et faire comprendre à votre enfant que votre comportement n'était pas le comportement à avoir. Dites par exemple : « Maman ne voulait pas te gronder. Elle était très en colère c'est tout. » C'est nettement mieux que d'ignorer que vous vous êtes trompé. Vous apprendrez ainsi à votre enfant la bonne attitude à avoir lorsqu'on sait que l'on s'est trompé.
Vous voulez apprendre à vos enfants à être généreux ? Donnez l'exemple et rendez-vous avec eux dans des associations caritatives pour donner vos vieux vêtements par exemple. Participez aux collectes de nourriture ou de jouets dans les magasins et expliquez à vos enfants les raisons de ces actions.
D’autres points non exhaustifs :
📍 1- 𝙉𝙀 𝙋𝙇𝙐𝙎 𝘾𝙍𝙄𝙀𝙍
Qui n’a pas hurlé “ARRETE DE CRIER” à son enfant?! Hein?! C’est bien connu, l’éducation non-violente est THE méthode qui permet à l’enfant de s’épanouir au maximum, le parent grade son self contrôle, parle calmement,
privilégie la qualité de parole à la quantité. Chaque bêtise est analysée, expliquée, moralisée…
Les données probantes sont claires : les cris et les coups ne servent à rien, si ce n’est à faire plus de mal que de bien à long terme. S’ils sont répétés, ils génèrent un « stress toxique » permanent qui peut avoir des conséquences néfastes sur le reste de la vie de l’enfant et l’exposer à un risque accru de décrochage scolaire, de dépression, de consommation de drogues, de su***de et de maladies cardiaques.
D’après Lucie Cluver, cela revient au même que de prescrire un médicament alors qu’on sait qu’il ne fonctionne pas et qu’il rend malade. « Quand quelque chose ne marche pas, il faut chercher une autre solution », ajoute-t-elle.
Plutôt que d’insister sur la punition et sur l’interdit, la discipline positive met l’accent sur le développement d’une relation parent-enfant saine et sur la mise en place de règles claires en matière de comportement. Et la bonne nouvelle pour tous les parents, c’est que cette méthode fonctionne ! Voici donc quelques conseils pour commencer à la mettre en pratique :
📍 2- 𝘼𝙋𝙋𝙍𝙀𝙉𝘿𝙍𝙀 𝘼 𝘿𝙄𝙍𝙀 𝙉𝙊𝙉
Les enfants, qui nous regardent avec leurs yeux de cocker quand il s’agit de manger un shockobon à 19h, de regarder un 2è Disney dans la journée, ou alors qu’on lui achète ce jouet qu’il a vu dans le magasin… On respire, on ferme les yeux, on visualise un panneau de sens interdit, et on répond “Non, chéri”.
(Ou alors, de temps en temps, on lâche du leste et on l’autorise à faire un truc “interdit”, tout en lui disant bien que c’est exceptionnel et que pour la peine il doit nous faire un immense câlin! )
📍3- 𝙋𝙍𝙀𝙉𝘿𝙍𝙀 𝘿𝙐 𝙏𝙀𝙈𝙋𝙎 𝙋𝙊𝙐𝙍 𝘾𝙃𝘼𝙌𝙐𝙀 𝙀𝙉𝙁𝘼𝙉𝙏
Quand on a plusieurs enfants, pas facile d’avoir des moments “solo” avec le grand, ou la petite dernière! Cette année, je le promets, je vais faire une activité qui convient parfaitement aux souhaits de l’un ou de l’autre.
Une bonne relation demande qu’on lui consacre du temps, qui plus est lorsqu’il s’agit de ses enfants. « 20 minutes par jour suffisent, même cinq. Il est possible d’associer ce temps partagé à une autre activité, comme chanter en faisant la vaisselle par exemple, ou discuter en étendant le linge », « Ce qui importe c’est de porter son attention sur l’enfant. Éteignez votre téléviseur, coupez votre portable, mettez-vous à leur niveau et passez du temps uniquement avec eux ».
📍5 – 𝙁𝘼𝙄𝙍𝙀 𝙋𝙇𝙐𝙎 𝘿𝙀 𝙎𝙊𝙍𝙏𝙄𝙀𝙎 𝙀𝙉 𝙁𝘼𝙈𝙄𝙇𝙇𝙀 𝙇𝙀 𝘿𝙄𝙈𝘼𝙉𝘾𝙃𝙀
Un des seuls jours de la semaine où la famille est réunie (en général), alors on va tous essayer d’aller ouvrir nos yeux à de nouveaux paysages, et nos poumons à un air pur et sain! Allez, on se motive, le dimanche, c’est journée “out“ et pour certains après l’église.
📍6 – 𝙈𝘼𝙉𝙂𝙀𝙍 𝙋𝙇𝙐𝙎 𝙎𝘼𝙄𝙉
Sans trop de matière grasse, sans gluten, etc.bannir le surgelé, manger 5 fruits et légumes par jour, de découvrir de nouveaux gouts, de manger de tout, de passer des heures à mitonner de bons petits plats, de bannir les fast-food, les plats “tout-faits”… Bref, mangeons mieux, mangeons sain, mangeons local, et bio!
(Ou alors, je ferai comme je pourrai, c’est à dire en fonction du temps, du budget, de la motivation, mais l’important sera de ne pas tomber dans l’excès!)
📍7 – 𝘼𝙑𝙊𝙄𝙍 𝘿𝙀𝙎 𝙈𝙊𝙈𝙀𝙉𝙏𝙎 𝘿𝙀 𝙋𝘼𝙍𝙏𝘼𝙂𝙀𝙎
Faire des activités en commun, rire ensemble, s’amuser, aller à la piscine, jouer à des jeux de société, se chatouiller, bref, faire entrer LA BONNE HUMEUR dans la maison! Dire stop au “boudage dans son coin”, et apprendre à son enfant à rire de lui-même! 2023 sera hilarante!
(Et on ne fait pas les choses à moitié, on se déguise, nous aussi, on mets le babibel sur le nez, nous aussi, et oui, l’autodérision, on doit l’apprendre, nous aussi! Parce que le rire est une de nos meilleurs armes contre les difficultés de la vie!)
Faites participer vos enfants aux tâches ménagères de temps à temps. Ne les forcez pas à le faire, demandez-leur gentiment leur aide. S'ils apprennent à le faire lorsqu'ils sont petits, ils grandiront avec cet état d'esprit.
Si vous voulez apprendre à vos enfants à partager, commencez par partager vos affaires avec eux pour leur montrer l'exemple.
📍8– 𝙍𝙀-𝙇𝘼-𝙏𝙄-𝙑𝙄-𝙎𝙀𝙍!
Parce qu’après tout, même si la petite ne fait pas ses nuits, la grand est infernale, et que le mari ne tond pas le gazon régulièrement, on a vraiment la chance d’être en bonne santé! La vie peut tellement vite dérailler, mal tourner, quand on voit tout ce qui se passe autour de nous, il faut essayer de ne pas se plaindre… Parce qu’en fait, on a une vie pas si mauvaise que ça… Et on essaye d’avoir une pensée aux gens de notre entourage qui n’ont pas cette chance d’avoir une famille à la santé de fer… ( ❤ )
(Mais on peut continuer à se plaindre un peu, à râler de temps en temps, à bouder parfois… Bah oui, on reste des parents fatigués et personne ne nous en voudra!)
📍9. 𝑰𝑵𝑺𝑰𝑺𝑻𝑬𝑹 𝑺𝑼𝑹 𝑳𝑬 𝑷𝑶𝑺𝑰𝑻𝑰𝑭
En tant que parents, nous prêtons souvent davantage attention aux aspects négatifs du comportement de nos enfants, que nous ne manquons pas de leur faire remarquer. Ces derniers, pouvant y voir un moyen d’attirer notre attention, ont alors tendance à perpétuer leur mauvaise conduite plutôt qu’à y mettre un terme.
Pourtant, les enfants adorent qu’on les complimente : cela leur permet de se sentir aimés et uniques. « Soyez attentifs aux moments où votre enfant fait quelque chose de bien et félicitez-le, même s’il ne s’agit que de cinq minutes passées à jouer calmement avec son frère ou sa sœur. Cela encourage chez lui l’envie de bien se comporter, et vous évite ainsi de multiplier les rappels à l’ordre ».
📍 10. 𝑭𝑰𝑿𝑬𝑹 𝑫𝑬𝑺 𝑹𝑬̀𝑮𝑳𝑬𝑺
« Dire à son enfant ce qu’on attend précisément de lui s’avère beaucoup plus efficace que de lui dire ce qu’il ne doit pas faire. Quand on demande à un enfant de ne pas faire de bêtises, ou d’être sage, il ne comprend pas nécessairement ce qu’on attend de lui. À l’inverse, des instructions claires, telles que "ramasse tes jouets et remets-les dans la boîte, s’il te plaît", lui indiquent précisément ce qu’il doit faire et augmentent les chances que l’enfant fasse effectivement ce qu’on lui demande ».
« Il est toutefois important de fixer des règles raisonnables. Si exiger d’un enfant qu’il ne fasse pas de bruit pendant des heures semble compliqué, cela est néanmoins envisageable pendant les quelques minutes dont vous aurez besoin pour passer un appel. On sait de quoi nos enfants sont capables, il faut simplement en tenir compte et ne pas leur demander l’impossible »,
📍 11.𝑺𝑨𝑵𝑪𝑻𝑰𝑶𝑵𝑵𝑬𝑹 𝑫𝑨𝑵𝑺 𝑳𝑬 𝑪𝑨𝑳𝑴𝑬
Grandir consiste, en partie, à comprendre que les actes sont suivis de conséquences. Expliquer cette relation de cause à effet à un enfant est un procédé assez simple pour l’encourager à mieux se comporter tout en lui enseignant la notion de responsabilité.
En expliquant à votre enfant les conséquences auxquelles il s’expose s’il ne se comporte pas bien, vous lui laissez une chance de bien faire. Par exemple, vous pouvez lui dire que s’il n’arrête pas de gribouiller sur les murs, vous mettrez un terme à son temps de jeu. Ce faisant, vous le prévenez tout en lui laissant une chance de modifier son comportement.
S’il n’obéit pas, appliquez la sanction calmement, sans montrer de colère.
S’il obéit, en revanche, félicitez-le : ainsi, vous créerez un cercle vertueux pour votre enfant. Cette méthode de sanction dans le calme permet ainsi aux enfants de savoir à quoi s’attendre quand ils ne se comportent pas bien.
Par ailleurs, la parentalité positive requiert d’être cohérent. C’est pourquoi il est très important de s’en tenir aux sanctions annoncées, lesquelles doivent par ailleurs être réalistes.
📍 12. 𝘾𝙍𝙀́𝙀𝙍 𝘿𝙀𝙎 𝙇𝙄𝙀𝙉𝙎 𝘼𝙑𝙀𝘾 𝙑𝙊𝙎 𝙀𝙉𝙁𝘼𝙉𝙏𝙎
Passer du temps en tête-à-tête avec son enfant en bas âge peut être très amusant, et ne coûte rien ! « On peut jouer à imiter les expressions de son visage, à taper sur des casseroles avec des cuillères, ou encore chanter avec lui. Des études ont par ailleurs démontré que jouer avec son enfant était bénéfique pour son développement cérébral. », indique L. Cluver.
Les adolescents cherchent également la reconnaissance et aiment savoir qu’on les apprécie. Le temps que vous partagez avec eux en tête-à-tête leur importe donc beaucoup. « Même s’il ne le montre pas toujours, un adolescent est généralement ravi que ses parents s’amusent à danser avec lui ou lui parlent de son chanteur préféré. Cela permet de créer une relation qui a du sens pour lui », précise Lucie Cluver.
« Et quitte à parler des attentes que vous avez de lui, demandez-lui de participer à l’élaboration de certaines règles », suggère-t-elle. « Asseyez-vous autour d’une table et définissez ensemble les règles de la maison. Votre enfant pourra également vous aider à définir les conséquences d’un mauvais comportement. Participer à ce processus l’aidera à prendre conscience du fait que vous comprenez qu’il est en train de devenir autonome »
📍13. 𝑰𝑵𝑽𝑬𝑺𝑻𝑰𝑺𝑺𝑬𝒁-𝑽𝑶𝑼𝑺 𝑷𝑳𝑬𝑰𝑵𝑬𝑴𝑬𝑵𝑻 𝑫𝑨𝑵𝑺 𝑳’𝑬́𝑫𝑼𝑪𝑨𝑻𝑰𝑶𝑵 𝑺𝑪𝑶𝑳𝑨𝑰𝑹𝑬 𝑫𝑬 𝑽𝑶𝑺 𝑬𝑵𝑭𝑨𝑵𝑻𝑺
Prenez le temps d’étudier avec vos enfants, suivre ses devoirs, voir ses difficultés et l’y aider, voir son évolution scolaire.
Ne soyez pas ce parent constamment surpris du niveau scolaire de son enfant.
Soyez au cœur même de sa vie scolaire et universitaire.
Lorsqu’il a des difficultés à donner le meilleur de lui, encourager le par des paroles valorisantes. Exemple: tu vas y arriver ! Tu es très intelligent ! Etc.
📍14. 𝑰𝑴𝑷𝑳𝑰𝑸𝑼𝑬𝒁 𝑽𝑶𝑼𝑺 𝑫𝑨𝑵𝑺 𝑳𝑨 𝑽𝑰𝑬 𝑫𝑬 𝑽𝑶𝑺 𝑬𝑵𝑭𝑨𝑵𝑻𝑺
Impliquez-vous dans la vie de vos enfants sans toutefois trop en faire sinon vous allez donner l’impression de l’étouffer. Demandez à connaître ses fréquentations, ses amis et même là où ces derniers vivent.
Vous devez connaître avec qui votre enfant passe le plus de temps et où vas t-il lorsqu’il vous demande la permission de sortir.
Ce qu’il fait, ses passions, etc.
Dans ce monde d’aujourd’hui,il est véritablement important de s’impliquer dans la vie de son enfant et d’établir une bonne communication depuis le bas âge afin d’éviter d’être cet étranger lorsque des situations compliquées surviendront.
Exemple: lorsqu’ils rentrent de l’école, demandez lui comment a été sa journée ?
Intéressez-vous à ses passions et participer y quelques fois.
Que votre enfant face de vous son/sa meilleur.e ami.e tout en établissant toujours le respect.
📍𝑷𝑹𝑬𝑵𝑬𝒁 𝑫𝑼 𝑻𝑬𝑴𝑷𝑺 𝑷𝑶𝑼𝑹 𝑽𝑶𝑼𝑺
Les parents oublient souvent de prendre soin d’eux-mêmes, explique Lucie Cluver, qui recommande donc de prendre du temps pour soi, quand les enfants dorment par exemple, pour faire quelque chose qui vous fait plaisir et vous détend. « Il est très difficile de tout faire correctement en tant que parent si on ne décompresse jamais ! ».
𝗟𝗮 𝗱𝗲́𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻: 𝗨𝗻𝗲 𝘁𝘂𝗲𝘂𝘀𝗲 𝘀𝗶𝗹𝗲𝗻𝗰𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲, 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲́𝘃𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗶𝗿𝗲 ?
📍D'après l'OMS Toutes les 40 secondes, une personne se su***de quelque part dans le monde et bien plus tentent de mettre fin à leurs jours. Aucune région ni aucune tranche d’âge n’est épargnée. Il touche toutefois particulièrement les jeunes de 15 à 29 ans, chez qui il constitue la deuxième cause de mortalité à l’échelle mondiale. Ces su***des sont la conséquence de la dépression.
📍Et en Côte d’Ivoire, force est de constater que le taux de tentative de su***de ou de su***de ont largement augmenté ces dernières années en milieu scolaire et universitaire !
Rdv le Lundi 23 Janvier 2023 afin de mettre à nu ce phénomène.
Pendant ce temps, prenez soin de votre santé mentale.😊
🚨Chers parents cela nous concerne tous ! Vos avis et suggestions sont donc les bienvenus via notre messagerie Facebook.
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🚨 𝗙𝗘𝗟𝗜𝗖𝗜𝗧𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡S 𝗔𝗨𝗫 𝗔𝗗𝗠𝗜𝗦 𝗔𝗨 𝗕𝗧𝗦 𝗦𝗘𝗦𝗦𝗜𝗢𝗡 𝟮𝟬𝟮𝟮.
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Sur quels critères choisir l'établissement éducatif de son enfant ?
Les erreurs à ne pas commettre.
Rdv dans le prochain sujet !
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𝗟𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗻𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝗳𝗶𝗻𝗶𝗲𝘀, 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗿𝘂𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝘅𝗶𝗺𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗶𝗻𝗼𝘂𝗯𝗹𝗶𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀.
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