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Évangélisation et Enseignements religieuses
La Méditation du Jeudi 09 Décembre 2021
Texte : Zacharie.1-12
La scène par laquelle s’ouvre le septième chapitre offre un frappant contraste avec celle du sixième, où trois témoins de l’Éternel étaient montés de Babylone à Jérusalem. Ici, deux chefs, Sharétser, Réguem-Mélec et ses hommes, sont envoyés de Béthel, « pour implorer l’Éternel, pour parler aux sacrificateurs qui étaient dans la maison de l’Éternel… et aux prophètes. » Le nom de ces chefs semblerait indiquer qu’ils revêtaient des charges à la cour du roi ; il est en tout cas bien différent des noms de Tobija, de Jedahia et de Josias. Béthel les envoie pour s’informer si le jeûne du cinquième mois doit continuer à être observé : « Pleurerai-je au cinquième mois, en me séparant comme j’ai fait, voici tant d’années ? »
Quatre jeûnes avaient été institués par le peuple à la suite du désastre de Jérusalem. Le jeûne du dixième mois, lorsque Nébucadnetsar vint assiéger la ville (Jér. 52 : 4-5) ; celui du quatrième mois, quand elle fut prise (Jér. 52: 6) ; celui du cinquième mois, lors de l’incendie du temple (2 Rois 25: 8-9) ; enfin le jeûne du septième mois, lors du meurtre de Guedalia par Ismaël, et quand à la suite de cet événement, le peuple s’enfuit en Égypte (2 Rois 25: 25-26). Le plus important de ces jeûnes semble avoir été celui qui commémorait l’incendie du temple. Voyant le nouveau temple près de se réédifier, la question de l’opportunité d’un jeûne, bien qu’encore douteuse, pouvait être posée, car en la quatrième année du roi Darius le temple n’était pas encore terminé (Esdras 6: 15), ni sa dédicace célébrée, quoiqu’il servît déjà de lieu de culte. Il semblait que ces jours de jeûne dussent être approuvés par l’Éternel, car, pourquoi n’aurait-on pas dû se lamenter sur les malheurs de Jérusalem ? Mais des jours meilleurs se levaient ; fallait-il cesser de jeûner ? L’Éternel répond par le prophète :
« Et la parole de l’Éternel des armées vint à moi, disant : »
Dieu prend ici le titre de « l’Éternel des armées », car il ne peut plus être le Dieu d’Israël. Ce terme revient dix-sept fois dans ces deux chapitres. C’est comme si l’Éternel se réfugiait dans le ciel, pour y rester le Dieu des myriades d’anges, quand son peuple l’avait méprisé et avait mérité son courroux. Dieu avait dit : Ce n’est pas mon peuple ; il ne lui sera pas fait miséricorde ; il se proclame alors le Dieu des armées célestes. Mais l’infidélité du peuple peut-elle modifier en quoi que ce soit le caractère de Dieu ? Aucunement. Dieu accomplira ses desseins de grâce, en même temps qu’il revendiquera les droits de son Fils à posséder la terre.
Avaient-ils jeûné pour l’Éternel ou pour eux-mêmes ?
S’étaient-ils lamentés parce que le mal les avait atteints, ou parce que ce mal était la conséquence du déshonneur qu’ils avaient jeté sur Dieu ?
Les prophètes anciens leur avaient annoncé le jugement, dans un temps où ils jouissaient encore de la paix. Avaient-ils jeûné alors ? Certes, c’était alors le moment de prendre le sac et la cendre pour détourner la colère de l’Éternel. Ninive, une ville des nations, avait, au temps de Juda, mieux agi qu’Israël, et l’Éternel avait détourné d’elle le mal qu’il lui avait annoncé (Jonas 3: 5, 10).
Non, ils avaient jeûné pour eux-mêmes et pleuré sur leurs malheurs au lieu de se repentir ; ils s’apitoyaient sur leur sort au lieu de remonter à la cause de ses jugements et de mener deuil devant Dieu sur leur état.
S’affliger de la ruine n’est pas s’en affliger pour Dieu.
Le jeûne doit être pour lui : il doit exprimer l’humiliation que nous éprouvons de lui avoir été infidèles au commencement, car une humiliation vraie nous fait toujours remonter au point où notre sentier s’est écarté du chemin de Dieu.
La parole de l’Éternel vint pour la seconde fois à Zacharie (v. 8-14), pour rappeler au peuple ce qu’Il leur avait demandé par les premiers prophètes. C’était la loi sans doute, mais combien l’Éternel en avait adouci les exigences, afin que le cœur du peuple, s’il lui était possible d’obéir, ne les trouvât ni trop hautes ni trop sévères.
En un mot les prophètes leur avaient prêché la droiture et l’amour du prochain. Dieu qui les aimait, ne leur avait pas même demandé, dans ces temps de ruine et de révolte, de l’aimer en retour. Il leur proposait de dépouiller leur égoïsme et leur propre volonté, pour penser aux autres et faire la volonté de Dieu.
Frères et sœurs,
Dépouillons nous de nos égoïsmes et que la Hommes de Dieu apprennent à se prêcher à eux d’abord au lieu de donner la leçon aux autres et rester empêtrés dans la boue du péchés. La colère de Dieu comme au temps de Zacharie est prête à s’abattre sur quiconque entrera tristement dans l’histoire en bloquant le processus de sortie de la crise qui mine notre Eglise.
Faisons taire nos égos surdimensionnés en priant en jeûnant si possible pour ce Synode Général extraordinaire historique de l’EEC.
Reconnaissons tous avoir contribué à quelques niveaux que ce soit à amplifier où à entretenir cette crise et repentons nous. C’est ce que le Seigneur Jésus Christ attend de tous les délégués à ce Synode du 15 Décembre 2021 à Yaoundé. Une humiliation vraie nous fait toujours remonter au point où notre sentier s’est écarté du chemin de Dieu.
Nous avons méprisé notre Dieu et méritons son courroux. Dieu dans sa grande miséricorde nous tend la main. Celle d’un Père compatissant lent à la colère et riche en bonté. Saisissons là avant qu’il ne soit trop t**d.
Daigne le Seigneur nous accorder un esprit de discernement, d’humilité et de pardon.
Amen !
Doulos
La Méditation du Mercredi 08 décembre 2021
Texte : Zacharie 6.9-15
« Et la parole de l’Éternel vint à moi, disant : »
Chers frères et Sœurs en Christ,
La huitième vision de Zacharie le prophète de Dieu décrit le rôle providentiel et le jugement final des empires envoyés pour châtier Israël. Le passage que nous avons sous les yeux nous montre le résultat glorieux de toutes les voies de Dieu et l’accomplissement de ses conseils, en substituant à tous les empires du monde celui de Christ et son règne de paix qui ne sera jamais ébranlé.
Il ne s’agit pas, dans ce passage, d’une vision, mais d’un fait qui donne occasion à l’Esprit de Dieu de s’exprimer au sujet du règne de Christ.
« Et la parole de l’Éternel vint à moi, disant : »
Ces mots sont importants à retenir. Nous venons de voir que cette Conclusion du livre des visions se relie à tout ce qui précède et en est pour ainsi dire le couronnement; mais les mots que nous venons de citer relient aussi le Livre des visions aux deux chapitres suivants qui appartiennent au Livre des Oracles. « Prends des dons de la part de ceux de la transportation, de la part de Heldaï, de Tobija, et de Jedahia (et viens, toi, en ce même jour, et entre dans la maison de Josias, fils de Sophonie, où ils sont venus de Babylone) ; et tu prendras de l’argent et de l’or, oui, prends des couronnes. »
Trois hommes, d’entre ceux qui n’étaient pas montés de Babylone avec le peuple pour rebâtir le temple et la ville, sont mentionnés ici.
Ainsi parle l’Éternel des armées, disant : Voici un homme dont le nom est Germe, et il germera de son propre lieu., et il bâtira le temple de l’Éternel. Lui, il bâtira le temple de l’Éternel, et il portera la gloire, et il s’assiéra, et dominera sur son trône, et il sera sacrificateur sur son trône » (v. 11-13). Le sens du mot : « couronnes » est plutôt celui d’une « double couronne », semblable à la tiare que portaient certains souverains. Zacharie devait prendre cette couronne et la placer sur la tête de Joshua, le souverain sacrificateur.
Enfin, dans notre chapitre, nous trouvons la sacrificature et la royauté réunies dans une même personne. Celui dont le nom est Germe sera sacrificateur sur son trône ; c’est ce Roi sacrificateur qui est couronné dans la personne de Joshua : « l’Éternel est Sauveur ». Christ, vrai Melchisédec, est proclamé sacrificateur, en même temps que roi de justice et roi de paix. C’est à Lui et à son règne qu’aboutissent toutes les voies de Dieu dont il nous est parlé dans les chapitres précédents, et, d’une manière particulière, comme en Dan. 2: 34, 35, la destruction des royaumes mentionnés au commencement de notre chapitre. Lorsque l’Esprit de Dieu a été « apaisé » à leur égard, Dieu établit à leur place le royaume universel du fils de David, qui ne sera pas ébranlé.
Il est dit de Lui, au v. 12: « Il germera de son propre lieu. » Son propre lieu, c’est Jérusalem, le lieu de son origine royale, car, « quand l’Éternel enregistrera les peuples, il comptera : Celui-ci est né là » (Ps. 87: 6). Il est dit encore : « Il bâtira le temple de l’Éternel. Lui, il bâtira le temple de l’Éternel. »
« Et le conseil de paix sera entre eux deux. » Le conseil arrêté entre l’Éternel et le Messie, fils de David, sera alors entièrement accompli pour la terre. « Paix sur la terre et bon plaisir dans les hommes » : ces mots se réaliseront quand le roi de paix entrera à Jérusalem, la cité de son choix, et annoncera la paix à son peuple et aux nations.
Quelque merveilleuse que soit cette part, la nôtre, à nous chrétiens, est encore meilleure. Nous n’avons pas à attendre la gloire future pour voir le conseil de paix réalisé à notre égard, et nous pouvons entrer déjà dans la pleine jouissance de cette paix, objet des conseils éternels du Père et du Fils, et que nous possédons maintenant par la foi.
Chers frère et sœurs, ! Ne doit-il pas en être de même pour nous aujourd’hui ? Nous contentons-nous d’appartenir à la profession sans conscience, dont Zacharie va nous faire le tableau dans les chapitres suivants? Ou bien portons-nous, non pas le vain nom de chrétiens, mais, comme ces hommes, quelqu’un dont le nom est invoqué sur nous ? Reconnaissons-nous l’Église de Christ, le temple et la maison de Dieu, là où son fondement seul est posé, au milieu de l’indifférence et de l’infidélité générales ?
Nos dons ont-ils pour but l’édification de la maison de Dieu ou celle de maisons de notre invention que nous n’avons pas la bonne foi d’appeler de leur vrai nom? N’oublions pas que ce qui est apporté à la maison de Dieu contribue à la gloire de Christ. Que nos offrandes sont le culte rendu à Christ là où il fait habiter son nom.
Dieu ne se souvient que de ce qui a été fait pour son Bien-aimé.
Peu importent les noms dont le monde nous outrage, seul ce que Dieu pense et dit se moi compte. Veillons que notre nom soit celui de l’approbation secrète du Seigneur, inscrit dans lr grand Livre du royaume pour le grand rendez-vous céleste qui est déjà et pas encore vécu.
Le Christ vous bénir richement et que la Parole de Dieu soit notre partage quotidien.
Amen!
Doulos.
La Méditation du Lundi 06 Décembre 2021
Texte : Zacharie5.1-11
Les deux visions du prophète répondent à cette question. Elles paraissent difficiles à comprendre, mais de fait elles sont simples, si nous nous laissons enseigner par l’Esprit de Dieu.
Au commencement du chap. 5, le prophète voit « un rouleau qui vole, long de vingt coudées, et large de dix coudées ». Ce rouleau, un livre écrit, sort d’auprès de l’Éternel ; il vole, et cela prouve qu’il est vivant ; il se dirige vers un but ; il a des dimensions spéciales et très remarquables : vingt coudées en longueur et dix coudées en largeur.
Les deux visions du chap. 5 de Zacharie nous montrent la malédiction prononcée par Dieu d’abord sur l’état moral du peuple (v. 1-4), ensuite sur son état religieux (v. 5-11).
Quant à son état moral, dont le peuple est responsable devant Dieu, la malédiction est prononcée d’une part sur le voleur, d’autre part sur celui qui jure faussement par le nom de l’Éternel. Un voleur est un méchant qui agit injustement à l’égard de son prochain ; un homme qui jure faussement fait Dieu menteur en le prenant à témoin pour affirmer le mensonge. L’injustice et le mépris de Dieu, tels sont les caractères de ce peuple auquel moins de cent ans plus t**d, Malachie répétera les mêmes choses (Mal. 3: 5).
« Je la fais sortir, dit l’Éternel des armées, et elle entrera dans la maison du voleur, et dans la maison de celui qui jure faussement par mon nom ; et elle logera au milieu de sa maison et la consumera avec le bois et les pierres.» Ce passage ne rappelle-t-il pas ces paroles du Seigneur : « Ma maison sera appelée une maison de prière ; mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs » (Matt. 21: 13), et encore :
« Votre maison vous est laissée déserte » (Matt. 23: 38), et encore : « Il ne sera point laissé ici pierre sur pierre qui ne soit jetée à bas » ? (Matt. 24: 2).
Quant à la septième vision, pour comprendre cette vision, nous avons à dépendre en toute simplicité de l’enseignement direct de la Parole. Il est possible que notre manque d’intelligence spirituelle nous empêche d’en comprendre tous les détails, mais souvenons-nous que, s’il y a de l’obscurité, elle se trouve en nous, car Dieu nous a communiqué ces choses en vue de notre instruction et non pas pour nous embarrasser par des énigmes.
« Et l’ange qui parlait avec moi sortit et me dit : Lève tes yeux et regarde : Qu’est-ce qui sort là ?
Il y avait là une femme assise au milieu de l’épha. Et il dit : C’est la méchanceté. Et il la jeta au milieu de l’épha, et il jeta le poids de plomb sur l’ouverture » (v. 5-8). La parole de Dieu nous présente souvent la femme comme un principe moral ou religieux. On trouve, par exemple, dans les Proverbes, une femme qui est la sagesse et une femme qui est la corruption. Jérusalem aussi est continuellement représentée, comme système moral et religieux, sous les traits d’une femme.
Dans notre chapitre, comme nous l’avons vu, la femme est la méchanceté, l’abandon de Dieu. En Juda et à Jérusalem, cette méchanceté comblait, comme dit le Seigneur, « la mesure de leurs pères » (Mati. 23: 32). Au temps où Jésus marchait ici-bas, l’idolâtrie avait disparu depuis les jours d’Esdras et de Néhémie ; la maison était balayée et parée. En apparence, le peuple était purifié, lui qui, dans le passé, avait été abominablement idolâtre.
Mais, bien que purifiés extérieurement, ce fut alors qu’ils rejetèrent et crucifièrent leur roi, et Dieu les dispersa de nouveau parmi les nations, comme il paraît encore aujourd’hui.
Le v. 9 décrit ce qui arrivera à la femme que nous venons d’envisager sous ces deux aspects. « Et je levais mes yeux et je vis ; et voici, deux femmes sortirent, et le vent était dans leurs ailes, et elles avaient des ailes comme des ailes de cigogne, et elles soulevèrent l’épha entre la terre et les cieux. Le mot sortir répété souvent dans les visions de ce chapitre est toujours en rapport avec le jugement.
Bénie soit la Parole de Dieu et excellente semaine sous la guidance de Jésus Christ.
Amen.
Doulos!
Méditation du Vendredi03 Décembre 2021
Texte : Zacharie3.1-10
L’ange de l’Eternel a fait cette déclaration à Josué: «Voici ce que dit l’Eternel, le maître de l’univers: Si tu marches dans mes voies et si tu respectes mes ordres, tu jugeras ma maison, tu garderas mes parvis et je te donnerai libre accès parmi ceux qui sont ici. V.6-7
Le souverain sacrificateur Joshua est le sujet de la quatrième vision du prophète. Son nom : « l’Éternel est Sauveur », annonce d’emblée le caractère de Celui dont il est le type. Mais il est important de remarquer que si Joshua représente Christ à la fin de ce chapitre, il n’en est pas ainsi au commencement. Le souverain sacrificateur avait deux offices en Israël. En premier lieu il était médiateur, «établi pour les hommes dans les choses qui concernent Dieu afin d’offrir des dons et des sacrifices pour les péchés ». En second lieu, il était le représentant du peuple en particulier de Jérusalem .
C’est donc devant Christ, présenté de cette manière mystérieuse, car Christ est d’habitude l’Éternel dans l’Ancien Testament.
De même les chrétiens, le peuple de Dieu d’aujourd’hui, ont à leur droite, comme Joshua devant l’Éternel, un accusateur qui, par le péché, s’est acquis des droits sur l’homme. Il fait appel à la justice de Dieu contre le péché, et à Sa sainteté, pour s’opposer à ce que Sa grâce voudrait faire en faveur de Jérusalem.
La grâce qui veut sauver des pécheurs est complètement inconnue. Or voici comment l’Éternel concilie sa justice avec son élection de grâce : « Joshua était vêtu de vêtements sales, et se tenait devant l’Ange. Et l’Ange prit la parole et parla à ceux qui se tenaient devant lui, disant : Otez de dessus lui les vêtements sales. Et il lui dit : Regarde, j’ai fait passer de dessus toi ton iniquité, et je te revêts d’habits de fête » (v. 3, 4). Dieu seul pouvait faire cela ; Joshua ne pouvait se dépouiller de ses vêtements, sans être nu devant Dieu, ce qui aurait été sa condamnation. Il fallait qu’il fût revêtu de vêtements nouveaux, dignes de Celui devant lequel il se trouvait. « Regarde », dit l’Éternel, « j’ai fait passer de dessus toi ton iniquité, et je te revêts d’habits de fête » (v. 4). Dieu délivre Joshua, agit envers lui selon son droit de le purifier, et le place dans la joie et les heureux privilèges de sa présence.
« Et l’Ange de l’Éternel protesta à Joshua, disant : Ainsi dit l’Éternel des armées : Si tu marches dans mes voies, et si tu fais l’acquit de la charge que je te confie, alors tu jugeras aussi ma maison, et tu auras aussi la garde de mes parvis, et je te donnerai de marcher au milieu de ceux-ci qui se tiennent devant moi » (v. 6-7). Ce passage a trait à la responsabilité de Joshua et de la sacrificature représentée dans sa personne. Il y aura, sous le règne de Christ, une sacrificature reconnue, donwewewewewewewedwedweddd3wégshgqcquit de la charge que Dieu leur avait confiée » (Ézéch. 48: 11). Ceux qui auront été infidèles n’auront pas le droit de marcher « au milieu » des sacrificateurs qui feront le service devant l’Éternel, dans son sanctuaire, mais sa grâce pourvoira, dans une mesure, à leurs besoins, en leur donnant la charge de la maison.). Cette pensée de la responsabilité est plus importante pour nous, chrétiens, qu’elle ne l’était pour les fidèles de l’ancienne alliance. Du moment que, purifiés de nos souillures, nous avons été amenés devant Dieu, revêtus de sa justice, nous sommes capables de le servir et d’exercer la sainte sacrificature en sa présence.
Mais nous avons la responsabilité de nous montrer dignes de notre appel, sinon Dieu ne nous confiera pas des bénédictions nouvelles. Puissions-nous prendre ces choses à cœur !
Bon début de week-end . Que le Seigneur vous bénisse et vous garde.
Amen.
Doulos
La Méditation du Jeudi 02 Décembre 2021
Texte : Zacharie2.10-17
« Pousse des cris de joie et sois dans l’allégresse, fille de Sion, car je vais venir et habiter au milieu de toi, dit l’Éternel. » V10
Apres les promesses d’un avenir glorieux pour la ville et le peuple de Dieu, Zacharie dévoile le moyen de leur accomplicement. L’Eternel suscitera un prêtre-médiateur parfait, dont le sacrificateur Josué et ses compagnons sont une préfiguration.
Pousse des cris de joie : non seulement à cause de la chute de tes ennemis, mais dans l’attente des grâces qui vont t’être accordées.
Je vais venir et habiter… La présence de Dieu est la plus grande des bénédictions qu’il puisse accorder aux siens, car elle renferme toutes les autres ; mais il est à remarquer que c’est l’ange de l’Éternel qui parle ; c’est donc en sa personne que Dieu demeurera au milieu de son peuple. Cet envoyé de Dieu (verset 8) est donc Dieu lui-même, dans sa manifestation au monde et nous comprenons ainsi que la promesse de sa présence au milieu de Jérusalem restaurée, se réalisera quand il apparaîtra enfin comme Messie en Israël.
Il est le Dieu à qui a été donné Israël en tant que son héritage. L'avertissement est donné à ceux qui résident avec la fille de Babylone afin de s'échapper par le Nord. Babylone est déjà tombée actuellement et elle est assujettie aux Mèdes et aux Perses et l’a été pendant un siècle. Il parle des Derniers Jours et de la fille de Babylone mentionnée dans les autres prophéties et par l'Église.
Nous savons que c'est le cas parce que la prophétie déclare ensuite l'union de plusieurs nations à Juda, ce qui ne s'est pas produit même depuis le premier avènement. Il déclare qu'il résidera au milieu d'eux et ils sauront que le Seigneur des Armées l’a envoyé. Cet être ne peut
Notez la description d'hériter Juda en tant que Sa portion. Israël est son héritage mais Juda était la tribu du Messie. Cet être, le Dieu d'Israël, ne peut seulement qu’être Jésus Christ, le Messie.
Que le Seigneur vous bénisse richement. Amen !
Doulos
La Prédication du Mercredi 1er Décembre 2021
Texte : Zacharie2.1-9
« Voici ce que le SEIGNEUR déclare : Moi-même, je serai là comme un mur de feu autour de la ville, et au milieu d’elle, je montrerai ma gloire !” » V9
Notre texte se situe dans la troisième vision du prophète de Dieu.
La cité future est annoncée par la reconstruction et la restauration de Jérusalem. Dans sa prophétie, Zacharie annonce ou envisage aussi un avenir plus glorieux où Sion deviendra la métropole du monde.
La seconde partie de la vision est un chant de triomphe. Les juifs restés à Babylone reçoivent l’ordre de rentrer dans leur pays en toute hâte.
Comme pour les deux premières visions, la quatrième se lie avec celle qui précède. Elle traite d'un événement majeur : le rétablissement d'Israël.
Maintenant que la grâce a ainsi revêtu le souverain sacrificateur, l'Ange de l'Eternel peut lui adresser un important message : « Si tu marches dans mes voies, et si tu recevras la charge que je te confie, alors tu jugeras aussi ma maison, et tu auras aussi la garde de mes parvis, et je te donnerai de marcher au milieu de ceux qui se tiennent devant moi ». Dans ce verset 7, Joshua, purifié et justifié, entouré de ses compagnons, reçoit donc la double responsabilité qui est désormais la sienne : marcher dans les voies de l'Eternel et s'acquitter fidèlement de sa charge. Il doit veiller à ce que les parvis de Dieu soient gardés de toute impiété et de toute idolâtrie (Mal. 1 : 7).
Cette pensée de la responsabilité est encore plus importante pour les chrétiens.
Amenés devant Dieu, revêtus de sa justice, nous sommes rendus capables de lui offrir notre louange dans son sanctuaire.
En fait, comme Paul, nous devons réaliser que nous sommes serviteurs de l'évangile et de l'assemblée (Col.1:23-25). C’est une grâce que nous *soyons appelés par le Seigneur à travailler pour la gloire de son saint nom? Sinon, la garde de ses parvis ne nous sera pas confiée
Loué soit Jésus Christ
Amen.
Doulos.
La Prédication du Mardi30 Novembre 2021
Texte : Zacharie1.7-17
« Je dis: Qui sont ces chevaux, mon seigneur? Et l'ange qui parlait avec moi me dit: Je te ferai voir qui sont ces chevaux. » V9
Le prophète a vu un bosquet sombre et ombragé, caché par des collines. Cela représentait la condition basse et mélancolique de l'église juive. Un homme comme un guerrier était assis sur un cheval rouge, au milieu de ce myrte ombragé.
Bien que l'église soit dans un état de crise, le Christ était présent au milieu, prêt à intervenir à tout moment. Il ne nous a pas abandonné. Nous avons foi qu’il fait encore route avec nous pour soulager son peuple.
Derrière Dieu de Zacharie se trouvaient des anges prêts à être employés par lui, certains dans des actes de jugement, d'autres de miséricorde, d'autres dans des événements mixtes. Pourrions-nous savoir quelque chose des mystères du royaume des cieux? Alors,nous pourrions l'appliquer, non aux anges, car ils sont eux-mêmes des apprenants, mais au Christ Lui-même.
Il est prêt à enseigner à ceux qui désirent humblement apprendre les choses de Dieu.
Les nations proches de la Judée se jouissaient de la paix à cette époque, mais l'état des Juifs était instable. Ce qui a donné lieu à la plaidoirie qui a suivi; mais la miséricorde ne doit être espérée que par le Christ. Son intercession pour son église prévaut. Le Seigneur a répondu à l'Ange, cet Ange de l'alliance, avec des promesses de miséricorde et de délivrance. Toutes les bonnes paroles et les paroles confortables de l'Évangile que nous recevons de Jésus-Christ, comme il les a reçues du Père, en réponse à la prière de son sang sont des sources de consolation et d'espérance.
Ses prophètes, prédicateurs de la bonne Nouvelle doivent prêcher au monde entier avec force cet conviction le Christ ressuscitéet vivant.
La terre restait immobile et au repos voit Zacharie. C'est la vision de l'inercie dans la foi et l'engagement du peuple de Dieu."
Il n'est pas rare que les ennemis de Dieu se reposent et se complaisent dans le péché, alors que le peuple subit, harcelé par la tentation, inquiet par la peur de la colère ou gémit sous l'oppression et la persécution.
Zacharie le prophète fait référence au réveil des Juifs après la captivité, mais ces événements ce sont produits en prélude à ce que devait vivre l'église, après la fin de l'oppression de Babylone du Nouveau Testament. Et se produiront encore aujourd'hui.
Oui! Prions et méditons la Parole sainte de Dieu, afin que le Seigneur nous fasse *découvrir sa volonté et nous donne par son Esprit Saint la force de la mettre en pratique
Dans notre vie quotidienne.
Louer soit Jésus-Christ.
Amen !
Doulos
La Méditation du vendredi 26 Novembre 2021
Texte: 2Thessaloniciens3.13-3.5
« Mais pour vous, frères, ne vous découragez pas en faisant le bien… Toutefois ne le regardez pas comme un ennemi, mais avertissez-le comme un frère »
L'apôtre, dans l'admirable sagesse qui lui est donnée, redoute tous les extrêmes : s'il en est qui abusent de la charité de leurs frères pour vivre dans l'oisiveté, ce n'est point une raison pour ceux-ci de se décourager dans leurs bienfaits. Il y aura toujours des chrétiens pauvres qui en seront dignes.
Dans la pensée de Paul, sa parole et sa lettre sont une même chose.
Ce qu'il avait dit au sujet du frère qui vit d'une manière déréglée (v6) se rapportait surtout aux communications personnelles avec lui ; maintenant, s'il n'obéit pas à l'exhortation de l'apôtre, il doit être publiquement signalé comme rebelle et exclu de toute communion avec l'Eglise, afin qu'il en ait de la confusion et, par-là, qu'il rentre en lui-même. Néanmoins, de peur qu'il ne soit tout à fait découragé, l'apôtre veut que l'on unisse la charité à cet acte de sévérité. (v15)
C'est ici le premier exemple de discipline ecclésiastique dans l'Eglise primitive.
La sainte guerre que toute l'Eglise est appelée à faire au mal n'est point opposée à la paix ; elle est au contraire le moyen de l'obtenir.
Mais l'apôtre n'attend la vraie paix que de Celui qui en est la source, et qu'il aime, à cause de cela, à nommer le Seigneur de la paix, ou ailleurs "le Dieu de la paix." (1Thessaloniciens 5.23 ; Hébreux 13.20)
L'apôtre veut aussi que ses lecteurs reconnaissent à son écriture l'authenticité de sa lettre. Il insiste sur cette remarque à cause de la lettre qu'on lui avait faussement attribuée. (2Thess 2.2)
D'autres voient le signe donné par Paul, non seulement dans son écriture, mais aussi dans le vœu apostolique, qui termine toutes ses épîtres.
La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec vous tous ! "Toutes les civilités du grand docteur de la grâce se bornent à la souhaiter à ses amis. C'est son caractère et son sang, parce que c'est l'effusion continuelle de son cœur. Aimons-la avec lui cette grâce sans laquelle nous ne pouvons rien aimer qu'à notre condamnation."
Excellent début de week-end et que Dieu vous inonde de ses grâces.
Doulos.
La Méditation du Jeudi 25 Novembre 2021
Texte : 2Thessalonicien 2.1-12
« Que personne ne vous séduise d'aucune manière, car il faut que vienne d'abord l'apostasie et que soi t révélé l'homme de péché, le fils de perdition » V3
L'apôtre Paul a parlé du « jour du Seigneur » dans le premier chapitre ; il a montré qu'en ce jour le Seigneur viendra pour la rétribution des méchants et qu'Il sera "glorifié".
L'apôtre réfute maintenant les erreurs des faux docteurs qui cherchaient à persuader les Thessaloniciens que le jour du Seigneur était déjà là.
Dès le premier verset, Paul demande aux Thessaloniciens de ne pas se laisser influencer par les fausses doctrines qui étaient présentées parmi eux. Leur connaissance des événements prophétiques devait les garder de croire que le jour du Seigneur était arrivé ; les tribulations et les persécutions qu'ils enduraient n'en étaient pas le signe.
Ils devaient se souvenir que la venue du Seigneur comporterait deux étapes :
1-la venue du Seigneur pour chercher les siens, à l'insu du monde : alors, les morts en Christ seront ressuscités et les croyants vivants seront ravis avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur en l'air (1 Thes. 4 : 15-18). Il était évident que cet événement ne s'était pas encore produit.
2- le retour du Seigneur en gloire, un peu plus t**d, avec les siens : alors, « tout oeil le verra » (Apoc. 1 : 7). Ce « jour du Seigneur » ne pouvait pas être introduit sans que la grande tribulation ait eu lieu sur la terre habitée (Matt. 24 : 1-31).
Les moyens que l'ennemi utilisait pour troubler les pensées de ces croyants et les agiter étaient divers (v. 2) :
1- par esprit (en prétendant apporter de nouvelles révélations au moyen de manifestations spirituelles particulières)
2- par parole (en présentant un enseignement oral frelaté, des raisonnements étrangers à la pensée de Dieu)
3- par lettre (en attribuant à Paul de faux écrits, ou même peut-être une autre lettre).
L'apostasie, c'est le reniement de la foi et l'abandon complet de la doctrine chrétienne. Un apostat rejette délibérément ce à quoi il avait adhéré.
L'apôtre Paul déclare qu'aux derniers temps « quelques-uns apostasieront de la foi en s'attachant à des esprits séducteurs et à des enseignements de démons » (1 Tim. 4 : 3).
On finira par mépriser l'ensemble de la vérité chrétienne ; ce sera, dit Jude, le reniement de notre seul maître et Seigneur, Jésus Christ (Jude 4).
La présence des chrétiens sur la terre constitue un frein au développement du mal empêchant la révélation de l'Inique : ainsi le débordement de l'iniquité est contenu.
Par la présence en eux du Saint Esprit, les croyants sont à la fois le sel de la terre qui empêche le développement de la corruption et la lumière du monde qui dissipe les ténèbres morales (Matt. 5 : 13-14). Leur influence dans ce monde est bénéfique parce qu'elle maintient une certaine conscience de la différence entre le bien et le mal ; en réponse en particulier à leurs prières, Dieu maintient des autorités qui mettent un frein à l'anarchie des hommes.
Chaque vrai chrétien possède la vérité en Christ. Jésus seul a manifesté pleinement la vérité (Jean 1 : 17). Il est le chemin, la vérité et la vie (Jean 14 : 6). La Parole est la vérité (Jean 17 : 17), c'est-à-dire la pensée de Dieu sur toutes choses.
Le jugement de Dieu s'exercera envers ceux qui ont « pris plaisir à l'injustice ». La perversité du coeur de l'homme non régénéré sera pleinement montrée : l'injustice aura eu plus d'attrait que la vérité !
Les 12 premiers versets de ce chapitre 2 ont présenté ce qui succédera à la venue du Seigneur pour chercher les siens ;
Que le Seigneur bénisse la méditation de sa Parole dans vos cœurs
Amen.
Doulos
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