Respire ta vie
Ayez un nouveau regard sur votre vie, vous en détenez le secret ! ...
✨✨✨Faites vos vœux !!✨✨✨💫
✨Ce soir est l’occasion d’en faire plus d’un.🌟
Plus de 100 étoiles filantes par heure, trois planètes visibles... Comment se préparer au mieux pour la Nuit des étoiles.✨
✨C'est un phénomène à ne pas rater. Prenez le temps de profiter, ce dimanche soir, de la 34e édition des Nuits des étoiles. 🌟
Partout en France, des dizaines de rendez-vous sont programmés pour observer le ciel. Mais concrètement, qu'allons-nous voir de si extraordinaire en levant les yeux cette nuit ? ✨
✨Préparez-vous à vivre une nuit magique. Il sera possible de voir plusieurs dizaines d'étoiles filantes par heure depuis votre transat sur la plage ou de votre jardin ou bien depuis la fenêtre de votre domicile.
Pour admirer cette pluie lumineuse, rien de plus simple et pour espérer voir une étoile filante, il faut un ciel dégagé, sans nuages et sans pollution lumineuse. Il est conseillé de regarder dans une zone non éclairée et d'éviter d'utiliser votre téléphone portable pour que vos yeux s'habituent à l'obscurité.
L'œil nu suffit pour s'émerveiller.
Trois planètes seront visibles dans le ciel 🪐Saturne, Mars et Jupiter.
"✨On peut se balader avec des jumelles. Après, pour avoir vraiment plus de détails, pour monter un peu en gamme, on peut utiliser soit une lunette astronomique, soit un télescope". Si vous vivez dans une grande ville, pour contempler les étoiles, pensez à vous éloigner du centre et des sources de lumière. Le plus beau spectacle est réservé aux habitants du Midi, du Vercors et de la Creuse où toutes les conditions sont réunies. ✨
✨Mystères astronomiques : à la conquête de l'infini✨
"✨Le mieux c'est la rase campagne. Là, on peut vraiment commencer à avoir un beau ciel de nuit. Et puis, même si on est à la campagne et qu'on a un lampadaire à côté de chez nous, on peut faire dos au lampadaire pour voir la partie du ciel qui n'est pas polluée par la lumière". Que vous soyez en pleine campagne, à Paris, Marseille ou Bordeaux, trois planètes seront visibles. La pluie d'étoiles filantes, l'une des plus connues, révèle toute sa beauté dans la nuit noire, avec un pic de 60 météores par heure à partir de minuit.
🪐Saturne et ses anneaux en début de soirée, Mars et Jupiter dans la nuit, vers deux ou trois heures du matin. ✨
✨Pour observer les étoiles filantes des Perséides, le mieux est de se tourner vers le nord-est et d'observer une large portion de ciel autour de la constellation de Persée. Les étoiles filantes semblent toutes provenir d'un point appelé radiant. 💫
✨ Une tradition très ancienne C'est un réflexe très ancré dans nos habitudes : lorsqu'une étoile filante passe, on fait un vœu. Cette tradition semble provenir de la Grèce antique. À l'époque, on pensait que les dieux regardaient la Terre en soulevant la voûte céleste, comme un couvercle sur le monde. Ce faisant, il leur arrivait de faire tomber des étoiles : les étoiles filantes. Ces évènements étaient interprétés comme le signe qu'un dieu observait la Terre, c'est-à-dire le meilleur moment pour lui adresser un vœu.✨
✨Faites vos Vœux !💫🌟🙏🏻
PASSION VIVE LA VIVE LA
BONHEUR
VIVE LA RETRAITE NOUVELLE VIE
RETRAITE SANTÉ
JOIE
PASSION
BONHEUR
SANTÉ RETRAITES
PASSION JOIE
BONHEUR
NOUVELLE VIE
JOIE SANTÉ VIVE LA RETRAITE
Qi Gong, yoga, Tai Chi : se soigner en respirant !
Chers amis,
Dans nos jardins publics, il y a des places de jeux pour enfants, avec des manèges, des cabanes, des toboggans.
Mais au Japon ou en Chine, dans les jardins publics, on trouve plutôt des appareils pour faire de l’exercice physique : comme dans un club de fitness, des appareils pour soulever des poids, pour marcher sur place, pour travailler les cuisses ou les fessiers.
Et à qui sont-ils destinés ? Aux personnes âgées.
Des grand-mères qui soulèvent des haltères dans un parc
Ce sont elles, les personnes âgées, qui viennent s’entraîner, par petits groupes en bavardant, souvent tôt le matin (après il fait trop chaud). Les jeunes ou les adultes, ils n’ont pas le temps. Ils sont trop occupés à travailler.
Est-ce pour les encourager à faire de l’exercice ? Est-ce qu’on les oblige ? Pas du tout, si on a installé ces appareils, c’est parce qu’ils les ont réclamés.
Ma grand-mère, il aurait fallu la payer pour aller faire des flexions-extensions dans un parc. Elle aurait eu honte. Elle aurait eu le sentiment de perdre son temps, et de se rendre ridicule.
Mais les grands-pères et les grands-mères d’Asie, ils n’ont pas honte. Ils sont bien plus malins que nous.
En Asie, on trouve aussi, dans les grandes villes, des clubs de fitness à l’occidentale, où une clientèle très jeune vient suer à grosses gouttes en écoutant de la musique très fort, une bouteille de boisson énergisante à la main (bo***ée de sucre).
Mais les personnes âgées, elles, se rassemblent dans les parcs, pratiquant quotidiennement d’étranges chorégraphies ou se musclant tranquillement sur les pédaliers ou les barres fixes installés dans les jardins.
Chacun son idéal : bodybuilder ou maître zen
On sait que l’espérance de vie des Japonais est la plus élevée du monde. On a tous aussi en tête l’image de ces bonzes tibétains qui vieillissent en parfaite santé sur le toit du monde, dans la simplicité et la frugalité.
Quel est leur secret de longévité ? Les sushis ? Le riz ? Une alimentation moins grasse et moins calorique que la nôtre ? Oui, c’est vrai, en partie.
Mais surtout, les sociétés orientales ont compris depuis très longtemps deux choses :
la santé est un état d’équilibre global, qui prend en compte le corps et l’esprit ;
une pratique physique modérée, mais quotidienne, est la clé d’une bonne santé, notamment avec l’âge.
C’est en se faisant du mal qu’on se fera du bien, vraiment ?
Nous, à l’ouest de l’Oural, nous avons inventé des formes d’exercice physique qui sont à l’image de notre vision du monde : plus vite, plus haut, plus fort, comme dirait l’ami Coubertin. Le sport comme mode de dépassement de soi et d’évasion.
D’où le marathon, le fitness, l’aérobic, la gym suédoise, le spinning (cette sorte de fitness sur bicyclette en salle)… Des pratiques physiques très intenses, souvent désastreuses pour les articulations, où le rythme cardiaque fait des pointes au-delà du domaine du risque.
En Asie, le but n’est pas d’améliorer son temps d’un dixième de seconde ou de soulever 100 grammes de plus. C’est de durer plus longtemps.
Personne ne se blesse en faisant du Qi Gong. Alors que j’ai tellement d’amis qui se sont cassé quelque chose au ski.
Des exercices physiques inspirés du fonctionnement du corps
Yoga, Qi Gong, Tai Chi, pour ne citer que les pratiques les plus connues, elles ont en commun le même point de départ : la respiration.
Difficile de nier que c’est la fonction physiologique la plus essentielle pour notre vie avec le battement du coeur, les deux étant d’ailleurs intimement liées.
Le Qi Gong distingue pas moins de huit manières de respirer : douce, continue, longue, relaxée, uniforme, fine, profonde, silencieuse ! S’agissant du yoga, une branche entière, le Yoga Pranayama, est consacrée exclusivement à la guérison par des techniques de respiration.
qi gong dans un parc
En s’appuyant sur la maîtrise de la respiration, les exercices pratiques visent à développer la circulation de l’énergie vitale dans le corps et l’esprit (approche chinoise) ou à équilibrer l’esprit par rapport au corps (approche indienne).
Dans le Tai Chi et le Qi Gong, les exercices consistent en des mouvements lents, toujours combinés à des exercices respiratoires, qui visent à faire circuler les énergies. Au yoga, le travail associe des positions du corps (les postures, dites asanas), respiration et relaxation.
Des médecines traditionnelles venues d’ailleurs… mais validées par notre science
Vous ne croyez pas à ce genre de charabia et vous vous dites que ce qui est bon pour les Indiens ne l’est pas forcément pour nous ?
Pourtant, les effets positifs sur la santé de ces pratiques sont désormais reconnus par la science occidentale : à tel point que yoga ou Qi Gong sont désormais pratiqués à l’intérieur des hôpitaux, y compris en France.
L’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris a été pionnier en la matière en créant dès 2011 un centre intégré de médecine traditionnelle chinoise. Celui-ci propose, notamment à des patients traités pour un cancer, diverses techniques venues d’Asie (Qi Gong, massages chinois, Tai Chi, etc.). Le but est de leur permettre de pratiquer une activité sportive pour leur redonner de l’énergie, améliorer leur sommeil et, selon les cas, agir sur des organes ou des fonctions spécifiques.
Car des études scientifiques sont venues confirmer la capacité des médecines traditionnelles orientales à soigner notre corps.
Des gymnastiques pour tout le monde, y compris les cancéreux, les personnes en rééducation, ou les femmes enceintes
Une analyse portant sur un échantillon de 1 535 personnes, dont 559 adultes en bonne santé et 976 souffrant de diverses pathologies, a démontré les effets positifs d’une pratique régulière de Baduanjin Qi Gong. Il s’agit de l’une des formes de base du Qi Gong, qui comporte 8 exercices.
Une pratique régulière améliore :
la qualité du sommeil,
l’équilibre,
la souplesse,
mais aussi la pression artérielle et la fréquence cardiaque.
Ces résultats sont valables aussi bien pour les participants en bonne santé que pour ceux qui étaient malades au début de l’étude.
S’agissant spécifiquement de l’hypertension, les bénéfices du Qi Gong et du yoga ont été mis en évidence par plusieurs méta-analyses (c’est-à-dire qu’elles compilent les résultats de plusieurs études) .
30 minutes d’activité physique modérée par jour, le meilleur investissement
Cette recommandation de l’Organisation mondiale de la santé semble tomber sous le sens.
Mais mis à part la marche et la pétanque, l’Occident n’a pas inventé de formes d’exercices physiques doux, praticables par tous et qui soient bénéfiques au quotidien pour notre santé en général.
Si vous avez envie de reprendre un peu d’exercice, si vous êtes convalescent et que vous manquez encore d’énergie, si vous voulez être sûr que vous ne vous ferez pas plus de mal que de bien, vous auriez tort de vous priver des bienfaits du Qi Gong, du Tai Chi, du yoga et de bien d’autres pratiques.
À bientôt,
Laurent des éditions Nouvelle Page
P.S Le geste simple que vous pourriez faire aujourd’hui ?
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L'auteur de ce message
Je m'appelle Laurent Tessier et je dirige les Éditions Nouvelle Page depuis 2019.
Chaque jour, je collabore avec les meilleurs professionnels et experts des médecines naturelles.
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La lettre Nouvelle Page Santé est un service d'information gratuit de Nouvelle Page.
La personne toxique, c’est moi
Le jour où j’ai réalisé que la personne toxique, c’était moi
Chère lectrice, cher lecteur,
C’est avec joie que j’ai découvert dans Marie-Claire la parution d’un livre de psychologie intitulé : “Le jour où j’ai réalisé que la personne toxique, c’était moi.”
Je trouve ce titre excellent.
Exceptionnel.
Et tellement vrai.
Tellement utile après les tombereaux de titres et les livres sur la toxicité des autres : “Comment repérer les pervers narcissiques ?” “Et si votre meilleure amie était une vampire psychique ?” “5 signes que votre partenaire est toxique” ou encore “Pourquoi votre manager est un sociopathe.”
Oui, ces articles peuvent enseigner des choses utiles. Mais ils peuvent aussi nous pousser à nous victimiser, nous déresponsabiliser, et nous complaire dans une tendance bien ancrée à rejeter la faute sur les autres.
Et pour vous faire une (grosse) confidence, si cet article de Marie-Claire m’a tellement tapé dans l’œil, c’est parce que c’est exactement ce qui m’est arrivé.
Le jour où, moi aussi, j’ai compris que la personne toxique, c’était moi
Il y a maintenant des années, un de mes plus fidèles compagnons a quitté l’équipe, que je pensais pourtant indestructible, de Santé Nature Innovation. Il l’a fait à grand fracas, et bien décidé à prendre sa revanche.
A ma grande surprise, plusieurs de ceux que j’estimais alors être mes meilleurs co-équipiers ont décidé de le suivre. Ils n’éprouvaient manifestement pas la moindre gêne ni regret. Si j’en juge à leurs rires et sourires, c’est avec enthousiasme et soulagement qu’ils sont partis. Ils ont d’ailleurs créé d’autres newsletter de santé naturelle, de toutes sortes, si bien que désormais, la plupart des fois où vous recevez des lettres de santé naturelle, ce n’est plus moi, mais eux.
J’étais en colère et triste. Je m’estimais dépossédé de mon “bébé”. Je m’estimais victime d’injustice.
Je n’avais à la bouche que les mots déception, déloyauté, et même trahison.
“Quand as-tu compris que TU étais le problème ?”
Et puis un jour que je traînais mon amertume près d’une gare aux murs tagués, j’ai lu sur une affichette une question qu’une main anonyme semblait avoir écrite pour moi : “Quand as-tu compris que TU étais le problème ?”
Et en-dessous, une autre main avait écrit la réponse suivante, que je ferai un jour graver sur ma tombe :
“Quand je me suis pris un gros poing dans la figure et que tout le monde a applaudi celui qui m’avait frappé.”
J’ai lu ces mots.
Ils ont mis quelques secondes à traverser mon cerveau.
Je suis tombé à la renverse. Ce graffiti m’a soufflé comme une bombe nucléaire.
Je me suis dit : “Bon sang, c’est mon histoire !!”
Toute ma vie se ré-écrit dans ma tête
En quelques secondes, toute ma vie s’est ré-écrite dans ma tête.
C’était comme une illumination, une conversion, une révolution mentale.
J’ai compris que mon “fidèle” compagnon m’avait mis, symboliquement bien sûr, son poing dans la figure.
J’ai compris que, en quittant Santé Nature Innovation pour aller le rejoindre, les autres m’avaient tout simplement envoyé le message qu’ils étaient d’accord avec lui, et que je méritais mon sort.
J’avais le choix entre continuer à me plaindre et à me victimiser, ou alors commencer à faire, enfin, mon examen de conscience.
Essayer de comprendre pourquoi ces personnes m’avaient trahi. Ou même, plutôt, essayer de comprendre si, vraiment, c’était une trahison, ou si ce n’était pas plutôt une juste réaction, naturelle, logique, normale, face à mon comportement.
Mon cerveau se met à tourner à l’envers
C’est alors que la machine s’est mise en route à l’envers dans ma tête, à rebours du fonctionnement qui avait toujours été le sien :
Au lieu de me servir de mon cerveau pour analyser en quoi j’avais été blessé, trompé, trahi, j’ai commencé à me demander en quoi c’était moi qui avais pu blesser, tromper, trahir.
Au lieu de partir du principe que j’était la victime, je suis parti du principe que j’étais le coupable.
Au lieu de considérer que j’étais tombé sur une personnalité toxique, j’ai commencé à envisager le fait que, la personne toxique, c’était moi.
Une immense bouffée d’air frais entre dans ma vie
Et c’est alors que j’ai ressenti comme une immense bouffée d’air frais qui entrait dans ma vie.
Comme si j’avais toujours vécu dans une cave obscure, et que soudain la porte s’ouvrait pour me permettre d’en sortir, de vivre, de déployer mes ailes.
Car en découvrant que c’est moi qui, le premier, faisait du mal aux autres, j’ai pu découvrir que j’avais la liberté d’agir autrement, de faire d’autres choix et d’influer sur mon destin.
Je ne vais pas écrire toutefois que ce fut un moment uniquement agréable. Quand on réalise qu’il y a, cachés derrière les portes de notre vie, des tas de cadavres dans les placards, et qu’on décide d’ouvrir, ça sent mauvais. Ce n’est pas beau. Ça vous tombe dessus, c’est lourd, ça écrase, et vous ne savez jamais quand ça va s’arrêter. En général, personne ne fait ça sans un solide accompagnement. Il vous faut une ou plusieurs personnes qui vous aident à faire face à toutes les vérités que vous aviez enfouies, et qui ressortent de l’abîme comme des dragons pour vous dévorer tout cru.
Vous vous sentez, bien souvent, comme Hercule qui se bat contre l’Hydre de Lerne et qui, à chaque fois qu’il coupe un tête, en voit trois repousser à la place.
Cela ne s’est pas non plus passé aussi rapidement que je peux l’écrire aujourd’hui. Le processus a duré des mois. J’ai bien souvent eu le rouge qui m’est monté au front, des sueurs froides de honte dans le dos. Voir se briser l’image mirifique que je me faisais de moi-même, comprendre que je pouvais me comporter exactement comme n’importe quel “salaud” ne m’a pas exactement fait rire. Il a fallu apprendre à vivre avec le nouveau Jean-Marc, qui n’était pas du tout aussi formidable que celui avec lequel j’avais vécu jusque-là.
Mais il s’est aussi passé des choses très intéressantes.
Apprendre à vivre avec le nouveau Jean-Marc
Par exemple, j’ai réalisé que, au cinéma, je m’étais toujours assimilé au héros courageux, jamais au méchant.
Quand je regardais le Roi Lion, je me mettais spontanément dans la peau de Mufasa, ou au pire de Simba, jamais dans celle de Scar et encore moins des hyènes.
Quand je regardais Cendrillon, je m’assimilais à la pauvre jeune fille travailleuse et méritante, ou au Prince, pas la belle-mère sadique ni les sœurs jalouses et revêches, qui décrivaient, forcément, les autres (des amies, des cousines, des tantes, des collègues et des voisines…)
Dans Blanche-Neige, je n’étais jamais la Sorcière, ni même un nain maladroit…
Etc.
Je me contentais donc de détester les méchants et de me réjouir de leur destruction, de me moquer des personnages ridicules, sans jamais penser que, en réalité, si souvent dans mon existence, j’avais joué leur rôle.
Je ne réalisais pas que, comme eux, je m’étais pris des pains dans la figure et que cela avait pu faire plaisir aux spectateurs qui avaient pu se dire : “ Bien fait !”, en ayant parfaitement raison de se réjouir de me voir le nez ensanglanté.
Dans les films, nous sommes concernés par tous les personnages, pas seulement les héros
J’ai alors réalisé que, bien entendu, dans tous les contes et films, nous étions concernés par absolument tous les personnages, pas seulement les héros. Chacun des personnages décrit un aspect de notre personnalité, ou plutôt une des nombreuses “sous-personnalités” qui constituent notre personnalité globale.
“Dans les histoires que vous lisez, il y a un gentil et un méchant. Mais dans votre propre histoire, vous êtes le gentil et le méchant”, disait le psychanalyste Carl G. Jung.
Dans la vraie vie, nous ne sommes ni le Chaperon Rouge, ni le loup, mais nous devons choisir, à tout instant, d’être Chaperon Rouge ou Grand Méchant Loup (ou Mère-Grand, ou les parents, ou le Bûcheron…) avec chaque personne que nous rencontrons.
Il n’y a jamais personne qui ait un rôle assigné pour toute sa vie. Nous changeons en permanence de costume pour prendre des rôles plus ou moins glorieux vis-à-vis des personnes que nous croisons.
Et même dans une relation avec une seule personne, nous interagissons à différents niveaux où nous pouvons incarner le rôle de l’ami, l’ennemi, le jaloux, le traître, le sauveur, l’amant, le fou, la reine, le serpent, l’infirmière ou l’institutrice.
Nous pouvons jouer n’importe quel rôle
En fait, nous pouvons incarner tous les rôles décrits dans l’ensemble de la littérature à travers les siècles. Tant est complexe la personnalité humaine (il faut rappeler que notre cerveau est l’objet le plus complexe, de loin, dans l’univers, et qu’il comporte plus de 10 000 milliards de connexions neuronales, ou synapses, par cm3).
Quelqu’un qui serait, par nature, toujours gentil, toujours la bonne poire, avec tout le monde quoi qu’il arrive, non seulement ne serait pas humain, mais serait aussi conduit de toute façon à faire le mal.
Cendrillon a des aspects sombres
C’est ce qui arrive à Cendrillon.
Dans son désir d’être “gentille” avec le chat Lucifer, elle le laisse martyriser son chien sans le défendre. Elle ferme les yeux (volontairement, par manque de courage) sur des sournoiseries qui révoltent le spectateur.
A force de s’occuper des robes de ses sœurs, elle est conduite, en toute inconscience, à laisser faire les petites souris et les oiseaux pour faire la sienne, ou à laisser sa marraine se débrouiller pour lui procurer un carrosse pour aller au bal (heureusement, sa marraine est une fée, et n’a qu’à donner un coup de baguette magique…)
Ou encore : à force d’être trop bonne avec ses sœurs et sa belle-mère, elle laisse commettre contre elle-même des injustices qui pèseront sur le destin du Prince qui l’aimait.
Comment j’ai découvert que j’étais un homme libre
En prenant conscience de ma responsabilité et même, j’ose le terme, de ma culpabilité, j’ai compris que je n’étais pas uniquement le jouet passif de tous les méchants qui étaient autour de moi.
Que, à y regarder de plus près, la première personne responsable des difficultés dans lesquelles je me trouvais, c’était moi.
Et que donc, j’avais la possibilité de me sortir du cercle infernal où je vivais, et où il finissait toujours par m’arriver la même chose.
J’ai compris, donc, que j’étais un homme libre. Que j’avais la possibilité d’éviter de me comporter de la façon qui allait pousser les personnes de mon entourage à me détester puis à me fuir.
Ne pas vivre au pays des Bisounours
Bien entendu, ce que j’ai découvert sur moi-même vaut aussi pour les autres. Eux aussi ne sont pas forcément James Bond qui veut sauver le monde, et peuvent jouer le rôle du méchant qui veut le détruire.
Il arrive donc d’être réellement victime des autres, et il faut savoir alors le repérer, si possible à l’avance, et se tenir à distance des personnalités toxiques.
On ne vit pas chez les Bisounours.
Mais le fait est que nous n’avons pas de télécommande pour changer les autres. Il ne sert à rien de passer toute sa vie à décortiquer tout le mal qui nous entoure. La tâche est si grande que nous n’y arriverons jamais de toute façon. Et il ne sert à rien d’expliquer à quelqu’un comment changer, car personne ne changera s’il ne décide pas lui-même de le faire.
La seule personne sur laquelle nous avons du contrôle, et encore un contrôle limité seulement, c’est nous-mêmes. C’est pourquoi notre intelligence est tellement mieux utilisée à nous observer nous-mêmes, pour comprendre ce que nous faisons et qui mérite d’être corrigé, qu’à analyser les autres.
Le message d’une “drama queen” repentie
Dans l’article de Marie-Claire que je citais au début, on peut lire :
“Mal-être durable et profond, relations amoureuses chaotiques, mésaventures permanentes doublées d’un sentiment d’être en seule face au reste du monde : après avoir passé les deux tiers de sa vie convaincue bec et ongles que personne ne lui voulait du bien, celle qui se décrit aujourd’hui volontiers comme une drama queen repentie réalisa, un beau jour, à la faveur d’une rupture amicale, qu’elle est en réalité elle-même son meilleur ennemi.
“Un jour, c’est une amie qui me dit 'je vais couper les liens avec toi car tu es toxique', raconte Christine Berrou en marge de la promotion de son livre. “Et je ne pouvais même pas lui en vouloir car son argumentaire était plutôt clair et crédible", se souvient-elle avec humour.
Et de donner une liste des comportements qu’elle a soudain repéré, chez elle-même (j’aurais pu, à peu de choses près, faire la même liste pour moi) :
Râler tout le temps ou faire preuve d’un sarcasme à toute épreuve,
se placer au centre de l’attention (surtout pour se plaindre),
se révéler incapable de se réjouir du bonheur des autres ;
prendre un malin plaisir à mettre de l’huile sur le feu face à des situations conflictuelles ;
mentir pour grossir le trait tout en médisant dans le dos d’untel ou unetelle,
exceller dans l’art de la mauvaise foi ;
ruminer non-stop ;
voir le mal absolu partout y compris dans la gentillesse ;
sur-anticiper la trahison ou l’arnaque…
Hé oui, hé oui, hé oui, hé oui…
Alors quand je pense à mon ex-collègue qui m’a mis son poing dans la figure, j’ai juste envie de lui dire un immense… merci.
✨Beaucoup de messages reçus sur Messenger hier pour mon anniversaire.
Je vous remercie tous du fond du cœur.✨
✨Merveilleuse journée à vous.✨
💫Affectueusement. 💫🙏🏻❤️🥰
🌸JE TE VOIS🌸
"🌸Je te vois tel que tu es tout au fond de toi, là où réside ton âme,
Je te vois sans te juger, sans te blâmer, en accueillant tout de toi,
Je te vois sans attendre quoi que ce soit de toi car mes attentes et mes projections pourraient t'abimer et voiler ton identité profonde,
Je te vois dans toutes tes dimensions et riche de toutes tes expériences,
Je te vois car je sais déjà que tu es un être complet et parfait,
Je te vois, c'est ma façon de t'accueillir sans conditions, et en faisant cela, je te permets à toi aussi de te voir et de t'accueillir tel que tu es,
Je te vois, c'est t'autoriser à être, à irradier, sans filtres, sans masques et sans peurs,
Je te vois 🌸"
© Géraldine Amelin
🌸La posture du sophrologue est bien spécifique.
Elle est sans jugement, accueillante, sans attente, sans projection, sans condition.🌸
"🌸Je te vois " est une des phrases la plus belle et la plus puissante du film Avatar pour beaucoup.🌸
🌸Elle illustre pour moi la posture du sophrologue qui accompagne avec cet état d'esprit là et permet à ceux qu'il accompagne de rendre cette phrase réversible et universelle.🌸
🌸Réversible car la sophrologie amène à se voir soi-même. 🌸
🌸Universelle car la sophrologie reconnecte à tout ce qui est.🌸
🌸Merci, Odette !❤️🥰
🌸« Bonjour » à tous !🤗🌸
J’espère que vous allez bien ?🫰
Heureuse de vous retrouver comme chaque semaine pour notre petit rendez-vous hebdo.
Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler de la politesse…
𝑻𝒖 𝒗𝒂𝒔 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 à 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝑩𝒐𝒏𝒋𝒐𝒖𝒓...
- pardon ?
- Je dis tu vas apprendre à dire bonjour.
C'est la chose la plus importante dans la vie. Si tu dis bien "Bonjour" t'as fait la moitié du chemin.
Et c’est vrai, dans n’importe quelle branche et surtout, Oh oui !😅
Surtout, ça se perd de plus en plus.
Mais en toute honnêteté, reconnaissons que cette formule de politesse, ce bel état d’esprit, ce bon savoir-vivre que devient-il ?
Je me souviens d’une cliente qui m’appréciait beaucoup, simplement parce que je commençais mes phrases par un « bonjour, »
- puis je vous aider ?
Elle me disait souvent que cela devenait rare d’entendre la « règle de trois ».
Bonjour, merci, au revoir.
Non seulement, elle avait raison mais je reconnais que c’est de pire en pire quand je regarde autour de moi. (soupir).
Reprenons les bases...
Jean Paul Belmondo et Richard Anconina nous l'ont très bien montré en 1988 dans cette scène mythique de "itineraire d'un enfant gâté"
Prononcer un « Bonjour » En guise de salutation est une marque de politesse et de respect et pour rappel : Pour les porteurs de cravate rayée.
Bonjour est une salutations la plus communément employées en français voir dans toutes les langues lorsque l’on rencontre au croise une connaissance ou une personne inconnue dans le cadre d’une présentation, et ce, du matin jusqu’à la fin de la journée. Quand je croise certaines personnes qui vous donne l’impression de faire partie des meubles. Ça me fait grincer des dents.
Et sincèrement, je ne sais pas où sont passés leurs bonnes manières.
Sur ce, j’aime donner de temps en temps, un un petit coup de pied dans la fourmilière.
Petit coup de griffe pour la semaine.
RAppeler que la politesse, c’est bon, comme « « Bonjour » »❤️
La seule arme (manière) de transformer le monde… C’est l’éducation.
« ÉDUCATION »
Merci, la vie est belle.🌸
Merciiiiiii papa, merci maman.💕
MC. 🙏🏻🌸
Itinéraire d'un enfant gâté (1988) - Tu vas apprendre à dire bonjour Dossier : http://lemondedesavengers.fr/hors-serie/annees-1960/saga-jean-paul-belmondoForum : http://lemondedesavengers.fr/forum/viewforum.php?f=16Facebook : ...
🌸🙏🏻💕
Itinéraire d'un enfant gâté (1988) - Tu vas apprendre à dire bonjour Dossier : http://lemondedesavengers.fr/hors-serie/annees-1960/saga-jean-paul-belmondoForum : http://lemondedesavengers.fr/forum/viewforum.php?f=16Facebook : ...
En quête d’une vie réussie…
L’énergie est la joie éternelle.
💕🌸Les petites parcelles du bonheur🌸💕
« Je condamne l’ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties aussi bien que dans les régimes totalitaires. Cette ignorance est si forte, souvent si totale, qu’on la dirait voulue par le système, sinon par le régime. J’ai souvent réfléchi à ce que pourrait être l’éducation de l’enfant.
Je pense qu’il faudrait des études de base, très simples, où l’enfant apprendrait qu’il existe au sein de l’univers, sur une planète dont il devra plus t**d ménager les ressources, qu’il dépend de l’air, de l’eau, de tous les êtres vivants, et que la moindre erreur ou la moindre violence risque de tout détruire.
Il apprendrait que les hommes se sont entretués dans des guerres qui n’ont jamais fait que produire d’autres guerres, et que chaque pays arrange son histoire, mensongèrement, de façon à flatter son orgueil.
On lui apprendrait assez du passé pour qu’il se sente relié aux hommes qui l’ont précédé, pour qu’il les admire là où ils méritent de l’être, sans s’en faire des idoles, non plus que du présent ou d’un hypothétique avenir.
On essaierait de le familiariser à la fois avec les livres et les choses ; il saurait le nom des plantes, il connaîtrait les animaux sans se livrer aux hideuses vivisections imposées aux enfants et aux très jeunes adolescents sous prétexte de biologie. ; il apprendrait à donner les premiers soins aux blessés ; son éducation sexuelle comprendrait la présence à un accouchement, son éducation mentale la vue des grands malades et des morts.
On lui donnerait aussi les simples notions de morale sans laquelle la vie en société est impossible, instruction que les écoles élémentaires et moyennes n’osent plus donner dans ce pays.
En matière de religion, on ne lui imposerait aucune pratique ou aucun dogme, mais on lui dirait quelque chose de toutes les grandes religions du monde, et surtout de celle du pays où il se trouve, pour éveiller en lui le respect et détruire d’avance certains odieux préjugés.
On lui apprendrait à aimer le travail quand le travail est utile, et à ne pas se laisser prendre à l’imposture publicitaire, en commençant par celle qui lui vante des friandises plus ou moins frelatées, en lui préparant des caries et des diabètes futurs.
Il y a certainement un moyen de parler aux enfants de choses véritablement importantes plus tôt qu’on ne le fait. »
Marguerite Yourcenar, "Les yeux ouverts." 1980 ❤️
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