Des Rameaux aux Racines - Etude Généalogique
Vous arborez vos plus beaux rameaux et vous êtes en recherche de racines ? Laissez-vous accompagner dans votre quête !
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En ce moment sur My héritage vous pouvez bonifier vos photographies gratuitement jusqu'au 12 septembre. Amusez-vous bien 🙂👏 !
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Pour connaître les propriétés de nos ancêtres, direction les registres et plans des cadastres anciens. Et pour mieux réaliser et analyser les diverses possessions, un peu de couleur sur les pages monochromes font la différence.
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Ce matin, super surprise dans ma boîte aux lettres 📮 . Un courrier qui va plaire à mon client. Je remercie les départementales du qui ont répondu assez rapidement à ma demande et qui ont su s'adapter aux conditions particulières à cause du Covid. Ils ont accepté à titre exceptionnel de me faire parvenir des actes que je n'ai pu obtenir avant mon départ de Bretagne car ils étaient fermés. Ils ont accepté d'effectuer la recherche et de me les envoyer à titre gracieux. 👍
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N'oubliez pas de parcourir la vieille du grenier qui peut valoir des trouvailles sympathiques. Cela m'a fait découvrir l'existence de quelques grande tante et grand oncle qui étaient passés à l'as dans mes épluchages de ! Aucuns détails ne doit être négligés pour cela... Une caractéristique, un prénom, un lieu et vous levez des mystères ! En plus de cela, vous aurez la possibilité de mieux comprendre vos si lointain. 👴
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Avez-vous rencontré des ancêtres nommés syndic dans votre généalogie ? Moi oui ! C'est une vraie découverte en ce qui me concerne. Pour en savoir plus, j'ai parcouru l'ouvrage "Le village sous l'ancien régime" d'Albert Babeau et j'ai sélectionné de larges extraits pour avoir une idée au plus juste sur cette fonction de syndic, ses avantages et ses [grands] inconvénients. En conclusion, on peut dire qu'être au service [imposé] d'une communauté, c'est vraiment pas facile 😌.
Le syndic, au XVIIIe siècle ? Au cours de mes recherches concernant Pierre FARGES, du lieu de La Vigne en Corrèze (19), qui cumulait les professions de laboureur, meunier
Cette transcription d'un inventaire m'aura pris quelques jours, mais ça a été un vrai plaisir de la rédiger par rapport à d'autres calligraphies de notaire bien plus difficile à déchiffrer que j'ai pu rencontrer 😅📖🕯️.
Mais c'est le métier qui rentre toujours un peu plus car la paléographie est une partie essentielle du travail pour en découvrir toujours plus sur nos ancêtres !
Ici, il s'agit d'un inventaire après décès de 1807 de Jean Baptiste FARGES, meunier de Naves, commune de 1500 âmes près de Tulle en Corrèze (19). II y vivait avec sa fille et son gendre. Ce sont eux qui requerront cet inventaire pour ne pas confondre leurs affaires propres de celles du fils mineur habitant également avec feu son père.
Les trois couples héritiers y participent comprenant les époux : BRUDIEU, LAVAL et BOULHIAC qui sont tous mariés aux trois filles Jeanne FARGES. En effet, dans cette fratrie tous les fils se prenomment Jean et les filles Jeanne. Simple, non ? Et tellement compliqué à la fois pour nous généalogistes 😆.
Ce moulin situé au lieu de La Vigne a traversé 3 générations de FARGES au moins depuis les alentours de 1680 avec Jean puis son fils Pierre, son petit fils Jean et enfin son arrière petit fils Jean Baptiste. Ils ne meulaient que la farine comme la pluspart des autres 21 moulins que comptait la paroisse de Naves. Seulement quatre moulins meulaient également du seigle, du froment, du foulon ou encore du papier.
Deux spécialistes, un raccomodeur de moulin et un charpentier, accompagnent cet inventaire pour expertiser les biens délaissés et leur état. L'état est d'ailleurs quelque peu inquiétant, des "meulles" et des "poultres" sont hors de service ou presque, le canal qui conduit l'eau doit aussi être remis à neuf. Les réparations s'élèvent à 150 francs, ce qui semble largement envisageable quand on constate l'ensemble de la valeur des biens. Cependant, ceux-ci sont plutôt d'utilité pratique, sans richesse aucune et même plutôt usés par le temps. La literie est dite mauvaise voir très mauvaise. Le linge est la seule chose en abondance avec 80 "chemiges" d'homme, 42 nappes... Le meunier possédait egalement du bétail: 3 vaches pleines (300 fr) , une ânesse (35 fr) , un cheval (90 fr), 7 brebis mères (35 fr) , 8 agneaux (24 fr), 3 moutons (18 fr), 2 cochons (60 fr). Le moulin, les objets et les bestiaux sont estimés 3448 francs l'ensemble.
N'hésitez pas à offrir un arbre généalogique ! C'est un cadeau enrichissant qui peut être offert en commun et impacter des générations entières.
Les beaux cadeaux se préparent longtemps en avance, alors j'encourage les indécis à se lancer avec 15% de remise jusqu'au 1er novembre 2019 inclus pour un arbre cadeau de 5 générations ou plus !
Quand deux passions s'additionnent cela donne double plaisir 👌 !
On découvre ainsi un autre moyen de valoriser ses vieilles photos qu'on ne sait comment présenter pour les rendre plus vivantes et attrayantes à notre entourage 😅
Ici, mon arrière grand-mère Hélène MAUDUIT qui pose avec sa sœur aînée le 1er Avril 1910 à Orléans.
La ligne de vie.
Un très bon outil généalogique pour rassembler de façon organisée toutes les infos en notre possession d'une personne dans un seul fichier. Pratique pour réfléchir sur ce qui peut nous manquer, et poursuivre l'enquête de façon claire. Tout est posé ! 👍
Un peu d'illustration photographique casse la monotonie de la lecture et aide à prendre plaisir à visionner ce document 💫
Déblocages presque assurés ! 😁
Ligne de vie créée à partir de l'excellent fichier d' Elise Lenoble téléchargeable sur son site internet https://www.aupresdenosracines.com/outils-a-telecharger !
Quand la toponymie est revisée 😁
Super sympa la automatique des photos en noir et blanc sur le site https://colourise.sg/
Gratuit et instantané, pas la peine de se priver ! Il suffit de télécharger la photographie et c'est parti ! Une vision plus vivante de nos s'offre à nous.
Un simple commentaire dans un registre noté par un curé : "1770, l'année misérable".
Pourquoi écrit-il cela ?
y a plus qu'à se plonger dans l'histoire de France !
L'année misérable Quand la petite histoire témoigne de la grande. Au détour de mes recherches généalogiques, voilà que je tombe sur "l'année misérable" 1770, tellement misérable
Comment pousse un arbre généalogique ?
Petit deviendra grand !
Commencer son arbre généalogique Préparez un beau terreau de patience, plantez une belle graine de connaissance, arrosez de beaucoup de méthode ... Si vous commencez ce passionnant voyage dans
J'accepte le . Ma lignée de mère en fille en m'incluant remonte sur 10 générations jusqu'à Marie CROUSSAC mariée à Antoine MENEYROL en 1757 à Tulle en Corrèze (19) qui y a exercé les métiers d'arcbuzier, armurier, coutelier et fusilier.
Ce couple ne compte pas moins de 16 enfants. En avance sur son temps, la parité est scrupuleusement respectée avec 8 garçons et 8 filles 😁
Et Madame décédera à l'âge plus qu'honorable de 86 ans. Une santé de fer !🏆
N'hésitez pas à visiter le site internet qui détaille les prestations et leurs prix.
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