ARAM Association pour le Rayonnement de l’Archéologie Méridionale
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Association pour le Rayonnement de l’Archéologie Méridionale
objet : soutient à la recherche, à l’étude et à la valorisation du patrimoine archéologique provençal en général et de la grotte Cosquer en particulier
Histoire et archeologie de la 2nde guerre mondiale en provence Conférence organisé·e par Fondation du Camp des Milles - Mémoire et Éducation à Aix-en-Provence - 15 et 16 mai 2024 Venez assister au colloque "Histoire et Archéologie de la seconde Guerre Mondiale en Provence" dans l'auditorium du Site -Mémorial du Camp des Milles.
🔷CONFERENCE🔷
A l'occasion de l'exposition "La Grotte Cosquer révélée", Pedro Lima, journaliste scientifique et lauréat du prix du livre d'archéologie interviendra pour vous faire découvrir la richesse de l'art pariétal
📌Rendez-vous samedi 10 février à 10h pour une conférence tout public - Salle de la Maison pour Tous
✅ Inscriptions : [email protected] ou directement à la bibliothèque
Journées européennes du patrimoine 2023
CONFÉRENCE ET MÉDIATION FLASH
Samedi 16 septembre
Luc Vanrell présentera lors d’une conférence son aventure, ses travaux et son enquête, qui ont permis à ce fin connaisseur des fonds sous-marins marseillais de résoudre le mystère de la disparition d’Antoine de Saint-Exupéry.
Amphithéâtre Jean Courtin
De 18h30 à 20h00
Animations spéciales - Grotte Cosquer Animations spéciales Journées européennes du patrimoine 2023 Conférence et médiation flash Samedi 16 septembre Luc Vanrell présentera lors d’une conférence son aventure, ses travaux et son enquête, qui ont permis à ce fin connaisseur des fonds sous-marins marseillais de résoudre le myst....
Aurochs gravé sur phalange – Magdalénien - La Garma – Cantabrie – Exposition L'art préhistorique de l'Atlantique à la Méditerranée - Musée d'Aquitaine - Photo Kroko pour Hominides.com
https://www.hominides.com/art-prehistorique-de-atlantique-a-mediterranee-exposition/
Des oiseaux dans les grottes de Saulges, en Mayenne, dessins rarissimes de l’art pariétal Les grottes de Saulges, à Thorigné-en-Charnie, en Mayenne, font partie des rares grottes d’Europe à présenter des gravures d’oiseaux. La grotte Margot, en particulier, en possède 25, dont la symbolique est encore méconnue.
https://www.grotte-cosquer.com/journees-europeennes-du-patrimoine-2023-2/
Journées européennes du patrimoine - 2023 Vivez l'expérience unique de suivre les traces de nos ancêtres au cœur de la réplique de la Grotte Cosquer.
Saint-Exupéry, entre ciel et merConférence publique le 13 mai - Le château Saint-Antoine, un lieu de culture à Marseille Actualités du château Saint-Antoine
Homo sapiens may have brought archery to Europe about 54,000 years ago Small stone points found in a French rock-shelter could have felled prey only as tips of arrows shot from bows, scientists say.
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L’exploitation des ressources marines au Paléolithique moyen et sup... Introduction Les régions côtières sont riches en biomasse et offrent des ressources alimentaires abondantes et facilement accessibles. Elles étaient déjà, pour cette raison, des zones attractives p...
🔴 Un couteau suisse... romain du IIIème siècle
Cet étonnant couteau suisse date du IIIème siècle de notre ère. Il a rejoint les collections du Fitzwilliam Museum en 1990.
Il comprend une lame de couteau (très érodée), une fourchette, une cuillère, un pique, une spatule et un gratte-truc dont l'usage fait débat entre les spécialistes. Certains audacieux archéologues ont voulu y voir un coton-tige (sans coton).
Fait en fer et en argent, ce bel objet était vraisemblablement un outil sinon de luxe du moins plutôt onéreux lequel devait permettre à son propriétaire de frimer, suscitant en retour des : oh le beau couteau helvète que voilà.
Economie agraire à la fin de l'âge du Bronze sur les bords du lac du Bourget (Savoie, France) In spite of their suitability, waterlogged Bronze Age settlements of the Alpine area are actually under-investigated for archaeobotany. New investigations in Grésine (Bourget Lake, Savoie) bring new data on farming economy. Food plants include
Archéologie, spéléologie et plongée : gisements et vestiges en karst noyé. Archéologie, spéléologie et plongée : gisements et vestiges en karst noyé.
« WWII : Enquête sur la disparition du commandant Antoine Marie de Saint-Exupéry »
Mots-clés :
Saint-Exupéry ; débarquement de Provence ; deuxième guerre mondiale
Résumé :
8h45. Aérodrome de Bastia - Borgo. Lundi 31 juillet 1944.
Ce matin-là, le commandant Antoine de Saint-Exupéry décolle à bord de son Lightning P-38 (F-5 B 223), à destination du Sud de la France, pour une mission de reconnaissance photographique dont il ne reviendra pas. En septembre 1998, l’extraordinaire découverte de sa gourmette en argent par le patron pêcheur Jean-Claude Bianco est le départ d’une longue et minutieuse enquête menée par Luc Vanrell. Le mystère qui entoure la disparition de l’auteur du Petit Prince va être enfin définitivement levé…
Keywords:
Saint-Exupery ; operation Dragoon ; WWII
Abstract:
8:45. Airfield Bastia - Borgo. Monday, July 31, 1944.
This morning, the major Antoine de Saint-Exupery took off aboard his Lightning P-38 (F-5 B 223) to the South of France for a photo reconnaissance mission he will not return. In September 1998, the extraordinary discovery of its silver bracelet by skipper Jean-Claude Bianco is the start of a long and thorough investigation by the archaeologist diver Luc Vanrell. The mystery surrounding the disappearance of the author of the Little Prince will finally be lifted permanently...
Texte :
Engagés auprès des forces américaines, des volontaires français ont participé aux préparatifs et au débarquement de Provence (nom de code : opération Anvil Dragoon). Parmi eux, Antoine de Saint-Exupéry, qui reste à ce jour l’écrivain français le plus traduit et le plus lu à travers le monde. Il décolla de Bastia - Borgo le 31 juillet 1944 pour une mission de reconnaissance sur la Savoie et la vallée du Rhône au cours de laquelle il disparut. Le 12 mars 1950 au Journal officiel, le commandant Antoine de Saint-Exupéry est cité à l'ordre de l'armée aérienne à titre posthume, pour avoir « prouvé, en 1940 comme en 1943, sa passion de servir et sa foi en le destin de la patrie », et « trouvé une mort glorieuse, le 31 juillet 1944, au retour d'une mission de reconnaissance lointaine sur son pays occupé par l'ennemi ». Si la mort est désormais officielle, reste à en élucider les circonstances. Pendant près de soixante ans, on tentera en vain de localiser l’épave de son avion. Ce mystère et la célébrité de Saint-Exupéry seront les ingrédients qui vont susciter de très (trop) nombreux témoignages et pistes de recherches, étayés sur des confidences souvent douteuses qui par le miracle de la passion et de l’enthousiasme deviennent des certitudes « historiques ». Par exemple, en 1972, surgit dans la r***e « DER LANDSER N°725 », le témoignage posthume d'un jeune officier allemand, l'aspirant Robert Heichele : le texte d’une lettre rédigée le 1er aout 1944 à un ami, le lieutenant Whilhelm Manz, pilote également. Il explique un combat techniquement invraisemblable au cours duquel il aurait abattu en mer, au large d’Agay, le 31 juillet 44, un Lightning qu’il aurait pris en chasse avec son Focke Wulf Fw 190 D-9, vers midi, au-dessus de Castellane. Mais le Focke Wulf Fw 190 D-9 n’était pas encore en service et Heichele a été à son tour abattu en août 1944. De plus, en 1992, Manz rédigera une lettre d’avertissement pour un des dirigeants des recherches IFREMER, insistant sur le fait que « cet évènement dans Der Landser 725, se résume à une composition historico-allégorique imaginée, et ne peut donner aucun point de départ ferme » (W. Manz 1992). Malgré ce, l’affaire Heichele, orientera de nombreuses et coûteuses recherches, influencera de nombreux témoignages et sera reproduite dans la r***e de l’aviation française ICARE. D’autres affaires similaires invérifiables continueront à abreuver régulièrement la presse. Jusqu’à ce 7 septembre 1998, où Jean-Claude Bianco, patron pêcheur marseillais et armateur du chalutier l’Horizon, ramène dans ses filets une gourmette en argent sur laquelle est inscrit : « Antoine de Saint-Exupéry (Consuelo) c/o Reynal & Hitchcok 386, 4th_ ave. NY USA ». Peu de temps après, j’identifie formellement l’épave de son avion, dans la région des calanques près de Marseille. C’est le début d’une incroyable enquête menée par une petite équipe de passionnés en France et à l’étranger pour tenter de comprendre pourquoi l’appareil du plus célèbre écrivain et aviateur de son temps se trouvait là où personne ne l’avait jamais cherché. Sur un des vestiges remontés à la surface en septembre 2003 par la COMEX, Philippe Castellano, président d’AERORELIC, trouvera le 7 avril 2004 un numéro de série confirmant l’identification faite en plongée. Les restes du Lightning furent exposés au musée de l’Air et de l'Espace du Bourget, dans un espace consacré à l'écrivain aviateur.
Mais rien ne permet alors de donner une conclusion définitive sur les circonstances de sa chute, malgré la simulation informatique de l’accident – à partir des pièces déformées – qui montre un piqué, presque à la verticale et à grande vitesse, dans l’eau... Fût-elle la conséquence d'une énième panne technique, d'un malaise du pilote ? Certains avancèrent même l'hypothèse du su***de d'un Saint-Exupéry diminué physiquement (il ne peut pas fermer seul la verrière de son appareil), désespéré par le monde qu'il voyait s'annoncer, thèse confortée par certains de ses derniers écrits, au ton franchement pessimiste, par exemple les dernières lignes d’une lettre adressée à Pierre Dalloz, écrite la veille de sa mort : « Si je suis descendu, je ne regretterai absolument rien. La termitière future m’épouvante. Et je hais leur vertu de robots. Moi, j’étais fait pour être jardinier. »
La solution de l’énigme sera donnée par une seconde enquête menée en parallèle.
En effet, en mai 2000 ce sont en fait deux épaves que je déclare : sur le même site sous marin gisent également les restes d’un Messerschmitt Bf 109 inconnu. L’étude de son moteur permettra de révéler qu’il était piloté par un jeune homme au nom prestigieux : le prince Alexis Fürst zu Bentheim und Steinfurt, abattu le 2 décembre 1943 par la chasse américaine, et affecté au même escadron qui sera responsable de l’attaque contre Saint-Exupéry.
Ces nouvelles recherches m’amènent à l’année 1964, où le docteur Albert, fouillant l’ile de Riou, exhume un squelette humain presque complet qu’il attribue alors à un corsaire Turc du XVIème siècle. L’hypothèse que le gisant soit l’un des deux pilotes se devait d’être étudiée. Pour cela, il fallut retrouver le matériel provenant de la fouille de 1964-65, aux USA, auprès de Michèle Weismann, fille du Dr Albert. A la lecture de ces pièces, Thierry Vette, (musée de l’Armée), remarque des traces de traumatismes caractéristiques des pilotes de Bf 109 et Michel Signoli (CNRS) estime l’âge du mort proche de celui du prince et relève un fort prognathisme. Ces détails excluent Saint-Exupéry et renforcent l’hypothèse princière. Le laboratoire de police scientifique de Marseille confirmera l’identification grâce à de l’ADN mitochondrial retrouvé dans une vertèbre comparé à celui du frère du pilote, Christian prince zu Bentheim und Steinfurt, lui-même pilote, et qui cherchait depuis plus de 60 ans à savoir ce qui était advenu au prince Alexis.
Ce sont ces deux enquêtes menées parallèlement, qui permettront de remonter jusqu’à Horst Rippert et de lever enfin le voile sur les circonstances de la disparition du plus vieux pilote de guerre du monde : l’auteur du Petit Prince. En effet, dès 11H00, la station radar Falter avait mis en alerte les aérodromes de Bron et d’Aix-les-Milles suite au passage de Saint-Exupéry au-dessus de Grenoble. Si un intercepteur de la Luftwaffe avait été envoyé, connaissant la position de l’épave à l’Est de Marseille et le dernier contact allemand montrant que l’appareil allié volait en direction de la côte vers Toulon, il était logique que ce chasseur ait décollé d’Aix-les-Milles (JGr. 200), plus proche de la cible et plus apte à lui couper la route. C’est donc sur les activités de cet escadron que se sont concentrées les recherches. La piste des archives de ce groupe s’arrêta malheureusement sur un témoin de leur destruction. Néanmoins la découverte du journal de marche de l’aérodrome d’Istres, prouvera que, contrairement aux affirmations des historiens alliés, de nombreuses opérations aériennes allemandes eurent lieu le 31 juillet 44. Notamment pour la chasse, qui ne disposait plus, pour tout le quart sud-est de la France, que de douze avions intercepteurs en état de vol. En l’absence d’autres sources documentaires existantes, c’est donc vers les vétérans ou leur famille que les recherches se poursuivirent. Une liste de mille noms fut dressée à partir des sources historiques. Ils furent choisis de par leur stationnement sur ce secteur fin juillet 44 et de par le nombre d’occurrences de leur nom dans les annuaires allemands (exit les Schmitt et les Müller). Mille familles à retrouver et à interviewer, parfois caves et greniers à fouiller… Le soutien du prince Christian, ancien membre du JGr. 200 lui-même, fut un sésame précieux pour établir les contacts. Le premier nom de la liste était celui du commandant du JGr. 200, le colonel Hubert Kroeck, vétéran de la Légion Condor, décédé. Une correspondance sera trouvée chez lui dans laquelle il se disculpait d’avoir lui-même abattu Saint-Exupéry et dans laquelle il précisait que toutes les informations à ce sujet étaient consignées dans le journal de marche du JGr.200. Ce document était malheureusement détruit, mais cette information montrait que c’était enfin la bonne piste. Restait la longue liste et les annuaires qui finiront par amener à Horst Rippert qui reconnu les faits immédiatement, mais refusa de diffuser cette information de son vivant. Ce n’est qu’après deux années de requêtes qu’il finit par accepter que son témoignage soit divulgué.
Dernier Vol – Essai de reconstitution -31/07/44 Mission N° 33S176
Aérodrome de Bastia-Borgo. Lundi 31 juillet 1944.
8H45 environ, (entre 8 et 9h30 suivant les sources) le commandant Antoine de Saint-Exupéry décolle de Corse depuis le terrain de Borgo-Poretta, situé à une quinzaine de km au sud de Bastia, sur le F-5 B N°223 avec 6h00 d’autonomie pour une mission de reconnaissance photographique à haute altitude (10.000 mètres) sur le secteur de la Savoie et de la vallée du Rhône. La station radar allemande de Cannes annonce qu’un avion venant de Corse fait route vers la côte (Pemler Lander 2/93).
9H10 environ (exactement 25mn après le décollage), la station radar US Colgate, située au Cap Corse, annonce son franchissement de la côte vers Hyères (L. Werth 1948).
De 10h45 à 11h10 la station radar Falter allemande de Chazelles-sur-Lyon déclenche l’alarme sur Grenoble : passage au-dessus de la région grenobloise d’un avion de reconnaissance américain isolé. La population est déjà informée que les liaisons téléphoniques avec les postes de détections du midi de la France sont coupées (sabotages) et que l’alerte ne pourrait être donnée que par les services locaux, c'est-à-dire lorsque le danger serait imminent, les appareils survolant la région même. (Dr. F. Guy)
Vers 11h00 La station radar Falter allemande de Chazelles-sur-Lyon alerte la chasse de Lyon - Bron et d’Aix-les-Milles : un appareil isolé effectue à haute altitude des va-et-vient entre Annecy et Grenoble, puis il vire plein sud et disparaît des écrans (Fereyre 1975). Ils perdent son écho vers Draguignan (Pemler RN7). Les observateurs aériens allemands annoncent également un appareil isolé dans la région de Grenoble. Dernier contact visuel pouvant correspondre à cet appareil non identifié vers Castellane (Pemler Lander 2/93).
Vers 11H25 L’obergefreiter (caporal-chef) Horst Rippert (3./JGr200 Aix-les-Milles) décolle de Marignane sur Messerschmitt Bf 109. Mission : reconnaître et si possible attaquer une activité aérienne ennemie sur la bande littorale Toulon – Marseille (Rippert). Un sous-officier allemand servant une pièce de 88mm de la Flak à l’est de Toulon rapporte le passage d’un bimoteur (Pemler Lander 2/93).
Vers 11H30 Rippert aperçoit à Toulon un Lightning qui vole bas, en enchaînant des virages, vers Marseille. Marseille, but de la mission de Saint-Ex le 06.06.44, avortée à cause de problèmes majeurs au moteur gauche. Bénéficiant de l’avantage de l’altitude, Rippert le rejoint facilement, et l’abat d’un tir aux ailes entre Toulon et Marseille. (Rippert).
11H40 environ, le Lightning en feu pique verticalement de 3000 m vers la mer et s’y écrase (Rippert). Fait conforme à la déformation des vestiges (Castellano).
Vers 11H45 Rippert annonce sa victoire par radio (Rippert). Les Américains auraient entendu cette communication radio. Le sergent-chef Jacquemont, mécanicien photographe du II/33, apprend de deux officiers américains et note dans son carnet que la perte du F-5 B 223 serait due à la chasse allemande et qu’il aurait disparu en mer.
Vers minuit l’officier d’état-major Hermann Korth est informé de la destruction en combat d’un avion d’observation allié tombé en mer.
Luc Vanrell.
Citations :
Saint-Exupéry :
« Je finirai en croix dans la méditerranée »
Xavier Delestre, Conservateur Général du Patrimoine :
« A l’évidence, pour le journaliste il s’agit d’un véritable « scoop », pour l’historien de la reconstitution d’un fait d’importance nationale et pour l’archéologue, que je suis, un exemple extraordinaire de ce que peut apporter à l’histoire contemporaine une démarche archéologique. Quel exemple fabuleux que celui-ci qui, en partant de la mise en évidence de quelques fragments de tôle concrétionnés – sans intérêt pour beaucoup– parvient à solutionner l’une des plus mystérieuses histoires du XXe siècle. »
Bibliographie :
D’Agay F., Faurite B., von Gartzen L., Vanrell L., SAINT EXUPERY, REVELATIONS SUR SA DISPARITION Editions VTOPO
Vanrell L., Pradel J. : ST-EXUPERY : L’ULTIME SECRET, Editions du Rocher.
H. Vaudoit, Castellano P. & al. : SAINT-EXUPERY : LA FIN DU MYSTERE, Editions Filipacchi.
Bianco J., Cousin P. : LE MYSTERE ENGLOUTI : SAINT-EXUPERY, Editions Ramsay.
Von Gartzen L., Triebel C. : DER PRINTZ, DER PILOT UND ANTOINE DE SAINT-EXUPERY, Editions Herbig.
Grand prix du livre d'archéologie 2022
La grotte Cosquer révélée. Les secrets du sanctuaire préhistorique englouti - Ran-2022 Cet ouvrage richement illustré retrace l’histoire de la grotte Cosquer, site préhistorique orné unique au monde immergé au large des Calanques de Marseille. La cavité a été fréquentée durant des millénaires par des chasseurs-cueilleurs de la période paléolithique, entre -33 000 et -19 ...
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https://www.atlaspalm.fr/s56_p38-saintexupery.htm
Atlas PALM - P-38 de Saint Exupéry : Épave d'aéronef, Période contemporaine, Bouches-du-Rhône P-38 de Saint Exupéry : Épave d'aéronef, Période contemporaine, Bouches-du-Rhône
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