P.G. Photographie
Photographe à la recherche des monuments historiques secteur Grand Est, voir +
Porte de Sarrelouis
Porte monumentale construite en 1746 par Louis de Cormontaigne (date et attribution par source) à l'extrémité du Couronné d'Yutz et transformée en blockhaus dans le dernier quart du XIXe siècle, sous l'occupation allemande.
Temple protestant de Nouvel-Avricourt
L'annexion d'une partie de la commune d’Avricourt par l'Allemagne, en 1871, donne naissance à la colonie allemande de Deutsch-Avricourt l'actuel Nouvel-Avricourt. Se situant sur la ligne ferroviaire Avricourt-Dieuze, la gare de Deutsch Avricourt, point d’arrêt obligé entre la France et l’Allemagne, accueillent de nombreux fonctionnaires allemands de confession protestante (luthérienne) pour la majorité. La communauté protestante d'Avricourt a d'abord été desservie par le pasteur de Dieuze, dans un local mis à disposition par l'administration des chemins de fer. En 1894, un poste de pasteur auxiliaire est créé pour faire face à une demande croissante de la part des fidèles. Si en 1895, on dénombre 262 protestants pour 1015 habitants, en 1902 ils sont 550. Un premier projet dressé en 1885 par Leidig et dont la commune garde un plan est repris et modifié par l’architecte Josef Ernst. Véritable concepteur de l'édifice, cet architecte d'arrondissement de Sarrebourg, où il est actif de 1887 à 1918, a également réalisé les plans des temples de Sarrebourg (1899), d'Abreschvillers (1901) et de Dieuze (1903-1904).
Pont-écluse Sud du Couronné d'Yutz.
Le pont-écluse sud du couronné de Yutz est un pont français du département de la Moselle, situé sur un bras artificiel de la rivière du même nom. Il fait partie du territoire communal de Thionville et est classé aux monuments historiques depuis 1984.
Pour remédier aux fréquentes inondations de la rive droite de la Moselle, Louis de Cormontaigne fait creuser à partir de 1746 un canal de dérivation, dit canal des fortifications, constituant en même temps un nouvel élément de défense entre la double-couronne et le Couronné d'Yutz (date et attribution par source). Il est fermé à l'entrée et à la sortie par deux ponts-écluses, à 6 arches en anse de panier, achevés en 1752. Les ponts à piles carrées sont munis de grilles à l'amont et d'écluses à l'aval. Ils portent au 1er niveau un grand magasin à l'épreuve en prévision des temps de guerres et, au 2e niveau, de part et d'autre d'une route centrale, deux magasins plus étroits pour les temps de paix, simplement couverts en charpente. Si les deux ponts subsistent toujours, ce dernier niveau a été éprouvé par le temps. Seul celui du sud (classé MH) , a été récemment restauré sur sa face aval. Les radiers ont été en grande partie détruits en 1962 lors des travaux de canalisations de la Moselle.
Pont du Couronné
Le pont du Couronné ou pont-écluse Nord est un pont français du département de la Moselle, situé sur un bras artificiel de la rivière du même nom. Il fait partie du territoire communal de Thionville.
Contrairement à son homologue situé plus bas, il n'est (en 2016) ni inscrit ni classé aux monuments historiques, tout en étant en mauvais état.
Conçu par Louis de Cormontaigne, le pont est construit entre 1746 et 1752
Gare de Nouvel-Avricourt
La gare de Nouvel-Avricourt, autrefois appelée gare de Deutsch-Avricourt, est une ancienne gare ferroviaire française de la ligne de Noisy-le-Sec à Strasbourg-Ville, située près du village de Nouvel Avricourt, sur le territoire de la commune d'Avricourt (Moselle)1,2, en région Grand Est.
Mise en service en 1875 comme gare frontière à la suite d'une convention modifiant le traité de Francfort, elle perdit de son importance en raison du retour de la frontière franco-allemande à son tracé d'origine, puis de la fin de la traction vapeur entraînant la fermeture de son dépôt de locomotives. Mais c'est surtout la fermeture aux voyageurs de la ligne de Nouvel-Avricourt à Bénestroff, ainsi que la proximité de la gare voisine d'Igney - Avricourt, qui justifia sa fermeture en 1969.
Hop ce matin 📸 Shootings à Avricourt et cette après-midi Thionville !!
Hôtel de ville de Nancy
L'hôtel de ville est le plus grand des bâtiments de la place Stanislas. D'une longueur de 98 mètres, il occupe tout le côté sud de la place. Également nommé palais de Stanislas, il sert de mairie depuis sa construction.
Il a été construit de 1752 à 1755, à la place des hôtels de Gerbéviller et de Juvrécourt qui durent être détruits. Puis l'hôtel de Rouerke, un hôtel particulier voisin, a été démoli en 1890 pour lui permettre de s'agrandir.
Trois avant-corps, au centre et à chacune des extrémités, brisent la monotonie. Le fronton est orné des armes de Stanislas et du blason de la ville de Nancy. L'horloge centrale est encadrée de deux statues allégories de la justice et de la prudence. Plus bas, un bas-relief montre une jeune fille tenant un chardon, symbole de la ville depuis la victoire sur Charles le Téméraire. Les garde-corps du balcon reproduisent les armoiries de la famille Leszczynski, ils sont l'œuvre de Jean Lamour.
Portique du Parc de la Pépinière (XVIIIe siècle)
Placé tout près de la roseraie du Parc de la Pépinière de Nancy, un portique du XVIIIe siècle
appartient, depuis 1950, à l'ensemble de la statuaire répartie un peu partout.
Cette œuvre provient de la résidence Winstel de Custines où vécut Louis Guingot (1864-1944),
artiste-peintre à l’École de Nancy et inventeur du camouflage militaire en 1914.
Depuis 1917, la famille Guingot profita du parc situé à l'arrière de maison Winstel jusqu'en 1944,
date à laquelle un bombardement endommagea la demeure ainsi que son parc
où se trouvait le portique au thème religieux antique.
Désireux de le préserver, la ville de Custines racheta le domaine et fit don de l’œuvre
à la ville de Nancy, en 1950, charge à elle de l'entretenir et de lui trouver une place
de choix dans le Parc de la Pépinière où chacun peut encore l'admirer.
Un grand merci à mes nouveaux followers !
Valérie Noël Benni, Mona Lalaguna
Eglise Saint-Etienne de Belleville en Meurthe-et-Moselle 54
Monument à Jeanne d’Arc - Place Jeanne d’Arc
Le modèle nancéien est quelque peu modifié par rapport au modèle de la place des Pyramides à la suite des critiques qui avaient profondément affecté Fremiet. Le piédestal en granit rose des Vosges est peu élevé. Localisation à l’origine : Nancy, square La-Fayette, actuelle place Jeanne d’Arc (Meurthe-et-Moselle)
1883 : après lui avoir consacré une rue en 1867 à la demande des Lotharingistes, Nancy souhaite marquer son intérêt pour cette figure historique, ses liens avec la Lorraine et son attachement à la France. 1888 : un comité de souscription est constitué et le projet est confié au sculpteur Charles Jacquot de Bains. Il établit des plans et des dessins datés du 30 juin. Mais les événements ne lui permettront pas de mener la réalisation à son terme. La maquette qui n’a jamais été fondue en bronze rejoint le musée municipal. L’érection est tout de même autorisée par décret du 11 septembre. Devant les lenteurs de la souscription, un membre de la Société des Amis des Arts, M. Osiris permet l’acquisition pour la somme de 17 500 francs d’une statue de Jeanne d’Arc réalisée par Fremiet et exposée en 1888 au Salon. Le socle et le piédestal sont pris en charge par la ville pour 5 000 francs. 1890 : après déplacement de la fontaine, elle est installée place Lafayette et inaugurée le 28 juin, date anniversaire du sacre de Charles VII, en présence du donateur ainsi que du sculpteur et son épouse. Deux ministres sont présents et l’événement donne lieu à de grandes fêtes populaires relatées dans la presse locale et nationale. Les cérémonies ont lieu à l’église catholique, au temple protestant et à la synagogue. Le même jour une exposition sur l’iconographie de Jeanne d’Arc est organisée à la salle Poirel. 250 médailles commémoratives ainsi que des statuettes en bronze sont éditées. 1913 : l’aménagement définitif est réalisé grâce au legs de M. Osiris sur un plan de l’architecte municipal Jasson. L’entrée du square est encadré par deux chimères en bronze d’après les modèles du château de Pierrefonds moulés par Bussière. Le 25 avril la statue doit être légèrement déplacée, à cette occasion une plaque commémorative de la première inauguration est installée sous le socle dans un coffret d’acier. 1943 : les chimères disparaissent et sont remplacée par deux vasques de pierre.
Ville de Nancy
COLLÈGE DE LA CRAFFE
L’Institut et ses locaux, fondés en 1910, sont le résultat d’un acharnement de M. Ernest Bichat, un physicien dé- voué à donner l’espace nécessaire au progrès constant de ses élèves. L’histoire de cette école est marquée par de nombreux remaniements, tant au niveau spatial qu’ad- ministratif, mais reste discrète aux côtés de nombreuses constructions de l’époque d’avant-guerre. Ses caracté- ristiques architecturales sont donc le fruit de son histoire.
Le Moulin de la Croix
Il en est fait mention dès 1572. La canalisation de la Meurthe quelques années plus t**d a permis son plein essor...
L’eau entraînait les palles d’une grande roue, laquelle par un système de poulies, permettait à l’étage à la meule de moudre le grain, le tout produisant le « tac tac » coutumier des moulins, celui-ci s’accélérant lorsque le grain venait à manquer, par manque de résistance, d’où la chanson : « Meunier, tu dors, ton moulin bat trop vite...ton moulin bat trop fort... ». Mais les meuniers, réputés gros dormeurs, avaient inventé un ingénieux système pour être prévenus à temps, avec « un carré de bois posé sur le grain, relié à une clochette »: quand le niveau du grain baissait, la clochette se mettait à sonner
Au 19° siècle, se sont installées sur les rives du canal, une fabrique de draps, un foulon (moulin permettant de fouler les étoffes ou la laine), une minoterie et même des abattoirs ( actuellement bâtiments communaux,dans l’ancienne rue des abattoirs, renommée de nos jours rue Yvon Malpièce) .
En dessous du petit pont, se trouvait un lavoir auquel on accédait par quelques marches, aujourd’hui disparues. Longeant le canal, de l’autre côté de la rue, il y avait une « ruelle de la terre maudite ».
-aux-Salines
Kiosque - Parc de la Pépinière - Nancy
Kiosque octogonal avec un toit en dôme surmonté d’un lanterneau.
Alliance de fer et de fonte, annonce le style dit “nouille”, variante de l’art nouveau.
"Remplaçant une simple estrade, le kiosque de la Pépinière à Nancy, fut exécuté par l'entrepreneur Bary suivant les plans et devis dressés par l'architecte de la ville, Prosper Morey, le 4 septembre 1874, et achevé au printemps 1875".
MUSSAT, Marie-Claire, La Belle Epoque des kiosques à musique, s.l., Editions Du May, 1992, page 58.
Une réplique se trouve à Béthune.
Aqueduc gallo-romain (également sur commune de Jouy-aux-Arches) à Ars-sur-Moselle
L’aqueduc qui relie Gorze à Metz est un aqueduc romain construit vers le début du iie siècle. Il a été classé monument historique depuis la première liste de 1840, classement étendu en 1980 et 1990.
Divodurum (Metz) est la capitale des Médiomatriques, au croisement des axes sud-nord et est-ouest, c’est-à-dire sur les voies romaines allant de Lyon à Trèves et de Reims à Strasbourg. La ville, qui comptait environ 20 000 habitants au iie siècle, nécessitait un approvisionnement en eau de source pour alimenter les fontaines, les trois thermes romains, les latrines publiques et les artisans. Les points de distribution ne sont pas connus avec exactitude, car il n’en reste aucune trace. Les thermes du Carmel semblent être un endroit privilégié, mais Divodurum disposait d’autres aqueducs.
Hôtel de Ligniville
L’hôtel de Ligniville, ou de Lignéville, est un hôtel particulier de la Vieille ville de Nancy, situé au numéro 23 de la Grande-Rue.
C’est un édifice de style Renaissance, du XVIIe siècle. Une façade assez étroite mais toute en symétrie, avec de nombreuses sculptures sur toute la hauteur se terminant par deux gargouilles, lion et ours.
Partie classée, l’escalier renaissance sur cour est visible depuis le restaurant. Il reste dans la cour des traces du puits d’alimentation.
Le Lavoir de Belleville qui avait été restauré par la région.
Eglise Saint-Pierre
Église Saint-Pierre, construite en 1745 par l'architecte Mique (deux clochers, boiseries, stèles), inscrite aux monuments historiques par arrêté du 6 mars 1995
L'église est située dans le département français de Meurthe-et-Moselle, sur la commune de Rosières-aux-Salines.
Le Beffroi de Rosières-aux-Salines
Riche de son histoire au cœur du Pays du Sel lorrain la commune de Rosières-aux-Salines recèle d’autres merveilles architecturales et historiques à l’image de son beffroi du XVIIIème siècle, affectueusement appelé le « Ban-Ban », ou encore de son haras en activité depuis 1760. Situé à l’emplacement des anciennes salines de Rosières qui furent exploitées jusqu’au Siècle des Lumières, ce dernier est aujourd’hui un complexe équestre et un centre de formation et de reproduction.
La Fontaine de la Naïade de Metz
Au XIXème siècle, pour la distribution publique de l’eau on créa de nouvelles fontaines. Un anglais résidant rue Serpenoise, donna à sa mort 10 000 francs à la ville pour l’édification sur l’esplanade devant le Tribunal d’une statue à son nom. La Naïade que l’on nomme également “La Source” fut inaugurée le 14 août 1847. Le sculpteur de cette œuvre est Charles Pêtre, pseudonyme de Charles Pette né à Metz le 27 mars 1828 et décédé à Bourges le 30 octobre 1907, ville où il s’était établi après l’annexion allemande. Il est également l’auteur de deux bustes en bronze encadrant la Fontaine Vaudémont de Nancy.
METZ
Vestiges de la tour des Potiers d’étain.
Édifié au nord de la porte des Allemands dans le premier quart du XIIIe s., le mur reliant la porte des Allemands à la tour des Potiers d’étain était un mur de courtine. Par sa hauteur (8 m) et son épaisseur (3 m), il permettait de défendre la cité et de résister aux tirs de toutes sortes. Le mur actuel ne semble toutefois plus présenter son tracé originel. Écroulé une première fois en 1523 en raison de mauvaises conditions météorologiques, il est reconstruit en 1526, en même temps que le mur de fausse braie. Entre temps, la zone sert de carrière à ciel ouvert. D’après les vues anciennes, le tracé du mur semblait toutefois être rectiligne, ne présentant pas d’angles. Il est possible qu’une reconstruction du mur soit intervenue dans les années 1730 par L. de Cormontaigne, comme en témoignent plusieurs portes présentant un encadrement typique de cette époque. C’est à cette époque que la fortification est recouverte d’un rempart de terre.
METZ
Hôtel de ville de Saint-Quentin
L'hôtel de ville de Saint-Quentin (Aisne) est l'un des plus beaux exemples d'architecture civile du Bas Moyen Âge de Picardie. Il serait l’œuvre de Colard Noël, architecte valenciennois ayant œuvré sur le chantier voisin de la basilique de Saint-Quentin. Symbole des libertés communales, son architecture révèle une certaine influence flamande.
La construction de l'hôtel de ville de Saint-Quentin a débuté en 1331 et fut terminée en 1509. Le monument fut remanié pendant le troisième quart du xixe siècle et très largement restauré en 1926 après la destruction de la ville pendant la Grande Guerre, dans le style Art déco par l'architecte Louis Guindez.
Le monument est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 29 août 1984.
Église Saint-Éloi de Saint-Quentin
L'église Saint-Éloi de Saint-Quentin est construite en brique, elle est de style néo-gothique. Le portail de la façade principale est construit en pierre. Il est surmonté d'une rosace, copie d'une des roses de la basilique de la ville, rosace elle-même surmontée par un clocher qu'on ne distingue pas de la maçonnerie.
Église Saint–Eucaire
L'église Saint-Eucaire est construite entre le XIIe et le XIVe siècle à l'emplacement d'une précédente église de ce nom, mentionnée pour la première fois en 944. Son clocher du XIIe siècle est sans doute le plus ancien de la ville. D'aspect massif et carré, il est percé d'ouvertures romanes sur chacune de ses faces.
Un grand merci à mes nouveaux followers ! 👋🏼
Yvette Heidinger, Emli Lou
Le monument aux morts de Saint-Quentin dans l’Aisne
Le monument de la ville de Saint-Quentin, dans l’Aisne, est de forme tout à fait unique. Il est formé de dix colonnes sur lesquelles repose un linteau abritant trois bas-reliefs dont une frise de taille importante et un fronton recueillant les mots gravés « La ville de Saint-Quentin à ses fils morts pour la France ». L’ensemble fait penser à l’entrée d’un temple antique bien que les colonnes ne soient ni rondes, ni cannelées. Sur les colonnes, les noms des disparus Saint-Quentinois de la première guerre mondiale.
Moment le plus doux
Cette fresque est la plus grande de l’artiste à ce jour. Elle nous propose son personnage habituel à la bouche en forme de trèfle. Elle est entourée de fleurs, de papillons et d’un lapin rose. Elle a intitulée sa fresque «The sweetest time » ou « Le moment le plus doux ».
Saintquentin Aisne
Gare à Saint-Quentin
Epargnée par la guerre, la gare de Saint-Quentin fut détruite par un incendie en 1921. Reconstruite en 1926 par l'architecte Gustave Umbdenstock, en pleine période Art Déco, elle représente aujourd'hui un témoignage important de cette époque et de ce style, notamment par les décors intérieurs qu'elle abrite et plus particulièrement par la salle du buffet de la gare.
Porche d’entrée.
Les armoiries de Pierrevillers, d’azur à une croix de Malte d’argent, cantonnée de quatre croisettes recroisetées au pied fiché d’or, témoignent que ce village du Pays Messin faisait autrefois partie du Barrois. En novembre 1213, le Comte de Bar et de Luxembourg fit don aux chevaliers du Temple de tout ce qu’il détenait à Pierrevillers pour l’amour de Dieu et le salut de son âme. On trouve encore des traces et des vestiges de la présence des Templiers dans la commune, à l’image de la cour de l’ancienne commanderie et de son porche d’entrée.
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