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: Cueillette de champignons… soyez vigilant !

Attention cet que les balades en sous-bois ne se transforment pas en véritable tord-boyaux. Vomissements, maux de ventre, vertiges… les intoxications liées à l'ingestion de champignons ne sont pas rares.

Tout d'abord, apprenez les bons gestes lors de la cueillette. Petit tutoriel vidéo : bit.ly/3qW7Bma

Les conséquences sur la santé de ce type d’intoxications sont graves, voire mortelles. La plupart d’entre elles conduisent à une hospitalisation, souvent en réanimation.

Quelques conseils pour éviter les urgences...

- Ramassez uniquement les champignons que vous connaissez parfaitement : certains champignons hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles.

- Au moindre doute sur l’identification d’un des champignons récoltés, ne consommez pas la récolte avant de l’avoir faite contrôler par un spécialiste en la matière : ou association de mycologie.

- Ne donnez jamais à manger les champignons que vous avez cueillis à de jeunes enfants.

- Ne consommez pas de champignons identifiés au moyen d’une application de reconnaissance de champignons sur smartphone sans avoir fait confirmer par un spécialiste, en raison du risque élevé d’erreur : urlz.fr/nTOL

Si une quarantaine d'espèces de champignons sont toxiques en France, les réactions peuvent également provenir d'espèces comestibles contaminées par des bactéries, des pesticides ou encore des métaux lourds... évitez donc de ramasser des champignons à l'approche d'une zone industrielle ou d'une décharge.

Comme un seul vénéneux suffit pour être malade, il est conseillé de bien séparer toutes les espèces pour éviter une contamination.

Derniers conseils :

- Ne jamais manger crus les champignons cueillis dans la nature

- Consommez-les en petites quantités, bien cuits.

- Conserver les champignons au réfrigérateur (maximum 4°C) en évitant tout contact avec d'autres aliments et les consommer dans les deux jours après la cueillette.

N’hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien !

Eviter les : bit.ly/3DIv0iy
Liste des champignons comestibles : bit.ly/48Dp1Zt

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: Des citrons pour vous aider à dépister le cancer du sein

12 citrons pour 12 symptômes qui doivent vous alerter en ce lancement d'Octobre Rose.

Un zeste d'humour pour un sujet grave : l'association Worldwide Breast Cancer​ a eu pour idée de représenter les seins par des citrons avec des anomalies qui pourraient caractériser l'existence d'une tumeur maligne.

Peut-être ne le saviez-vous pas mais la présence d'une n'est pas le seul signe pouvant identifier le . Il en existe bien d'autres qui peuvent être "davantage vus que ressentis" selon l'association.

Ainsi, vous retrouvez sur l'image de la campagne les 12 symptômes qui alertent : bit.ly/2xeXT4S

Bien sûr, il ne faut pas oublier l' pour laquelle le meilleur moment est quelques jours après la fin des règles sauf en cas de ménopause où il est possible de le faire à n'importe quel moment.

Retrouvez une vidéo sur l’auto-palpation : https://urlz.fr/nQCE

Chaque année, le dépistage précoce du cancer du permet de sauver des milliers de vie. Plus un cancer du sein est détecté tôt, plus les chances de guérison sont importantes.

Grâce au précoce, la moitié des cancers du sein sont décelés alors qu'ils mesurent moins de 2 cm !

En cas de doute par la présence de l'un des symptômes décrits, l'examen clinique des seins chez un professionnel de santé est préconisé tous les ans dès l’âge de 25 ans.

Si le médecin confirme la présence inquiétante de signes de cette tumeur, il vous enverra faire une mammographie dont les résultats seront analysés par un radiologue.

Si celui-ci les juge anormaux alors il faudra effectuer une biopsie pour confirmer le diagnostic (prélèvement d'un fragment du tissu mammaire).

Entre 50 et 74 ans, même sans symptôme et autre facteur de risque, il est recommandé d'effectuer directement une mammographie tous les deux ans.

+ d'infos : bit.ly/3LL2pfT

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: Les bienfaits du miel pour votre santé

Très souvent, nous mangeons du lorsque nous avons un mal de gorge ou une extinction de voix.

Cependant, le miel est un produit naturel riche en vitamines, en minéraux et en glucose qui, ajouté dans votre alimentation au quotidien, peut être très bénéfique pour votre organisme.

Il existe plusieurs types de miel aux propriétés variées comme les miels à base de fleurs, de lavande et de châtaignier.

Ils ont tous des vertus qui leurs sont propres et satisferont les goûts de chacun.

Il y a beaucoup à gagner en remplaçant par exemple son sucre matinal par deux cuillerées de miel.

En effet, il permet de renforcer le système immunitaire, favorise la régénération des cellules et réduit le vieillissement de la peau grâce aux flavonoïdes : un antioxydant présent dans le miel.

C'est un antibactérien, anti-inflammatoire, et antiseptique ayant une capacité à retenir le magnésium et le calcium du corps.

Le miel se compose de 17% d’eau, de 79.5% d’hydrates de carbone et de 3.5% d’autres particules.

Il a des propriétés lubrifiantes sur les muqueuses de la bouche qui permet de calmer les irritations de la gorge en cas d' ou de .

Vous pouvez aussi l'utiliser comme soin capillaire : appliquez une noisette de miel dans votre main et frictionnez vos racines et vos pointes tel un masque qui permet de redonner brillance et vitalité au cheveu.

Mélangé à votre soin du visage, le miel peut calmer certains types d'acné.

Il est aussi réputé pour prévenir l'apparition d'une infection en l'appliquant sur une plaie.

Enfin, si vous cherchez une manière naturelle de guérir vos troubles du sommeil, pensez à boire une tasse de lait chaud sucré au miel.

D'autres produits de la ruche ont d'autres bienfaits tels que :

- La : propriétés anti-âge et propriétés réparatrices.
- Le : renforce les ongles et les cheveux.
- La : effets purifiants.

Important : il est recommandé d’en consommer avec modération et ne pas en donner aux enfants de moins de 24 mois et aux personnes souffrants de diabète car c'est un produit riche en sucres.

Privilégiez le miel vendu par des producteurs locaux pour une question de traçabilité.

+ d'infos : bit.ly/3RFQOPA

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: Quels sont les effets du café sur l’organisme ?

Consommé avec modération, soit 3 à 4 tasses par jour maximum, le café n'est pas nocif pour la santé. Au contraire, il peut même avoir des effets bénéfiques.

Une tasse de café contient de la , des vitamines, des minéraux comme le magnésium, le potassium et de l'acide phénolique qui fait du noir, sans ajout, un excellent antioxydant contenant zéro calorie.

Il peut améliorer la concentration, la vigilance et avoir un effet positif sur les performances sportives.

Les études montrent que le café augmenterait la pression sanguine. Au repos et à condition de ne pas avoir abusé de café, le rythme cardiaque diminue légèrement.

Le café diminue les risques d'un grand nombre de maladies : cancer de la prostate, de la gorge, de la peau, du foie ainsi que la leucémie, parkinson et le diabète de type 2.

Il diminue également le risque de dépression. Au moment d'en boire, de la (l'hormone du plaisir) est relâchée dans l'organisme.

20 minutes après avoir bu du café, la mémoire et le cerveau sont stimulés. Les pupilles se dilatent également. Un regain d'énergie temporaire a lieu.

Cependant, consommé à des doses élevées, le café peut nuire à un sommeil réparateur et provoquer de l'irritation et de l'anxiété. En effet, la caféine empêche la mélatonine (l'hormone du sommeil) de fonctionner correctement. Evitez donc le café après 17h.

Ne buvez pas votre café à jeun, un risque de brûlure d'estomac peut apparaitre.

Au-delà de 65°C, il brûle l'œsophage et favorise l'apparition de tumeurs, d'ulcères et peut aggraver le syndrome de l'intestin irritable. Attendez qu'il refroidisse quelques minutes.

Chez les personnes fragiles du cœur, le café peut augmenter le risque d'infarctus et de tachycardie.

Évitez d'en boire lors d'une grossesse et en cas d'allaitement car le café peut causer de l’irritabilité chez le bébé et perturber son sommeil.

+ d'infos : bit.ly/2OhcT6M

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: Douleurs au dos, tensions musculaires… Voyons les bonnes postures à adopter au travail

Des raideurs qui disparaissent après quelques étirements, une douleur lancinante à la nuque ou des doigts engourdis peuvent être des signes précurseurs d'un trouble musculosquelettique.

Ces pathologies qui affectent les articulations touchent de nombreux salariés, que ceux-ci exercent une activité physique ou sédentaire.

Les troubles musculosquelettiques se manifestent progressivement et peuvent passer inaperçus pendant de nombreuses années.

Vous devez donc apprendre à repérer les signes d'alerte, tels que : des raideurs au niveau des articulations (poignets, genoux, nuque, etc.), des de plus en plus fréquentes, notamment dorsales, une perte de force musculaire dans les bras ou les mains, une diminution de la dextérité lorsque vous manipulez des objets.

Ces signes sont souvent ignorés, jusqu'au jour où le reste bloqué ou que la douleur entrave les mouvements. C'est pourquoi la prévention est importante pour réduire l'inconfort et éviter ces risques.

Voici quelques gestes et postures à adopter sur votre lieu de :

- Tout d’abord, n’hésitez pas à vous munir d'une paire de lunettes de confort pour protéger vos yeux de l'écran.

- La tête doit être alignée à la colonne vertébrale. Tenez vous légèrement incliné vers le plan de travail (30°), mais toujours en gardant le dos et la tête alignés.

- Posez vos avant-bras sur le bureau ou sur les accoudoirs du fauteuil. Éloignez donc un peu votre clavier pour obtenir cette distance.

- L'angle optimal entre les bras et les avant-bras doit être de 90°. Remonter un peu votre fauteuil s'il est réglable ou utiliser un coussin sous vos fesses.

- Collez le bas de votre dos à la partie inférieure du fauteuil pour être le plus soutenu possible.

- Lorsque vous avez besoin de vous lever, prenez appui avec vos mains sur le bureau pour solliciter les muscles des jambes.

- Vos pieds doivent être posés bien à plat sur le sol. Si ce n'est pas le cas, utilisez un repose-pieds. Pensez également à vous dégourdir les jambes régulièrement.

- La souris doit être ergonomique et sans fil. Un repose-poignet peut permettre d'éviter certaines douleurs au poignet.

+ d'infos : bit.ly/3EJBgGe

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: Ne sautez plus le petit-déjeuner !

La scolaire est l'occasion de rappeler l'importance du petit-déjeuner, surtout pour les enfants. En effet, il devrait nous apporter (adultes ou enfants) 20 à 25% de notre apport énergétique quotidien.

L'ANSES recommande même des apports journaliers concernant les nutriments, vitamines et minéraux contenus dans les aliments. Ils sont indispensables au maintien de notre bonne santé.

Leur manque peut entraîner des carences et mener, par exemple, à une diminution de la concentration ou de la capacité à bien apprendre les leçons.

Exemple d'un -déjeuner équilibré :

- Une boisson chaude pour se réveiller et se réhydrater.

- Un produit céréalier :
Pain (50 gr) ou céréales (40 à 45 gr) qui apporte des glucides, des fibres indispensables à notre transit et des vitamines (B1 entre autres, bénéfique au fonctionnement du système nerveux).
Privilégiez les céréales natures ou le muesli, moins sucrées.

Un produit laitier :
Yaourt (125 gr), fromage (40 gr) ou lait (200 ml) pour l'apport en vitamines A et D et en calcium.
Pour une bonne croissance, les enfants entre 7 et 9 ans doivent en absorber 900 mg/jour et les ados 1200 mg/jour.
Un bol de lait ½ écrémé de 200 ml apporte 216 mg de calcium, un yaourt nature 175 mg.
Ne donnez pas de produit laitiers 0% à vos enfants car ils sont dépourvus de vitamine A et D.

- Un fruit (environ 100 gr) pour ses vitamines et ses fibres.

- Un peu de beurre (8 gr) ou de confiture (15 à 20 gr) peuvent bien entendu accompagner le pain.

Bien sûr, les grammages sont simplement là pour vous donner une idée des proportions.

N'hésitez pas à préparer le petit-déjeuner la veille au soir pour gagner du temps, et même le faire avec votre enfant pour l'impliquer : il aura davantage envie de manger le matin.

Pensez aussi à lui mettre un en-cas dans son sac à dos pour pallier à la fringale de 10h et lui permettre de retrouver facilement de l'énergie.

+ d'infos : bit.ly/3sJNVpL

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: Fatigue de la rentrée.. Et si c'était le syndrome post-vacances ?

On estime aujourd'hui que 20 % de la population éprouve chaque année une déprime saisonnière durant l'automne et l'hiver dont 35% de jeunes adultes à leur retour de vacances.

La faute à la disparition du soleil ! Son absence engendre de réels troubles.

En effet, des symptômes physiques et psychologiques peuvent apparaître tels que la , la somnolence, l'insomnie, un manque d'appétit, des difficultés à se concentrer, l'irritabilité, la tristesse..

Pour vous aider à passer ces saisons, quelques conseils pour ne pas sombrer dans la et retrouver la forme :

1) Stop au Métro-Boulot-Dodo
Accordez-vous des moments de détente et planifiez des sorties et des activités en semaine et le week-end.

2) Faites du sport
Vous retrouverez la forme.

3) Recherchez la lumière
Sortez le plus possible dès qu’il y a du soleil car notre organisme a besoin d’être exposé aux rayons lumineux.

4) Vitaminez votre organisme
Les virus et autres germes attaquent avec le retour de la fraîcheur... Alors, faites une cure de vitamine D, bénéfique à notre système immunitaire, mais aussi de magnésium et de sélénium.

5) Soignez votre apparence
Osez les couleurs, les décolletés et les jupes sous votre manteau et votre foulard. Prendre soin de son corps et de son apparence est un réflexe bénéfique au moral et au bien-être.

6)Évitez les grasses matinées le week-end
Se lever après 10 ou 11 heures le dimanche sabote le réveil du lundi, laissant une impression de fatigue.

7) Préserver une bonne régularité de son sommeil.

8) Surveillez votre alimentation
Fini les salades et les yaourts, vous avez repris un rythme plus calorique… Soyez raisonnable : privilégiez les potages, pensez aux fruits et aux céréales complètes.
Cuisinez vous-même avec de bons aliments de base. Et enfin, mangez du poisson deux fois par semaine pour leurs oméga-3.

Pour finir, pensez au millepertuis et si rien n’y fait ou si la déprime tourne à la dépression, n’attendez pas pour consulter...

Important : Ne pas confondre saisonnière et burn-out !

+ d'infos : bit.ly/3LebLjM

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: Les Hémorroïdes, comment les éviter ?

La crise hémorroïdaire est une affection courante, bénigne mais particulièrement douloureuse. Heureusement, des traitements existent.

Les correspondent à des varices internes ou externes situées autour de l'anus et peuvent se manifester par 2 types de symptômes :

1. Des douleurs, parfois violentes et intolérables, des brûlures, des démangeaisons, des élancements, mais aussi une sensation de pesanteur dans l'anus et de corps étranger.

2. Des saignements peu abondants qui résultent de lésions du réseau capillaire adjacent à la zone hémorroïdaire et qui doivent amener à consulter afin d'exclure des origines plus graves.

L'apparition des hémorroïdes est favorisée par l'hérédité, la constipation et la grossesse, en raison de l'hypertension veineuse qu'elle entraîne.

La sédentarité, une alimentation trop grasse, l'alcool, les épices et la chaleur peuvent en favoriser l'apparition.

Il faut s'efforcer d'éviter une stagnation veineuse ou une augmentation de la tension dans les vaisseaux anaux, à l'origine d'une dilatation des veines.

Pour lutter contre les hémorroïdes, il faut donc modifier certaines habitudes d'hygiène de vie :

- Éviter les excès alimentaires et une alimentation trop grasse, les épices, l'alcool et les excitants

- Lutter contre la en évitant certains aliments comme les féculents ou le chocolat et en privilégiant les aliments riches en fibres

- Pratiquer une activité physique régulière pour augmenter le retour veineux sauf vélo, moto ou équitation

Le respect de ces conseils peut calmer ou espacer les crises mais ce n'est pas toujours suffisant.

Il faut alors recourir à des traitements médicamenteux (laxatifs non-irritants, anti-inflammatoires ou veinotoniques, crèmes antiseptiques et anesthésiques à appliquer localement), voire à la chirurgie dans environ 10% des cas.

Les hémorroïdes peuvent être évitées ou réduites en suivant certaines pratiques et en adoptant un mode de vie sain. Voici quelques conseils pour les prévenir :

-Manger une alimentation riche en fibres
-Boire suffisamment d'eau
-Éviter de rester assis ou debout pendant de longues périodes
-Éviter de soulever des objets lourds
-Éviter les épices et les aliments irritants

Si vous avez des préoccupations concernant les hémorroïdes ou si vous présentez des symptômes persistants, il est toujours recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils et un traitement approprié.

N'hésitez pas à en parler à votre .

+ d'infos : bit.ly/3EnIejW

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: Les poux aussi font leur rentrée ! Comment s'en débarrasser ?

Les sont des de l’homme qui vivent dans les cheveux, les poils ou les vêtements.

Responsables de démangeaisons du cuir chevelu, les enfants sont les plus touchés et se les transmettent entre eux notamment à l'école et à la crèche, soit par contact direct, soit par échange de linge.

Mais les poux ne sautent pas !

Un traitement de l’enfant, mais aussi de son entourage, est alors nécessaire pour les éliminer durablement.

Le de tête ou pediculus humanus capitis est un insecte hématophage, ne mesurant pas plus de 4 millimètres et se nourrissant uniquement de sang.

Sa longévité est de 6 à 8 semaines, il est très résistant et s'accroche au cheveu grâce à ses pinces.
Ses endroits de prédilection se situent derrière les oreilles, dans la nuque et sur le dessus de la tête.

Les femelles pondent entre 4 à 10 lentes par jour pendant 3 à 4 semaines environ.
Ils peuvent provoquer des démangeaisons mais ne transmettent aucune maladie.

Comment s’en débarrasser ?

- Utilisez une lotion ou un shampoing -poux, efficaces pour tuer poux et pendant 3 à 4 semaines consécutives, suivi d'une deuxième application 7 jours après, afin d'éviter une ré-infestation.

- Passez un peigne à poux afin de retirer les lentes qui s’accrochent aux cheveux et vérifiez-les mèche par mèche ainsi que le cuir chevelu.

- Lavez les draps, les oreillers, les vêtements et les doudous à 60°C ou placez-les dans un sac poubelle fermé pendant 48h, avant de les laver.

- Pensez également à désinfecter les peignes et les brosses à cheveux.

- Il est important de vérifier toutes les têtes de la famille !

Important : pensez à avertir le lieu d’accueil de votre enfant (crèche, école...) pour que des mesures préventives puissent être prises et éviter ainsi l’épidémie.

Les idées reçues sur les poux : bit.ly/2bVDGEI

Votre est aussi là pour vous renseigner.

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