TEME-Kinésiologie

Pour une meilleure résilience...

La roue des émotions de Plutchik : un outil pour mieux se comprendre La roue des émotions de Plutchik : un outil pour mieux se comprendre Psychomédia Publié le 17 août 2023 La roue des émotions publiée par le psychologue américain Robert Plutchik en 1980 vise à organiser les émotions complexes et aider les gens à clarifier, identifier et étiqueter leurs é...

Une étiquette étriquée qui fait croire que parce que nous sommes classez différents ( dys ou HP ou tdah) nous sommes atteints de troubles.
Nous sommes différents, complémentaires et divergents...
Nous sommes bien plus que ce que l'on nous voudrait nous faire croire.

La dyslexie ne serait pas un véritable trouble neurobiologique, mais un atout dans l’évolution humaine Des chercheurs proposent un nouveau cadre pour aider à mieux comprendre les forces cognitives des personnes atteintes de dyslexie. Elles seraient spécialisées dans l'exploration de l'inconnu, ce qui…

La douleur ! 🫣
D'après plusieurs études, le traitement de la douleur par des anti-inflammatoires causeraient sur le long terme l'apparition de douleurs chroniques.
En effet, le corps répond à une blessure par l'expression de neutrophiles (cellules sanguines jouant un rôle prépondérant dans la guérison).
Les corticostéroïdes bloquent la réponse naturelle du corps et modifieraient la capacité de celui-ci à produire les cellules responsables de l'auto-guérison.
Réf : Jeffrey MOGIL McGill université

Le corps a ses raisons les labos en ont d'autres

Être soi-même... C'est possible et même nécessaire pour être en paix.

"La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où l’on en a pas, pour démontrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est là, pour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça, pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas.
La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître, s’effacer, se plier, dépasser, trop forcer.
Quand il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en paix.
Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en étant qui nous sommes, Vraiment."
Alexandre Jollien - "philosophe et écrivain suisse"

Ethan, 23 mois m'offre son dessin en fin de séance.
Merci Ethan!
"C'était ce qu'il avait de plus précieux et c'est à vous qu'il a choisi de l'offrir".
Merci Dolto

"Et Bonjour Béatrice !
Je vous souhaite tout pleins de bonnes choses pour cette année 2022
Et j'en profite pour vous présenter Marin né ce 29 décembre 2021 :)
Plus qu'une victoire pour une personne qui n'accrochait pas à la vie ( encore merci car depuis tout à un sens et est plus facile )"

Merci C.... et félicitations à vous, le meilleur est à(venir) le bonheur au présent.
Béatrice BAUDOUIN kinésiologue

" Si on oublie l'histoire, on est condamné à la revivre" disait Churchill.
J'ajouterais, si on ne comprend pas l'histoire, elle se répétera jusqu'à ce que l'on apprenne la leçon.
Bien sûr, le changement est inconfortable, mais
faire toujours la même chose et espérer un résultat différent relève de la folie "Einstein".
S'aider soi-même c'est aider l'humanité. Celle-là je ne sais si elle appartient à quelqu'un mais elle révèle un énorme potentiel.
Prendre la décision de mieux comprendre c'est se donner la chance de changer.
La kinésiologie est un outil pédagogique, à la portée du nourrisson comme de l'aîné, qui aide à comprendre,
à faire sens et
à trouver le chemin vers l'harmonie,
la santé mentale, et physique.
Si vous souhaitez transformer une crise en une extraordinaire opportunité, prenez rendez-vous avec un kinésiologue.
Sur PACA vous pouvez me joindre au 0668056868.
Je vous souhaite une excellente journée Béatrice BAUDOUIN kinésiologue

Le rythme de chacun commence dès la naissance. Le respect de l'autre aussi...

CORDON OMBILICAL

L'OMS met l'accent sur le clampage tardif ou le non clampage du cordon en tant que procédures physiologiques.
Attendre seulement une minute comme on peut l'entendre parfois n’est pas suffisant car le cordon n'a peut-être pas cessé de battre.
Nous savons qu'il a cessé de battre quand il devient blanc. Il est possible que ce soit après trois minutes ou 7, 11, 15 minutes. Cela dépend et prend habituellement entre 10 et 30 minutes.
Le cordon ombilical ne doit pas être pincé avant car tant qu'il bat, le placenta continue à insuffler du sang dans le corps du bébé. Ce sang est riche en nutriments et fournit une réserve de fer à l'enfant ainsi que des cellules souches très précieuses.
De plus, c'est une excuse parfaite pour laisser le bébé sur sa mère en peau à peau et favoriser ainsi le lien d'attachement.
C'est une assurance vie contre l’anoxie postnatale (manque d’oxygène). Si le placenta n'est ni pincé ni coupé, il peut continuer à fournir au nouveau-né une deuxième source d'oxygène. Les poumons du bébé peuvent ainsi prendre leur temps pour commencer à fonctionner parfaitement. Il ne sera pas nécessaire de faire pleurer le bébé ou de lui donner une petite tape dans le dos pour qu'il respire, il le fera petit à petit, étant pendant ces quelques minutes protégé du manque d'oxygène.
La nature a prévu que la naissance n'implique pas une course contre la mort, nous devons juste la laisser faire.

Source Maxime Dhinaut

Celine Marion Kinésiologie

Je vous recommande cette vidéo sur les HP et le syndrome de l'imposteur
https://fb.watch/7vu6CXo9Zo/

"Une mortalité inédite : il y a urgence à suspendre la vaccination" Le sociologue lance une alerte à tous : nous avons à faire face à une mortalité inédite et nous devons faire un moratoire sur cette vaccination.

A essayer

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L épigénitique une révolution qui a été moquée, ignorée, mais qui revient en force sur le devant de la scène...

Comment la dopamine contrôle nos gènes Dopamine, sérotonine… des messagers chimiques essentiels au fonctionnement du cerveau. Mais ils ont un autre pouvoir que l’on découvre à peine : celui d’influer sur l’expression des gènes au cœur même de nos neurones ! D’où, parfois, addictions et dépression.