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Pétition à signer et partager SVP

Pour une interdiction de la vente en animalerie de TOUS les animaux À l’attention du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Les achats impulsifs dits « coup de cœur » sont responsables de milliers d’abandons chaque année. Pour y remédier, la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter cont...

Le déterrage de blaireaux est une pratique sadique, cruelle et scandaleuse. Cela implique de consiste à terrifier, torturer et finalement, longtemps après le début de leur souffrance, tuer des milliers de blaireaux sans défense. Pourtant, cette pratique est légale en France. 🤮
NOUS pouvons agir ! simplement pour nous opposer Opposons-nous au déterrage en signant cette pétition lancée par l’
👉https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012

Il manque moins de 20 000 signatures pour que cette pétition soit saisie par le Sénat. Chaque signature compte. Votre signature compte. Merci pour ces animaux 🙏

PÉTITION / Signons pour l'interdiction de déterrage de blaireaux !
https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012
Public Sénat

Le Parti animaliste se mobilise pour soutenir la pétition de l’ASPAS contre le déterrage des blaireaux !

Au cours de différents évènements (distributions de tracts, manifestation…), nos équipes vont donner leur maximum pour que la pétition atteigne les 100 000 signatures.

La pétition : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012

https://mailchi.mp/parti-animaliste/le-parti-animaliste-se-mobilise-pour-soutenir-la-ptition-de-laspas-contre-le-dterrage-des-blaireaux

SOS !!! Big V Sanctuary a besoin d'aide !

Feed Big V Sanctuary animals, organized by Louise Griffin Hi, This fundraiser has been set up to raise funds buy food for the 150+ residents of Big… Louise Griffin needs your support for Feed Big V Sanctuary animals

" L'analphabète du 21ème siècle ne sera pas celui qui ne sait ni lire ni écrire mais celui qui ne sait pas apprendre, désapprendre et réapprendre. " Alvin Toffler

Pétition. Le parti animaliste se mobilise pour défendre les blaireaux Il fera signer une pétition contre le déterrage des blaireaux, « une pratique cruelle et barbare, incompatible avec la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles. »

Qu’apprenons-nous vraiment des zoos ?
Qu’apprenons-nous en regardant ces animaux pathétiques, abattus, en colère ou devenus fous ?
Qu’apprenons-nous au-delà des banalités affichées sur les écriteaux devant les barreaux, les douves ou les clôtures électrifiées ?
Nous apprenons que les humains ne sont pas des animaux. Nous apprenons que nous, sommes ici, et eux, là-bas.
Nous apprenons qu’ils sont là pour nous : pour notre plaisir, notre divertissement, notre éducation : pour « nous ».
Nous apprenons qu’ils n’ont aucune existence indépendante des nôtres.
Nous apprenons que notre monde est sans limite, mais que le leur est limité, contraint, étriqué.
Le concept central du zoo, et finalement, le concept central de toute cette culture, est que tous « ces autres » ont été placés ici pour nous, qu’ils n’ont aucune existence indépendante de nous ; que les poissons des océans attendent que nous les attrapions ; que les arbres des forêts attendent que nous les abattions ; que les animaux des zoos attendent là pour nous divertir.
Peut-être est-ce flatteur, d’un point de vue infantile, de croire que tout est là pour vous servir, mais dans le vrai monde, où de vraies créatures existent et souffrent, c’est assez pathétique de faire comme si personne ne comptait, sauf vous.
Derrick Jensen

Un été loin des réseaux sociaux pour plus de vie sociale.

Le vague à l'âme face au marasme ambiant. La nature souffre, suffoque de canicule en canicule. La guerre fait rage, les catastrophes naturelles rappellent à l’homme à quel point nous ne sommes peu de chose face aux éléments.
Je dois avouer être parfois très triste, fatigué de voir l’immobilisme de beaucoup d’entre nous, nous sommes acteurs et spectateurs du déclin inexorable de cette richesse animale. Le film de nos vies.
A mépriser le vivant l’humain en vient à menacer sa propre vie, cette chance inouïe d’être sur cette planète. Bien sûr, la vie humaine est difficile, les inégalités sont là, gagnent du terrain, nous n’avons pas tous la chance d’être nés sous les mêmes astres, mais pourtant, nous sommes tous une part de cet univers, mystique et infini. Une grande chaine humaine, animale et végétale ou les maillons se fissurent petit à petit.
Il est parfois difficile de voir la lumière tant l’espoir s’étiole comme les lucioles qu’on voyait jadis. Toute cette biodiversité qui s’écroule passera toujours après l’actualité des humains, pourtant que sommes-nous sans la nature ?
Beaucoup trop de gens minimisent le changement climatique, la perte de biodiversité, les conflits etc…

Pourtant nous sommes tous responsables de près ou de loin. Prisonniers d’une société de consommation qui nous consomme à petit feu.
Bien sûr que les lobbys, les plus riches de cette planète, les politiques ont une part immense dans cette catastrophe. Mais n’oublions pas que 20 % de la population de cette planète consomme 80% des richesses. A trop vouloir chercher les coupables on oublie parfois que chacun d’entre nous doit faire sa part. Les changements sociétaires sont nécessaires et urgents.

Je cherche mon réconfort dans chaque petite touche d’espoir , cette jeune chouette chevêche d’athéna née cette année qui se présente face à mon objectif est la parfaite métaphore. Cette photographie est à l’image de notre époque : une veille grange en ruine qui représenterait notre civilisation face à un nouveau né qui représente l’espoir d’un nouveau monde.

La nature est résiliante mais pour combien de temps ?

Prenez soin de vous.

🙏🏻

Quand les hommes prendront conscience que la souffrance infligée aux animaux dans les abattoirs est une ABOMINATION, peut-être qu’ils deviendront également plus humains vis-à-vis de leurs semblables…

Bretagne : le premier écohameau de maisons réversibles est sorti de terre Le groupe se réunit deux fois par semaine : une pour échanger sur l’opérationnel, et l’autre pour prendre soin des relations entre les membres dans un cadre qui permette à chacun de s’exprimer librement et sans jugement pour apaiser tous les sujets de tension. Ils ont aussi 1 journée par ...

Pétition pour interdire le transport des animaux au-delà de 30 °C Laisser perdurer ou interdire ? Chaque signature compte!

UN ÉTÉ AVEC MATTHIEU RICARD - Et si on arrêtait de faire souffrir les animaux ?

Aujourd’hui nous vous proposons de réfléchir autour du thème du bien-être animal.

>> https://spoti.fi/3JIbsf4

Élevages industriels, enclos de chasse, et abattoirs sont des obstacles de chaque instant au bien-être animal.
Avec 1400 milliards d'êtres sensibles tués chaque année à l'échelle mondiale, une souffrance immense est engendrée.

Cela dit, on assiste à un éveil des consciences : beaucoup d'entre nous ne tolèrent plus ce qui se passe, et veulent agir. Certains ont déjà franchi le pas en devenant végétariens ou même vegan. D'autres ont réduit leur consommation de produits d'origine animale.
Mais peut-on vraiment venir à bout de la souffrance animale ? Et si oui, de quelle façon ?

Brigitte Gothière, co-fondatrice de L214 Ethique et Animaux, Hugo Clément, journaliste et écrivain, et Matthieu Ricard, nous aident à y voir plus clair sur le sujet et nous donnent des pistes d'actions à entreprendre afin de mettre un terme à la souffrance animale.

Ensemble, oeuvrons pour le bien-être animal !
Laissons-nous inspirer, entraînons-nous au changement, et engageons-nous...

L'épisode est aussi disponible sur Apple Podcast et Deezer !

It's a cool morning, yet to reach 25⁰C, so the sheep are hanging around with the shepherd. They are all so musunderstood, sheep, chickens and shepherd's alike. Most either find them stupid, pointless or scary, it is so easy to prejudge with little understanding and no knowledge.

They all like each others company, nobody scared and nobody foolish. To understand animals really, it is necessary to forget yourself in the equation. We just get in the way, our ideas, our projected shortcomings, our prejudices and hypocrisy.

Stand back, stop judging, watch and listen, the world around us is amazing and the other earthlings are just as unique as us and waiting to be understood and appreciated.

Have a beautiful day everyone. Be kind.

Lui, c’est un blaireau. Il est intelligent, sensible et n’embête personne. Pourtant, des chasseurs français le traquent pour le massacrer. Mobilisons-nous pour le sauver !

Déjà chassé par tir de septembre à fin février, le blaireau européen (Meles meles) subit également la chasse par déterrage, autorisée à partir du 15 mai dans de nombreux départements français.

Cette technique de chasse, appelée "vénerie sous terre" est extrêmement violente : elle consiste pour les chasseurs à extraire les blaireaux de leur terrier, après plusieurs heures passées à creuser la terre avec des pelles, des pioches et des barres à mines. Pour cela, les équipages de vénerie utilisent des petits chiens qu’ils introduisent dans les galeries pour localiser les blaireaux et les acculer. Ces chiens sont souvent blessés par le blaireau qui cherche à se défendre.

Une séance de déterrage peut durer entre 2 heures et une journée entière : le stress infligé aux blaireaux est colossal et ils meurent souvent dans de terribles souffrances. Il est fréquent que des blaireautins encore dépendants de leur mère soient tués par les chasseurs. Mais cette pratique impacte aussi d’autres espèces, parfois protégées, qui peuvent habiter les blaireautières : chats forestiers, chauve-souris, loutres, ainsi que diverses espèces d’amphibiens et de reptiles.

En 2020, l’association One Voice avait enquêté sur le déterrage en s’infiltrant dans un équipage de chasse. Les images étaient particulièrement choquantes.

Les chasseurs justifient leur pratique en prétendant qu’il est nécessaire de "réguler" le blaireau, qui causerait des dégâts à certaines cultures. Mais pour répondre à cela, des solutions alternatives à la destruction sont depuis longtemps utilisées dans les départements qui ne pratiquent pas le déterrage, comme par exemple le Bas-Rhin, où le blaireau n’est plus tué de cette manière depuis 18 ans. La vénerie sur terre est absolument injustifiable aujourd’hui.

Le blaireau est inscrit à l’annexe 3 de la Convention de Berne. Ratifiée par la France en 1990, cette convention interdit "l’utilisation des moyens susceptibles d’entraîner localement la disparition, ou de troubler gravement la tranquillité des populations d’une espèce." La France ne respecte pas ces conditions car il n’existe aucune estimation précise des populations de blaireaux et que la vénerie sous terre peut impacter d’autres espèces.

Dans la majorité des pays voisins, comme la Belgique, l’Irlande, les Pays-Bas, le Danemark, le Portugal, l’Espagne ou encore l’Italie, le blaireau est un animal protégé et son déterrage est interdit.

La bonne nouvelle c’est que nous pouvons faire bouger les choses en signant la pétition officielle déposée sur le site du Sénat pour demander l’interdiction du déterrage des blaireaux. Voici le lien : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012?locale=fr

Signons et partageons massivement autour de nous ! Si cette pétition recueille au moins 100 000 signatures avant fin septembre, le Sénat devra se pencher sur notre demande, par exemple en créant une mission de contrôle ou en inscrivant cette question à l’ordre du jour d’un texte législatif.

Il s’agit d’une pétition officielle donc le processus de signature est plus long que d’habitude, mais c’est essentiel de le faire car c’est aujourd’hui la seule arme dont nous disposons.

Sisu Refuge nous parle de l'un de ses sauvetages....

«Il y a trois ans, nous avons dit au revoir à Strickland. 🐷💔

Je veux vous parler de ce petit porcelet car il a redéfini notre compréhension du mot "sanctuaire".

En mai 2019, un homme a vu un porcelet pendre d'un camion de transport pendant plus de 30 minutes. Lorsque ce petit porcelet est tombé sur l'autoroute, cet homme bienveillant s'est arrêté pour le sauver. Au moment où Strickland est arrivé jusqu'à nous, il était pratiquement paralysé et avait perdu le contrôle de la moitié inférieure de son corps. Nous avions tellement d'espoir pour lui, mais alors qu'il continuait de décliner, nous avons réalisé que nous ne lui donnions que des soins de fin de vie.

Nous l'avons câliné, bercé et emmené dehors tous les jours pour s'asseoir au soleil. Nous l'avons baigné et nourri à la cuillère et avons essayé tout ce que nous pouvions pour soulager son inconfort.

Nous n'avons eu que 10 jours avec Strickland et pendant ce court laps de temps, il a changé ma façon de gérer mon chagrin et a modifié notre mission. Les choses bougent si vite ici qu'on a à peine le temps de manger, et encore moins de pleurer correctement. La plupart du temps, nous devons aller de l'avant pour ceux qui dépendent de nous. Nous nous sommes engagés à faire le travail, et donc nous le faisons... même si nous souffrons.

Un travail dur, sale et épuisant émotionnellement. Un travail qui vous fait pleurer dans la cuisine, un travail qui vous donne quelquefois envie de jeter l'éponge - mais quoi qu'il y ait à faire pour réduire la souffrance de quelqu'un, nous le faisons. Indépendamment de ce que nous ressentons, ils ont besoin de quelqu'un qui se soucie d'eux et qui se bat pour eux.

Si nous pouvons sauver une vie et l'aider à vivre en sécurité, c'est important. Et si nous pouvons aimer quelqu'un même pendant un bref instant, cela compte aussi - car la bienveillance compte toujours.

Je ne sous-estime jamais rien, et si son histoire a pu changer un cœur ou un esprit, elle peut en sauver d'autres. Strickland était la victime d'une industrie qui ne se soucie pas des animaux, ni des personnes ou de l'environnement. Chaque fois que l'on mange, on choisit de soutenir ou non cette industrie. Et si l'on n'est pas vegan, alors on soutient l'exploitation de bébés innocents comme Strickland. Nous pouvons faire mieux, et nous devons le faire - pour lui et pour eux tous.»

(Texte et photo : Sisu Refuge)

« Il faut se méfier du bonheur superficiel où les gens sautent de joie, mais s’écroulent le lendemain. Le bonheur est plutôt quelque chose qui se cultive. Si nous sommes davantage mus par l'altruisme, nous sortons du carcan de ce sentiment exacerbé et de l'importance de soi. Nous ne sommes plus tout le temps préoccupés par ce qui va nous arriver en bien ou en mal." ~ Matthieu Ricard

Peut-on apprendre le bonheur ? Comment se préparer à la mort ? Pourquoi se connecter au monde avec altruisme ?

Retrouvez Matthieu Ricard, Emmanuelli, Vincent Munier et Yann Arthus-Bertrand lors d'un échange inédit pour le Grand atelier sur France Inter.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-grand-atelier/le-grand-atelier-du-dimanche-15-mai-2022-2681170

Une note rapide sur la supplémentation en vitamines :

Les véganes entendent souvent l'excuse : «Oui, mais les véganes doivent prendre des suppléments pour vivre.»
Étant donné que 99% des régimes alimentaires des populations occidentales sont très largement complétés, en quoi est-ce même un argument ?

Le pain que nous mangeons est enrichi de vitamines (par la loi dans certains pays) ; les jus sont enrichis ; des vitamines sont rajoutées dans le lait de vache pendant le processus de fabrication ; le sel de table contient souvent de l'iode rajoutée ; les animaux d'élevage sont nourris ou injectés avec des suppléments (dont la B12) ; les céréales du petit-déjeuner sont enrichies ; et à moins qu'ils ne travaillent à l'extérieur, tous les mangeurs de viande / produits laitiers / œufs doivent prendre quotidiennement un supplément de vitamine D.

Et n'oublions pas que les laboratoires pharmaceutiques n'ont pas attendu les véganes pour remplir les rayons des pharmacies de dizaines et dizaines de suppléments vitaminiques.....

(Illustration InsolenteVeggie)

Pourquoi est-il important de voter pour le Parti animaliste, dimanche ? Ce week-end, votez pour l’un des 421 candidats du Parti animaliste !

Ce dimanche 12 juin, vous aurez la possibilité d’envoyer un message fort en faveur de la cause animale.

Pour les animaux, un seul bulletin ! Votez Parti animaliste aux ! 🗳

Parce que ces séparations sont source de grandes souffrances pour les humains et leurs animaux, le Parti animaliste souhaite admettre les animaux de compagnie dans toutes les structures d’hébergement (EHPAD, hébergements d’urgence…).

Bonne fête des mamans à toutes 🌸
Prenez soin de vous en cette journée qui vous est dédiée. 💕

AA.

Vous pourrez voter pour un(e) candidat(e) du Parti animaliste dans la majorité des circonscriptions.

Face à ce gouvernement pro-souffrance animale, nous avons besoin de vous pour nous aider à faire passer un message fort pour les !

👉 parti-animaliste.fr/don

🐝 Aujourd’hui c’est la Journée mondiale des abeilles !
Pour cette occasion, nous souhaitons souligner leur importance pour la biodiversité.

Il existe 1 000 espèces d’abeilles en France métropolitaine.

Tout est question de pollinisation : elles ont un rôle important pour le bon fonctionnement des écosystèmes. En volant, elles transportent involontairement du pollen d’une fleur à une autre et assurent ainsi la pollinisation de nombreux végétaux et leur transformation en fruits. Environ 35% des plantes, légumes et fruits que nous consommons dépendent de la pollinisation.

🐝 Les abeilles contribuent au développement et à la durabilité de la planète, c’est pourquoi elles figurent dans les objectifs de développement durable des Nations Unies : https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/objectifs-de-developpement-durable/

Il existe de nombreuses raisons au déclin des abeilles : le dérèglement climatique, des parasites, des virus, la disparition de leurs habitats naturels liée à la monoculture et l’abus de produits phytosanitaires.

Lecture des photos de haut en bas puis de gauche à droite :
Abeille charpentière - © Claire Yon
Andrena thoracia - © Bastien Louboutin
Hoplitis perezi - © Bastien Louboutin
Abeille nomada - © Josépha Guender

Anthidie sept-épine - © Tarek Bayan
Halicte de la scabieuse - © Catherine Reymonet
Andrène de la scabieuse - © Jean-Laurent Hentz
Bourdon terrestre - © Tarek Bayan

Anthidie femelle - © Emeline Klimczak
Osmie rousse - © Tarek Bayan
Mégachile - © Hichem Machouk
Abeille cotonnière - © Marc Solari

Eucère allongée - © Hichem Machouk
Mégachile sculpturalis - © H.Dumas
Abeille cotonnière - © Catherine Reymonet
Bourdon des champs - © Daniel Rumo

Psithyre sylvestre - © Alex Dehalleux
Abeille charpentière - © Martineb
Halicte de la scabieuse - © BourrinOman
Eucère mâle - © Juliette Biquet

Hôtels à insectes - Un impact souvent désastreux On voit fleurir depuis quelques années le concept d'hôtel à insectes, érigés en solution écologique pour la préservation des insectes.

L'arbre à papillons, un faux ami pour ces insectes L'arbre à papillons, un faux ami pour ces insectes 2 images L’arbre à papillon, un faux ami pour ces insectes © PHILIPPE HUGUEN - AFP Publicité Camille Toussaint & Charlotte Legrand Publié le mercredi 14 août 2019 à 08h32 Facebook Twitter WhatsApp Facebook Messenger Pinterest LinkedIn Emai...

Le rare superbloom du désert du sud de la Californie, aux États-Unis. Pas Belle la nature ??
Un superbloom est un phénomène botanique rare du désert où une quantité exceptionnellement importante de fleurs sauvages dont les graines sont restées dormantes dans le sol désertique germent et fleurissent à peu près en même temps. Cet événement est associé à une saison des pluies particulièrement humide et certaines conditions spécifiques sont requises. Le désert doit recevoir des précipitations en automne, et cette pluie doit pénétrer profondément dans la matrice du sol afin d’atteindre la majorité des graines dormantes des plantes à fleurs.