Dalidaark
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10 bières pressions (classiques belges, locales, artisanales), des shots, des vins, des expos, de la musique, des concerts, des fêtes de quartier! Happy Hour du mardi au vendredi de 19h à 20h!
Dalidaarkers, dalipioteurs et loupidarkeuses, aujourd'hui, l'heure est un peu plus grave que d'habitude. En effet, depuis un an jour pour jour, une rumeur se répand de bars en bars, de bouche à oreille, de maçons non déconstruits à bambinaires du ghetto. Rumeur à laquelle, en tant que camarade patron, je me dois de répondre. Pas pour justifier la clivance avérée de ma personne, de mes actes ou de mes positions, mais pour une fois encore défendre cette humble bicoque et les gens qui y travaillent.
J'ai longtemps hésité à publier ce message, parce qu'il n'y a pas de bonnes manières de se justifier de telles accusations. Parce que rendre la rumeur publique, c'est la faire encore un peu plus exister, lui donner du corps, avec toutes les conséquences imaginables sur la fréquentation et l'activité du bar. Mais tant p*s, je prends le risque.
Il y an un an, le restaurant chilien qui nous fait face fêtait l'Indépendance du Chili, c'était la soirée de fin de Fifigrot, et le bar hébergeait un karaoké au profit d'une pas assez célèbre équipe sportive féminine. La rue était fermée et bondée, emplie tu l'auras deviné de tous les prix nobels de la ville, souvent "étrangers" au bar, à ses us et coutumes et à ses codes. Ce soir là, deux types au regard bovin et à l'âme simpliste ont refusé d'être encaissé par Noah. De là à penser que ce refus transpirait de légères fragrances de transphobie et/ou de mépris de classe, il n'y a qu'un pas que nous ne franchirons pas.
Parce que tu nous connais peut-être. Not all men, présomption d'innocence, séparer l'artiste de son oeuvre, on peut plus rien dire, salafistowokisme hors d'Europe, caméras de surveillance de la mairie, tribunal du net, plaidoyer légaliste à la con, tout ça fait partie de nos premières préoccupations.
Bref, on a demandé à ces deux joyeux drilles de partir. Ce qu'ils n'ont pas fait, sinon ce serait pas drôle. Ils ont choisi d'obstruer l'entrée du bar déjà bien bouchée, pour entamer un débat démocratique sur pourquoi on les avait virés. Plutôt que de répondre à leur participative requête, nous (l'équipe en présence et moi) les avons vivement réinvité à partir. Sous les yeux de mes collègues, qui se soucient régulièrement et je les en remercie de ma fragilité, je suis sorti du bar pour employer des termes un peu moins patients et un peu plus radicaux. A ce moment, une jeune fille au moins aussi en forme qu'eux (c'est à dire la narine frétillante, un oeil qui dit m***e à l'autre et tous les sens en éveil) est apparue, nous a dit que c'était dégueulasse de les virer, que c'était des habitués du bar, tout ça tout ça, puis a disparu, un peu comme à Lourdes.
Etrangement, on les avais jamais eu avant, parce des VIP comme ça, on s'en serait souvenus. Bref, ils ont fini par partir, de manière provocatrice et théatrale, avec moi qui les suivait au cul sans m'être il est vrai préoccupé de leur consentement. Avec véhémence, l'un des deux a même essuyé une tentative de gifle tant il commençait à me gonfler, il a ensuite dit qu'il reviendrait porter plainte. Il y a eu au moins sans exagérer une cinquantaine de témoins de la scène, dont l'équipe qui travaillait ce soir là. Mais ce qui aurait pu et n'aurait dû être qu'une anecdote comme il en existe plein et trop au sein d'un bar de quartier un soir de rush va prendre une tout autre tournure.
Le lendemain, ou le surlendemain, une jeune femme qui joui visiblement d'une reconnaissance dans certains bars puisqu'elle y propose régulièrement ses services, envoie un message privé sur Instagram, et nous informe donc qu'elle n'était pas là, qu'elle a appris par une amie, qui n'était pas là non plus, qu'une amie de cette amie avait été agressée physiquement, plaquée contre une grille et rouée de coups par le patron du bar La Loupiote.
Moi, donc.
Cette amie serait tellement traumatisée par les violences qu'elle a reçues, qu'elle n'oserait même plus traverser la rue où se trouve le bar.
Léger froid, overdose de fun.
La personne qui a envoyé le message a bien évidemment présenté qu'elle n'avait aucune malveillance vis à vis du bar, et qu'elle intervenait en médiatrice au nom de la sororité et des VSS. Rien d'anormal, jusqu'ici. S'en sont suivis quelques échanges par messages dont il doit rester traces (en tous cas moi je les ai gardés), y compris plusieurs vocaux à destination de la victime. Victime qui était en fait la personne qui s'était offusquée qu'on vire ses deux relous de potes.
Sans bien évidemment nier que cette personne ait pu recevoir une agression durant sa soirée, j'ai affirmé sans réserves que cela ne pouvait pas avoir eu lieu devant le bar ou à proximité, et que cela ne pouvait être mon oeuvre puisque la rue était pleine de témoins de la scène, y compris mes collègues, qui ne sont pas connus pour être de grands soutiens des VSS. Fin du débat.
Dans les jours qui ont suivi, cette médiatrice a reçu le témoignage d'une personne qui travaille au bar et de d'autres gens qui étaient présents, et qui lui ont bien évidemment confirmé qu'il ne s'était rien passé d'anormal devant et à proximité du bar. Tout ceci, à notre niveau en tous cas, aurait donc dû s'arrêter là.
Sauf qu'un an plus t**d, cette personne, médiatrice devant l'éternel, continue de dire à qui veut bien l'entendre, accompagnée il est vrai par quelques personnes connues pour leur bienveillance objective à mon égard et à celui du bar, que j'ai bien agressé vigoureusement et physiquement une jeune fille.
Je vais tenter d'être bref, et le plus pondéré possible. Peut-on sincèrement penser que j'ai pu savater une jeune femme devant ou aux abords de mon bar sans que personne ne soit intervenu dans la foule ? Que ses deux potes, aussi chancelants furent ils, n'aient pas au moins tenté de la défendre ? Qu'avec la clientèle de feminazguls adorées qui constitue le bar, je ne me sois pas fait cancel et voué aux gémonies dans les heures qui auraient suivi cette agression ? Que mes deux collègues, avec le pédigré qui sont les leurs, témoins pleins et entiers de la scène, aient pu taire mes violences au seul et unique profit de maintenir leur emploi ?
Ai-je déjà usé de violences physiques au sein de mon établissement ? Oui, cinq fois en cinq ans, parce que par cohérence idéologique je n'appelle pas les flics. Une est d'ailleurs détaillée sur un avis google que je n'ai jamais tenté d'effacer. A chaque fois envers des hommes, qui avaient menacé ou altéré l'intégrité physique ou la santé mentale de collègues ou de clients. A chaque fois devant témoins. Et si c'était à refaire, je le referai sans la moindre hésitation. Parce qu'au regard de la loi, même si ce n'est pas moi qui la vote ni l'écrit, je suis le responsable légal de la santé des gens que j'emploie. Et aussi parce que je ne laisserai jamais une personne menacer ou en agresser une autre au sein de l'établissement dont je suis responsable.
En assumant pleinement les conséquences de ces violences administrées. Autant sur le plan légal qu'économique. D'ailleurs, aucune de ces personnes n'a jamais porté plainte, parce que le lendemain, le bo**ré relou sait au fond qu'il a mérité son sort. Sans en faire l'apologie, cinq violences administrées en cinq ans, c'est un ratio très faible pour un bar comme le nôtre qui ne dispose pas d'agent de sécurité. Je comprends que ça puisse choquer, les relations et les réactions à la violence ne se discutent pas, tout le monde a son vécu et sa sensibilité à ce sujet.
Mais l'alcool ce n'est pas de l'eau, la drogue c'est pas du lait, et les établissements de nuit ne sont pas un monde de bisounours. Et quand la diplomatie est un échec, la violence est parfois nécessaire pour garantir la sécurité de tous et toutes. Je l'assume, et le revendique pleinement. Mais je le redis haut et fort, et sans la moindre ambiguité, ce soir là, aucune femme n'a été agressé devant le bar. La vérité est ailleurs.
En cinq ans, mes collègues et moi même avons viré des dizaines et des dizaines de personnes, avons plus ou moins mentionné à certains et à certaines qu'ils n'étaient plus désirables. Pas parce qu'on aimait pas leur gu**le, ou parce qu'il portait un maillot du stade toulousain, mais bien parce qu'ils et elles avaient eu un comportement que nous avions évalué comme inadapté ou problématique.
Pour vol, forcing, séduction agressive, harcèlement, agressions sexuelles et sexistes, homophobie, racisme, mépris de classe, exhibition, chantage affectif et/ou au su***de, dramas intempestifs, stupidité au dessus de la moyenne tolérée, et quelques hippies aussi.
Issus de toutes les catégories sociales, de tous les genres, de toutes les orientations sexuelles, de toutes les communautés. On a même eu quelques militants et militantes connues, ou des médiatrices intermittentes de VSS, qui visiblement parfois oublient les racines de leur combat au profit de leur pulsion. Et oui, porter un t-shirt act-up chaque jour que dieu fait n'est pas un totem d'immunité, ni un alibi.
N'étant ni flics ni juges, on a jamais "outé" quoi que ce soit en dehors du bar. Pour le moment, puisque parmi les gens qui répandent ce type de rumeurs à l'endroit du bar, il y a surtout des gens qu'on a viré. Et qui transpirent le seum pour certains et certaines depuis plusieurs années.
Pour finir, je vais rappeler ce qu'est et ce que n'est pas ce bar. Celui que je dirige, et que je défendrai quoi qu'il advienne avec tous les gens qui y travaillent au moins autant que moi. Le Dalidaark est une entreprise, pas un bar associatif, et puisqu'il doit dégager chaque année 200000 euros de masse salariale, oui l'argent l'intéresse, bien qu'il vende des milliers de pintes de schlagues à moins de 5 euros. Le Dalidaark n'est pas une safe place, parce que les safe place n'existent pas. NULLE PART. Il peut t'arriver n'importe quoi, partout, malgré la vigilance accrue d'un personnel sensible à ces questions. Le Dalidaark n'est pas un bar q***r, pas un bar militant, pas un bar antifa, pas un bar LFI, pas un bar à beergeeks, pas un bar identitaire, pas un bar communautaire, pas un bar bienveillant, pas un bar à slogans, pas un bar à étendards, pas un cabinet de psys, et les gens qui y travaillent ne sont pas tes amis.
Nous n'avons jamais capitalisé un concept sur une idéologie ou une communauté déjà suffisamment précarisée, parce que ce serait du macronisme. Avec tout celà, le Dalidaark est-il un bar apolitique et malveillant ? On te laisse y méditer.
Aux théoriciens et théoriciennes du grand remplacement, le Dalidaark est juste un bar de quartier, accueillant des gens de manière à peu près inconditionnelle si ils et elles n'ont pas de casseroles au cul. Nos chouchoux et les habituées que nous chérissons, nous ne les avons pas choisi en fonction de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou de leurs couleurs. Ils sont nos chouchous, chouchoutes et habitués parce qu'ils et elles ont compris sans qu'on leur explique l'essence même de ce bar. UN SIMPLE BAR DE QUARTIER QUI N'ACCEPTE PAS QU'ON L'EMMERDE.
Pour finir, les violences sexistes et sexuelles sont plus que réelles au sein des bars. Ce n'est pas spécifique à Toulouse, pas spécifique à la France, c'est mondial. Dans notre chère ville rose, les lieus hébergeant ou cautionnant les VSS en employant ou en hébergeant des m***es sont connus. Et si on dit que les dénonciations des victimes brisent des carrières et ferment des lieus, c'est faux, ces lieus sont souvent plein, parce que la mondanité humaine prime souvent sur un militantisme qu'on qualifiera en toute nuance comme strictement opportuniste et instagrammable.
Le Dalidaark n'en fera jamais partie. Préviens ta troupe, le menacer ou le calomnier comporte des conséquences. Avertissement plus qu'un divertissement.
Merci d'avoir lu ce pavé. Si tu penses le bar coupable ou complice de VSS, ne viens pas. On ne t'aura pas convaincu, et dans le monde dans lequel on vit, on le comprendra. Si tu nous soutiens, ne le fais pas par écrit ou en commentaires, les réseaux sociaux ne sont pas la vraie vie. Continuer de venir est le meilleur gage de confiance et le meilleur moyen de nous soutenir. Comme vous êtes déjà si nombreux et nombreuses à le faire.
Bisou, si con senti.
Le quiz du cistruc sur le thème "Make America Great Again", c'est dans une heure.
Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Pour rappel, ce soir y a concert chez nous. Ils nous viennent de Belgique, et réalisent la performance de crier et dd te faire danser. Screamo, Électro, c'est et c'est bien.
Pour assurer la première partie, ***de va ptet grinder un peu fort.
2PHOQUES (BE)
Il arrête de pleuvoir entre 20 et 21h, donc rien ne te retient, avec tes cousin(e)s.
Et sinon, demain, oklm, y aura le quiz du cistruc sur le thème "Make America Great Again".
Quiz patronal du cistruc "Make America Great Again !"
Bisou, si con senti.
Dalidaarkers, le nouvel album de Manu Chao est sorti !!!! Et bizarrement, on en a rien à fo**re.
Voilà, c'est tout. Bientôt, on vous dévoile notre nouvelle carte des vins. Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Petit rappel des événements cette semaine.
Samedi, Concert de et d'un guest bien connu de notre humble bicoque (***de ). Screamo, Disco, Noise. Dansable easy si t'as autant de noirceur que nous dans le coeur.
2PHOQUES (BE)
Et dimanche, 20h30, quiz patronal du cistruc autour du thème "Make America Great Again".
Quiz patronal du cistruc "Make America Great Again !"
Ça va être fin. Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Non, rien. Bienvenue à Dalidaark.
Dalidaarkers, vous aurez remarqué un léger rafraîchissement de la température. C'est pourquoi, à la demande générale du bon peuple du Schlaguistan, il est de temps de raviver les quizs patronaux. Cette saison, ils auront lieu le dimanche. On commence la semaine prochaine, avec la thématique "Make America Great Again". Sinon ce soir rien de spécial, tu peux venir chiller dans la quiétude.
Quiz patronal du cistruc "Make America Great Again !"
Bisou, si con senti.
Il fait beau. Même pas froid. Oriane à la playlist. Il reste un soupçon de Polly's. On a de quoi te mettre bien, toi, tes cousin(e)s et tes chienchiens.
Bisou.
Chatons, chatonnes, dalidaarkers, cette soirée en compagnie d'Aaron, brasseur de , fut un enchantement pour nous. Même si ce fût toujours le cas quand nous convions des brasseries à être nos hôtes, c'est toujours réconfortant de constater qu'au-delà de la bière, nous parlons le même langage. Un bout de claquos au bord du comptoir, un bon son, une bonne bière, pas le temps de se pa****er sur des quilles à 45 boules pour prendre du plaisir et critiquer le monde avec désinvolture.
Merci à vous d'avoir joué le jeu, même celles et ceux qui n'ont habituellement que le budget pour boire de la schlague. Vous avez réservé un superbe accueil à notre hôte, et vous nous avez honoré de votre présence et de votre enthousiasme.
Il reste un peu de plein de trucs, sauf la collab qui est partie vite mais on a d'autres fûts, alors rien ne te retient. Hier comme demain, viens, et ramène tes cousin(e)s.
Les bières de nos amis gallois de chez Polly's sont branchées. On a accueilli Aaron, le brasseur, à la Saint Bon Chien. Du coup il est allé faire une petite sieste. 6 bières de la brasserie coulent de nos robinets : 5 houblonnées et une sour. Pour agrémenter l'offre, un fût de Saint Bon Chien 2021 et un gros pétrole à 13 volts de chez Wild Leew. Et pour les indécrottables, il y a la schlague et la taquine. Noah aux commandes des tireuses, Julian de corvée de beergeeks. Viens, et ramène tes cousin(e)s.
La braderie, les bizus, Michel Barnier, la Caporal à 9 euros, Jean Amaury Barricade subventionné par son daron qui bosse à la préfecture mais f**ke des fois le patriarcat...
Le monde va mal, et nous regardons ailleurs.
Une seule solution : la schlague.
Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Chers chatons et chatonnes chouchous, hier, pour le concert de Trait d'Union et de Katarsi, on s'est fait démantibuler et déborder. On regrette que vous ayez dû autant attendre pour avoir votre Schlague. En tant que camarade patron cistruc, j'assume la responsabilité de cette défaite, en me retirant de la vie comptoiristique pour au moins quelques heures. Mais quand même, viens, et ramène tes cousin(e)s.
Toulousains, toulousaines, on commence à vous connaître. Premier jour vaguement pluvieux post été et post rentrée, tu vas pas vouloir sortir de chez toi. Ça sent le combo Netflix pizza sodebo. Mais te rends tu compte du risque que tu fais courir au petit commerce, au petit patronat opprimé par les charges et au capitalisme éthique et responsable ? Souhaites tu que le Dalidaark se décentralise à Brest ou à Roubaix, dans des régions oú qu'ils pleuve ou qu'il vente, les schlagues viennent à la nage.
A méditer. Achète toi une personnalité (devant une bonne pinte de Schlague) et viens, avec tes cousin(e)s.
Ouais, ouais, c'est la rentrée. Reprise des concerts pour nous ce jeudi. On oublie pas. Et les autres événements de septembre non plus. Pour les biéreux curieux, on a ajouté la liste des bières percées le soir du TTO avec Polly's.
Katarsi (Punk-pop//Bilbao) & Trait d’union (Coldwave//Toulouse) jeudi bo**el !
TTO Polly's Brew à Dalidaark en présence du brasseur le 12 bo**el !
2PHOQUES (BE) le 21 sapristi !
Viens, ça va être bien.
Nous sommes le 32 août, et la rentrée est un concept complotiste. Par ailleurs, nous n'avions jamais accueilli autant de monde en août. Merci aux chouchous d'hier et d'aujourd'hui d'investir notre antre de la culture populaire et de la gentrification.
Oriane aux tireuses et à la playlist, sans pluie. Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Jeudi. Reprise des concerts, sois là, avec tes cousin(e)s.
Katarsi (Punk-pop//Bilbao) & Trait d’union (Coldwave//Toulouse)
Nos clientes chouchoutes ont du talent.
Viens, sans ton sarouel, et ramène tes cousin(e)s.
Comme dit précédemment, c'est le retour des concerts dans ton Dalidaark. Prévois ton éventail, et tes bouchons d'oreilles.
Katarsi (Punk-pop//Bilbao) & Trait d’union (Coldwave//Toulouse) le 5 septembre.
Katarsi c'est le projet plus "pop" mais tout aussi énergique de Kepa, le chanteur de Gurs.
Trait d'Union c'est le projet d'un capybarman intermittent, qui fait dans le banger coldwave biberonné à la Oï. Voilà, ça va surbuter tout.
TTO Polly's Brew à Dalidaark en présence du brasseur le 12 septembre
Là c'est pas un concert, mais on va picoler des boissons saturées en houblon avec l'accent gallois, ça va être intelligent.
2PHOQUES (BE) le 21 septembre
Do you know le screamo disco ? C'est belge et c'est bien. Tu peux écouter sur bandcamp ici :
https://2phoques.bandcamp.com/
Voilà, viens, et ramène tes cousin(e)s.
On communiquera sur la reprise des concerts en septembre demain, après l'orage.
D'ici là, le Dalidaark demeure un pinacle pour les âmes de qualité. Oriane aux commandes de la playlist et des tireuses. Les vrai(e)s sachent.
Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Terrasse du Dalidaark be like.
Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Ceci n'est pas une œuvre d'art comptant pour rien en vente dans un tiers lieu alternatif inclusif au service des lois antisquats. Toute ressemblance avec un tir à balles réelles à destination d'une maison bariolée du quartier qui a inventé le prix libre à partir de 15 euros est tout, sauf fortuite.
Non, c'est juste une machine à glaçons. Le patronat a cédé face à la pression sociale.
Voilà, c'est tout, viens, et ramène tes cousin(e)s.
Toi aussi, comme Nestor, tu cherches la lumière dans tes hydratations massives et dépourvues de sens. Dalidaark, même sans ampoule est un phare dans ton errance.
Viens, et ramène tes félin(e)s.
La Toulousie en état d'alerte maximale. Mais pas chez nous. Oriane et Noah ont la science du refrain.
Hier, aujourd'hui comme demain, viens, et ramène tes cousin(e)s.
Si y a de la place sur la terrasse, c'est parce que tous nos chatons chatonnes chouchou sont à Lourdes. Ou à Aurillac...
Viens, et ramène l'esprit Saint(e).
Ce soir, Noah, enfant de chœur béni par les anges et le Christ, sera bel et bien là pour vous hydrater, vous qui fêtez forcément la montée de la vierge vers les cieux.
On peut plus rien dire, ni s'approprier ce qu'on veut. La fin du monde est proche.
Viens. Et ramène tes pélerin(e)s.
Il pleut pas hein. Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Vous aurez sans doute reconnu son sourire carnassier, à l'extrême gauche (juste pour l'occasion) sur la photo. C'est Julian, notre couteau suisse caviste radical centriste, adoré par les brasseurs locaux et par la mode. Il a rencontré les gens qui travaillent à la brasserie au Pays de Galles. L'occasion de réaliser une bière, très houblonnée forcément, qui vous sera présentée lors d'un TTO en présence d'Arron, le brasseur, le jeudi 12 septembre. Au moins six becs réservés pour l'occasion. Arron vous parlera de ses breuvages. Brasseurs et brasseuses, néophytes ou non, aficionados inspiré(e)s de la brasserie, le rendez-vous est pris. Les différentes bières seront révélées au fût et à mesure, jusqu'au grand soir.
Évent ef détails sur fesse de bouc.
TTO Polly's Brew à Dalidaark en présence du brasseur
Viens, et ramène tes cousin(e)s.
Pour travailler à Dalidaark, il ne suffit pas d''être chauve ou peu souriant. Il faut aussi être élégant.
Maison de tricot depuis 2024.
Tout plaquer. Devenir maître nageur pour gens bo**rés.
Au Dalidaark se jouent des carrières et des destins.
Viens, et ramène ton maillot de bain.
Y a des dames âgées qui sont passées. Elles ont dit que ça n'avait pas changé.
Viens, et ramène ta mémé.
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Notre histoire
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