JCB éditions

Paru dans L'Union de Reims (21 juillet 2024), sous la plume Catherine FREY. Merci à elle.
https://www.lunion.fr/.../lincroyable-histoire-de-la...

Paru dans L'Union de Reims (21 juillet 2024), sous la plume Catherine FREY. Merci à elle.
https://www.lunion.fr/id623400/article/2024-07-21/lincroyable-histoire-de-la-patriote-edmee-nicoll

[ R***E DE PRESSE ]

[ R***E DE PRESSE ]

Mademoiselle Nicoll, sous la plume de Frédéric Plancard, dans L'Est Républicain du mardi 28 mai 2024 (toutes éditions). Merci.

[ SOUSCRIPTION ]

Le nouveau livre de Jean-Claude Bonnaud est en souscription. Parution le 6 avril 2024.

Mademoiselle Nicoll « Mademoiselle Nicoll » est une femme extraordinaire! Fondatrice et patronne intransigeante des Sections sanitaires automobiles féminines (SSA) durant la Seconde Guerre mondiale, sa devise (servir) l’a conduite à rencontrer des personnages parfois peu recommandables. Mais son seul but a toujou...

[ R***E DE PRESSE ]

AUX 4 VENTS DE LA LOIRE [ REPLAY ]Si vous avez raté la présentation du livre "Aux 4 vents de la Loire" de Jean-Claude Bonnaud (Food Editions), voici le replay.

[ ON PARLE DE NOUS ]

Aux 4 vents de la Loire - Signature Touraine

[ PARUTION LE 21 MARS ]

Très exactement 184 pages écrites par votre serviteur pour célébrer ce fleuve de 1.000 km de bonheur. A suivre.

[ VIENT DE PARAÎTRE ]

De l'Ardèche à l'Atlantique, découvrez la Loire du pas lent du promeneur (180 pages, 90 photos). Jean-Claude Bonnaud, journaliste pendant près de quarante ans, vous y convie. L'auteur, Tourangeau, a travaillé à La Nouvelle République du Centre Ouest, L’Est Républicain, puis dirigé plusieurs quotidiens régionaux. Il a présidé l’Institut de Journalisme de Bordeaux. Il est l’auteur de cinq autres ouvrages: « Vins mille lieux sous la Loire », « La Loire est en Elles », « Du rouge aux lèvres », « Le cep, la cape et l’Europe », « Le Vieux qui aimait les fautes d’orthographe ».

▶️ AUX 4 VENTS DE LA LOIRE -> https://urlz.fr/hOyE

[ VIENT DE PARAÎTRE ]

Sur un millier de kilomètres, de l’Ardèche à l’Atlantique, la Loire a tissé des paysages sur lesquels les hommes ont écrit l’histoire des grands châteaux et celle – plus discrète – de civilisations. La Loire demande le pas lent du promeneur. Le plus grand fleuve de France a dessiné les plus beaux espaces que l’on puisse trouver sur la planète. Et si les châteaux et les abbayes en sont des bijoux, l’eau et le vin en sont les axes centraux. C’est le périple que propose ce livre pour s’imprégner au mieux de cette âme ligérienne si particulière. Une âme baignée de l’eau vive du bonheur puisque c’est elle qui domine tout au long de ce millier de kilomètres.

▶️ AUX 4 VENTS DE LA LOIRE -> https://urlz.fr/hOyE

Merci à Ivan Roullet pour cet article paru dans la Nouvelle République de ce jour. D'autant que le besoin de soutien est réel, en ce moment. Une précision : nous avons dû modifier la première date où ce monologue sera joué ; ce sera bien à Cerelles (37), mais le 9 mai à 17 heures, un décalage dû bien entendu... au coronavirus.

Puisque c'est vraiment l'hiver, je vous propose ces quelques images : un coucher de soleil sur la Loire, en février 2015, à Tours ; Chinon depuis le Chemin des Coutières, un matin de janvier ; et Reugny, au Haut Melotin, début décembre. Bien amicalement.

Au vu de l'année qui se termine, je dois dire que je suis particulièrement heureux d'agiter mon mouchoir sur le quai de la Saint-Sylvestre et de partager avec vous ces vœux 2021. Mais partager quoi plus précisément, d’autant que l’on sait bien que les embrassades sous le gui ne signent aucune promesse et que les bises se claquent alors sous l’effet très fugitif de l’enthousiasme d’une soirée ?
Je préfère donc, et de loin, vous souhaiter – et me souhaiter – de mieux regarder le visage des passants quand ils ne porteront plus de masque, de les saluer d’un "bonjour" au franc sourire, de prendre le téléphone pour demander des nouvelles des uns et des autres, de boire le verre de l’amitié aussi souvent que possible, non pour rouler sous la table, mais pour pactiser avec la vie.
Oui, c’est cela que je vous souhaite avec sincérité : pactiser avec la vie !
Portez-vous bien et à l'année prochaine !
Photo : un sauvignon de Quincy, fin mai. Comme la renaissance de la vie.

https://www.jcb-editions.com/.../le-vieux-qui-aimait-les?
LA PRESSE
Antoine Burbaud (Le Vin Ligérien) : « A partager sans modération (…) La richesse de ce périple et de cet ouvrage réside surtout dans les rencontres (…) »
Catherine Frey (L’Union de Reims) : « C’est un super beau livre ! L’auteur évoque, dans son ouvrage, toutes les problématiques liées au réchauffement climatique, à la biodiversité, à l’adéquation des plantes à leurs territoires et évoque aussi un retour en grâce des anciens cépages. »
Pascal Denis (La Nouvelle République du Centre Ouest) : « Au fil des pages, ce livre délivre ainsi un ‘’message d’espoir ‘’ pour la viticulture mais aussi pour l’Europe. »
L’Est Républicain : « Vive saint Martin ! »
Association des Journalistes du Patrimoine : « Ces vignobles européens qui longent les chemins de Saint-Martin » : tel est le sous-titre de l’ouvrage de Jean-Claude Bonnaud, avec la participation de Christophe Delaunay, membre associé de l’AJP. Ni livre sur Saint-Martin, ni livre sur le vignoble, cet ouvrage propose une mise en lumière originale de ‘’différentes expériences européennes d’hommes et de femmes convaincus de la nécessité de s’ouvrir au monde’’. »
Pierre Schmidt (La Renaissance Lochoise) : « Un passionnant et beau livre que celui de Jean-Claude Bonnaud, Le cep, la cape et l’Europe (…) Un très bel ouvrage condensé de culture, de plaisir et de rencontres (…). »
LES LECTEURS
Christophe Waterkeyn (Belgique) : « C’est absolument superbe, il n’y pas d’autres mots. »
Nadine Barde (Office de Tourisme du Lac de Paladru) : « Le livre est très beau. »
Yves d’Amécourt (Sauveterre-de-Guyenne) : « Magnifique ! »
Didier Avenet (Saint-Martin-le-Beau) : « Le livre séduit, belle réalisation. »
Bernard Cattanéo (Bordeaux) : « Vraiment magnifique. Et je ne vous cache pas qu’il donne envie de partir sur vos traces découvrir quelques-uns de ces vignobles martiniens. Je crois que je le ferai. »
Didier Gontier (Bourg/Gironde) : « Top ! »
Emilie Paulhiac (Blaye) : « Bravo pour votre travail alliant recherche et terrain ; le résultat est superbe. »
Françoise Sionneau (Le Mans) : « Quel beau livre ! »
Agnès Levet (Ampuis) : « Un très beau livre. »
Marie Tassin (Champagne) : « Je tiens d’abord à vous féliciter pour votre travail. Super ! »
Véronique Chalas (Cognac) : « Déjà en le feuilletant, il me semble passionnant. »
Anna-Maria Cremonese (Peschiera del Garda, Italie) : « Un magnifique ouvrage. »
Carmen Garcia (Carinena, Espagne) : « Nous aimons beaucoup ce livre. »
Michel Drappier (Champagne) : « Un ouvrage innovant (…) Un nouveau concept de guide enraciné dans l’Histoire (…) Alors, bravo ! »
Bruno Trapan (Croatie) : « Un beau livre. »
Jacques Relat (Tours) : « Un très bel ouvrage qui deviendra, par son ampleur, mon livre de chevet. »
Pierre Majérus (Laval) : « Je viens de passer un bon moment en compagnie de ce livre, Le cep, la cape et l’Europe. »
A.M. Barat (Hôtel Kyriad Tours Centre) : « Bravo… très beau livre ! »
Caroline Pellot (Eure-et-Loir) : « Il (ce livre) me promet un beau voyage. »
Pierre-Yves F*x (Suisse) : « Un magnifique ouvrage ! »
Philippe Boucard (Ingrandes-de-Touraine/Coteaux-sur-Loire) : « Lecture du soir. Très bien ! »
Juliette Monmousseau (Saint-Hilaire-Saint-Florent): « C’est vraiment bien, fascinant même ! Merci et bravo ! »
Bertrand Gilet : « (...) C'est à un partage hédoniste et spirituel, avec toute l'étendue de ses connaissances sur le sujet et force érudition, que nous convie Jean-Claude Bonnaud par son livre LE CEP, LA CAPE ET L'EUROPE (...) L'auteur-journaliste passionné a déjà beaucoup écrit sur le vin, notamment dans le r***e trimestrielle Le Vin Ligérien. Il va plus loin encore dans cette (re-) découverte de ce qui est l'ADN (accepté ou pas) des Européens (et avant eux les Arméniens et Géorgiens, de pays chrétiens et pays de vin). (...) Ce livre est pour moi une référence (...) »

Christophe Waterkeyn (Belgique) : « C’est absolument superbe, il n’y pas d’autres mots. »

Yves d’Amécourt (Sauveterre-de-Guyenne) : « Magnifique ! »

Bernard Cattanéo (Bordeaux) : « Je ne vous cache pas que ce livre donne envie de partir sur vos traces découvrir quelques-uns de ces vignobles martiniens. Je crois que je le ferai, un jour. »

Didier Gontier (Bourg) : « Top ! »

Emilie Paulhiac (Blaye) : « Bravo pour ce travail alliant recherche et terrain ; le résultat est superbe. »
https://cms.e.jimdo.com/app/s25f26fd2ae5af6cd/pcf70a7897c2344f9/?cmsEdit=1

[ LE VIEUX QUI AIMAIT LES FAUTES D'ORTHOGRAPHE ]

Et si vous souhaitez lire quelques pages, cliquez sur ce lien -> https://fr.calameo.com/read/0065094932815a016f016

Le vieux qui aimait les fautes d'orthographe Publishing platform for digital magazines, interactive publications and online catalogs. Convert documents to beautiful publications and share them worldwide. Title: Le vieux qui aimait les fautes d'orthographe, Author: JCB éditions, Length: 6 pages, Published: 2020-11-20

[ LES LECTEURS EN PARLENT ]
Jean-Philippe (Nantes) : « Le bonheur est dans la langue. Je viens de passer un après-midi formidable avec "Le Vieux qui aimait les fautes d’orthographe". Quel festival de jeux de mots (...) ! L’amour donne des ailes ; nous avons là la démonstration parfaite de l’amour portée à la langue de Molière. »

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Le vieux qui aimait les fautes d'orthographe Les mots sont des cadeaux choisis pour donner toute sa saveur à une langue. Le français n’échappe à cette règle des mots justes. Mais rien de terrible pour autant ! La langue française est même un jeu où orthographe et vocabulaire, syntaxe et grammaire, sont les alliés du bonheur qu’il ...

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« Voilà, la rue nous appartiendra à nouveau à compter de ce lundi. »

J’ai écrit cette phrase le 11 mai 2020 en pensant un peu trop vite que nous allions revoir les sourires sur les trottoirs de nos villes. Mais le coronavirus les a bien vite recouverts du masque douloureux de la peine. Celle qui conduit à baisser la tête en croisant les passants quand le droit nous est accordé de sortir. Lourde atmosphère.

Confinement : ce mot me sort aujourd’hui par tous les pores de la peau. Il nous infantilise. Qu’il faille protéger les autres et se protéger soi-même, oui, bien sûr. On se lave les mains, on porte le masque, on ne s’embrasse plus, on ne va plus au restaurant ni dans les bars, on ne va plus au spectacle, on n’invite plus les amis chez soi, les librairies n’ont plus voix au chapitre. Bref, on nous « convie » à la solitude. Comme si celle-ci pouvait nous apporter un quelconque bien-être…

On nous explique que cela, néanmoins, vaut mieux que d’attraper la scarlatine. Euh, pardon : le coronavirus. Soit. Mais je me demande si ce remède frappé du sceau de l’isolement ne nous conduira pas finalement à la neurasthénie collective. D’autant qu’il faut maintenant montrer patte blanche pour mettre le nez dehors. Ah, l’attestation ! Le sacro-saint billet pour aller respirer une heure les parfums mûrs de l’automne…

Ce monde abêtissant où le livre, paraît-il, n’est plus essentiel, où la rumeur, sur les réseaux sociaux, porte la même valeur que l’information, le mensonge le même poids que la vérité ; ce monde, eh bien, il nous appartient de le contester. Non pas, je le répète, en contestant des mesures sanitaires de bon sens, mais en refusant de nous laisser enfermer dans les rayonnages moutonnants de la bienpensance.

Les livres, puisque c’est le sujet ici, nous devons les dorloter. En acheter pour en parler – même si l'on est en désaccord, évidemment – et les partager. Chaque fois qu’on le peut.

Acheter un livre, j’ose le dire, est un acte de responsabilité envers l’avenir. Le sien. Et celui de notre collectivité, si mal en point aujourd’hui.

Jean-Claude Bonnaud (le 17.11.2020.)

Notre photo : Un peu d'air pur avec les vignes et les moulins d'Ardenay qui forment un doux mariage au-dessus de Chalonnes-sur-Loire.

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[ VIENT DE PARAÎTRE ]

Les mots sont des cadeaux choisis pour donner toute sa saveur à une langue. Le français n’échappe à cette règle des mots justes. Mais rien de terrible pour autant !
La langue française est même un jeu où orthographe et vocabulaire, syntaxe et grammaire, sont les alliés du bonheur qu’il y a à posséder les clés de sa liberté.
Le vieux qui aimait les fautes d’orthographe saute ainsi joyeusement dans les flaques des préjugés pour offrir à la langue française, qui puise bon nombre de ses réjouissances dans la longue histoire du monde, la récréation qu’elle mérite.

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