Yogify Life

« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. » (Mère Teresa)

Regardons vers le soleil comme des tournesols 🌻, enracinons-nous dans ce qui nous met en joie 💫… et partageons cette sensation de plénitude.

Un merveilleux été à vous☀️❤️.

Parce que, pour atteindre tes rêves, les personnes qui se trouvent sur ton chemin t’ouvrent la route… elles te suggèrent peut-être une direction à prendre, sont à l’écoute au moment opportun, pansent délicatement tes blessures, te posent des questions qui te guident afin de sonder ton intériorité, ou construisent des ponts te permettant de franchir les rapides de la rivière afin que tu arrives, en sécurité, sur l’autre rive.

À vous, qui êtes ces belles âmes ayant intégré ma vie, un merci infini d’être là… vous vous reconnaîtrez…
Avec beaucoup d’émotion, je vous aime❤️.

« Nous ressemblons à la lettre C. Nous nous montrons très sensibles à une personne du sexe opposé, à un autre cercle incomplet, nous voulons qu’elle se joigne à notre cercle pour le compléter et nous donne l’euphorie et l’énergie que produit une liaison pleine avec l’univers. En réalité, nous n’avons rien fait d’autre que de nous relier à une personne qui cherche elle aussi à compléter son cercle.
[…] cette dépendance réciproque contient en germe des problèmes qui surgissent immédiatement.
[…] le problème avec cette personne entière, cette lettre O que chacun des deux croit avoir atteinte, c’est qu’il a fallu deux personnes pour n’en faire qu’une, l’une apportant l’énergie mâle et l’autre l’énergie femelle. Cette personne nouvelle a deux egos. Chacun des deux veut diriger la personne entière qu’ils ont créée, et ainsi […] ils veulent diriger l’autre comme si cet autre était eux-mêmes. Cette illusion d’une personne entière disparaît très vite dans une lutte de pouvoir. Chaque personne finit par sans cesse réfuter l’autre de façon à pouvoir en prendre le contrôle. Mais ça ne marche pas. Ça ne marche plus.
[…] nous pouvons continuer d’aimer, mais il faut d’abord achever le cercle tout seuls. Nous devons stabiliser notre liaison avec l’univers. »
(James Redfield, La Prophétie des Andes, p. 252-253)

Complétons notre propre cercle en ouvrant grand notre ❤️ à l’énergie de l’ 💫.

« Tu connais le curry, Madame ? »

Recroquevillé dans sa doudoune et essayant de se protéger comme il peut du vent glacial qui accompagne un ciel bleu porteur d’espoir auquel lui ne croit plus, il s’efforce à capter l’attention de ces citadins toujours pressés que nous sommes. Très peu lui adressent un regard, encore moins osent lui offrir un sourire, fuyant avant même qu’elle ne s’installe cette gêne face à la misère et ce tiraillement inhumain que tu ressens lorsque tu t’entends secouer bruyamment la tête de ce « non » que tu n’arrives pas à prononcer.
Je m’approche, il a faim et voudrait un sandwich au curry. Je me rends dans une fameuse enseigne de boulangerie/pâtisserie, on est à l’heure de pointe, ça doit aller vite. La dame est navrée, elle n’a plus de sandwich au curry. « Je peux vous proposer autre chose ? ». J’hésite, je marmonne que ce n’est pas pour moi, elle me propose un jambon-fromage, là je n’ai pas le choix et lui dis à voix basse que c’est pour le jeune homme qui fait la manche à 10 mètres de leur magasin et que je ne sais pas s’il mange du jambon. Quelque chose change dans l’attitude de cette femme : elle se sent concernée, va demander à une collègue et oui, il reste bien un seul dernier sandwich au curry. Je commande aussi un coca, elle me demande « normal ou light » avant de se reprendre « c’était une question idiote, il a besoin d’énergie ! ». Enfin, je demande un café « pour le réchauffer », café qu’elle ne me fera pas payer, mais c’est resté entre nous, personne n’a remarqué et l’enseigne ne fera pas faillite à cause d’un caoua offert.
Je reviens vers le jeune homme, on discute un peu… un récit emprunt de malheur et d’envie de survivre me transperce les tympans. Oui jeune homme, je connais le curry, mais si tu m’avais demandé si je connaissais la misère, j’aurai répondu par la négative.

Il n’avait que 15 ans.

23.000… c’est approximativement le nombre de respirations que l’on prend par jour… une action vitale, et pourtant complètement automatique. Notre corps s’en charge, il nous maintient en vie.
Nous vivons, donc, c’est un fait. Mais la Vie ne pouvant se résumer à de la mécanique répétitive, pose-toi la question : quelle était la dernière fois où tu as eu le souffle coupé ?
Je parle ici de ces instants magiques où tout devient possible car tu te sens connecté(e) à toi et au monde… ces bulles quantiques qui se créent lorsque tu sors de ta zone de confort et que tu vis une expérience extraordinaire… tu vois ce à quoi je fais référence n’est-ce pas ? Tu ressens les picotements dans le ventre, cette sensation de lévitation, la chair de poule, la poussée d’endorphines ?

Ma formation en «  the Face » a été, dimanche dernier, une opportunité formidable de dévoiler une facette de moi-même qui m’était inconnue jusque-là. Prodiguer un soin implique une connexion qui vise le coeur en passant par le cutané… atteindre l’âme en effleurant la peau, c’est recevoir en s’aban-donnant. Pour la première fois cette année, j’ai eu le souffle coupé.✨

Je remercie de tout coeur Cécile d’ArbOr&Sens pour sa bienveillance et sa profonde humanité qui rayonne et nous enveloppe dès qu’elle est dans la pièce. Merci de m’avoir donné l’opportunité de faire partie de la 🤩.

Afin de m’exercer, je serai ravie de pouvoir vous faire découvrir (gratuitement) ce soin relaxant de 45min. Nous commencerons par détendre le crâne et le dos avant de relâcher les tensions au niveau du visage. N’hésitez pas à me contacter afin de fixer ce moment pour vous. 🥰

Que chacune de vos respirations vous fasse vibrer🌈.

À ce qui aurait pu être…

« L’occasion manquée est celle-là même qui compte. » (Antoine de Saint-Exupéry)

Si Antoine l’a dit et que Jean-Jacques Goldman l’a chanté, nos actes manqués ne sont-ils pas au fond plus révélateurs que nos actes réussis ?

Repense à toutes les fois où tu n’as pas… pensé/dit/écouté/donné/aidé/soutenu/rigolé/pardonné/pleuré…, toutes les fois où tu ne t’es pas reposé(e)/rebellé(e)/écouté(e)/imposé(e)…
Ces actes manqués sont autant d’indicateurs de l’une de tes facettes que tu voudrais peut-être ne pas trop voir exposée. « Personne n’est parfait », « je fais de mon mieux » nous entendons-nous dire pour nous dédouaner de ce que nous n’avons pas réussi à mener à terme. Alors certes, il est important de nous fo**re la paix comme dirait , mais n’est-il pas intéressant, à des moments charnières de l’année, de se poser, de rembobiner et de voir à l’intérieur de nous ce qui s’est réellement passé et pourquoi cette chose aurait pu être mais n’a pas été ?
Car le recul est souvent primordial afin d’avoir une vision moins émotive, donc sans doute plus vraie de la situation.

- Quelle est la véritable raison qui me pousse à rester dans une situation insatisfaisante ? En quoi est-ce « confortable » de souffrir plutôt que de changer ?
- Pourquoi est-ce que je n’ose pas affirmer mes choix, mes pensées, mon vrai MOI, au lieu de servir aux autres ma persona, produit de l’égo ?
- Que me disent ma procrastination, mes blocages, mes doutes, mes peurs ?
- Et que se passerait-il si je prenais (plus de) du temps pour moi ? Pourquoi suis-je autant dans le faire au lieu de ralentir et de revenir à l’état d’être ? Que se cache derrière la course effrénée à la productivité ?

Nos occasions manquées méritent autant notre gratitude que nos actes aboutis, car ils nous aident à cheminer et à nous connaître.🍀💞

Que vous souhaiter pour 2023 si ce n’est que ce voyage collectif autour du soleil soit enrichissant et éblouissant de par sa capacité à nous émerveiller et à nous rapprocher de notre être profond.✨❤️

Prenons du recul, de la hauteur ou de la profondeur… où que vous vous trouviez sur l’axe des abscisses de votre vie, l’approche des fêtes de fin d’année est un moment crucial… l’hiver cette année a déplié sa tente Quechua 2 secondes sans préavis, la fatigue de l’année se fait rudement sentir, et il est l’heure, bon gré mal gré, de faire en sorte d’être heureux (et de trouver des cadeaux) parce que, hein, c’est les Fêtes quand même.

C’est certainement le moment de l’année qui m’étreint le plus avec ses injonctions rigides et cimentées.

Mais cette année sera différente, me suis-je dit avec panache, sentant que cette période de profusion à tous les étages n’est pas/plus en accord avec la vie que je mène le reste de l’année.
J’ai commencé par m’interroger sur la question symbolique du sapin : refusant de couper un arbre pour le plaisir d’y voir accrochées boules et guirlandes, le sapin éthique (en pot et à louer) était l’option qui s’est imposée. Alors oui, il est moins « parfait » que ceux qui ont été élevés pour être abattus, mais c’est un petit sapin vaillant qui lutte pour devenir un arbre aux racines déployées : parce que c’était lui, parce que c’était moi.
C’est épineux, évidemment, mais mettons les pieds dans le plat de Noël… éviter la viande rouge, réduire les autres viandes et les plats de poissons, privilégier les légumes de saison et les circuits courts… quel casse-tête pour que le repas ait des saveurs de fêtes. Lorsque je partage mes réflexions autour de moi, ce qui passe encore dans un contexte « de tous les jours » se heurte à une légère résistance pour les sacro-saintes fêtes… sans prétendre détenir la vérité sur ce qu’il faut faire ou pas, je me questionne sur le concept-même de tradition(s) et le confronte aux besoins de l’être humain et de la Planète aujourd’hui : Homo Sapiens est-il prêt à un changement de fond ou le conditionnement a-t-il des racines plus denses que mon petit sapin ?
Appelez-moi Doña Quichotta si vous le souhaitez, j’espère ne jamais devoir cesser de croire que mon action/karma (dans le sens hindouiste : pensée, parole, actes) a du sens.

À nos ❤️

« On ne peut jamais se connaître mais seulement se raconter. » disait Simone de Beauvoir.

Dans notre propre cheminement personnel et/ou spirituel, la question de la connaissance de soi est centrale. Or, certains vous rétorqueront que la maxime socratique est illusoire, qu’un pan de notre être profond nous échappera toujours, que les diverses expériences abordées au cours de l’existence feront ressortir telle facette de notre personnalité, d’autres les atténueront ou les relègueront au fond du tiroir.

Ce qui reste, nous disent les sages de ce monde, ce sont les actes. Ainsi, si notre propre connaissance nous fait défaut, nous pourrons toujours nous référer à nos actions.

Dans ce combat que nous menons contre la maladie et pour la santé de chacun, l’entraide est primordiale. Je ne saurais remercier assez chaleureusement tous ceux et celles qui, en commandant un coussin de yoga pour les yeux, font plus qu’un cadeau… vous participez à un cercle vertueux de soutien et d’amour envers les personnes qui souffrent. ❤️

N’hésitez pas à me contacter en privé… les coussins sont personnalisables à souhait : vaste choix de tissus, possibilité de rajouter une étiquette avec un nom ou un message et d’y incorporer des huiles essentielles.
Tous les dons seront entièrement reversés à la Fondation Cancer du Luxembourg.

Et vous, qu’allez-vous offrir pour Noël ? 🎄

“Tu sei un colibrì perché come il colibrì metti tutta la tua energia nel restare fermo. Settanta battiti d’ali al secondo per rimanere dove già sei. Sei formidabile, in questo. Riesci a fermarti nel mondo e nel tempo, riesci a fermare il mondo e il tempo intorno a te, certe volte riesci addirittura anche a risalirlo, il tempo, e a ritrovare quello perduto, così come il colibrì è capace di volare all’indietro. Ed ecco perché starti vicino è così bello.” (Sandro Veronesi, Il Colibrì, p. 296)

Creare ed esplorare punto dopo punto… 💫🍀

« Tu es un colibri parce que, comme le colibri, tu mets toute ton énergie à rester immobile. Soixante-dix battements d’ailes par seconde pour rester là où tu es déjà. En cela, tu es formidable. Tu réussis à t'arrêter dans le monde et dans le temps, à arrêter le monde et le temps autour de toi, et même parfois, à retrouver le temps perdu, comme le colibri qui est capable de voler en arrière. Voilà pourquoi être auprès de toi est si beau. »

Créer et explorer, point après point 💫🍀

Attablée à ce bar de plage dans lequel je viens depuis maintenant 25ans, mes pensées vont vers la grande oubliée de l’ère du développement personnel: la permanence.
Oui parce que, je ne sais pas vous, mais autant évidemment le changement est inévitable et peut-être pour certains même nécessaire car excitant et catalyseur, le connu, l’inchangé, aussi trivial soit-il, s’avère malgré tout sécurisant. Être là, ne rien vouloir de plus.
Ce lieu du sud de la Sardaigne j’y ai clairement laissé mon âme… terre millénaire, le changement est lent, très lent, et on a la timide impression de toucher à un originel fort mais fragile à la fois.
Joies, tristesses, interrogations existentielles (comme aujourd’hui 😊), amours, coups de soleil : j’y aurai tout vécu, ou presque.
Et aujourd’hui, assise à la table 14 du Malibù (), je me sens chez moi… bien que certains serveurs/-ses changent avec les années, l’essence du lieu est toujours la même… et la joie ressentie de me savoir accueillie chaque année avec le sourire, avec amour, en ayant en prime une vue incroyable sur « le golfe des Anges et la Selle du Diable » (ça ne s’invente pas😝), est indescriptible.
Par association d’idées, je pense évidemment aussi à ma grand-mère… certes, elle n’est plus physiquement parmi nous, mais son âme résonne dans sa demeure figée dans le temps. Rien n’a bougé : les bibelots exposés, les fleurs en plastique, les nappes et la vaisselle sont les mêmes depuis des décennies. Et c’est cette certitude de trouver cet inchangé-là qui me procure une sensation de bien-être ouatée, comme un ancrage intemporel au milieu de notre société tempêtueuse.

Et vous, quel est votre « lieu-ancrage » à vous ? ⚓️

Photo credits:

À vous qui pensiez le contraire… non, ceci n’est pas un cœur!😊
Petit exercice interactif :
- de ces 3 photos, laquelle préférez-vous ?
- Pourquoi ?

Tour de magie, lapin qui sort du chapeau… je prédis mesdames et messieurs que vous avez majoritairement répondu « La deux parce que le cœur reflété est plus joli ! ».
je vous rassure, je n’ai pas de pouvoirs de divination, mais j’ai fait le même choix que vous, et pour les mêmes raisons ! Bah oui, forcément, la perfection qui prime…
Pourtant, en y réfléchissant, tous les cœurs, même les moins parfaits, ont pour forme originelle mes dix doigts et ma volonté de transmettre l’idée/ le sentiment de l’amour.

Ainsi, selon le prisme à travers lequel il est reflété (donc notre propre MOI, avec ses blessures, son histoire, ses peurs et ses croyances), l’Amour peut parfois revêtir des formes jugées imparfaites de la part de celui qui regarde/reçoit… ceci veut-il signifier que ce n’est pas de l’amour ? Ou faut-il changer notre regard sur nos aspirations à cette perfection inatteignable ?
J’aimerais avoir plus souvent la vision des spiritualités asiatiques, qui sont naturellement sensibles à l’inachevé, à l’imperfection, à l’impermanence… comme ces clichés d’un cœur qui se transforme au gré des mouvements de l’eau ! Et si le multiple de 1 était l’infini ?

Et oui, vous l’aurez deviné, je fais partie de ces nanas qui, en se promenant au bord de la plage, s’extasient en ramassant un cailloux difforme en s’écriant: « On est d’accord, on dirait TROP un cœur!!!! » 😂🤣🤪.

Gardez votre âme d’enfant les amis… une âme rêveuse, malléable, qui s’émerveille !!!!!❤️🌈🦄

Voici ma dernière lubie… essayer le mandala dotting, c’est l’adopter!

Dernièrement, ma famille et moi avons dû apprivoiser la vie dans ses méandres.
Désirant retrouver un état de sérénité plus profond (et l’orage personnel étant passé), je m’ouvre à mon désir de créer et c’est donc par pur le non-hasard que je tombe hier sur cette très aimable vendeuse d’un magasin de loisirs créatifs qui me donne de précieux conseils et partage son expérience personnelle dans la technique du dotting. 🎨
Je rentre chez moi et je m’y mets tout de suite… je « pointille » avec des bouts de bois découpés (par moi-même à la scie!), sans compas, sans règle, sans brouillon, sans « recopier » un dessin vu sur Insta… je me suis juste laissée porter!!!! 🌈🦄
Le résultat (après 2h) est un mandala pas très rond, dont les points ne sont pas parfaitement alignés, mais qu’importe au fond, la perfection n’était pas le but de cet exercice.
Et là… CATASTROPHE… le bout de l’un de mes bracelets vient heurter un des points de la dernière rangée, juste au moment où je pensais être satisfaite de mon oeuvre😬.
1e réaction (amère) : bon bah voilà, ton mandala est foutu ! (dans les didascalies, vous pourrez rajouter à votre guise les gros mots qui vous semblent opportuns dans une telle situation et que j’ai bien entendu prononcés😅🙊… il faut ce qu’il faut!)
Quelques secondes plus t**d : attends, sur des centaines de points assez bien effectués, tu en rates un et toute ton oeuvre ne vaut plus rien ? C’est ridicule !

Transposez cela à vos vies, à votre quotidien, à vos relations, et vous verrez que bien évidemment, un « échec », une « erreur » ne doit pas remettre en cause tout le reste !
N’oubliez jamais de regarder l’ensemble du mandala !
D’ailleurs, le mandala est par essence impermanent car jamais terminé. L’erreur, en rajoutant une belle rangée de pointillés colorés, se fondra dans le tout…
La vie nous enseigne à chaque instant, à nous d’apprendre. 🍀✨

Il est urgent d’aimer… de continuer à nous élever les uns les autres grâce à cette force vitale inépuisable!!!!!🫶
Christiane Singer était une grande femme… elle faisait partie de ces êtres intrépides, vibrants de vie qui affrontent, accueillent et intègrent les profondeurs de l’existence et leurs parts d’ombre.
Elle prône le pas de côté en clamant « Soyons fous. Soyons ces desesperados de l’espoir, ces chevaliers de l’impossible. ».
Comme elle l’exprime très bien (photo 3), l’amour est pour elle une nécessité, telle une « prodigieuse respiration de la vie ». Ainsi faut-il continuer d’aimer, « sans nous lasser-sans espérance et sans désespérance-aimer seulement. ».
Cet amour qui revêt une dimension universelle peut, comme nous avons pu le lire dans La Prophétie des Andes, nous permettre de dépasser nos limites, d’atteindre des niveaux vibratoires intenses.
Et c’est en propageant l’amour, tel un virus (elle utilise le terme de « contagion »), que « le monde rayonne » et « qu’il est sauvé depuis longtemps ».💝

Pour aller plus loin, je vous suggère d’écouter les podcasts de ( #39. Vincent Houba: Ouvrir nos yeux sur l’invisible sur la base des enseignements de Christiane Singer; #300. Audrey Fella: Christiane Singer sur le fil de la merveille).

Il y a quelques jours, on parlait de la lutte que se livrent les humains pour acquérir de l’énergie. La 5e révélation nous indique que l’Homme peut augmenter son énergie, donc sa fréquence vibratoire, afin de s’élever et d’évoluer, en se reliant à la Source.
Cette Source serait l’Amour pur et désintéressé, que les Grecs appelaient agapé et dont on ferait l’expérience, entre autres, à travers un éveil mystique.

Sans prétendre avoir eu un Éveil au même titre que le Bouddha, j’ai du moins vécu un moment de lien avec la Création il y a de cela un an grâce à une technique de respiration appelée « rebirth ». La profonde joie ressentie lors de cette connexion m’a remplie d’Amour et de Confiance : depuis, je n’ai plus peur de ce qui pourrait advenir, je sais que tout a un sens et je me sens protégée.

Les enseignements de cette 5e révélations sont puissants : le manuscrit nous dit que lorsque nous sommes connectés à cette source originelle d’Amour, nous nous élevons et avons la capacité de partager cette énergie avec Autrui sans nous épuiser. De plus, même dans les moments les plus difficiles de notre vie, nous avons la possibilité de faire ressurgir ce sentiment d’abondance afin de retrouver la reliance et la confiance.
In fine, ne sommes-nous pas tous des êtres spirituels qui se sont incarnés ? Et ne sommes-nous pas amenés à guérir/ouvrir le cœur et libérer le mental pour que l’esprit se reflète dans le corps ?
Où est notre limite d’évolution ? 💫

« Ce qui veut être grand en nous, c’est l’aventure de la découverte de soi. Plus elle se développera, plus le genre humain sera léger à la Terre qui le porte. » (Théodore Roszak, L’homme planète)
koja 🫶💫

Après quasiment 2 semaines, me revoici, prête à partager avec vous la 4e révélation de La Prophétie des Andes qui nous indique le rapport de force que se livrent les Hommes pour obtenir de l’énergie.
L’énergie… un terme que nous employons quotidiennement et dont les définitions se ramifient à l’infini : énergie vitale et créatrice, énergie féminine (yin) et masculine (yang), énergie destructrice, manque d’énergie… sans vouloir aborder des notions trop lourdes, soulignons que la matière a besoin d’énergie pour se mouvoir. Ainsi, la Vie même ne saurait exister/perdurer sans énergie. Cette source précieuse est par conséquent le catalyseur du Tout… d’où les luttes (inconscientes) pour s’emparer de l’énergie de l’autre, afin de l’affaiblir pour mieux l’assujettir.
D’ailleurs, à bien y réfléchir, la plupart des relations ne sont-elles pas basées sur un rapport de force (famille, amis, amour, travail…) ? Une énergie yin sera souvent par une énergie yang. Dans ce contexte, il ne serait pas exagéré de parler de vampirisme dans la mesure où « quand nous dominons un autre, nous recevons son énergie. Nous nous nourrissons aux dépens de l’autre et c’est ce qui nous motive. » (p. 106)
Ne vous êtes-vous jamais senti(e)s « vidé(e)s » après avoir passé du temps avec une personne ? Ou au contraire « comblé(e)s/rempli(e)s » en compagnie d’une autre ?
Faites confiance à votre ressenti, il sait ce qui est bon ou pas pour vous !

Ces réflexions autour de l’énergie résonnent intensément en moi… véritable éponge émotionnelle, je « donne » beaucoup, et si je ne suis pas suffisamment attentive, je m’épuise car la plupart du temps je ne « reçois » pas le même quota énergétique en retour.
Pour recharger mes batteries, je m’isole afin de me reconnecte à mon intériorité et à la Nature qui a une puissance régénératrice incroyable. 🌱🌻
Ce funambulisme énergétique fait partie de moi… j’essaie de me préserver, de me distancer de certaines relations trop prenantes, de poser mes limites… c’est difficile, il faut en accepter les conséquences, mais je continue de cheminer et d’essayer…

Et vous, quelles sont vos astuces « mode Duracell activé » ? 🪫😎

Envie d’aller plus loin dans l’exploration de votre intention à travers l’INTUITION ?✨
Après avoir suivi une formation (certifiée) en Aromathérapie et une deuxième en Olfactologie, je serai heureuse d’échanger avec vous sur les bienfaits incroyables des huiles essentielles, tant sur le plan physique que psychique.🌱
Si vous avez des questions, ou si vous souhaitez avoir des conseils sur une synergie personnalisée, n’hésitez pas à me contacter par message privé 🥰. Je me derai un plaisir de vous accompagner dans votre cheminement.🫶

Quelle sera votre pour aujourd’hui ?

Si je vous dis champ énergétique/vibratoire ça vous parle? 🤗
Sans prétendre vouloir faire un post sur la physique quantique, la science, et notamment les recherches du grand Albert, ont démontré que nous ne sommes pas que notre corps physique. Ainsi, et aussi flippant que cela puisse sembler, nous sommes principalement constitués de vide parcouru par un courant d’énergie. Et à des échelles infinitésimales (particules élémentaires), cette énergie pourrait être modifiée en l’observant, comme si elle subissait l’influence du résultat attendu par l’observateur.
La 3e révélation, qui est absolument fantastique à mes yeux, nous parle précisément du pouvoir de l’intention. En d’autres termes, nos attentes, nos désirs, nos pensées et nos paroles peuvent avoir une incidence sur l’énergie qui nous entoure et donc affecter ce qui nous arrivera.
L’une des expériences les plus relayées est d’ailleurs l’influence que nous pouvons avoir sur les plantes: une plante dont on s’occupe, à qui l’on témoigne de l’attention et de l’affection (par les gestes/paroles) va grandir mieux et plus vite qu’une plante qu’on a délaissée. Notre énergie se transmet donc d’un être vivant à un autre… et la même observation peut être faite sur les rapports humains.

Ainsi, le livre posera-t-il la question fondamentale de notre responsabilité : dans quelle mesure nos attentes et nos intentions sont-elles liées avec ce qui nous arrive ? Subissons-nous notre destin ou sommes-nous co-responsables de ce qui nous arrive ?

Personnellement, je fais l’expérience de ce phénomène de plus en plus souvent : mes pensées (positives, négatives) auront un impact direct sur les événements vécus. L’énergie que je dégage (inconsciemment) va attirer à moi la même fréquence énergétique… je ne sais pas si le fameux « Fake it until you make it » est efficace à tous les coups, mais lorsqu’on pense et agit AVEC le la vie nous répond toujours avec la même intensité vibratoire.

Et vous, croyez-vous en la puissance des ? 💫

Il m’était important, aujourd’hui, de faire un arrêt sur image…
Le sujet de la question originelle dans l’œuvre me semblait esquissée dans mon post d’il y a trois jours. La chance (d’autres diront le malheur) de l’Homme c’est qu’il est, a priori (!), conscient autant de sa vie que de sa finitude (contrairement aux animaux). Mais cette conscience n’est pas réellement conscientisée… combien ne font que traverser cette vie, sans lui chercher/donner un sens ? Et si vous posez la question à votre entourage « pourquoi est-tu là ? », un silence abyssal teinté de malaise s’ensuivra. Et pourtant, c’est la question centrale de notre espèce, cet Homo Demens dont le niveau d’évolution technologique est proportionnel à son détachement progressif de la Source, son Soi intime.
Mener notre chemin de vie n’est ni une question de volonté, et encore moins d’efforts surdimensionnés. Il s’agit plutôt de nous connecter à cette vibration originelle et profonde que tout le monde possède. Les sagesses ancestrales nous disent que chaque âme est venue s’incarner sur Terre afin de vibrer sa note unique… et c’est dans ce caractère unique que nous sommes comme tout le monde, d’où se déploie la formidable universalité humaine et notre inter-connexion.

Ainsi, quel est votre dharma, votre chemin de vie ? Pourquoi, cher lecteur, es-tu là ?

Je finirai par citer Frédérique Lemarchand qui, dans son dernier livre, écrit : « Ce monde, c’est la nuit, mais c’est en nous que le monde se lève. On traverse donc cette nuit pour voir l’aube se lever. » ()

Passez une merveilleuse journée💫🌈

J’ai longtemps hésité pour la conjonction « et »… j’aurais pu intituler ce post « nous contre elle » : comme quoi, même dans le choix de trois mots dans une phrase sans verbe, je définis mon camp.
Vous aurez compris que malgré la situation écologique alarmante, j’évite la dualité culpabilisante et lui préfère encore et toujours l’unité.
Je voulais m’att**der aujourd’hui sur un 2e aspect important que je n’ai pas pu développer dans mon avant-dernier post: notre relation à Mère Nature, cette Gaïa prospère et nourricière, aimante bien que sans doute quelque peu inaccessible, voire effrayante de par sa majestuosité.
Il m’est déjà arrivé d’être face à un paysage, d’être tellement subjuguée par la splendeur de cette perfection-chaos, que j’en ai eu les larmes qui coulaient…
Être défenseur de la Nature, c’est tout d’abord savoir l’honorer. C’est se sentir « à sa place », à savoir tout petit (et non pas tout puissant!) dans un Univers créateur dont l’humain n’est, au final, qu’un agglomérat de molécules en plus.
Donc là encore… pourquoi en sommes-nous arrivés à devoir craindre pour notre perte ? Est-ce l’égo ou le désir intrinsèque d’aller toujours plus loin qui nous poussent à « prendre le monde à bras-le-corps », à « conquérir la terre », à « utiliser les ressources pour améliorer notre situation » (cf avant-dernier post) ? Cette soif de posséder même ce qui nous a créés me rappelle l’injonction de Thomas Berry, grand personnage de la transition écologique, qui disait qu’il était temps de passer d’une collection d’objets à une communion de sujets.
Le passage de l’égo-compétitif à l’égo-coopératif est possible dans la mesure où nous nous plaçons tous dans ce fameux « overview-effect » dont parlent avec émotion les astronautes… l’être humain est capable du plus formidable grand écart : se déchirer et s’entr’aider… le tout est de savoir dans quelles actions ma conscience est appelée à grandir et à s’élever.💫

Le « deep time walk », également disponible sous forme d’application, vous propose d’entrer en lien avec la Nature… expérience garantie!😎🌿🫶