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Titre: Je suis la cochonne de mon cousin

Ba**er c'est en moi , ba**er j'en suis accro comme toutes les filles qui adorent les mecs cochons et bons baiseurs. Je suis une fille dévergondée qui adore se faire défoncer. Une vraie fille cochonne qui aime prendre du plaisir à sentir avec délice l'odeur du sperme, une chienne dont la ch**te toujours mouillée aime la visite d'une bite dure qui la frotte sans pitié. J'ai 24ans et depuis l'an passé, à chaque fin d'année universitaire, je rends une petite visite d'une semaine au plus à une tante qui habitait dans une autre ville que la nôtre et qui se plaignait souvent que je ne lui rendais jamais visite.

C'etait donc un jour où je me m'etais rendue chez ma tante. Une fois là bas, j'ai découvert la présence d'un bel homme, 36ans environ, teint noir café et d'une grande taille.Ma tante fit des présentations.

Apparemment c'est un cousin à moi. Un grand cousin je dirai. C'est le fils d'une autre tante que je ne connais pas apparemment. Je reconnais que je suis moins attachante à la famille mais ce beau mec assez bien musclé et imposant me faisait frémir déjà. Je le regardais avec un air admiratif. Je sens qu'il aura un attachement avec ce membre de la famille. Il était de passage chez la tante pour changer un peu d'air et prendre des conseils auprès d'elle à propos son épouse car elle était l'une des personnes qui ont servi d'intermédiaire pour son mariage arrangé. Mais depuis une dizaine de mois, ça n'allait plus entre lui et sa femme. Il etait donc à bout et il a voulu prendre l'avis de la tante avant de s'en débarrasser à défaut d'une solution.

Depuis mon arrivé, on passait de temps ensemble à faire connaissance entre cousin cousine et à papoter.
Il était beau et présentable mais tout cela m'importait peu. Ce qui m'intéressait c'est qu'il me parle du sexe, de comment il baise. Je voudrais savoir s'il est un mec cochon capable de faire fondre une fille de mouille, un homme capable de soumettre une femme à un désir sexuel intense. Je ne voudrais plus l'entendre me parler de son foyer ou des plaintes à l'égard de son épouse. Je voulais plutôt qu'il profite de sa cousine qui lui tient compagnie. Je voulais qu'il déverse sexuellement sa colère sur moi en me baisant comme une bête sauvage. Je voulais qu'il me prenne dans ses bras un peu musclés et qu'il me défonce ma ch**te et mon cul. Ça fait déjà quelques semaines qu'on ne m'a pas baisé et je sens une forte chaleur sexuelle remplie mon corps. Il arrivait même que je tremble toute seule dans mon lit lorsque je me doigte. Chaque soir que j'introduis un ou deux doigts dans ma ch**te pour me donner toute seule du plaisir, il y'a toujours une forte semence blanche qui jaillit de ma ch**te et me rend encore plus excitée au point où il m'arrivait de saisir un concombre et l'enfoncer dans mon vagin et me donner du plaisir. Mais tout cela devenait insuffisant car j'ai besoin de la chaleure humaine, de l'agilité naturelle d'une bite qui faufile naïvement au travers de mon cl****is et mon vagin pour me frotter le fond de ma ch**te. Cette sensation ne peut-être donnée que par un homme, un objet ou un concombre n'a pas cette capacité naturelle à donner ces genres de plaisirs indescriptibles qui font tourner la tête d'une femme.

Un soir, alors que ma tante et ses enfants étaient partis à une fête d'anniversaire organisé par une de ses amies, mon grand cousin m'invitait à l'accompagner quelque part. Nous marchâmes jusqu'à un endroit où se trouve un petit restaurant. Nous nous arrêtames pour manger quelque chose et ensuite nous nous sommes allés dans une petite place publique dans un coin de la ville. Une petite place publique où il fessait presque sombre et où il y'a presque personne. Un bon endroit pour faire quelques fantasmes sexuels. Il posa son regard sur moi et dit: Je voulais qu'on vienne ici car c'est un endroit bien caché, on peut bien parlé ici sans se faire déranger. C'est un endroit où chacun peut exposer sa pensée librement et... sans le laisser finir, j'ajoute où on peut faire des trucs bizarres aussi. Il me regarda avec un air étonnant et me lança :

Lui: Des trucs bizarres comme quoi?

Moi: Je ne sais pas. Mais on dit souvent que les gens font des trucs bizarres les soirs dans les parcs ou les places publiques. Donc je ne répète que ce que disent les gens.

Lui: Arrêtes d'écouter les gens, et écoutes ce que te dit ton instinct féminin. Peut être que ce instinct aime des trucs bizarres aussi sans que tu ne le saches.

Moi: Ah bon, et comment le serais-je?

Lui: Toi, tu as envi de le savoir?

Moi: Toi, tu as la possibilité de me le faire savoir?

Lui: bien sûr que oui, il suffit de dire "oui" et je te ferai un truc bizarre. Si je le fais et que tu aimes, alors c'est qu'on fait des trucs bizarres dans une place publique mais dans le cas contraire, tu me giffes et tu me dis d'arrêter.

Moi: Ok, oui.

Soudain, il saisit mes deux lèvres avec les siennes et me les s**es sèchement. Je le gifle d'arrêter et il les s**es encore délicatement, je lui donne encore une deuxième gifle et il les saisit cette fois-ci sans les lâcher. Il me suçait mes lèvres d'une manière déconcertante et je sentis une chaleure intense me traverser l'esprit. Je me colle directement à lui. Je ne voulais plus qu'il me lache. Pendant qu'on se suçait les lèvres et avec nos langues, je sentis ses doigts dans mon entrejambe entrain de chercher un passage à travers mon slip pour me doigter mon vagin. Je sentis deux de ses doigts au fond ma ch**te entrain de frotter. L'ambiance devenait de plus en plus excitante. Je sortis mes deux nichons et je l'invitais à mes s**er les bouts:

Moi: Aah j'adore comment tu me doigtes. Suces moi les bouts de mes seins stp. Vas y cousin.

Lui: Waoh j'adore les bouts de tes seins. Ils sont super longs. Tu aimes les trucs bizarres hein. Tu serais une petite cochonne cachée toi.

Moi: J'adore plus que les trucs bizarres. Arrêtes de parler et s**es moi mes nichons. Je m'offre à toi ce soir. Profites-en pour te déstresser.

Titre: Les fantasmes de Mec intime ( Sequence 1: suite et fin)

J'entendis le portail sonné 30mins plupart. Je me dépêchai pour ouvrir. Je tombai sur cette fille mince pour la première fois. Nos regards se croisaient et elle entra et me lança :Bonjour mec intime. Je lui réponds bonjour en fermant le portail.

Elle entra dans ma chambre, il sonnait déjà 6h30min. Elle voulait s'asseoir mais je l'empêche de le faire. Je lui dis de rester debout contre le mur. Je soulevai légèrement sa mini jupe dans sa tenue d'université et j' introduis un de mes doigts gauches dans sa ch**te pour voir si elle est mouillée. Elle trempait déjà de mouilles. Elle pousse un petit cri de gémissement et me dit: c'est ta langue que je veux dans ma ch**te. Je m'accroupie alors, mes yeux face à ses petites fesses, elle souleva totalement sa jupette et écarta bien ses jambes pour que sa ch**te soit très bien à portée de ma vue.

Tout d'abord, j'effleure la surface de sa ch**te avec les bouts de ma langue à plusieurs reprises et ensuite je me dirigeai vers son cl****is pour le saisir. Je le léchai avec adresse et cette cochonne nana mince commença par gémir. Elle frottait avec rapidité son cl****is contre ma bouche et s'écria : Bouffes moi stp, oui vas y, bouffes moi ça stp, j'adore! Ça m'excite encore plus, oui bb vas y bouffes moi! Bouffes moi la ch**te. J'enfonçais à chaque fois ma langue au fond d'elle pour lui montrer que je suis à la lettre ses souhaits. Avec mes deux mains explorateurs de son corps lisse, je titillais les bouts de seins et je la caressais tout le corps et ses fesses. Je léchais tout ton vagin que j'e trouvais magnifiquement propre. Cela me donnait un goût très appétissant et mon excitation montait en flèche. Ma bite se durcit et mon corps contre le sien produisait une intense chaleur sexuelle.

Je léchais et je doigtais cette mince qui frémissait et poussait des cris de gémissements. Subitement je lui enfonce ma bite dans sa ch**te par derrière, je la tenais par le coup et je la pénétrais vigoureusement. Ses fesses tremblaient sous les coups secs de mon pénis et elle jetait son cou sur mes épaules en me lançant: Aaah bb, je veux j***r, vas y bb, je veux j***r. Vas y bb, plus fort bb, je veux j***r. Je bloquai son cou contre ma poitrine, je penchai son petit bassin que je coince contre ma bite enfoncée au fond de sa ch**te remplie mouilles et je la baisais sauvagement et très rapidement. Elle cria fort et je sens tout son corps trembler. Je sentis ensuite un relâchement et elle cria : bb, je jouie.

Elle me poussa et alla s'asseoir afin de calmer les vertiges qui s'étaient emparer de son esprit. Dès qu'elle s'etait un peu calmée, j'ecartai ses jambes et je lui soufflai à l'oreille: je veux te faire éjaculer. Elle me répondit : Mec intime, ne me tue pas stp. J'ai déjà j***r. J'enfonce mes deux doigts magiques dans sa ch**te ( l'Index et le majeur), je les penche sous forme de crochet, et je lui doigtait sauvagement la ch**te. Pendant ce temps, je lui tend ma bite qu'elle enfouie dans sa bouche pour me faire une magnifique pipe. J'adorais la partie où elle crachait sur mon pénis qui s'était encore durcit comme de la pierre. Je n'hésitait pas à lui enfoncer au fond de sa gorge pendant que je la doigtais farouchement. Quelques minutes après, sa ch**te se dilate et sa ch**te éjecta une forte liquide blanc su mon visage. J'enfonce encore plus ma bite dans sa gorge pour la punir pour m'avoir mouiller le visage avec le liquide de sa ch**te, elle me poussa pour que je ne t'étouffe pas. J'etais déjà prêt à éjaculer et je lui retourne l'appareil en m'approchant d'elle en jetant tout le sperme qui sort de ma bite sur son corps. Elle me lança une bonne insulte : sa**ud, tu as sali mon corps. Tu oublies que je vais au cours à 8h? Je lui repondit: je m'en fou, tu as aussi éjecté tes liquides dans mon visage quand j'ai ouvert le robinet de ta ch**te, zéro-zero donc.

Il sonnait déjà 7h38, elle se leva rapidement pour se diriger vers la do**he. Elle se mets au propre rapidement, se mire et sortir me donner un ba**er en me lançant un regard d'une fille satisfaite. En partant, elle me remercie et me dit: Tu es vraiment un mec intime. J'ai vraiment tout aimer sauf la partie où tu as éjaculé sur mon corps. Je lui lançai en riposte: Evites d'éjaculer aussi dans mon visage quand j'essaie de rendre fontaine.

Voilà comment elle et moi, nous nous sommes connus pour la première fois. Ensuite il eu une 2ème fois et puis une 3ème et une 4ème fois...etc. la dernière fois de notre cochonnerie s'était passée à la plage ma nuit vers 20h dans un hangar en feuille de palmier abandonné. Ce jour la, elle était accompagnée pourtant de son amoureux. Elle avait écrit plutôt qu'elle était à la plage avec son amoureux mais qu'elle avait envi de se faire defoncer par moi son mec intime à la plage. C'etait au tour de 18h. Je l'ai donc convaincu de faire retenir son amoureux jusqu'à 20h le temps que je la rejoigne. Effectivement à 20h pile, j'y étais. Pendant que son amoureux et deux de ses amis suivaient un petit show à la plage, elle s'était absenté pendant 20min environ en lui disant qu'elle allait voir une amie de l'autre coté de la plage qui voulait lui dire quelque chose. Ce n'était du tout une amie mais elle venait me voir. Moi qui la traumatisait avec mon pénis et la faisait j***r chaque fois. Avec moi, elle ressentait une forte tension sexuelle qui électrocutait les points sensibles de son coprs et qui lui donnait des sensations qu'elle n'arrivait pas à expliquer.

L'expérience sexuelle de la plage que je lui ai procuré ce jour, l'a convaincu que tous les mecs aiment le sexe mais il y'a encore des bêtes sexuels qui ont l'art de ba**er une femme. Depuis ce jour jusqu'à aujourd'hui malgré son départ en France, elle ne cessa de m'envoyer ses parties intimes et sa ch**te mouillée pour me dire que je lui manquait et que dès qu'elle descendra au pays. Elle viendra en courant se faire lécher et se faire ba**er comme elle le mérite.

Espérons juste que je sois disponible pour elle car je fouillette déjà d'autres champs. La nature a horreur du vide et la ch**te comme le pénis ont horreur d'être délaissés sans un minimum d'attention.

Titre: Les fantasmes du Mec intime ( Séquence1)

Elle et moi discutions le plus souvent par Whatsapp. Elle était une fille mince, un peu claire, jolie et sexy. Elle a environs 20ans et aimais beaucoup que je t'excite lorsqu'on discute. Elle aimait bien lire les histoires cochonnes que je lui racontait. Ça l'excitait beaucoup et l'a mouillait énormément.

On passait parfois 1h sur Whatsapp à s'envoyer des photos sexy et excitante et je voyais comment sa ch**te coulait de mouilles. Elle se doigtait et gémissait en direct et je voyais l'envie sexuelle brûlait chaque coin de son corps et je disais à cette cochonne comment j'ai envi de l'attraper et ba**er sa sa**pe ch**te jusqu'à ce qu'elle tremble fort et recevoir ma semence blanche dans sa bouche.

Un matin, vers 6h du matin, alors que je viens de me réveiller. Je recevais une notification WhatsApp. C'etait un message de cette fille très cochonne aux seins très pointus. Des seins à propos desquels, je fais des fantasme. De comment je pouvais les voir en face de moi et les titiller avec les bouts de ma langue. Des seins que j'ai envi de lui bouffer longuement jusqu'à ce que ses bouts deviennent tout rouges. Que disait son message?

Son message: Salut Mec intime, j'ai tellement envi que tu me bouffes la ch**te ce matin jusqu'à ce que je tremble et mouiller dans ta bouche. Tu es dispo ce matin pour que je passe rapidement te voir avant d'aller au cours? Je ne pourrai pas me concentrer au cours sans ça. Je suis tellement excitée.

Ma reponse: Oui, prends un zem ( taxi moto) et vient me voir. De grâce, viens sans slip stp. Je voudrais soulever directement ta mini-jupe d'étudiante et te lécher jusqu'à ce que tu devienne f***e.

Son message: C'est ce que je veux ce matin, je t'assure. Alors à tout à l'heure.

Suite, très prochainement...

Deux Belles Salopes

C’était un soir d’ennui, un ennui de filles à papa. Nous avions écumé les soirées branchées de notre petit monde de gosses de riches. Il y avait trop de tout pour que nous y prenions encore goût.

Nos tenues d’été, c’est à dire presque rien à prix fou, avaient fait fureur auprès de tous les mâles que nous avions croisés. Comme nous avions plus ou moins couchés avec la plupart d’entre eux sans nous laisser d’autres souvenirs que des lendemains de gu**le de bois avec un goût de cendre et de sperme dans la bouche, nous avions fui vers l’appartement de Carine.

Nous avons fumé, bu un peu d’alcool pour chercher un peu de gaieté artificielle. J’avais commencé à caresser mon amie au travers de sa mince robe blanche. La petite sa**pe n’avait pas ni culotte ni de soutien gorge, j’eu immédiatement accès à ses lèvres et à son bouton. A nouveau, malgré l’ennui de cette soirée, le cul eut le don de nous divertir. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés l’une sur l’autre à nous lécher cul et ch**te jusqu’à déclencher un orgasme. Carine était tellement excitée qu’elle m’inonda littéralement le visage d’un jus chaud et odorant.

Ce moment n’avait fait qu’aiguiser notre appétit. Pour chercher un peu de piquant à cette nuit, j’eus l’idée de filer vers la boite de nuit de la station balnéaire proche de chez nous. Elle était fréquentée en été par les touristes que nous nous moquions si souvent. Nous espérions bien y trouver un homme qui pourrait amuser les deux garces que nous étions.

En voiture, nous conclûmes qu’il nous faudrait un soumis, voire un puceau qui ferait nos quatre volontés.
Sitôt arrivé dans la place, nous nous lançâmes sur la piste de danse. Je ne t**dais pas à repérer le client idéal : un jeune garçon brun d’environ 20ans (soit à peine plus jeune que nous). Il était beau gosse, juste un peu frimeur pour cacher sa timidité.

Je l’abordais en me trémoussant près de lui sur un air de disco. Il rougit lorsque je m’approchai en offrant à son regard mes seins à peine couverts. Il est vrai que j’avais sorti le grand jeu : mini short rouge moulant parfaitement mon petit cul et dévoilant mes jambes bronzées, boléro de la même couleur fermant sur le devant par un gros bouton blanc en forme de marguerite et choisi assez petit pour faire ressortir mes seins en laissant poindre les tétons.

Carine nous rejoignit et le serra de près exhibant elle aussi ses appâts. Elle avait troquée sa robe blanche, un peu mouillée par nos exploits précédents pour deux bandes de tissu, l’une lui recouvrant à peine la ch**te et le cul, l’autre peinant à tenir sa poitrine.
Nous étions toutes les deux sexy et bandantes au possible sans être vulgaires.

Notre victime ne savait plus ou donner des yeux, il eut peine à articuler une réponse à mon invitation à prendre un verre. Néanmoins il nous suivi comme hypnotisé par le balancement de nos postérieurs et nous rejoignit dans la voiture. Je pris le volant et Carine s’assit à l’arrière avec Jean Luc, notre « Casanova d’un soir ».

Pendant le court trajet qui nous séparait de l’appartement, elle eu le temps de lui rouler une pelle et de plonger sa main sous sa chemise.
Il sortit de la voiture en état second et entra mécaniquement dans le séjour.
Je pris le relais de Carine et j‘achevai de déboutonner sa chemise. Jean Luc était agréablement musclé avec un ventre plat et une poitrine sans un poil, ce qui est rare pour un brun comme lui. Ma sa**pe de copine était à genoux et s’attaquai à sa ceinture et aux boutons de son jean. Elle mis à jour un mini slip fortement tendu par une érection qui semblait remarquable. Elle fit glisser le tissu et nous découvrîmes une bite de fort beau gabarit. D’un même mouvement nous nous écartâmes et nous le plantâmes nu et bandant au milieu de la pièce. Il resta là stupide et surpris.

Carine lui ordonna de rendre dans la chambre et de se mettre sur le lit en levrette. Je lui demandai alors d’écarter ses fesses avec ses mains. Il nous révéla ainsi sa servilité, un trou de cul poilu et des co****es bien gonflées.
Je lui mis mon index en bouche pour qu’il le lèche consciencieusement. Une fois humide, je le mis devant sa rondelle. Le lit était placé de telle sorte devant un grand miroir que Jean Luc ne pouvait rien manqué de la scène. J’appuyai un peu, je le vis grimacer, j’introduisis alors tout le doigt brutalement et je me mis à tourner et à aller et venir. Il cria un peu de douleur au départ puis de plaisir ensuite. La petite p**e prenait goût à mon doigtage. Carine se mit face à son visage, son membre placé à la hauteur du visage, elle fit glisser les deux bandes de tissu qui la déshabillaient plus qu’elles ne la vêtissaient. Elle était adepte de l’épilation intégrale et montrait son corps parfait aux seins lourds encore plus nu que nu. Jean Luc se mit à la lécher avec entrain, il avait l’air d’apprécier l’odeur lourde que dégageait ma copine quand elle est excitée.

J’abandonnai ma sodomie et je me mis nue à mon tour. Pour ma part, j’ai toujours préféré ma toison et je gardais soigneusement une ch**te et un trou de cul très velu. J’étais mouillée d’excitation et je savais que mon odeur de femelle affolait les amateurs de cul.
Je glissai mon visage entre les cuisses de notre amant et j’aspirai ses co****es, je les suçais et à ma grande surprise ce petit con inexpérimenté se mis à j***r et à inonder le drap d’un jet de sperme épais. Belle bite, mais il ne savait pas s’en servir.

Carine sentit l’ardeur de notre jeune coq faiblir. On se mit à l’insulter et on lui ordonna de lécher les draps pour ramasser son sperme. C’était vraiment une chiffe molle, il se laissa faire , penaud.
Sa passivité nous excita davantage. On le fit coucher sur le dos, en lui faisant basculer les jambes écartées en arrière. Il nous offrit à nouveau le spectacle de son a**s et de sa bite molle cette fois.
Je me mis tête bêche, frottant mes poils pubiens contre son visage et mordillant sa queue. Carine attaqua son trou de cul avec une langue mouillée.

Heureusement pour lui, son manque de savoir faire était compensé par les fortes érections des jeunes mâles. Sa bite pris de la consistance dans ma bouche, elle durcit encore quand Carine abandonnant l’anulingus lui mis d’autorité trois doigts dans le cul. Voilà un garçon qui pourrait bien devenir homosexuel, tant il prenait plaisir à la sodomie !

J’abandonnai ma position pour enfiler sa queue dans ma ch**te. Il se laissait faire et je pris des mouvements de va et vient pour rapidement atteindre l’orgasme. Je jouis en criant des insanités et je laissais ma place à Carine qui pris le relais. Je mis un doigt dans son cul et je lui massai de l’autre main les co****es. Jean Luc ne tint pas longtemps avec ce traitement que nous lui faisions subir, il se vida une nouvelle fois dans la fente épilée de ma copine.

Nous nous écroulâmes tous les trois sur le lit , nos corps emmêlés sentaient la sueur, le fo**re, la cyprine et le cul de notre « petit con ».
Comme à chaque fois, ces fortes odeurs de stupre éveillèrent en moi une excitation irrépressible.
Je me levai et j’allai chercher dans le tiroir le se**oy adapté à mon fantasme. Il s’agissait d’un gode énorme, long et épais que nous avions utilisé avec Carine un soir de débauche.

J’ordonnai à Jean Luc de se lever, je le fis se tourner sur lui même lentement pour me laisser le temps de l’examiner. Carine regardait aussi. Il devait j***r d’être dominé, car sa bite se redressait à vue d’œil. Je le fis mettre à genoux, Carine se mit à la hauteur de sa bouche et lui présenta son cul. Elle lui ordonna de le lécher, lui aboyant des ordres qu’il s’empressait d’exécuter. Je m’approchai avec mon gode, je me mis sur le coté de telle sorte qu’il puisse me voir me l’enfiler dans la ch**te, c’était super.
Lorsque j’eu bien lubrifié l’engin, je me mis derrière lui et lui ordonnai de se remettre en levrette et de continuer à lécher la rondelle de Carine, qui pour faciliter la manœuvre s’était mise dans la même position.
J’approchai le gland en plastique de son trou de cul déjà bien ouvert et sans autre forme de procès je lui enfonçai « 27/6 » dans le fondement. « 27/6 » était le surnom du gode (27 cm de long et 6 cm de diamètre). Jean Luc cria de douleur puis râla de plaisir. Carine lui ordonna de continuer son anulingus, à sa voix je sentais ma copine au bord de l’orgasme, la sa**pe se doigtait le c***o en même temps.

Je fis plusieurs aller retour dans ce cul soumis, j’alternai des coups lents et rapides, profonds et moins profonds. Je pris sa bite en main pendant l’opération. La petite p**e bandait de plus en plus fort. Lorsque je le sentis près à se vider, je lui étranglais les co****es, il cria de douleur cette fois, et sa queue devint molle. Je l’abandonnai à quatre pattes par terre, bite minuscule et « 27/6 » complètement enfoncé dans le cul.
Carine me rejoignit, elle sentait la cyprine à plein nez après sa ma********on. Nous allumâmes une clope en le regardant se remettre.

Il se redressa et voulu enlever le gode, je le lui interdis. Il resta planté, ridicule devant deux filles excitées par sa passivité.
Je m’approchai et je me mis à genoux pour lui s**er sa bite pour me faire pardonner de lui avoir fait mal en cherchant à l’empêcher de j***r. Nous n’étions pas si sadiques que cela.
Son engin repris du volume, je le lâchai pour me mettre au lit sur le dos, cuisses écartées. Il vint y planter son dard, Carine se mis derrière lui et continua à le goder avec « 27/6 ». Sa bite durcit, son rythme s’accéléra et nous explosâmes tous les deux de plaisir.
Le petit jeune commençait à apprendre.

Une soirée coquine (partie2)

Je glisse ma main dans son bermuda et je le caresse avec douceur, je sais qu'il adore ça et je le sens quand je sens qu'il bande comme il faut, il se lève légèrement, j'ai le temps de baisser son boxer.

Je prends le prend en main et je fais des va viens et je l'entends soupirer de plaisir et là je décide de le prendre bouche. Il me pousse au départ, car il a peur d'être vus par le Monsieur de la file d'attente, mais je le reprends en bouche et je le pompe frénétiquement qu'il finit par se laisser faire, il aime quand j'entreprends les choses.

J'adore jouer avec ma langue sur son gland et de l'entendre prendre du plaisir. J'aime quand il dit que c'est bon et me demande de continuer, me guidant avec sa main sur ma tête. Ça m'excite énormément et je le sens je fini par me mettre à genoux devant lui et le s**e de plus en plus rapidement.

Je sens qu'il y en a plus pour longtemps, je le vois sur son visage et je branle en même temps que je le s**e et la il appuit sur ma tête une dernière fois et je sens son sperme couler dans ma gorge.

Grégoire : Aaaaah que c'est bon, soupire-t-il tellement bon que j'en ai eu les larmes aux yeux.
Je finis d'avaler son sperme et décide de boire un coup juste après. Il remet en place son caleçon et son short et me dit :

Grégoire : C'est la plus belle fellation que tu m'as faite. J'en redemanderais.

Lina : On verra si tu es sage mon mignon... ;)

Je mettais remise à ma place, je sentis qu'il en voulait plus donc il décida de jouer avec ma poitrine avec une main puis la glissa lentement jusqu'à mon entre-jambe.

Grégoire : Oh pu**in tu avais tout prévu ! Tu es sacrément mouiller en plus !

Grégoire : oh, pu**in, tu avais tout prévu ! Tu es sacrément mouillé en plus !

Il joue avec son pouce sur mon cl****is, il sait que je suis très sensible. Il commence à me mettre un doigt à faire des va et viens puis deux et trois. Voyant que j'étais vraiment chaude et que je bougeais de plus en plus il décida d'écarter le plus possible mes jambes.

Il finit par se mettre à genoux et remonta ma robe. Il me fit avancer mon bassin au bord du siège et commença à jouer avec sa langue.

Je me retenais de ne pas gémis trop fort et je le regardais jouer avec mon c***o et en tournant la tête, je vis que le Monsieur de la file d'attente, c'était rapprocher et non pas pour regarder le film, mais pour regarder notre spectacle. Et de là où il était, je le voyais qu'il aimait ce qu'il voyait.

Grégoire avait maintenant 3 doigts d'insérer et faisait un jeu parfait avec sa langue qui remplaçait de temps en temps avec son pouce pour prendre le temps de me regarder prendre mon pied.

Grégoire : Ah, tu aime ça coquine !

Lina : Plus que tu le penses ! Continue je t'en supplie ! Lui soufflais-je. Ne t'arrête pas !

Et là il accéléra va viens avec le meilleurs cunni qu'il ne m'est jamais fait et j'ai du prendre mon châle pour étouffer l'orgasme qui m'a parcouru tout le corps, je sentais qu'entre mes jambes j'étais mouillé d'ailleurs, je n'avais jamais autant mouillé. Grégoire a pris des mouchoirs pour m'essuyer et m'a donné à boire pour que je reprenne mes esprits. 10 min plus t**d, il me proposa de partir, je lui notifie que le film n'est pas fini et il me rétorque :

Grégoire : Ah parce que tu as eu le temps de suivre le film ?

Lina : Non absolument

Donc on rassemble nos affaires et on part, passe dans la rangée juste au dessus de celle de notre vo**ur et je m'arrête à son niveau et lui dit a l'oreille :

Lina : J'espère que le spectacle vous a plus ! Et je suis partie rejoindre Grégoire tout en regardant et vo**ur inconnu et ce scénario semble l'exciter au point où il me fait un jeu de langue comme s'il a envi de me lécher.

Dans la voiture, je n'en reviens toujours pas de ce qu'il vient de se passer.

On arrive près du restaurant et la Grégoire me dit qu'il va encore me défoncer une fois au resto. On ira dans une toilette publique du restaurant pour qu'il me s**e encore ma ch**te.

Nous sortîmes de la voitureet je remarquai derrière nous mon vo**ur nous suivre avant da moto. Je mis un doigt dans ma bouche pour lui montrer que son geste m'excite beaucoup. Une queue qui chasse sa proie. Tres excitant. Nous entrions au resto et ils n'a pas hésité à nous suivre

Titre: Une Soirée Coquine. ( Partie 1)

Bonjour je m'appelle Lina, j'ai 29 ans et j'espère que mes textes vous plairont.. Je suis une femme qui a des formes et je m'accepte tel que je suis..

Je suis en couple avec Grégoire depuis 5 ans.. Comme beaucoup de couple il y a des hauts et des bas et notre intimité en pâtis.. Mais maintenant que c'est reparti de plus belle j'aimerais vous raconter une anecdotes.. Soyez indulgent envers mon histoire c'est la première fois.. Tout comme notre expérience !

C'était un dimanche il commençait à faire chaud pour la période on arrivait début juin et Grégoire voulait qu'on se fasse une sortie rien que nous deux car pour lui c'était important que nous ravivions la flamme..

Grégoire : Tiens si on allait voir un film ce soir ?

Lina : Oui pourquoi pas faut voir ce qu'il propose à l'affiche !

Grégoire : Je te laisse regarder mon ange

Lina : Ok file moi mon portable à coter de toi s'il te plaît je vais regarder sue le site du cinéma.

Grégoire attrape le téléphone posé sur la petite table basse et me le donna, mais en profita pour me caresser la jambe en partant de la cheville et remonta jusqu'à mon intimité...

Me voyant surprise, il rigola et cette phrase est sortie sans que je n'aie eu le temps d'y réfléchir.

Lina : Garde en pour la séance, car on va sortir de notre zone de confort mon mignon ^^

Grégoire : Houla qu'est ce que tu entends pas la ?

Lina : Surprise mon mignon.

J'étais sur le site du cinéma et trouvai un film peu intéressant où il y avait une séance à 18h45 de mémoire (le titre du film, je ne m'en rappelle plus et je ne l'ai pas trop regarder à vrai dire lol) je le préviens de l'horaire de la séance, il me dit que c'était parfait qu'on passera une bonne soirée car il avait prévu d'aller au restaurant juste après.

Dans ma tête, je me suis dit qu'effectivement, on passerait une de nos meilleures soirées coquines, mais j'étais très loin de penser à ce qu'il allait arriver.

Je décide d'aller prendre une do**he avant la séance, j'avais préparé une belle robe qui n'était pas trop longue ni trop courte ma préférée rouge qui mettait en valeur ma poitrine qui je vous avoue est assez imposante et un ensemble de lingerie avec un string, mais pas n'importe lequel un échancré de quoi bien s'amuser.

Après la do**he, je mets un coup de mascara et un peu de rouge à lèvres rouge et du parfum et je suis prête.

En sortant de la salle de bain, je tombe sur Grégoire qui me dit :

Grégoire : Tu sais qu'on va juste voir un film...

Lina : Oui mais tu as dit qu'on allait au restaurant après j'ajoute avec un clin d'œil puis qui t'a dit qu'on allait regarder le film.

Grégoire : Ni pense même pas, on ne fera pas l'amour au cinéma !

Lina : Très bien !

Mais il était très loin du plan que j'avais prévu.. Il fila à son tour à la do**he et j'attendais sagement sur le canapé en imaginant tout ce qu'on pourrait faire une fois les lumières de la salle éteintes et rien qu'en imaginant sa langue me caresser et ses doigts faisant des va et vient je m'aperçois que je suis déjà toute excitée et que je vais devoir tenir jusqu'à dans la salle.

Après la do**he de Grégoire, je remarque qu'il s'est habillé avec un bermuda en jean et haut simple, mais qui fait sont petit effet qui est près du corps décontracter et je vous avoue qu'il est plutôt bien battis.

Nous partons pour le cinéma et je pris un genre de châle avec nous en prétextant sue ça serait au cas où la température s'adoucirait en sortant du cinéma (alors que je suis très bien qu'elle fera que monter après ce que j'ai prévu).

Dans la voiture, j'étais tellement impatiente d'être au cinéma que j'avais du mal à me concentrer sur ce que me disais Grégoire heureusement que c'est lui conduisait.

Sans réfléchir, je le regarde en lui faisant des bisous dans le coup, il me demanda d'arrêter en prétextant qu'il devait se concentrer pour conduire, mais en touchant son short, je sentis qu'il aimait ça.

On arrive au cinéma pris nos places et nous dirigeons vers la salle.

Je vais faire un tour aux toilettes et je vis que commençait à être excitée, c'est sûrement dû au fait que j'ai l'impression de rien avoir en dessous de la robe et qu'un homme n'a fait que de me reluquer quand il a fait tomber son porte feuille dans la file d'attente et que j'étais face à lui.

Rien que d'y repenser j'en suis toute rouge et le pire, c'est qu'il est dans la même salle de cinéma que nous.

Dans la salle, il n'y avait pas grand monde un couple d'une cinquantaine d'années, nous et le fameux Monsieur qui est assis pas très loin. On s'est mis sur le côté de la salle dans un coin discret.

Pendant tes pubs, on discute de tout et de rien, on tombe sur des extraits de films.

Le début de film commence on grignote du pop-corn et Grégoire me tiens la main. Au bout de 30 min, je me lance.J'aime son corps. Je m'y sens comme protéger. Je vois qu'il est à l'aise, je commence à descendre ma main. Je lui caresse son entre-jambe au début, il ne dit rien, mais après :

Grégoire : Arrête, on peut nous voir !

Lina : Je m'en fou, c'est excitant, laisse toi faire s'il te plaît et profite !

Il finit par se laisser faire et je passe à l'action, je lui détachais le bouton, je descends sa braguette, je le vois un coup d'œil voir si personne ne nous voit. Je sais que le Monsieur de la file d'attente peut nous voir légèrement et ça me pousse encore plus à caresser Grégoire.

À suivre)