Entre_deux_mains

Bonjour 🙃
Aujourd'hui je vous présente le de Entre_deux_mains

Ce site web💻 permet de faire découvrir et connaitre le travail de Yann Jouan - Thérapies manuelles et énergétiques.

Vous y trouverez des renseignements sur ce que Yann Jouan propose, formations, différents soins ainsi que la possibilité de prendre rendez-vous pour un appel découverte gratuit.

Le site à été réalisé avec

Pour visiter le site c'est par ici
➡ www.yann-jouan.fr

Bonne découverte 🙃
_________
Je suis Kaellyana et je suis webmaster.
Je vous aides en créant le site web qui correspondras à vos besoins.

N'hésitez pas à me contacter en MP ou via mon site
💻 www.kaellyana.com...

Retour sur le stage magnétisme intuitif Niveau 1 de ce week-end.

Merci pour vos présences.
Merci pour nos échanges constructifs, vos étincelles dans les yeux, vos sourires à decouvrir, votre implication à expérimenter et cette bienveillance dans le groupe.

C'est toujours différent, toujours un renouvellement, et ça n'a pas fait exception cette fois-ci encore.
Joie de vous voir confirmer ce qui est déjà là, et développer ce qui demande à l'être.

A très vite pour la prochaine session les 15 et 16 avril...Same place !
Same, Same but différent !

Yann ✨️

Credit photos : 'noyer ronteix

Un espace Sacré. Un espace où "ça crée".
Un temps pour toi, comme un voyage de reconnexion, d'allègement, de réparation et de justesse.
Se laisser porter par l'alchimie à l'œuvre grâce à un travail conscient sur tes plans physique, mental et émotionnel.
Sur ce qui est présent, ressenti, et ce qui est visible ou non...

Yann✨️

"Tout sur terre est emprunté.
Il n'y a ni mien ni vôtre.
Même le temps est emprunté.
Tout ce que vous avez,
C'est ce avec quoi vous êtes venu
Et ce avec quoi vous repartirez ...
Votre Esprit !"

Sagesse amérindienne

« On dit qu'avant d'entrer dans la mer,
une rivière tremble de peur.
Elle regarde en arrière le chemin
qu'elle a parcouru,
Depuis les sommets, les montagnes, la longue route sinueuse qui traverse des forêts et des villages,
et voit devant elle un océan si vaste qu’y pénétrer ne parait rien d'autre que devoir disparaître à jamais.

Mais il n'y a pas d'autre moyen.

La rivière ne peut pas revenir en arrière.
Personne ne peut revenir en arrière.
Revenir en arrière est impossible dans l'existence.

La rivière a besoin de prendre le risque et d'entrer dans l'océan.
Ce n'est qu'en entrant dans l'océan que la peur disparaîtra,
parce que c'est alors seulement,
que la rivière saura qu'il ne s'agit pas de disparaître dans l'océan,
mais de devenir océan… »

Khalil Gibran

Merci à l'Eau de me montrer mes émotions,
Merci au Feu de me connecter à mon intérieur,
Merci à l'Air de m'apprendre la hauteur,
Merci à la Terre pour ses racines,

Merci le tambour de m'accompagner quand le soleil s'est levé,
Merci la Vie de me montrer la Joie,
Et de me montrer la Voie.

Yann ✨️

Quand l’amour te fait signe, suis-le,
Même si ses voies sont escarpées et pénibles.
Quand ses ailes te couvriront, cède-lui, Même si te blesse l’épée cachée dans ses ailerons.
Lorsqu’il te parlera, crois-le,
Même si sa voix dévaste tes rêves, tel le vent du Nord au jardin.

Car l’amour couronne, mais il te crucifiera aussi.

Il servira à ta croissance comme à ton ébranchage.
S’il jaillit jusqu’à ta cime, caresse tes branches très tendres qui frémissent au soleil,
Il descendra jusqu’aux racines pour secouer leur étreinte dans la terre.
Telles des gerbes de blé il te recueille en lui.
Il te bat pour te mettre à nu.
Il te passe au crible pour t’affranchir des mortes peaux.
Il te moud jusqu’à la blancheur.
Il te pétrit pour une parfaite fluidité.
Enfin, il te confie à son feu sacré, que tu deviennes le pain sacré du festin sacré de Dieu.

Tout cela, l’amour vous le fera afin que vous sachiez les secrets de votre cœur et deveniez, par cette connaissance, un fragment du cœur de la Vie.

Mais pénétré(e) de crainte, tu voudrais ne chercher que la paix et le plaisir de l’amour,
Alors il vaut mieux couvrir ta nudité, passer au large de son aire,
Dans ce monde sans saisons où tu riras, mais pas de tout ton rire,
pleureras, mais pas toutes tes larmes.

L’amour ne donne rien que lui, ne prend rien que lui.
L’amour ne possède pas et ne veut pas l’être,
Car il se suffit à lui-même.

Quand tu aimes, tu ne saurais dire :
« Dieu repose dans mon cœur »,
mais plutôt :
« Je repose dans le cœur de Dieu ».

Et ne crois pas pouvoir diriger le cours de l’amour car c’est lui, s’il t’en trouve digne, qui te dirigera.
L’amour n’a pas d’autre désir que de s’accomplir.

Mais si tu aimes et s’il te faut nourrir des désirs, aie donc ceux-ci :
Fondre et courir comme le torrent qui chante pour la nuit,
Connaître la douleur d’une trop riche tendresse,
Etre blessé par ta propre compréhension de l’amour,
Saigner volontiers et dans la joie.
T’éveiller à l’aube, le cœur ailé, rendre grâces pour ce nouveau jour d’amour,
Reposer à midi et méditer sur l’extase de l’amour,
Regagner ton gîte le soir avec gratitude,
Puis t’endormir avec au cœur une prière pour le bien-aimé, la louange sur les lèvres.

Le prophète
[Khalil Gibran]

“L’homme qui se relève est encore plus fort que celui qui n’est pas tombé.”

[Viktor Frankl]

Carl Gustav Jung nous a expliqué dans son livre intitulé Métamorphoses de l’âme et ses symboles que l’être humain et le Phoenix présentent de nombreuses similitudes.
Cette créature de feu emblématique capable de renaître majestueusement de ses cendres symbolise aussi le pouvoir de la résilience, cette capacité inégalable nous permettant de nous renouveler pour devenir des êtres bien plus forts, bien plus courageux et bien plus lumineux.

On dit de lui que ses larmes avaient un pouvoir guérisseur, qu’il présentait une grande résistance physique, qu’il maîtrisait le feu et qu’il se caractérisait par une sagesse infinie.
C’était, en essence, un des architectes les plus puissants pour Jung, car dans son feu se trouvait aussi bien la création que la destruction, la vie et la mort…

On commence à voir clair quand on est réceptif à la lumière et plus sensible à notre obscurité...

[Pierre Trépanier]

N'AIDEZ QUE CEUX QUI VOUS LE DEMANDENT .....

"Pour devenir un Bouddha, ne vous immiscez pas dans la souffrance des autres.

L'homme doit se lasser de lui-même, et boire jusqu'au bout la coupe de poison qui lui revient.
Ne soyez pas prétentieux et n'espérez pas pouvoir aider tout le monde.

Seuls ceux qui sont prêts à accepter l'aide peuvent être aidés.

Quelqu'un qui souffre voit le monde à travers sa douleur, sourde et aveugle.
Tout le monde traîne derrière lui son expérience de vie, sans voir qu'il s'agit d'un poids mort.

Si vous intervenez dans la souffrance d'autrui, le tourbillon karmique vous aspirera dans un jeu étranger.
Rappelez-vous que l'homme est capable de contaminer, avec sa souffrance.

Continuez sur votre chemin sans vous retourner.
Ça n'est que si vous faites votre chemin que vous pourrez aider les gens à se relever."

Satyananda Saraswati

You must do the thing
You think
You cannot do

[Eleanor Roosevelt]

L’être humain adore se raconter des histoires et se faire raconter des histoires.

Depuis toujours, nous enregistrons dans un coin de notre cerveau les événements que nous vivons, les chagrins et les joies que nous éprouvons, les blessures que nous nous infligeons, les maladresses que nous avons eues, les traumatismes qui semblent nous avoir marqués, les définitions que d’autres ont faites de nous, les souvenirs qui s’accumulent un peu plus chaque jour.

Et régulièrement, nous ramenons à l’avant-plan l’une ou l’autre de ces histoires car nous voulons la raconter à quelqu’un pour nous rendre intéressants, pour faire rire ou pour émouvoir.
Plus souvent encore, nous repensons à l’un de ces événements et le revivons dans notre tête avec tellement d’acuité que nous éprouvons encore les mêmes émotions qu’au moment de la première occurrence de ladite situation.
Nous nous faisons revivre sempiternellement les mêmes histoires.

Parfois, nous nous créons même des histoires à propos du présent, interprétant le geste de l’un, la parole de l’autre, la signification de tel événement, accordant souvent plus d’importance aux pensées qui apparaissent dans notre mental qu’à la réalité qui est là, devant nos yeux.

D’autres fois encore, nous nous inventons des histoires pour le futur, alors que nous anticipons la réaction de l’un, la discussion que nous voulons avoir avec tel autre, les événements qui risquent de se produire, ou pas.
Nos anxiétés, nos peurs et nos désirs nourrissent notre machine à créer des histoires à propos de tout et de rien.
Notre mental raffole de toutes ces histoires et en veut toujours plus : pour lui, pas d’histoires égale pas d’existence.

Toutes ces histoires que nous créons, que nous croyons, que nous imaginons ou dont nous nous rappelons nous épuisent et nous privent du plus précieux des trésors : Maintenant.

Cette phrase de Byron Katie nous rappelle à l’ordre : « Que seriez-vous sans votre histoire? »

Que serions-nous si nous cessions de croire ce que les autres ont dit de nous?
Que serions-nous si nous cessions de ramener le passé constamment?
Que le passé date de 50 ans ou de 5 minutes, c’est toujours du passé.

Que serions-nous sans la projection de nos angoisses dans le futur?
Pourtant, personne ne sait de quoi demain sera fait.

Que serions-nous si nous ne nous accrochions plus à tout ce qui nous a définis jusqu’ici? Car toute « définition » implique justement un contour fini, des limites, un rétrécissement de ce que nous sommes.
Ce qui nous a définis hier ne nous définit plus aujourd’hui et ne ressemble pas non plus à ce que nous serons demain.

Que serions-nous si nous cessions d’avoir peur de vivre parce que nous croyons toutes nos histoires?
Et si on nettoyait notre histoire, justement?

Chaque instant, chaque seconde est une ardoise vierge dans le grand tableau de notre vie.
La Vie est nouvelle à chaque instant.
Peu importe ce que nous avons vécu hier, ce que nous vivrons peut-être demain, il n’y a que Maintenant qui compte.
Sommes-nous capables de le vivre pleinement?

Et si on cessait de tourner en rond dans nos histoires et que nous nous présentions, neufs, à chaque Maintenant, le cœur ouvert, sans histoire, sans attente, sans peur, sans anticipation.
Juste être là, totalement présents à Ce qui est?

Nous cesserions de chercher le Bonheur dans nos souvenirs ou dans nos rêves et nous pourrions enfin réaliser que le Bonheur, il est là.
En soi, inaltérable, infini. Sans histoire.

© Diane Gagnon

Tiruvannāmalai est, à l’échelle indienne, une petite ville avec ses quelques 150 000 habitants. Mais dans l’imaginaire hindou, elle est une des cités majeures du Sud de l’Inde.
Située dans l’État du Tamil Nadu, au pied de la colline sacrée Arunachala, elle est surtout connue comme lieu de pèlerinage et de retraite spirituelle.

La montagne sacrée est vénérée comme Shiva lui-même.
Depuis l’époque du Rig Veda, les chercheurs spirituels ont été attirés par la puissance magnétique d’Arunachala et ils faisaient le tour du sentier de 14 km autour.

Cet acte de marche autour de la montagne dans le sens des aiguilles d’une montre s’appelle Girivalam en tamoul et s’appelle Pradakshina en sanskrit. Elle est réalisée pieds nus, et permet de recevoir cette bénédiction d’Arunachala.

C’est l’une des formes les plus importantes d’adoration du Seigneur Shiva et l’une des formes les plus significatives de seva (service) et de sadhana.
Pradakshina est pratiquée depuis des temps immémoriaux par les saints, les sages, les dévots et les siddhas.

Arunachala est l’incarnation physique de Sat, la réalité, et par conséquent, avoir un contact avec lui de quelque manière que ce soit, est un satsang. Il aidera à réaliser le moi et à nous libérer de Maya (illusions) du monde, de son esclavage, et de ses attachements.

Ramana Maharshi a dit:
«Cette colline est le magasin de tout pouvoir spirituel. Marcher autour de la colline d’Arunachala vous profite de toutes les manières » et ainsi faire Girivalam / pradakshina, aidera toujours une personne à surmonter les attachements du monde et à s’identifier au« soi ».

C'est aussi ici l'occasion de travailler son ancrage, par la marche consciente, dans sa bulle et profiter de ces instants de calme intérieur. Avant de regarder de nouveau le monde vivre. Cette fois avec plus de détachement, de hauteur, sans empreintes comme "étranger" ...

Le chemin de l' Amour

Voyez en toutes choses, en toute personne le divin même.
Même si cela vous paraît "faux" au début, n'abandonnez pas.
Voyez en toutes émotions et sensations uniquement le Soi.
Alors l'Amour émergera de lui-même.

Lorsque vous vous sentez blessés, tristes ou en colère par quelqu'un, rendez-grâce pour le mal être qui survient et pour cet autre qui joue alors le rôle de miroir, il est une manifestation du Soi.

Rendez grâce encore et souvenez vous que cet apparent autre est uniquement le divin à l'œuvre jusqu'à ce que la contraction dans le corps s'effondre d'elle-même.
Elle est simplement une vieille mémoire qui ne dit absolument rien à propos de votre nature d'éternité.
Tout mal être ressenti est simplement le signe que l'idée d'un moi est encore active en cet instant.

Rendez grâce pour cette émergence qui vous ramène à votre vraie nature.

Remerciez la souffrance, voyez là uniquement comme le facteur de retour à Soi.
Vous n'en êtes pas victimes, ne cherchez pas à la contourner ou l'éviter.

Même si tout semble confus en cet instant, embrassez-là pleinement, sans chercher ni à comprendre, ni à résoudre.

La clarté entraîne la dissolution de l'illusion.
En réalité elle est déjà dans les bras de l'amour. Seul l'organisme à cet instant l'a oublié.

Souvenez vous uniquement de votre propre Soi.
quoi qu'il se passe, toute action est uniquement lui-même.

En cela seul réside l'Amour.

En namasté

Marion Renault
cequiest.org

Hello tout le monde,

Je serai sur Bordeaux à partir du 17 octobre et plus si affinités.

Je vous reçois dans cet espace sacré que sont les soins esseniens et égyptiens.
Soins énergétiques, profonds, libérateurs, doux et puissants.
Ils viennent agir sur différents niveaux.

Chaque séance est adaptée à ce qui est là et a besoin d'être écouté, pris en considération et accompagné.

Vous délester de quelques désordres physique, émotionnel ou mental, ou obstacles porteurs de mémoires vous empêchant d'être telles (tels) que vous êtes... Libres.
Ce besoin de créer de l'espace à l'intérieur de vous pour avancer et changer de regard.
Prendre soin de vous, bénéficier d'un voyage hors du temps et modifier le cours des choses.

Si vous sentez l'appel de ces soins énergétiques, vous pouvez me contacter par téléphone ou mail, pour échanger ensemble avec grand plaisir.

Yann 🌠
06.18.47.60.52

Ma conception du voyage avait changé : la destination importe moins que l'abandon.

Partir, ce n'est pas chercher, c'est tout quitter, proches, voisins, habitudes, désirs, opinions, soi-même.

Partir n'a d'autre but que de se livrer à l'inconnu, à l'imprévu, à l'infinité des possibles, voire même à l'impossible.

Partir consiste à perdre ses repères, la maîtrise, l'illusion de savoir et à creuser en soi une disposition hospitalière qui permet à l'exceptionnel de surgir.

Le véritable voyageur reste sans bagage
et sans but.

La nuit de feu
Eric Emmanuel Schmitt.

Apprendre à s'observer..
Juste prendre le temps de regarder quelles pensées te traversent en cet instant
Et sentir ce que ça fait en toi...
poids ou légèreté - tension ou relâchement- joie ou tristesse...
Et sans s'identifier, la voir de plus haut, de plus loin, comme si tu étais extérieur à ce qui était présent.
Un pas vers le changement....

Jésus a dit :
« Que sert à l’homme de gagner le monde s’il vient à perdre son âme ».

L’âme, c’est tout.

Ceux qui n’ont pas trouvé leur véritable richesse, c’est-à-dire la joie radieuse de l’Être et la paix profonde et inébranlable qui l’accompagnent, sont des mendiants, même s’ils sont très riches sur le plan matériel.
Ils se tournent vers l’extérieur pour récolter quelques miettes de plaisir et de satisfaction, pour se sentir validés, sécurisés ou aimés, alors qu’ils abritent en eux un trésor qui non seulement recèle toutes ces choses, mais qui est aussi infiniment plus grandiose que n’importe quoi que le monde puisse leur offrir.

[Echart Tollé]