Pharmacie Saint Come

: Trouver un équilibre entre grossesse et alimentation

Prendre du poids pendant grossesse est normal et même souhaitable pour que le se développe bien.

La prise de poids est différente d'une femme à une autre et elle varie aussi selon les trimestres.

La prise de poids recommandée dépend du poids de la femme avant la grossesse. Les femmes ayant un santé avant de tomber enceinte devraient prendre un total de 11 à 16 kg au cours d’une grossesse.

Celles qui portent plus d’un en gagnent cependant davantage.

Le poids est réparti ainsi :
- 3 à 4 kg pour le bébé,
- 500g pour le placenta,
- 1,5 kg pour l’ utérus,
- 1 à 1,5 kg pour le liquide amniotique,
- 1 à 1,5 kg pour le volume sanguin,
- 900 g pour le volume mammaire.

Il est recommandé aux femmes qui ont un poids inférieur à leur poids santé avant la grossesse de prendre davantage de poids, soit de 12,5 à 18 kg (de 28 à 40 livres).

À l’inverse, il se peut que l’on conseille à celles qui ont un surplus de poids d’essayer de ne pas prendre plus de 11,5 kg (25 livres).

Logiquement, ces kilos seront perdus en quasi-totalité dès la naissance de l'enfant.

Quelques kilos supplémentaires sont néanmoins nécessaires pour constituer une réserve d’énergie dans laquelle le corps pourra puiser, au moment de l’ accouchement par exemple.

Durant les trois ou quatre premiers mois de la grossesse, l’organisme a tendance à stocker les graisses et renforcer sa masse musculaire pour constituer des réserves d’énergie.

Pour apporter au les nutriments essentiels à son développement, sans le gaver ou stocker des kilos superflus, il faut manger deux fois plus équilibré en misant sur des aliments sains, beaucoup de fruits et légumes pour les vitamines, du poisson, de la viande, des laitages...

Jusqu’au sixième mois de grossesse, le bébé grossit peu et ses besoins en énergie sont relativement faibles. Augmenter vos apports de 200 à 250 calories par jour est donc largement suffisant.

A partir du sixième mois, c’est le bébé qui va grossir le plus. Vous pouvez donc ajouter environ 300 calories supplémentaires par jour, soit un fruit, un yaourt et deux tranches de pain.

Important : Il est déconseillé de suivre un régime amaigrissant pendant la grossesse, car il pourrait nuire aux apports en énergie et en éléments nutritifs.

Faites attention également à une prise de poids, cela peut nuire au déroulement de la grossesse ainsi qu’au retour au poids santé après l’accouchement.

+ de conseils : bit.ly/3S8VPSh

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: Acrochordons... 5 choses à savoir sur ces boules de chair

Les , aussi appelés le plus souvent "boule de chair" sont des petites de bénignes et non contagieuses qui poussent souvent dans le cou ou sous les aisselles.

Elles pendent à la peau, attachées par un simple pédoncule de chair.

Les acrochordons peuvent survenir à tout âge, qu’on ait 15 ou 80 ans, aussi bien chez les hommes que chez les femmes.

1. Les acrochordons se développent le plus souvent au niveau des zones de pli ou de frottements, mais aussi au niveau des aisselles, du pli de l’aine ou de la paupière. Ils peuvent se trouver également sous les seins.

2. Ils apparaissent souvent lors de fortes chaleurs : La transpiration favorise leur apparition.

3. Ils ne sont pas douloureux : ils peuvent s'accrocher aux vêtements ou dans les bijoux et être alors à l’origine de douleurs et/ou de saignements sans gravité.

4. Ils sont bénins quelle que soit la couleur : rose pâle, rouge, brun foncé.

5. Ils peuvent être retirés pour un souci d'esthétisme.

Consultez un ou si un acrochordon change d’apparence ou si on souhaite le faire enlever.

+d’infos: bit.ly/3S39tGq

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: Prenez soin de votre peau en hiver !

En hiver, sous l’effet du froid, la circulation sanguine ralentit à la surface de votre peau, entraînant une réduction de la production de sébum par les tissus cutané.

Face au froid et au vent, votre peau devient sèche, picote et tiraille.

Le froid agresse la peau en s’attaquant directement à la couche protectrice de l’épiderme, le « film hydrolipidique » constituée de sueur, de sébum et d'eau.

Le vent, la neige, le froid, les écarts de température et le frottement des gros pulls sur votre peau sont des facteurs qui la fragilisent.

Pour protéger votre épiderme l'hiver et être bien dans votre peau, suivez ces quelques conseils :

Pour le visage :

1. Baissez le chauffage
Un environnement chaud et sec est l'ennemi de l'épiderme. Pour conserver une humidité suffisante, utilisez un saturateur.

2. Pensez à vous démaquiller
Bonne pratique en règle générale, cela devient indispensable quand les températures baissent et que la peau devient sèche. En obstruant les pores de la peau de votre visage, il ne respire alors plus.
Idéalement, utilisez des huiles ou des laits démaquillants, plus nourrissants pour la peau.

3. Hydratez jusqu’à plus soif
Masques, crèmes, sérums : appliquez-en matin et soir en choisissant les bons produits hydratants adaptés aux peaux sèches. N'hésitez pas à demander conseil à votre .

Pour le corps :

1. Evitez les bains chauds
Se relaxer dans un bon bain chaud, est une mauvaise idée quand on a la peau sèche car l’eau chaude élimine les couches protectrices de la peau et donc l’assèche. Avec les do**hes, la peau est beaucoup moins déshydratée.

2. Choisissez le bon soin
Apres la do**he (tiède), il est indispensable d’utiliser un soin corporel. Evitez de prendre des soins alcoolisés et privilégiez des laits hydratants ou des baumes corporels qui apaiseront la peau et éviteront les sensations d’inconfort et de tiraillement.

3. Couvrez-vous
Evitez d’exposer votre peau au froid et au vent qui l’assèchent. Pensez donc à bien vous couvrir, notamment les mains.

Conseils complémentaires :

1. Buvez de l’eau, des tisanes ou autres boissons non alcoolisées car la peau s’hydrate aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur.

2. Adaptez votre alimentation en privilégiant les aliments riches en vitamine C et en acides gras essentiels.

Demandez conseil à votre ou .

+ d'infos : bit.ly/2EZp3wj

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: Les gestes à connaître en cas d'urgence : l'étouffement

Une personne s'étouffe ou suffoque et ne répond pas... Que faites-vous ?

On parle d’ des voies aériennes lorsqu’un obs­tacle gêne ou empêche la respiration : il s’agit alors d’un .

Lorsqu’une personne s’enferme dans un placard ou se met un sac plastique sur la tête, il y a un risque important de .

Chez les adultes, l' survient généralement au cours d'un repas, en présence d'autres personnes.

Dans tous les cas, il faut agir en !

Chez les enfants de moins de 1 an, l'étouffement est la première cause de mortalité.

50 enfants de moins de 5 ans décèdent chaque année des suites d’une suffocation liée à l’ingestion d’un petit corps étranger (cacahuètes, olives, petits jouets ...).

Les gestes à appliquer sont différents chez l'adulte et chez le nourrisson !

Les étapes de l'intervention chez l'adulte :

1 : La victime ne peut pas répondre (elle secoue éventuellement la tête), mais est consciente.

2. La victime ne peut ni parler, ni respirer, ni tousser. Elle peut émettre des sifflements ou tenter de tousser sans émettre de bruit.

3. Donnez un maximum de 5 claques dans le dos de la victime. Après chaque claque, vérifiez si tout rentre dans l'ordre.

4. Si les claques dans le dos n'ont pas d'effet, effectuez un maximum de 5 compressions abdominales.

5. Si le problème n'est toujours pas résolu, alternez 5 claques dans le dos et 5 compressions abdominales.

6. Si la victime perd connaissance, posez-la délicatement au sol et alertez immédiatement les secours, puis entreprenez une réanimation cardio-pulmonaire en commençant par effectuer 30 compressions thoraciques.

7. Poursuivez la réanimation jusqu'à ce que les secours arrivent ou que la victime reprenne une respiration normale

Le processus pour un nourrisson :

1. Coucher la victime à califourchon sur l’avant-bras, la face vers le sol.

2. Maintenir la tête avec les doigts, de part et d’autre de la bouche, sans appuyer sur la gorge.

3. Incliner le nourrisson afin que la tête soit plus basse que le thorax : donner de 1 à 5 claques entre les deux omoplates avec le talon de la main ouverte.

Afin d'éviter un risque d'étouffement, il faut impérativement sensibiliser les enfants aux risques liés au jeu, notamment le cache-cache dans un placard ou le sac en plastique sur la tête.

Important : Ne pas laisser à portée des enfants de moins de 3 ans des petits objets ou aliments et surveiller les enfants lorsqu’ils mangent, notamment lorsqu'ils mangent des aliments comprenant un noyau.

Pour en apprendre plus sur les techniques à appliquer, rendez-vous sur le site de la Croix Rouge : http://ow.ly/M6EOm

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: Des cellules tumorales transformées en armes anti-cancer

Traiter le feu par le feu : tel est l'objectif de cette expérience... Créer un cheval de Troie anti-cancer !

En cette ‪ #‎JournéeMondialecontreleCancer‬, découvrons une technique intrigante mais testée avec succès sur des souris par des chercheurs à l’université de Harvard (Etats-Unis).

Le principe ? Des cellules cancéreuses génétiquement modifiées pour tuer leurs ex-congénères inoculées dans leurs tumeurs d'origine, faisant autant office de vaccin que de traitement contre le cancer du cerveau.

En effet, les cellules cancéreuses peuvent se déplacer sur de longues distances dans le cerveau pour trouver leurs semblables.

C’est donc la bonne vieille méthode du cheval de Troie que des chercheurs ont adaptée au glioblastome, cancer cérébral le plus fréquent.

Dans cette étude, une semaine après le traitement, les cellules tumorales résiduelles ont été complètement éradiquées chez 10 des 12 souris ! Cette méthode semble donc très efficace y compris contre les métastases.

Bien qu’efficace et attrayante, cette méthode est coûteuse en temps et en argent puisque chaque traitement doit être créé à partir de la tumeur du patient à traiter.

Les chercheurs anticipent donc plutôt un usage lorsque la maladie est "récurrente ou métastatique". Leur objectif est de pouvoir développer un vaccin thérapeutique anticancéreux dont le potentiel dépasse le glioblastome et pourrait traiter de nombreux autres types de cancers.

Depuis 2004, le est la première cause de prématurée, devant les maladies cardiovasculaires. C’est la première cause de mortalité chez l’homme et la deuxième chez la femme.

Depuis 2005, le nombre de décès diminuent... les progrès de la recherche ayant permis ces dernières années d'augmenter le taux de guérison.

Pour la plupart des cancers, on parle de guérison quand aucun signe de rechute n'a été décelé pendant une période de 5 ans après le traitement.

Les sont de plus en plus proposées en comprimés et représentent pratiquement la moitié des traitements. Les avantages : plus d'intraveineuse ni de déplacement à l'hôpital pour le patient.

+ d'infos : bit.ly/3wTLzU3 / bit.ly/3Y1lcYc

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: Pourquoi fait-on de la rétention d’eau ?

L’eau représente 65% de notre poids total. Quand vous faites de la rétention d’eau, votre corps ou une partie de votre organisme est excessivement chargé en eau.

La d’eau, aussi appelée , est favorisée par une mauvaise circulation et une dilatation des vaisseaux sanguins.
Cela correspond à une accumulation d’eau dans certaines parties du corps (mollets, chevilles, pieds, mains…) et plus précisément au sein d’un tissu de l’organisme entraînant ainsi un gonflement.

L’oedème peut également se développer en interne au sein des organes comme les poumons.

Une rétention d’eau se manifeste par une prise de poids inexpliquée, jusqu’à 2 kilos, associée à un gonflement dans les seins, au niveau du ventre, des chevilles et des jambes, ou même du corps entier.

Les symptômes les plus fréquents sont :

- une décoloration de la peau (bleue, violette)
- une chaleur au niveau de la zone affectée
- des engourdissements et fourmillements
- une raideur dans le mouvement

La rétention d’eau peut aussi toucher le cerveau et les yeux.

Comment expliquer cette pathologie ?

Normalement, l’eau entre et sort de notre corps en même quantité, mais quand le corps n’élimine pas entièrement l’eau qui entre sous forme de boissons et d’aliments, l’organisme retient l’eau et gonfle temporairement.

La plus fréquente concerne les femmes en période prémenstruelle et les femmes enceintes. Les signes d’une rétention d’eau se manifestent les jours précédant les règles, pour des raisons hormonales. La prise de poids est assez brutale de 500 g à 2 kg, et est souvent associée à un gonflement et une augmentation de sensibilité des seins.

Ce type de rétention d’eau ne nécessite aucun traitement, et le phénomène s’efface en un ou deux jours dès l’arrivée des règles. A ce moment, la femme peut observer qu’elle va souvent uriner, car c’est ainsi que l’eau stockée repart de l’organisme.

La rétention d’eau peut aussi être liée à une immobilité très prolongée. Ainsi, les longs voyages en avion ou en voiture peuvent provoquer une rétention d’eau, quand on ne peut mobiliser les muscles des jambes pendant des heures. Dans ce cas, les pieds et les chevilles gonflent.

Elle peut aussi être due à diverses maladies (insuffisance veineuse ou cardiaque, ascite, réaction allergique ou prise de certains médicaments) et l’œdème peut concerner des zones très différentes.

D’autres causes telles qu’une alimentation trop riche en sel, certains médicaments, contre l’hypertension notamment, l’insuffisance rénale ou encore les varices peuvent aussi être responsables.

Pour traiter une rétention, il ne sert absolument à rien de chercher à moins boire.

En cas d’immobilité prolongée, on peut porter des bas de contention et prendre soin de bouger régulièrement les jambes. Sinon, pour les autres cas, le traitement consiste à soigner la maladie en cause.

Consultez votre traitant pour trouver des solutions.

+ d’infos : http://bit.ly/1Qqzjv3

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: Et si vous faisiez un peu de tri dans votre armoire à pharmacie ?

Ramener ses médicaments à la pharmacie est un geste vital pour préserver l’environnement et la sécurité sanitaire.

Dès qu’il y a un reste de , ne serait-ce qu’un comprimé, celui-ci doit être rapporté à la .

L’association élimine ces Médicaments Non Utilisés (MNU) dans le respect des règles environnementales à des fins de valorisation énergétique et pour préserver la sécurité sanitaire domestique.

Le patient trie les médicaments non utilisés, périmés ou non. Les emballages en carton et les notices en papier sont à jeter dans la poubelle du tri sélectif de son domicile et les médicaments sont à rapporter au .

Les MNU représentent un gisement de 19 000 tonnes/an dans les foyers français, soit autour de 323 g par foyer et par an.

S’ils représentent une petite partie des déchets ménagers (moins de 1 pour 1000), ils ne peuvent pas être enfouis comme le sont encore 1/3 des déchets ménagers et ne doivent donc pas être jetés dans la poubelle ménagère, ou encore moins l’évier ou les toilettes, sous peine de polluer les sols, les rivières ou les nappes phréatiques.

Les médicaments non utilisés qui sont stockés à domicile présentent aussi des risques potentiels de confusion médicamenteuse pour les seniors et des risques d’intoxication par ingestion accidentelle pour les enfants.

Les médicaments représentent plus d’une intoxication sur deux chez les enfants (80% des cas pour les enfants de 1 à 5 ans).

Quelques astuces pour bien ranger votre armoire à pharmacie :

- Choisir le bon emplacement : optez pour une armoire ou une étagère en hauteur afin que les enfants n’y ont pas accès et fermez à clé.

- Conservez vos médicaments à l’abri de la chaleur, de la lumière et de l’humidité.

- Faites le tri et éliminez des médicaments périmés.

- Avoir des médicaments indispensables tels que des pommades, des antiseptiques, pansements, antidouleurs, des ciseaux, un thermomètre…

- Rangez- les par type de maux pour les retrouver facilement.

- Séparez les médicaments adultes avec ceux pour les enfants et notez la date d’ouverture.

+ d’infos : bit.ly/3DkoptP

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: Oméga 3… ces lipides qui nous veulent du bien

Les Oméga 3 appartiennent à la grande famille des lipides divisés en 3 types d'acides gras :
- les acides gras saturés (ou graisses saturées), les "mauvaises" graisses
- les acides gras mono-insaturés
- les acides gras poly-insaturés dont font partie les

Ces acides gras jouent un rôle important dans certaines fonctions de notre organisme mais il ne peut les fabriquer lui-même, d'où l'importance de notre alimentation.

Les apports journaliers conseillés sont d'environ 1,6 g pour les femmes et 2 g pour les hommes.

C'est tout d'abord pour leur rôle dans la prévention des maladies cardio-vasculaires que les oméga 3 sont reconnus.

Un apport suffisant est aussi recommandé pour les personnes souffrant d'une maladie cardio-vasculaire, comme une hypercholestérolémie. Dans le même temps, il est aussi recommandé de diminuer les acides gras saturés.

Les oméga 3 auraient aussi une action bénéfique contre l' artérielle et l'activité du cerveau qui contient en effet énormément de lipides.

Les oméga 3 agiraient également sur l'hydratation de la peau, d'où la sortie sur le marché de crèmes enrichies en oméga 3.

Les aliments les plus riches en oméga 3 sont :
- certaines huiles : l'huile de noix, l'huile de colza, l'huile de lin
- les fruits à coques : les noix, mais aussi les pistaches, les noisettes, les amandes, ...
- les poissons gras (saumon, anchois, sardine, hareng, maquereau)
- le foie de morue
- les oeufs s'ils proviennent de l'élevage en plein air ou de poules nourries avec des graines de lin (produits Bleu-Blanc-Cœur)
- la viande si les animaux sont élevés en plein air ou nourris à base d'aliments riches en oméga 3

Enfin, les oméga 3 supportent mal la chaleur. Aussi, pour les poissons, on conseille de privilégier la cuisson vapeur ou en papillote, et d'éviter la cuisson à l'huile ou au beurre.

+ d'infos : bit.ly/2PIpSzv

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: D'où vient le Hoquet et comment s'en débarrasser ?

Le hoquet est engendré par une contraction intermittente et involontaire du diaphragme, principal muscle inspiratoire situé entre le thorax et l'abdomen. C'est un phénomène réflexe difficile à contrôler.

Physiologiquement, il semble que le n'ait pas vraiment d'utilité.

La crise de hoquet dure en général quelques minutes, puis disparaît aussi subitement qu'elle est apparue.

Certaines personnes souffrent de hoquet pendant plusieurs heures d'affilée ou récidivent très souvent. Dans ces cas, on recherche un problème spécifique, le plus souvent digestif ou neurologique.

On distingue 3 formes de hoquet :
- Le hoquet bénin, le plus fréquent qui dure quelques minutes ;
- Le hoquet persistant qui dure plus de 48 heures ;
- Le hoquet réfractaire qui peut durer plus d'un mois.

Les crises de hoquet sont fréquentes, souvent liées au mode de vie et à l'alimentation de chacun (repas trop bourratif, excès d' alcool, etc.). Stress, tabac ou un changement brutal de température peuvent aussi être liés... mais le plus souvent aucune cause n'est identifiée.

Les causes digestives sont les plus fréquentes : air dans l' estomac, hernie hiatale, reflux gastro-oesophagien, lésions dans le bas de l' oesophage...

Les traitements ne sont envisagés qu'en cas de hoquet persistant pour lequel il faudra consulter un médecin. En effet, il peut alors révéler l'existence d'une maladie sous-jacente. Dans ce cas, le hoquet est souvent associé à d'autres symptômes liés à une maladie précise qu'il faudra traiter.

Dans les autres cas, voici quelques astuces de « grands-mères » pour stopper le hoquet :
- boire de l' eau très froide ou sucer un glaçon,
- boire un verre d'eau la tête orientée vers le sol,
- tirer sur la langue,
- bloquer la respiration,
- détourner l'attention en faisant peur, par exemple,
- provoquer un haut le coeur en mettant un doigt au fond de la gorge.

+ d'infos : bit.ly/2DWCC1I

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: 7 conseils pour protéger son bébé pendant l’hiver !

L’organisme du nourrisson est fragile et il faut le préserver du froid, des virus et des rhums hivernaux.

1. Privilégiez la poussette au porte-bébé
Il est préférable d’installer votre tout-petit dans une poussette avec nacelle.
Si vous utilisez une poussette sans coque, ajoutez une chancelière ou un nid d’ange pour que votre soit bien au chaud.
Une capote bien couvrante est nécessaire pour le protéger du vent parfois glacial.
Prudence avec le porte-bébé, il peut comprimer ses jambes et bloquer la circulation sanguine.
La régulation thermique du de moins de 3 mois est beaucoup moins efficace que celle de l’adulte et les pertes de chaleurs se produisent très facilement, particulièrement quand il est mouillé ou quand il a peu de mouvements actifs.

2. Superposez les vêtements
Les enfants doivent être plus couverts que les adultes particulièrement au niveau de la tête et des extrémités et être bien hydratés.
Optez pour des gants, un bonnet, une écharpe afin de protéger les extrémités.
En effet, c’est par la tête que le risque de déperdition de chaleur est le plus élevé.

3. Pas de sortie sous 0°C
Un nourrisson de moins de 3 mois de devrait pas sortir en cas de froid intense.
Le vent glacial le refroidit très vite et l’air froid peut abîmer ses voies respiratoires.

4. Ne surchauffez pas l’intérieur
Les variations de température entre l’extérieur et l’intérieur demandent à l’organisme un effort d’adaptation important, qui peut être préjudiciable au tout-petit.
Par ailleurs, une atmosphère confinée favorise la prolifération des bactéries.
C’est pourquoi il faut aérer chaque jour votre logement pour renouveler l’air.
La température ambiante ne doit pas dépasser 19°C.
Si vous trouvez qu’il fait toujours frais, ajoutez un petit gilet à votre enfant.

5. Pensez à l’hydrater régulièrement
Hiver comme été, les bébés transpirent !
Pour que votre bébé ne souffre pas de déshydratation, veillez à lui proposer plusieurs fois par jour de l’eau, de préférence à température ambiante.

6. Protégez sa peau avec de la crème hydratante
La peau des bébés est très fine, et le froid fragilise l’épiderme, pouvant provoquer des gerçures autour de la bouche, des dartres et des rougeurs.

7. Évitez de supprimer sa sieste
L’exposition au froid augmente les dépenses énergétiques de votre bébé.
Il est préférable de sortir votre bébé pendant les heures « chaudes » de la journée, entre 11h et 15h.

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: Comment préserver sa flore intime

Voici 7 conseils pour préserver votre intime à appliquer au quotidien... ce qu’il faut faire et ne pas faire.

1. Une toilette intime par jour est primordial et deux en période menstruelle sont conseillées.
Cette toilette est uniquement externe, pas de do**he vaginale au risque de détruire l’équilibre de la flore vaginale et vulvaire.

2. Pas de gant de toilette !
Ce sont des nids à microbes. Leur utilisation est inutile et risque d’entraîner des infections. Utilisez vos mains propres préalablement nettoyées.

3. Des produits au PH adapté.
En cas d’irritations ou d’infections, utilisez des produits spécialement conçus pour l’hygiène intime, dont le pH est adapté. Vous en trouverez en .

4. Pas de produits antiseptiques, ni de parfums ou de déodorants !
Un soin lavant doux, comme pour le corps, est adapté en l’absence de tout problème d’irritations ou d’infections.

5. Parlez-en !
Les irritations et les infections de cette zone intime nécessitent d’en parler simplement, sans tabou, avec son pharmacien ou son médecin pour les traiter au plus vite.

6. Changez de sous-vêtements tous les jours pour prévenir d’éventuelles infections.
Pour cette même raison, changez régulièrement vos protections périodiques pendant les règles.

7. Privilégiez les sous-vêtements en coton au lieu du synthétique !
Evitez aussi les vêtements trop serrés pour prévenir les risques d’irritation de cette région très fragile.

Ces règles d’hygiène intime sont simples et faciles à appliquer. Ce sont de bonnes habitudes à prendre à tout âge et pour toute la vie.

Votre et votre pourront vous conseiller.

+ d’infos : bit.ly/2F9quKa

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: quand faut-il consulter un orthophoniste pour votre enfant ?

L’apprentissage du langage est un processus complexe dans lequel tous les enfants n’avancent pas au même rythme. Il existe des repères clairs quant à l’acquisition du langage.

A un an, l’enfant prononce ses tout premiers mots (il dit "papa, maman"). Son vocabulaire s’élargit ensuite petit à petit. Il comprend des ordres simples.

Vers 18 mois, les premiers « mots-phrases » apparaissent (« Maman partie » ou « Bébé mange » par exemple). Il comprend des phrases courtes et simples.

A deux ans se dessinent des phrases courtes et plus complètes de 2 à 3 mots. Il comprend des ordres complexes.

Ceci dit, l’acquisition du ne se fait pas de manière linéaire. L’enfant apprend tout à la fois la signification des mots, à articuler et à prononcer les mots, le rôle même de la parole, la place des mots dans les phrases…

Il est possible qu’il avance sur un aspect, puis l’autre, donc le développement global de la parole n’est pas toujours facile à évaluer pour les parents.

Certains éléments doivent inciter à consulter rapidement un :

1. L’enfant ne réagit pas à son prénom, aux bruits, ne pointe pas du doigt, ne regarde pas son interlocuteur.

2. Il n'associe pas les mots à l’âge de deux ans.

3. Le langage utilisé par l’enfant n’évolue pas : il se contente des quelques mots qu’il a appris et ne va pas plus loin.

4. Le langage est incompréhensible.

5. Il ne comprend pas.

L' peut être aussi utile pour certains enfants qui ne parlent pas « bien » : bégaiement ou défauts de prononciation.

Dans ces cas, l'orthophonie est utile dès que l’on constate que le défaut ne disparaît pas de lui-même, et bien sûr si l’enfant semble souffrir de ses difficultés.

En effet, même si le trouble du langage est sérieux, il est possible que l’enfant rattrape complètement son re**rd dans les années à venir.

En savoir plus sur les troubles du langage : bit.ly/2JsRfPd

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: Faire la fête c'est bien, s'en remettre c'est mieux !

Aspirine ou Paracétamol ? Café ou Tisane ? Vitamine C ou Verre d'eau ?

Voici quelques réponses pour que vos lendemains de fêtes ne soient pas trop difficiles :

- Pour éviter la déshydratation engendrée par l'alcool et qui cause en partie cette sensation de "gu**le de bois", prenez l'habitude de boire un verre d'eau avant chaque verre d'alcool.

- Evitez les mélanges, restez sur le même type de vin toute la soirée.

- Le café est déshydratant et irritant... préférez-lui une tisane.

- Les bulles accélèrent les effets de l'alcool.

- Mal à la tête ? Prenez plutôt un paracétamol car l'aspirine tend à augmenter la concentration d'alcool dans le sang.

- Une vitamine C le lendemain d'une soirée arrosée vous fera le plus grand bien.

- Au petit-déjeuner le lendemain d'une soirée, évitez le jus d'orange, trop acide et irritant pour un estomac fragilisé. Prenez plutôt un verre d'eau.

- 2 verres d'alcool à l'apéritif s'éliminent au bout d'environ 2 heures 30 en moyenne. L'alcoolémie maximale est atteinte une demi-heure après la consommation (une heure après si la boisson alcoolisée est absorbée au cours d'un repas). Ensuite, on élimine 0,1 à 0,15 g/l d'alcool par heure… donc si l'on doit conduire, on ne boit pas d'alcool !

- Soyez prudent(e) si vous prenez des médicaments. Certains (antidépresseurs, neuroleptiques, sédatifs…) ne font pas bon ménage avec l'alcool. Demandez conseil à votre ou lisez bien la notice.

Bien entendu, la meilleure façon d'éviter les lendemains difficiles reste encore de rester raisonnable ou même de ne pas boire d'alcool.

+ d'infos : bit.ly/2QXMgbN

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