Blandine Dahéron Biographe

Je partage "Le cœur qui parle" du 4 janvier (Le Pèlerin) : partage d'une rencontre, par-delà les grands murs....

Des petites lumières et tous mes vœux de paix et de justice pour le monde....en 2024 !🙏🙏

Oups !!! J'ai du retard...🙄😳
Voici "le cœur qui parle" publié dans le numéro spécial de Noël 🎄
Le Pèlerin, 21- 28 décembre 2023
Bonne lecture 🙏

Je partage un nouveau "Cœur qui parle " publié le 14 décembre dans le Pèlerin😇☺️.
Bonne lecture !!..🙏🕯✨️

Voilà le deuxième témoignage publié hier dans le Pèlerin🙂.
Je remercie Emma pour sa confiance et son "oui", lorsque je lui ai proposé de recueillir son récit.💖🙏
Je remercie également l'illustratrice Chiara Dattola Art !

Avis de recherche 🚩 et bouteille🍾 à la mer 🌊
Joie de la publication de mon témoignage le 26 octobre, dans l'hebdomadaire "Le Pèlerin", au sujet de ma rencontre avec Alphons Metten, ex SDF, peintre amateur au grand cœur.

Ce témoignage est aussi une bouteille à la mer : en effet, j'aimerais retrouver sa fille Anne, quelque part en Belgique ?🙏🕯
Née autour de 1976, 47 ans environ.
Les grands parents d'Alphons ont vécu à Léopoldsburg.
Mais où a grandi Anne ? Quel était son nom ? Aucun indice.

C'est certainement irréaliste d'espérer retrouver cette femme, mais j'essaie.
🍾bouteille à la 🌊🌊🌊

Merci de partager, si vous avez des idées ou des liens avec la Belgique 🙏

Merci Jean-Louis Milcent pour tes questions justes et claires.
Oui, notre travail nécessite une attitude professionnelle, fondée sur une relation de confiance !

La r***e Merci pour l’info, un mensuel destiné aux clients du Crédit Agricole, propose dans son édition de janvier 2023 un article intitulé : « Confiez votre histoire à un biographe ». Sollicités par la rédactrice de l’article, nous avons répondu à ses questions sur la conception d’une biographie. Nous avons également mis en exergue les points que nous jugeons nécessaire de soulever ou d’éclaircir avant de confier son récit de vie à la personne qui aura pour mission de l’écrire :

À qui vais-je transmettre mes souvenirs ? Qui seront mes lecteurs ?

Mon interlocuteur est-il un professionnel de l’écriture ? Quelles sont ses références ? Est-il en mesure de me présenter un ou plusieurs de ses livres ?

A-t-il pignon sur rue ? Est-il affilié à une association ou un groupement de biographes ?

Va-t-il m’accompagner jusqu’à l’impression de mon livre ?

Sera-t-il mon seul et unique interlocuteur ?

Quelle est sa méthode de travail ? Enregistre-t-il nos échanges ?

Le courant passe-t-il entre nous ?

Sa présentation est-elle claire ? Répond-il à toutes mes questions ?

Me présente-t-il un contrat d’écriture ? Si oui, le document est-il clair et sans ambiguïté ?

Le tarif proposé est-il réaliste ?

Me propose-t-il une facturation à l’heure ou un forfait ? Que recouvre très exactement le forfait proposé ?

Pourrais-je insérer des photos dans mon livre, et si oui, combien ?

Aborde-t-il le sujet des droits d’auteur ?

L’article « Confiez votre histoire à un biographe » est à lire sur le site des Compagnons Biographes à l’adresse suivante : https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Presse.html

Ce beau récit de Sylvie Kienast rend hommage à notre métier Les Compagnons Biographes.
Notre blog s'enrichit de semaine en semaine de témoignages variés et émouvants🙏👏.
C'est une joie d'appartenir à ce réseau🙂.
Blog à lire et découvrir sur https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/index.php

DONNER TOUT SON SENS À NOTRE MÉTIER

Par Sylvie Kienast, Compagnon biographe à Paris

Elle est si touchante
Je n’ai pu que ressentir une grande émotion en rencontrant Sandrine ce premier samedi d’octobre dans un café à Paris. Nous nous étions parlé avant l’été et avions convenu de ce rendez-vous bien longtemps à l’avance. Sandrine est gouvernante dans un château et travaille très souvent le week-end.

Quelle personnalité
Ce samedi matin, Sandrine se confie, en désordre, mais avec une forte émotion. Les larmes affleurent souvent sur ce petit visage fin d’une jeune femme frêle dans la trentaine. Elle est petite, mais force et déterminations se dégagent d’elle. Nous passons presque deux heures ensemble et les bruits du café ne dérangent pas l’intensité de mon écoute. (…)

Vous découvrirez l’intégralité de l’article de Sylvie Kienast en cliquant sur le lien ci-dessous.

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/DONNER-TOUT-SON-SENS-A-NOTRE-METIER.html

Récit de Fabienne Soulard, Les Compagnons Biographes....qui n'a pas ménagé sa peine pour aider sa narratrice !! 😉

Quand un reportage de l’ORTF réveille les souvenirs de Colette.

Par Fabienne Soulard, Compagnon Biographe en Bretagne et en région parisienne.

Les reportages et les articles de presse sont des outils que les biographes peuvent utiliser pour enrichir les récits de vie. Quand ils servent de supports à la mémoire, ils permettent de faire émerger des émotions et de ressusciter des histoires.

Colette, qui vient du monde rural, est devenue ouvrière dans une usine agroalimentaire à la fin des années soixante. Lors de notre première rencontre, elle me raconte une grève de son usine : « Ma première ! Vous savez, à cette époque-là, on ne manifestait pas chez les paysans. La télévision est même venue et nous a filmés. On a regardé le reportage avec mes parents qui étaient contre cette grève. » Colette est émue, c’est un moment important pour elle.

À la recherche d’archives
Ma curiosité est piquée, et, de retour à mon bureau, je me lance dans des recherches sur cette grève et sur l’histoire de l’implantation de cette usine (...)

Pour découvrir l’intégralité de l’article de Fabienne Soulard , cliquez sur le lien ci-dessous
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Quand-un-reportage-de-l-ORTF-reveille-les-souvenirs-de-Colette.html

Colette raconte son histoire à ses petits-enfants💖🌲.
Un nouveau témoignage à lire sur notre blog👍😊, texte d'Anne-France, Les Compagnons Biographes

Bonne Année, Bonne Santé, et Bonne Biographie !

Par Anne-France Chartois, Compagnon Biographe en Eure-et-Loir (Chartres),

Les fêtes de fin d’année sont le moment propice aux échanges de cadeaux. Offrir à des grands-parents la possibilité de raconter leur parcours de vie permet de partager l’histoire familiale, comme l’affection. À cadeau, cadeau et demi : tout le monde est bénéficiaire !

Des étrennes inattendues
Depuis qu’elle est grand-mère, Colette a institué le repas de famille à la date du 1er janvier. La rencontre devenue traditionnelle lui permet de disposer une corbeille sur la cheminée contenant une enveloppe pour chacun de ses dix petits-enfants où elle a glissé un billet pour les étrennes. Cette année-là, quand la distribution est faite, il reste une enveloppe dans la corbeille : elle est destinée à Colette, avec ce mot : « Bon pour une biographie »

(...)
Pour découvrir l’intégralité de l’article d'Anne-France Chartois , cliquez sur le lien ci-dessous.
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Bonne-Annee-Bonne-Sante-et-Bonne-Biographie.html

Un joli témoignage de Chantal Le Nédic, collègue Les Compagnons Biographes 🙏🌈🌏🎁🎄

Rencontre au Bout du Monde…

Par Chantal Le Nédic, Compagnon Biographe – Morbihan – Bretagne

Tisser le lien lors de la première rencontre est primordial pour démarrer une biographie pérenne et amicale.

Olivier a reçu son cadeau de Noël. Offert par son épouse Roxane et ses enfants, Lola et Malo, il est invité à écrire sa biographie pour raconter son parcours invraisemblable et sa bifurcation, comme il l’appelle, le passage du monde de la Finance à celui de la Terre.

Ce matin, c’est notre première rencontre. Je dois faire bonne impression, je suis ponctuelle. Olivier vient à ma rencontre. Présentations faites, nous partons vers la roulotte qui sert de bureau d’accueil. Nous nous installons pour prendre un café et démarrons tranquillement l’entretien. Je lui propose d’évoquer les grands chapitres de sa vie, son enfance, ses origines familiales, ses études, son parcours professionnel. J’appuie sur la touche enregistrement et je l’écoute avec empathie.(...)

Découvrez l'article de l'article de Chantal le Nédic en cliquant le lien ci-dessous.

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Rencontre-au-Bout-du-Monde.html

Johanna, collègue des Compagnons biographes, raconte comment l'une de ses biographies a connu un engouement imprévu.... après avoir été citée à la radio.
Pour connaître la fin du récit, il faut cliquer sur le lien qui suit, et vous rendre sur notre blog😉
Bonne lecture !

L’effet Corona, ou quand les lecteurs s’emballent

Par Johanna DESCOINGS, Compagnon Biographe à Ailly-sur-Noye (Picardie)

« Bonsoir ma grande, Je quitte à l’instant Europe 1 : la psy de l’émission avait lu Lucien, elle m’a invitée à témoigner à l’antenne. Elle a donné tes coordonnées, tu vas peut-être recevoir des commandes de personnes qui souhaitent acheter le livre. Bon courage, merci et plein de bonnes pensées. Francine »

Rupture de stock
29 novembre 2020. En ce dimanche d’automne picard, on évite de sortir : le Covid-19, monstre minuscule qui avait confiné le monde entier au printemps, sévit de nouveau.

Ce matin-là, je m’apprêtais donc à bouquiner au coin du feu, quand j’ai lu le message nocturne de Francine. Je consulte ma boîte : horreur ! Une quinzaine de courriels ont pour objet : « Lucien », « Livre de Francine Guerbette », « Livre Lucien et Francine » … Le soir, les demandes ont doublé.

Affolée, j’appelle la fautive : « Mais Francine, on n’a imprimé que quelques exemplaires, pour toi et tes proches ! Je suis déjà en rupture de stock ! » (...)

Pour découvrir l’intégralité de l’article de Johanna DESCOINGS , cliquez sur le lien ci-dessous.

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/L-effet-Corona-ou-quand-les-lecteurs-s-emballent.html

Je remercie mon narrateur Jean-Pierre Dufeux, qui a accepté de paraître sur Facebook🙏🙂 pour que je puisse raconter ce souvenir sympathique.
Partagé sur Les Compagnons Biographes, pour alimenter aussi notre blog : https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/-Le-blog-des-Compagnons-.html

C'est aussi cela le compagnonnage ! 🤝🤝
Communiquer sur nos réseaux,
pour être plus visible 😊.

Même si le bouche à oreille 👄☺️🦻
porte plus de fruits 🍈🍇🍏🫒🍅
au jour d'aujourd'hui ! 😳😅

Un narrateur très consciencieux

par Blandine Dahéron, Compagnon Biographe à Nantes

Inquiet de ne pas « savoir trouver les mots », Jean-Pierre a préparé nos rencontres avec tant de minutie, qu’il aurait pu publier deux biographies !

« Lors de nos repas de famille, papa nous raconte toujours des souvenirs de ses traversées comme radionavigant sur des paquebots transatlantiques, lorsqu’il était jeune. Du coup, nous voulons lui offrir un cadeau pour ses quatre-vingts ans : coucher enfin ses aventures sur le papier, avec votre aide comme biographe » m’explique un client par téléphone.

Pour concrétiser ce cadeau et faire connaissance avec mon narrateur, rendez-vous est pris avant l’été. Heureux à l’idée d’écrire ses récits de voyages, Jean-Pierre est inquiet aussi et craint de ne pas y arriver. « Je n’ai jamais écrit de livre… » Je lui suggère de noter ses idées pendant les vacances, pour gagner du temps et respecter le budget. (...)

Pour lire la suite, cliquez sur le lien ci-dessous

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Un-narrateur-tres-consciencieux-135.html

Témoignage émouvant de Julie Luquet, collègue "compagnon biographe", à Grenoble.
Elle vient d'achever une biographie au long court (le travail a duré trois ans) avec un rédacteur jeune, persévérant, et vivant à l'autre extrémité du pays !⚘️👏

Djibril, à travers les années

Par Julie Lucquet, Compagnon Biographe à Grenoble

24 mai 2019. Un jeune homme de 22 ans décide de rédiger son autobiographie. Sur le net, il trouve mes coordonnées et décide de me contacter par texto. Le hasard fait que je suis en entretien lors de la réception de ce message et que je ne lui réponds pas dans la minute. Il m’envoie alors un mail puis, au cas où, laisse un message sur mon répondeur.

Une confiance immédiate

Quand je termine mon entretien, je prends connaissance des trois messages de Djibril. Un peu amusée, je me dis : "Au moins, il est motivé !" Je le rappelle dans la foulée. Dès le départ, la conversation est fluide, agréable. La confiance est présente entre nous sans que nous ne puissions l’expliquer. Au bout de quelques minutes, je le sais : j’écrirai l’histoire de ce jeune homme.

La mise en place des entretiens

Après quelques échanges, la rédaction d’un devis et la signature d’un contrat, nous mettons en place les entretiens pour recueillir ses souvenirs. Budget oblige, nous en établissons la fréquence à une demi-heure par mois pendant deux ans. Quant à la géographie (Djibril habite Calais, je vis à Grenoble), celle-ci nous impose des rencontres en visio uniquement, mais ce n’est pas un problème.

Dévoilement

Au fil du récit de vie de mon jeune narrateur, je suis de plus en plus impressionnée.
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Djibril-a-travers-les-annees.html

Vendue, mais pas achetée… une adoptée à la recherche de ses origines.

Par Olivier Duron, Compagnon Biographe en Charente

Novembre 2017. Sur l’écran de son ordinateur, Céline Breysse voit soudain basculer son monde et voler en éclats les fondations de son histoire. Elle vient de découvrir l’existence d’un trafic d’enfants qui a meurtri le Sri Lanka à l’époque où elle fut adoptée sur cette île.

Le journal intime, ou l’évidence de l’authenticité

Sous le choc, Céline ressent immédiatement le besoin d’écrire, de graver ses ressentis, d’exprimer le flot tumultueux de ses émotions. Adoptée en 1983 par un couple de Haute-Loire, elle s’interroge : est-elle personnellement concernée par ces pratiques illicites et inhumaines ? A-t-elle été conçue dans une « baby-farm » ? A-t-elle été arrachée des bras de sa mère biologique ? A-t-elle été vendue ?

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Vendue-mais-pas-achetee-une-adoptee-a-la-recherche-de-ses-origines.html

Le chœur à l’ouvrage

Par Véronique Della Valle, Compagnon Biographe en Île-de-France

Comment écrire un récit de voyages au cœur du Sahara, quand huit narrateurs enthousiastes multiplient les informations en passant d’un sujet à un autre, sans lien évident ni transition ?

Au début était le chaos !
Je rencontre d’abord six d’entre eux, que passionnent les relations humaines, les paysages infinis et « la bagnole ». Pendant une vingtaine d’années, ils ont sillonné les déserts africains et pris des centaines de photos. Elles sont là, sur la table, prétexte à raconter tout et n’importe quoi, les pneus crevés, les bagages à emporter, la faune, la flore, les nuits à la belle étoile, les accidents graves, les risques encourus… En plein désert, je patauge ; le comble ! Le Sahara couvrant plus de 9 millions de km2 et s’étendant sur dix États, j’ai de quoi me faire du souci. Où se passe cette anecdote ? En quelle année ? Qui participait à ce voyage ? Mystère !

Qui assume la narration ?
Après le premier rendez-vous, j’obtiens une cinquantaine de pages de transcription, une masse sans fil conducteur, où je prends soin de noter qui a dit quoi. Je choisis de garder le « nous » pour la narration, à l’exception de certains chapitres où une seule voix s’exprimera, parce qu’elle seule a vécu une expérience particulière.
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Le-choeur-a-l-ouvrage.html

Retour sur une AG chaleureuse et efficace après deux années de visio conférence...👍🙂

10e rencontre annuelle des Compagnons Biographes à Paris.

par Vincent Pandore Compagnon Biographe au Havre.

Cette année du 10e anniversaire de notre collectif affiche une saveur toute particulière. Après deux années de contraintes sanitaires imposant de nous réunir en assemblée générale dématérialisée, ce sont des retrouvailles chaleureuses en 3 D.

Différents groupes de travail ont débuté dans la fièvre du Covid, quand l’inconfort de ne pouvoir nous rencontrer a fait naître une activité soutenue en visiophonie. Après deux années de travail acharné, c’est l’heure de voter les résolutions d’avenir de l’association, qui tient à une gouvernance horizontale et plurielle, d’autant que notre fondateur désire s’effacer en douceur pour passer la main. Plus que jamais, chacun est appelé à compagnonner. Pierre pourra être fier de cette évolution collective qui ne renie pas les valeurs cardinales que nous avons inscrites dans une charte.

Outre tous les chantiers techniques en cours — formation professionnelle, site Internet, blog, biographies d’entreprise, forum interne, etc. —, sont discutées les modalités d’intégration de nouveaux Compagnons...
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/10e-rencontre-annuelle-des-Compagnons-Biographes-a-Paris.html

Notre restaurateur en plein récit 😊

Le restaurateur du Royal Cochin nous raconte son histoire. Un échange spontané et plein d'humour 😊

Hier soir, je dînais avec mes collègues Compagnons Biographes au Royal Cochin. Soudain le patron s'est mis naturellement à nous raconter son histoire pleine de rebondissements. Un jour, il fera sans doute appel à un membre de notre réseau pour écrire sa biographie ✒️

Et si nous écrivions les mémoires de votre restaurant ?

En attendant, nous entamons notre 2e journée d'AG, remplis d'enthousiasme !
Au programme : notamment un temps de présentation de nos biographies d'entreprises 📚

Pour en savoir davantage sur nos services, n'hésitez pas à nous contacter et à visiter notre site https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Biographie-d-entreprise.html

Après les cogitations biographiques📖📕📚,
Un réconfort celtique !! 😅🍾🥂🍻

Enfin une AG avec Les Compagnons Biographes après 3 ans de Covid 😷et de réunion zoom 👍😊...

Un beau témoignage de ma collègue Françoise...🙂

Écrire un « livre-repentir » sur un défunt

À l’issue d’une conférence sur le récit de soi, une vielle dame, Madame Chevalier, vient timidement me demander s’il est possible de rédiger un livre sur une personne décédée. J’imagine qu’elle souhaite écrire sur son mari mais non, elle veut parler de son père car, me dit-elle, elle a pris conscience qu’elle l’a « raté » et voudrait réparer ses erreurs d’appréciation.

De un à trois narrateurs

Le premier entretien se déroule en présence de l’un des fils de Madame Chevalier. Très vite, les échanges révèlent que la mère et son fils n’ont pas la même perception de l’homme, que le père et le grand-père n’ont pas du tout laissé les mêmes souvenirs.
Me vient alors l’idée d’un récit à deux voix dans lequel chacun pourrait dresser un portrait du défunt. Mais le second fils ne tarde pas à manifester son souhait de participer à ce projet

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/Ecrire-un-livre-repentir-sur-un-defunt-128.html

illustration Collection particulière. © Chevalier-Houssa

Quelques photos de l'exposition, pour contempler plus longuement les magnifiques œuvres de Jean-Luc Pellerin👏👏 (j'ai déjà souvent présenté les tableaux d'Alphons🙂).

Un joli texte découvert sur la page de Francis Denat, collègue des Compagnons Biographe.

Je partage ce témoignage en hommage à Marie-Thérèse C, l'une de mes narratrices, qui a grandi à la campagne🐄🐇🐤🦆🐥🌻🌻🌻🌻 et raconte son histoire avec tant de cœur ❤ 😊

Le tablier de grand-mère :
Je crois que les jeunes d'aujourd'hui ignorent ce qu'est un tablier...
Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère ?
Les mères et grand-mères portaient un tablier par-dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange.
En fait, il était beaucoup plus facile de laver un tablier habituellement en coton qu'une robe, une blouse ou une jupe, faites d'autres tissus.
L'usage principal du tablier de grand-mère était donc de protéger la robe, mais en plus de cela :
- Il servait de gant pour retirer un plat brûlant du fourneau, bien avant l'invention des "mitaines à fourneau".
- Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses sales.
- Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.
- Quand il y avait de la visite, le tablier servait d'abri aux enfants timides. d'où l'expression : «Se cacher dans les jupons de sa mère».
- Par temps frais, maman le relevait pour s'y emmitoufler les bras et les épaules, par temps chaud, alors qu'elle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front.
- Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu'elle l'agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer.
- C'est lui qui servait à transbahuter pommes de terre et bois sec jusque dans la cuisine
- Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux.
- En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
- Quand des visiteurs arrivaient à l'improviste, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
- A l'heure du repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, c'était signe que le dîner était prêt,et les hommes aux champs savaient qu'ils devaient passer à table.
- Grand-mère l'utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin qu'elle refroidisse ; de nos jours sa petite fille l'y pose aussi, mais pour la décongeler... Autres temps, autres moeurs!
Il faudra de bien longues années, avant que quelqu'un invente un vêtement, qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.
Danger ?
On deviendrait bien fou aujourd'hui rien que de songer à la quantité de microbes
qui pouvaient s'accumuler sur le tablier en une seule journée !!
En réalité, la seule chose que les enfants de l'époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman, c'est de l'amour !!
Auteur inconnu

Il restera d’elle ou de lui sa trace, ses enfants, son œuvre, des photos, le souvenir de son rire et ses amis fidèles. C’était une vie ordinaire, avec des hauts et des bas, des petits arrangements et des moments d’exception ; une vie ordinaire mais singulière, à nulle autre pareille.

Il restera aussi la livre de sa biographie, écrite avec l’aide d’un Compagnon Biographe, pour poser les mots justes sur ce qui importait et ce qui n’a pas toujours été dit. Elle sera disponible des décennies durant, stable témoin d’une vie, d’une époque, à disposition des jeunes générations.

Cet homme, cette femme, pourrait être l’un de ceux-ci :

• Un politique qui raconte à ses petits-enfants la saga familiale.
• Le livre écrit à plusieurs voix à la mémoire d’un homme au cœur d’or, époux, père et beau-père, grand-père et arrière-grand-père, oncle, cousin, ami.
• Une cheffe d’entreprise fière de son parcours.
• Une jeune femme rejetée par sa famille après avoir dénoncé son père incestueux.
• Un jeune et pauvre immigré italien devenu un entrepreneur de renom.
• Une institutrice retraitée, un parcours simple, témoignage des années passées
• Une femme placée en 8 ans en orphelinat, à la mort de ses parents.
• Une femme divorcée qui remonte le cours de sa vie.

https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/index.php

oui Vincent C'est toujours émouvant d'entendre l'histoire d'une personne et de la raconter...😊👏

Les personnes qui nous confient leur vie à écrire ont en commun l’envie de transmettre, de poser un itinéraire, de témoigner. Pour autant, ils sont résolument singuliers, de cette singularité humaine qui fait que chaque vie, a priori banale, recèle des trésors à partager. Ces quelques histoires rédigées avec l'aide d'un Compagnon Biographe font des livres émouvants, pour leurs proches ou le grand public, tout en procurant une grande excitation intellectuelle au narrateur :

• Un jeune homme mis à la porte de chez lui à 10 ans, qui a traversé deux continents et six pays différents avant de trouver sa place.
• Un couple né dans un même village, la terre battue, le lait ribot, le lard conservé dans le sel, une ferme de 3 hectares, un premier tracteur, le syndicalisme agricole, le théâtre paroissial et le bio.
• Une femme née en Yougoslavie à l'époque du Maréchal Tito, avant l'éclatement du pays.
• Une grand-mère amoureuse de ses petits-enfants et qui leur raconte des choses simples.
• Une exilée russe dont les parents avaient fui la révolution de 1917, femme juive ayant échappé à la rafle du Vel d’Hiv.
• Un universitaire, son parcours familial et professionnel.
• Un boulanger dont le parcours atypique s’est construit autour de sa passion pour les oiseaux.
• Une jeune fille élevée par deux familles différentes, entre plaine et montagne.

https://www.compagnonsbiographes.net/
https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/index.php

Merci Vincent Pandore, écrivain biographe. pour ce post fort intéressant que je partage volontiers ! 😊
Me reste à plonger dans l'ouvrage de Yuval Noah Harari, «Sapiens, une brève histoire de l’humanité » ! 🙂

Un peu d’éthologie, pour accueillir Natacha…

Les Compagnons Biographes forment un groupe de 50 individus. Yuval Noah Harari, dans son fameux « Sapiens, une brève histoire de l’humanité », nous explique pourquoi une telle taille de groupe est pertinente :

« Il existe des limites claires à la taille des groupes […]. Pour que ça marche, tous les membres du groupe doivent se connaître intimement. Deux chimpanzés qui ne se sont jamais rencontrés ni battus et qui ne se sont jamais livrés à une toilette mutuelle ne sauront pas s’ils peuvent se fier l’un à l’autre, si cela vaut la peine de s’entraider, et lequel est le plus haut placé. Dans ces conditions naturelles, une troupe typique de chimpanzés compte entre 20 et 50 individus. Si le nombre de chimpanzés augmente, l’ordre social se déstabilise au point de déboucher finalement sur une rupture et sur la formation par certains éléments d’une nouvelle troupe. […] Les groupes séparés coopèrent rarement et ont tendance à se disputer territoire et nourriture. »

Notre groupe d’artisans connaît bien les risques d’une expansion, et nous nous y refusons. Pour autant, certains biographes d’entre nous s’envolent vers d’autres activités, libérant leur place, et d’autres intègrent le groupe, apportant un enthousiasme neuf. Ainsi, nous avons découvert aujourd’hui même, en réunion dématérialisée, notre nouvelle compagnonne Natacha Cesbron, à qui nous souhaitons le meilleur parmi nous. C’est une période particulière, qui nous prive de nous approcher physiquement, et nous empêche de vivre en primates que nous sommes notre vie sociale. Pourtant, la vie continue et nous apprendrons à nous épouiller à distance, pour souder notre groupe et vous apporter le meilleur.

Notre trombinoscope est disponible ici : https://www.compagnonsbiographes.net/ecrivains/-Trouver-votre-biographe-.html

Blandine Dahéron Biographe updated their address.