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📣 André Masson : Il n'y a pas de monde achevé
Applicat-Prazan a le plaisir d'annoncer le prêt de 14 tableaux de l'artiste André Masson pour l'exposition qui lui est actuellement consacrée au Centre Pompidou-Metz.
Alors que l'exposition vient tout juste d'ouvrir ses portes, nous vous proposons de découvrir ici quelques unes de nos œuvres actuellement sur les cimaises du musée...

📅 André Masson
"Il n'y a pas de monde achevé"

29 mars - 2 septembre 2024

📣 Visiteurs du Musée d'art moderne de Paris, ne manquez pas ces 4 tableaux prêtés par la galerie !

💬Parmi les merveilleuses œuvres actuellement sur les cimaises du Musée d'art moderne de Paris dans le cadre de l'exposition consacrée à Jean Hélion, vous pourrez découvrir 4 tableaux que nous avons le plaisir de prêter au musée pour cette rétrospective d'exception.
Nus, citrouillerie, homme assis ou encore escalier, chacune de ces toiles évoque une thématique essentielle à la construction du travail de Jean Hélion.

Vous pourrez également y retrouver "l'Atelier", huile sur toile majeure datant de 1953 que nous avons récemment vendue au Musée.

📅 Jean Hélion "La prose du monde"

22 mars - 18 août 2024

✨ Auguste Herbin, le maître révélé
💬 Le peintre Auguste Herbin est le secret le mieux gardé de l’aventure de l’art moderne. Il a pourtant pris une part active à toutes les ruptures créatives du XXème siècle : fauvisme, cubisme, abstraction. Celui qui, pendant dix-huit années, a vécu au Bateau-Lavoir aboutit dans son ultime manière à un alphabet plastique à visée universelle.
Le musée de Montmartre Jardins Renoir est le premier musée parisien à consacrer une exposition rétrospective à Auguste Herbin, dans la ville où il a créé toute sa vie. Elle retrace, avec des œuvres souvent inédites, les sept périodes de création du peintre : postimpressionnisme, fauvisme, cubisme, objets monumentaux, nouvelle figuration, première et seconde abstraction. Herbin retrouve ici sa juste place dans l’histoire de l’art moderne, et nous donne à découvrir des œuvres de tout premier plan pour chacune des périodes créatrices traversées.

👉 Parmi les nombreux chefs-d’œuvre exposés, vous pourrez y découvrir l’œuvre “Père & Mère” datant de 1943 que la galerie Applicat-Prazan est heureuse de prêter pour la durée de l’exposition.



📅 Auguste Herbin, le maître révélé
15 mars - 15 septembre 2024

📍 Musée de Montmartre
12 rue Cortot
75018 Paris

🏠 Chaque maison est une saison
Voici une œuvre qui synthétise parfaitement la maestria de l'artiste portug*ise Maria Elena Vieira Da Silva. Alliance parfaite de maîtrise technique, d'aboutissement plastique et d'une poésie intime si propre à l'artiste, cette huile sur toile fût peinte en 1974.
Ne manquez pas de faire un tour sur notre stand à Tefaf pour l'admirer !

🖌️ Maria Elena VIEIRA DA SILVA (1908 - 1992)
Chaque maison est une saison, 1974
Huile sur toile
Signée et datée en bas à droite
97 x 130 cm

📅 Cette œuvre est à découvrir sur notre stand n°422
Maastricht jusqu'au 14 mars prochain.

🇳🇱 See you there ??
This week we are delighted to be exhibiting once more Maastricht !

If you stop by our booth we'll be happy to show you a carefully curated selection of paintings by the Masters of Post-War Art.

👉 Tefaf Maastricht is open until March 14th
Come & visit our booth 422

Maître coloriste
💬 Maurice Estève (1904 - 2001) nous a laissé une œuvre admirable. Il est l’un des représentants de la première génération d’artistes qui après la Seconde Guerre mondiale se dirigent vers la non-figuration avec Bissière, Bazaine et Manessier.
Il débute aux Surindépendants et en 1930 a lieu sa première exposition à la galerie Yvangot. Nombreuses seront les expositions que vont se succéder à Paris et en Europe. Il participe à la Biennale de Venise en 1954, à la Dokumenta II à Kassel en 1959 et reçoit en 1970 le grand prix national des Arts.
En 1986 c'est la consécration : le Grand Palais présente la rétrospective Maurice Estève.
L'année suivante le Musée Estève est créé à Bourges, grâce à la donation de Monique et Maurice Estève.
Estève est un peintre g*i et inventif. C’est par sa maîtrise de la couleur qu’il marque la peinture ; il joue avec les formes et les couleurs (et les titres qu’il s’amuse à choisir avec sa femme).
La Betouille, que nous présentons ici, a été réalisée en 1963. Il s'agit d'une oeuvre très représentative de cette richesse créative. Des formes naturelles, aux couleurs éclatantes, s'entremêlent harmonieusement et semblent flotter dans un équilibre parfait qui renforce la finesse et la préciosité du tableau.

🖌️ Maurice ESTEVE (1904 - 2001)
La Betouille, 1963
Huile sur toile
81 x 100 cm

📅 Cette œuvre est à découvrir sur notre stand n°442
Maastricht du 9 au 14 mars prochain.

Le Maître de la peinture au noir
💬 Pierre Soulages (1919 - 2022) a été l’une des grandes figures de l’art moderne. Sa longue carrière, riche d’expositions dans les plus grands musées du monde entier, a été couronnée en 2014, par l’ouverture de son vivant, d’un musée à Rodez, sa ville natale. Dans les années 50, Soulages touche aux Etats-Unis un public qu'il n’a pas encore en France. La collaboration avec Kootz dès 1954 est déterminante pour sa carrière, les expositions se succèdent les unes après les autres, enchaînant les succès.
Dans cette toile de 1950, les barres noires, longues, puissantes et étroites, sont disposées sur un fond marron en lignes verticales, horizontales et diagonales.
À travers les interstices ressortent des jaunes et des dorés, symboles de la persévérance du Maitre dans sa quête de lumière.

🖌️ Pierre SOULAGES (1919 - 2022)
Peinture 92 x 73 cm, 30 juin 1950
Huile sur toile
Signée en bas à droite ; Datée au dos
92 x 73 cm

📅 Cette œuvre est à découvrir sur notre stand n°442
Maastricht du 9 au 14 mars prochain

À la fin des années 50 l'artiste suisse Gérard Schneider, précurseur de l'"action painting", exprime dans ses œuvres une gestualité libre, un geste large, volcanique et plein d’énergie, tandis que sa maîtrise technique lui permet toutes les expérimentations (il travaillera notamment le "dripping").
C'est en 1959 qu'il peint cet Opus 35 D où d'extraordinaires effets de matières noire et blanche se mêlent au fond brun réhaussé de touches de jaune et de turquoise.
Cette œuvre appartient à sa période dite des "années glorieuses" (1950-1961).

🖌️ Gérard SCHNEIDER (1896 - 1986)
Opus 35 D, 1959
Huile sur toile
Signée et datée en bas à droite; Titrée au dos
114 x 146 cm

📅 Cette œuvre est à découvrir sur notre stand n°442
Maastricht du 9 au 14 mars prochain.

🔜 La foire TEFAF Maastricht arrive à grand pas !
Avant de découvrir prochainement cette nouvelle édition, voici un petit avant-goût des œuvres que nous présenterons sur notre stand : un sublime dessin de la fin des années 30 par le célèbre Wifredo Lam...

💬 Dans l’Œuvre de Wifredo Lam, la femme occupe une place considérable ; parfois représentée de façon stylisée ou telle une créature totémique, la femme s’impose, dans toute sa complexité, comme une figure guide, une égérie. Dans
cette œuvre réalisée autour des années 1939, que Lam offrira à son ami Matta, les corps de deux femmes (trois peut-être) têtes rondes, visages schématisés, chevelures longues et noires, s’enlacent dans une tendresse ambivalente. Plusieurs points de vue se combinent ; on y retrouve sans doute déjà réunis les influences les plus révolutionnaires de la peinture occidentale, les influences picassiennes, ainsi que des éléments de l'héritage afro-cubain de l'artiste.

🖌️ Wifredo LAM (1902 - 1982)
Sans titre, vers 1938-1939
Gouache, aquarelle et pastel sur papier marouflé sur toile
103 x 73 cm

📅 Cette oeuvre est à découvrir sur notre stand n°442
Maastricht du 9 au 14 mars prochain

✨️ À la rencontre de Marcelle Poliakoff
Marcelle Perreur-Lloyd, française d’origine irlandaise par sa mère, rencontre Serge Poliakoff dans les années 1930 à Londres où elle vit depuis plusieurs années. À cette époque, le peintre suit des cours à la Slade School of Art. C’est le coup de foudre réciproque : les amoureux se marient en 1935 et restent à Londres jusqu’en 1937.

En 1942, Marcelle donne naissance à leur fils, Alexis, puis au début des années 1950 la famille Poliakoff emménagent à l'Hôtel du Vieux Colombier, où se croisent alors les plus grands noms de la scène musicale et artistique dans une ambiance de fête.

Dans les années 1960, les Poliakoff s’installent rue de Seine, où l’appartement familial et l’atelier du peintre ne forment plus qu’un seul et même espace. Marcelle et Serge y reçoivent régulièrement les grands peintres de l’après-guerre, mais également musiciens ou encore acteurs de l’époque.

Autour du couple se développe ainsi une ambiance joyeuse et propice à l’émulation intellectuelle et artistique.

Marcelle est également une passionnée de peinture et sera, toute sa vie, la partenaire attentive et le témoin privilégié du travail de Serge.

Évoquant son couple avec beaucoup de poésie, elle aura ces mots : “ Nous formions, il me semblait, un être à deux têtes, nous nous complétions voilà tout.
Tellement différents l’un de l’autre mais avec la même optique, la même conception des choses essentielles de la vie : la même passion, la peinture. »

💬 En cette période de la Saint-Valentin, nous avons décidé de vous parler un peu des femmes de la Seconde École de Paris, artistes en leur nom ou épouses et collaboratrices des carrières des grands artistes de l’abstraction d’après-guerre.

📸 Serge, Marcelle et Alexis Poliakoff à l’Hôtel du Vieux-Colombier (1953)
© Alexis Poliakoff

✨️ À la rencontre de Françoise Marquet-Zao
C’est en 1973 que Françoise Marquet fait la connaissance de Zao Wou-Ki à la faveur d’une visite au Petit Palais. À cette époque Françoise y est jeune conservatrice stagiaire.

Après cette rencontre, les deux ne se quittent plus. Françoise collabore activement à la reconnaissance du travail de son époux, notamment à travers une autobiographie du peintre écrite à 4 mains dans les années 1980.

Elle poursuit également sa carrière de conservatrice, notamment en créant le département de photographie du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris en 1981.

Françoise soutiendra le peintre jusqu’à son décès en 2013. Présidente de la Fondation Zao Wou-Ki, elle entend ainsi rendre hommage et assurer la transmission de l’oeuvre du Maître.

💬 Pour cette semaine de la Saint-Valentin, nous avons décidé de vous parler un peu des femmes de la Seconde École de Paris, artistes en leur nom ou épouses et collaboratrices des carrières des grands artistes de l’abstraction d’après-guerre.

📸 Françoise Marquet et Zao Wou-ki, 1977
© Waintrobb-Budd, New-York

✨️ À la rencontre de Colette Soulages
Pour cette semaine de la Saint-Valentin, nous avons décidé de vous parler un peu des femmes de la Seconde École de Paris, artistes en leur nom ou épouses et collaboratrices des carrières des grands artistes de l’abstraction d’après-guerre.

👉 La première de notre série : Colette Soulages

Colette Llaurens est née le 14 mars 1921 à Sète.
Étudiante à l’École des beaux-arts de Montpellier, c’est à la faveur d’une visite au musée Fabre qu’elle rencontre Pierre Soulages. Le coup de foudre est immédiat et les amoureux se marient le 24 octobre 1942 à Sète.

Passionnée d’art comme son époux, elle consacrera sa vie à la carrière de Pierre, l’accompagnant autour du monde, le conseillant, le soutenant et collaborant à ses nombreux projets.

Ce partenariat de vie et de travail trouvera son apogée en 2014 avec l’ouverture du musée Soulages à Rodez suite à une donation exceptionnelle du couple Soulages comprenant 250 œuvres et 250 documents de leur collection.

Mariés pendant près de 80 ans, Pierre aura cette joli phrase sur son épouse en 2019 :"77 ans avec Colette et je ne me suis jamais ennuyé avec elle”

© Pierre Soulages et Colette Llaurens, by Ida Kar, vintage bromide print, 1954
National Portrait Gallery, London

✨️ Après son succès au Musée d'art Moderne de Paris, la rétrospective consacrée à Nicolas de Staël traverse les frontières!
À partir du 9 février, l'exposition rouvre ses portes dans une version inédite à la prestigieuse Fondation de L'Hermitage à Lausanne.
Parmi les nombreux chefs-d’œuvre exposés, vous pourrez y découvrir 5 toiles prêtées par la galerie, que nous vous dévoilons ici...



📅 Nicolas de Staël
9 février - 9 juin 2024

📍Fondation de l'Hermitage
Route du Signal 2
Lausanne
Suisse

3️⃣ choses que vous ne saviez peut-être pas sur Maria Elena Vieira Da Silva :

📰 Issue d’un milieu bourgeois, son grand-père était le fondateur du quotidien le plus important de Lisbonne.

🚢 En 1931, Maria Elena Vieira Da Silva effectue un voyage à Marseille qui est pour elle une révélation : l’artiste y découvre les architectures métalliques du pont transbordeur du vieux port (aujourd’hui disparu). Elle y perçoit les fragmentations de l’espace, point d’ancrage de sa recherche plastique.

🧵 Prolongeant sa création dans d’autres domaines, Vieira da Silva s’est consacrée à la tapisserie en réalisant pendant plusieurs années des cartons grandeur nature pour de prestigieux ateliers comme les Gobelins, Beauvais ou encore Aubusson.

Alors, vous le saviez ?
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🙏 Un grand merci à tous les visiteurs venus voir notre stand à !

Soulages, Appel, Atlan ou encore Lanskoy... Quelle œuvre a attiré votre œil parmi toutes celles exposées ?

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Et pour celles et ceux qui n'ont pas pu se rendre sur la foire, voici quelques images...


moderne

3️⃣ choses que vous ne saviez peut-être pas sur Hans Hartung:

1. C’est alors qu’il n’a que 6 ans qu’Hans Hartung touche du crayon sa vocation artistique. Pour conjurer les orages qui le terrifient, le jeune Hans dessine au vol les éclairs sur le papier, lui donnant à jamais le goût de la vitesse du trait et l’envie de saisir l’instant.

2. Parallèlement à ses préoccupations plastiques, Hartung se passionne durant ses années d’apprentissage pour l’astronomie et la photographie. Il fabrique d’ailleurs son propre télescope couplé d’un appareil photographique.

3. Militant contre le nazisme, Hartung s’engage en 1939 dans la Légion Etrangère. Avec l’occupation de la zone libre, il fuit en Espagne, puis est incarcéré dans les prisons franquistes, avant de rejoindre une nouvelle fois la Légion. C’est lors de l’attaque de Belfort que, gravement blessé, il doit être amputé d’une jambe.

Alors, vous le saviez ?

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🌪Tourbillonner comme le fusain de Hans Hartung…
Voici une seconde oeuvre, cette fois-ci sur papier, à ne pas manquer sur notre stand si vous passez par la foire la semaine prochaine : un dessin par l’une des plus grandes figures de l’abstraction d’après-guerre, Hans Hartung.

💬 Réalisé peu après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, ce pastel et fusain sur papier synthétise parfaitement la maitrise technique d’Hartung qui atteint ici un équilibre parfait de signes en vibration.

🖌 Hans HARTUNG
(1904 - 1989)
PAO-27, 1947
Pastel et fusain sur papier
44,4 x 57,5 cm

📍Artgenève
25-28 janvier 2024
Palexpo, Genève
Stand B13

3️⃣ choses que vous ne saviez peut-être pas sur Pierre Soulages :

👉 Alors qu’il n’est qu’un jeune adolescent, Soulages visite avec sa classe l’église Sainte-Foy de Conques. Emerveillé par l’architecture du lieu, c’est à ce moment qu’il décide de devenir peintre et de « dévouer son existence à la peinture ».

👉 À 18 ans, il se rend à Paris pour préparer le concours d’entrée à l’École Nationale supérieure des Beaux-Arts. Il y est admis mais, remettant en cause la qualité de l’enseignement dispensé, refuse d’y entrer et retourne à Rodez.

👉 Très attaché à sa région, Pierre Soulages fait en 2005 un don exceptionnel de plus de 500 oeuvres et documents à la ville de Rodez, point de départ de la création de son musée en 2014. Cette donation est alors la plus importante octroyée en France par un artiste vivant.

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