Galerie Yves Iffrig

Stéphane Calais,
Série des « Fleurs chantantes », « Hortensia 2 », 2022
Encre et aquarelle japonaise sur papier
65 x 50 cm

Il existe deux séries de « Fleurs chantantes « une de 2020 et une seconde celle présentée ici de 2022. Ces fleurs ou végétaux sont issus de dessins pris sur le motif par Stéphane Calais puis retravaillés, sur un papier vélin filigrané, à l’encre de chine et à l’aquarelle japonaise. Une signature importante et une date finissent la composition frontale de ces plantes. On aperçoit au crayon de papier, graphite, ici ou là quelques notes de musiques, mots ou paroles de chanson, de ritournelles émises par nos végétaux. Ces refrains ou notes semblent aussi importants et impermanents que la vie des fleurs, apparitions simples et remarquables.

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

Stéphane Calais,
série des « Fleurs chantantes »,
« Anémone », 2022
Encre et aquarelle japonaise sur papier
65 x 50 cm

Il existe deux séries de « Fleurs chantantes « une de 2020 et une seconde celle présentée ici de 2022. Ces fleurs ou végétaux sont issus de dessins pris sur le motif par Stéphane Calais puis retravaillés, sur un papier vélin filigrané, à l’encre de chine et à l’aquarelle japonaise. Une signature importante et une date finissent la composition frontale de ces plantes. On aperçoit au crayon de papier, graphite, ici ou là quelques notes de musiques, mots ou paroles de chanson, de ritournelles émises par nos végétaux. Ces refrains ou notes semblent aussi importants et impermanents que la vie des fleurs, apparitions simples et remarquables.

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

Odile Maarek, « Point sensible 2 », 2018
Feutre pigmentaire sur papier
26 x 36 cm

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

Odile Maarek, « Point sensible 1 », 2018
Feutre pigmentaire sur papier
31 x 44 cm

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

Marc Couturier

De gauche à droite :

« Dessin du troisième jour »,
1997
Mine de plomb sur papier, verre
31 x 24,2 cm

« Dessin du troisième jour »,
1992
Mine de plomb sur papier, verre
31 x 24,2 cm

« Le caprice incertain de la nature est annexé comme reflet – plutôt comme un double – sorte de synonyme du savoir-faire de l’artiste, manifestant par là une pensée singulièrement libérée des clichés romantiques ! »
Henry-Claude Cousseau. « Le dessein épiphanique ». In Marc Couturier. Amiens : Fonds régional d’art contemporain de Picardie, 1996

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

Marc Couturier, « Dessins du troisième jour », 1992 -1999
Mine de plomb sur papier, verre
31 x 24,2 cm chaque dessin

« Le caprice incertain de la nature est annexé comme reflet – plutôt comme un double – sorte de synonyme du savoir-faire de l’artiste, manifestant par là une pensée singulièrement libérée des clichés romantiques ! »
Henry-Claude Cousseau. « Le dessein épiphanique ». In Marc Couturier. Amiens : Fonds régional d’art contemporain de Picardie, 1996

Exposition « Dessinateurs, dessinatures »

David Scher, « Hand Truck », 2007
Gouache et encre sur papier
67 x 101 cm

« Dessinateurs, dessinatures »
📆 Jusqu'au 8 juillet 2023

Prolongation de l'exposition « Dessinateurs, dessinatures » jusqu'au 8 juillet 2023

David Scher, « Sans titre », 2007
Gouache et encre sur papier
75,5 x 101 cm

Exposition collective à venir

Vernissage le jeudi 4 mai de 18h à 21h

Jean-François Maurige

Accrochage dans le showroom de la Galerie Yves Iffrig

Richard Monnier, « Sans titre », 9 avril 2022, encre à tampon sur toile non tissée, 100 x 147 cm

Exposition Richard Monnier « Cours élémentaire »
Visible jusqu'au 18 décembre 2022

Richard Monnier, « Sans titre », 9 avril 2022, encre à tampon sur toile non tissée, 100 x 147 cm

Exposition Richard Monnier « Cours élémentaire »
Visible jusqu'au 18 décembre 2022

Richard Monnier

« Cours élémentaire »

Vernissage le jeudi 10 novembre 2022 de 18h à 21h
Exposition du 10 novembre au 17 décembre 2022.

Dans la première salle de la galerie sont exposés des dessins dont le motif d'origine est extrêmement répandu et très familier aux habitués des terrasses de cafés. Il s'agit des ronds qui se forment par capillarité entre le pied des verres et la surface de la table sur laquelle ils sont posés. Mais ici, le liquide ne se laisse pas boire et il ne fait pas tache, Richard Monnier utilise de l'encre qui suit le parcours aléatoire des fibres d'un textile non-tissé.

Dans la deuxième salle, le visiteur pourra voir apparaître sur le mur du fond de la galerie, un volume transparent aux contours flous. En s'approchant de ce dessin, il pourra se rendre compte que la forme n'est pas donnée d'emblée comme les volumes qu'on appelle les « solides platoniciens » parfaitement identifiés. La forme est obtenue, elle est générée par la superposition de multiples couches d'encre, sans jamais être vraiment achevée. Ce sont les mouvements et l'attention du visiteur qui lui donneront sa consistance.

Les précédentes expositions de Richard Monnier dans la galerie Yves Iffrig montraient des œuvres réalisées avec d'autres matériaux ou avec d'autres supports. Cette exposition montre que, même après quarante ans de pratique, l'artiste est toujours à la recherche de son élément.

Richard Monnier, « Sans titre », 5 août 2022, encre sur papier, 42 x 29,5 cm

Pierre Savatier

« En mesure de »

Espace Lézard, Colmar
Du 4 novembre au 13 décembre 2022

Pour cette exposition Pierre Savatier a réalisé un choix d’œuvres photographiques à partir de trois séries (Gouttes d’eau (grande) ; Quadrillé billes ; Règles filées, cube). D’autres œuvres s’y ajoutent, posant la question de ce qui les relie entre elles.

Dans les photogrammes de Pierre Savatier, ce qui lie c’est évidemment la lumière. On trouvera dans l’exposition différents états, apparences et effets de la lumière, reliés entre eux de multiple façon. La lumière se concentre (se réfracte), marque le papier photosensible jusqu’à donner une impression de combustion ou d’explosion et de vitesse. Elle peut aussi, en traversant un tissu froissé, agir comme le phénomène de l’érosion et montrer quelque chose de minéral et de géologique. D’autre fois, elle dessine des figures géométriques en suivant le bord de règles graduées prolongées par d’étranges faisceaux ondoyants. Elle peut se colorer et se mélanger, entre feu artificiel et couleur.

En photographie, la lumière est double (il y a un positif et un négatif) : elle montre et elle altère, elle éblouit et elle brûle. Ici elle interagit avec les objets choisis par l’artiste.

Si l’on fait la liste des objets ayant servi à la réalisation des diverses séries de photogrammes, on trouve : des gouttes d’eau, des billes, des tissus, des règles graduées, des fils de soie, des écheveaux de fils, et pour finir un caillou (un quartz). Liste hétéroclite où pourtant se tissent des liens. Les relations entre les objets se font aussi par la façon dont ils captent et transmettent la lumière.
Dans chaque œuvre la lumière est en mesure de montrer l’objet choisi sous un angle qui questionne sa vision et autorise l’imaginaire. Dans certaines œuvres, on peut passer d’un monde physique à un imaginaire cosmique. Tout cela dépend de la distance à laquelle on regarde, et demande l’accommodation du regard. L’idée de mesure est elle-même active dans les photogrammes de Pierre Savatier, depuis la série des Instruments de mesure, 1988-1989. La mesure, la précision jouent sans cesse avec le hasard dans l’atelier, chambre noire de l’artiste.

La galerie Yves Iffrig montre régulièrement le travail de Pierre Savatier depuis 2008.

De gauche à droite :

« Gouttes d’eau (grande) #6 », 2002, photogramme noir et blanc, argentique, 100 x 200 cm
« Billes #1 », 2003, photogramme noir et blanc, argentique, 100 x 100 cm
« Caillou #9 », 2019, scanogramme, épreuve pigmentaire, 52 x 60 cm

« Fil et perles #1 », 2005, photogramme noir et blanc, argentique, 80 x 78 cm
« Règles filées, cube #1 », 2009, photogramme couleur, cibachrome, 91 x 109 cm

Claude Viallat, "Sans titre", 2002, acrylique sur papier, 100 x 66 cm

Julio Le Parc, "Instabilité" et "Développement de cercles et de carrés", 2018, lithographie noire sur papier vélin de Rives 270 gr, 48 x 54 cm, édition de 50 exemplaires

Exposition TERRITOIRES ABSTRAITS

Richard Monnier, "Sans titre", 2020, encre sur papier, 24 x 32 cm

Exposition TERRITOIRES ABSTRAITS

Vladimir Skoda, "Sans titre", 2010, gravure en taille d'épargne, 33 x 36 cm

Exposition TERRITOIRES ABSTRAITS

Germain Roesz, "Sans titre", 1979, peinture vinylique sur papier, 26,7 x 21 cm

Exposition TERRITOIRES ABSTRAITS