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Le calcium est important pour votre santé et bien-être. .parapharmacie .lalla

LE CALCIUM

Le calcium joue un rôle essentiel dans le corps humain. Voici quelques-unes de ses fonctions principales :
1. Formation et maintien des os et des dents : Le calcium est un élément clé pour la croissance et la solidité des os et des dents.
2. Contraction musculaire : Le calcium est nécessaire pour la contraction musculaire, y compris le muscle cardiaque.
3. Transmission nerveuse : Le calcium est impliqué dans la transmission des signaux nerveux dans tout le corps.
4. Coagulation sanguine : Le calcium est nécessaire pour la coagulation sanguine, qui est essentielle pour arrêter les saignements.
5. Régulation de la pression artérielle : Le calcium aide à réguler la pression artérielle en aidant les vaisseaux sanguins à se contracter et à se dilater.
6. Fonctionnement des enzymes : Le calcium est nécessaire pour l'activité de nombreuses enzymes dans le corps.

Il est donc important de maintenir un apport suffisant en calcium pour assurer un fonctionnement optimal du corps. Idéalement le calcium est apporté par une alimentation équilibrée, même si une supplémentation est possible et préconisé dans certains cas.
Le calcium peut être retrouvé naturellement dans notre assiette. Quelques exemples d’aliments accessibles riches en calcium : les produits laitiers (lait, yaourt, fromage), les végétaux (épinards, amandes, oranges, clémentines, Kiwis, haricots blancs) …
Un dosage annuel du calcium sérique est préconisé pour garder un taux suffisant.

C'est la saison des mariages🥰, pensez au bilan prénuptial😘

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OMICRON : QUEL EST DONC CE NOUVEAU VARIANT QUI NOUS INQUIÈTE ?
L’agent du SARS COV-2 persiste à vouloir rester la vedette du monde sanitaire et du monde tout court. Une nouvelle déclinaison découverte au mois de novembre : le variant Omicron (lignée B.1.1.529) inquiète particulièrement, pour preuve des fermetures de frontières ont déjà commencé avec les pays du sud de l’Afrique, mais qu’a-t-il de particulier ce variant ?

Que sait-on sur Mr Omicron ?
Omicron est un variant très différent des autres avec un nombre élevé de mutations, près de 32 au niveau du Spike (cible de la plupart des vaccins). Certaines de ces mutations sont préoccupantes et peuvent être associées à un potentiel d'évasion immunitaire et à une transmissibilité plus élevée. Cependant, les incertitudes considérables subsistent.
L'OMS s'attend à plus de données sur la transmission du variant Omicron d'ici quelques jours, a déclaré Maria Van Kerkhove, responsable technique de l'organisation, lors de la conférence de presse. Il est possible que le variant se révèle plus transmissible que les souches précédentes du virus, a-t-elle déclaré, et on ne sait pas à ce stade à quel point elle sera grave.
Omicron a été identifié comme étant à l'origine d'une transmission communautaire importante ou de plusieurs clusters de COVID-19, dans plusieurs pays avec une prévalence relative croissante. Parallèlement à un nombre croissant de cas au fil du temps, ou d'autres impacts épidémiologiques apparents suggèrent un risque émergent pour la santé publique mondiale.

Quels symptômes pour Omicron?
Le Dr Angelique Coetzee, présidente de l'Association médicale sud-africaine, a déclaré que, jusqu'à présent, les patients infectés par le nouveau variant Omicron présentaient des symptômes très légers.
Le médecin a expliqué que tout a commencé le 18 novembre, avec un patient d'une trentaine d'années qui disait se sentir fatigué et avoir des courbatures depuis plusieurs jours.
"Il avait un peu mal à la tête, il n'avait pas vraiment mal à la gorge, il l'a décrit plutôt comme une démangeaison, pas de toux, pas de perte du goût ou de l'odorat".
Ce variant a également été découvert fortuitement chez de jeunes personnes non vaccinées qui faisaient une forme asymptomatique de la maladie.
Toutefois, il faudra plusieurs jours voire plusieurs semaines pour comprendre le niveau de gravité du variant Omicron. Tous les variants du COVID-19, y compris le variant Delta qui est dominant dans le monde, peuvent provoquer une maladie grave ou la mort, en particulier pour les personnes les plus vulnérables, et la prévention est donc toujours la clé, selon l’OMS.

Les vaccins restent-ils efficaces contre ce variant ?
Les vaccins protègeront probablement contre les cas graves de Covid-19 dûs à Omicron, a déclaré un responsable de l'Organisation Mondiale de la Santé, cherchant à apaiser les inquiétudes selon lesquelles la souche pourrait contourner l'outil le plus efficace pour lutter contre la pandémie.
"Nous savons que les vaccins sont susceptibles d'avoir une certaine protection", a déclaré la scientifique en chef de l'OMS, Soumya Swaminathan, lors d'un point de presse. "Nous devons encore découvrir s'il y a une perte de protection, mais nous pensons que les vaccins protégeront toujours contre la forme grave du Covid comme ils l'ont fait contre les autres variants".
Les groupes producteurs de vaccins ont tout de même embrouillé les populations avec des déclarations qui semblaient parfois contradictoires, le PDG de Moderna Inc. déclarant qu’une nouvelle dose pourrait être nécessaire. L'Université d'Oxford, qui a aidé à développer le vaccin vendu par AstraZeneca Plc, et le directeur de BioNTech SE, le partenaire vaccinal de Pfizer Inc., ont prédit une certaine protection contre l'Omicron à partir des inoculations précédentes. Les résultats des études menées par ces laboratoires sont attendus très prochainement.

Les tests de dépistage et protocoles de traitement du Covid sont-ils efficaces sur Mr Omicron ?
La capacité diagnostique n’a pas été affectée sur plus de 100 échantillons provenant de laboratoires d'essais à Gauteng, il est donc peu probable que la sensibilité globale du test PCR soit affectée. Ces tests PCR détectent généralement au moins deux cibles différentes du SRAS-CoV-2, qui servent de sauvegarde en cas de mutation survenant dans l'une d'entre elles.

L'analyse des mutations dans la nucléocapside (gène N) des virus B.1.1.529 suggère que les tests antigéniques rapides ne devraient pas être affectés, mais la vérification est en cours.
En ce qui concerne l’efficacité des traitements actuels : les corticostéroïdes et les bloqueurs des récepteurs de l'IL6 seront toujours efficaces pour la prise en charge des patients atteints de COVID-19 sévère. D'autres traitements seront évalués pour voir s'ils sont toujours aussi efficaces compte tenu des modifications apportées à certaines parties du virus dans la variante Omicron.

Comment lutter contre Mr Omicron?
Les mesures les plus efficaces pour réduire la propagation du virus COVID-19 sont celles du Covid en général :
● garder une distance physique d'au moins 1 mètre avec les autres ;
● porter un masque bien ajusté ;
● ouvrir les fenêtres pour améliorer la ventilation ;
● éviter les espaces mal aérés ou surpeuplés ;
● garder les mains propres ;
● tousser ou éternuer dans un coude ou un mouchoir plié ;
● et se faire vacciner.

Sources
https://www.who.int/news/item/28-11-2021-update-on-omicron
https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-12-01/vaccines-likely-to-protect-against-severe-cases-of-omicron-who
https://www.bbc.com/afrique/monde-59461558
https://www.who.int/news/item/28-11-2021-update-on-omicron
https://www.nicd.ac.za/frequently-asked-questions-for-the-b-1-1-529-mutated-sars-cov-2-lineage-in-south-africa/

Jeudi 2 décembre 2021 LABORATOIRE Biolab7

Omicron?

OMICRON : QUEL EST DONC CE NOUVEAU VARIANT QUI NOUS INQUIÈTE ? | Article de Biolab7

LE PALUDISME : RECRUDESCENCE ?
L’actualité sanitaire mondiale a été plus que mouvementée ces deux dernières années : en effet, la COVID en a été l’invitée d’honneur faisant parler d’elle comme d’un film à suspense avec, en prime, des rebondissements assez inattendus. Ces dernières semaines au Sénégal, les nouvelles concernant la COVID ont été plutôt rassurantes laissant espérer un moment de répit, c’était sans compter sur notre bon vieux classique : le paludisme.
Le paludisme (qui peut l’oublier ?) est une maladie parasitaire dûe au Plasmodium véhiculée par la femelle de l’anophèle. Elle se transmet par la piqûre du moustique vecteur. C’est donc une maladie infectieuse fébrile entraînant divers symptômes tels que : maux de tête, vomissements, douleurs musculaires, frissons etc. Cette maladie peut s’aggraver rapidement, surtout chez le jeune enfant en l’absence de traitement, en cas de rechute ou dans le cas du neuro-paludisme.
Selon l’OMS, on dénombre encore aujourd’hui près de 200 Millions de nouveaux cas de paludisme dans le monde. Depuis quelques semaines, il semble y avoir une recrudescence des cas de paludisme au Sénégal. Nous remarquons dans notre pratique et en dialoguant avec les prescripteurs des cas de paludisme, mais nous ne disposons malheureusement pas encore de chiffres officiels émanant du Ministère de la Santé ou du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) pour en mesurer l’ampleur.
Tout de même, l’actualité de ces deux dernières années semble chambouler l’algorithme de base des prises en charge des syndromes infectieux de façon générale, entraînant partout dans le monde des errances ou des retards de diagnostic.
Il convient de rester alerte afin de consulter dès les premiers signes de fièvre et en évitant l’automédication. La meilleure façon de lutter contre le paludisme reste la prévention notamment par l’utilisation de moustiquaires imprégnées, la pulvérisation de certaines concessions et la chimioprophylaxie fœto-maternelle.
L’actualité du paludisme a également été marquée par la mise au point d’un vaccin, appelé RTS,S qui agit contre P. falciparum, à l’origine de la forme la plus mortelle de paludisme dans le monde et ayant la plus grande prévalence en Afrique.
L'OMS recommande que, dans le cadre d'une lutte antipaludique globale, le vaccin antipaludique RTS,S/AS01 soit utilisé pour la prévention du paludisme à P. falciparum chez les enfants vivant dans les régions où la transmission est modérée à forte, tel que défini par l'OMS. Le vaccin antipaludique RTS,S/AS01 doit être administré à raison de 4 doses aux enfants à partir de l'âge de 5 mois pour réduire la charge de la maladie.