Galerie Talmart

Adama Sylla, photo d'un étrange veau sous les naseaux maternels.

Mère à l'enfant, Adama Sylla

La femme du fleuve, par Adama Sylla, Saint-Louis du Sénégal

Succès de l'exposition Le langage des oiseaux de Jon Helip et prolongation jusqu'au 12 juillet.

Vernissage ce soir, en cours...

Venez nombreux découvrir une série inédite de photographies d'Adama Sylla en dialogue avec la série d'autoportraits de Massow Ka - El junio qui questionne l'infertilité.
"L’exposition est inspirée de la série Taxaander, du jeune photographe sénégalais Massow Ka, sur le thème de l’infertilité masculine. Elle met en rapport deux époques de création visuelle des années 1970 (Adama Sylla) et des années 2020 (Massow Ka) sur la figure de l’homme, de la femme et du terreau où leurs rôles se définissent. En insufflant un regard historique, une histoire du regard nous est donnée en retour. La construction sociale d’une fonction de la fertilité est saisie dans ces œuvres photographiques, à travers un ménagement de l’espace : l’apparition des paysages et des corps qui portent les projections, les désirs, les attentes, les frustrations, l’attente d’un avenir." (Arafat Sadallah)

Un livre / Une expo : « l’histoire de demain » photographies de Adama Sylla. Vernissage le vendredi 23 février à 17h au et .truncis

Née au Mexique en 1983 dans une famille d’acteurs, installée en France depuis 2013, Yanieb Fabre combine la vidéo, la danse et le dessin, appréhendant les arts visuels comme un mécanisme intuitif pour communiquer des pulsions et pour exprimer de manière très obsessionnelle ses humeurs et ses passions. Ses œuvres sont liées à la nature, au désir et à sa fascination pour l’origine animale de l'humanité.

Elle a suivi une formation académique dans les meilleures écoles d’art du Mexique et exposé dans de nombreux musées au Mexique, en France et en Europe.

L’exposition « Dessins en atelier » à la galerie Talmart présente un ensemble de codex magistraux : fresques de 8 mètres dessinées au crayon de couleur et décrivant un monde inouï sorti de ses obsessions et de son riche héritage culturel.

À l'occasion de la parution du dernier ouvrage de la collection « Pépites », les .riveneuve et la galerie s'associent pour présenter
« Tchicaya U Tam'si, vie et oeuvre d'un maudit » par Boniface Mongo-Mboussa,
ce jeudi 9 novembre 2023, à partir de 18h à la galerie Talmart.

La présentation sera animée par l'auteur Elgas ( .h.sg ) !

Programme de la soirée :
- présentation
- lecture
- séance de dédicaces
- cocktail

📅 Le jeudi 9 novembre 2023

🕕 À partir de 18h

📍 22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris

La galerie Talmart vous présente les travaux du photographe Adama Sylla à l'occasion de la foire AKAA - Art & design - 2023, sur le stand C6, au Carreau du Temple, 4 rue Eugène Spuller, 75003 Paris.

La foire ouvre ses portes au grand public du 20 au 22 octobre 2023.

🗣️ L'artiste et anthropologue Sandrine Saïah échangera avec le philosophe Alberto Romele autour du rapport au numérique, matière de l'exposition Par-delà nos frontières.

Alberto Romele est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Sorbonne Nouvelle. Philosophe de formation, ses travaux portent sur la philosophie des nouvelles technologies numériques et notamment sur la question des imaginaires de l’intelligence artificielle.

🗓️ Samedi 7 octobre 2023

🕚 17h

📍 Galerie Talmart, 22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris

Ⓜ️ Rambuteau (ligne 11) ou Hôtel de Ville (ligne 1 et 11)

➡️ Sites Internet :

sandrinesaiah.com
albertoromele.com

Née à Arcachon en 1957, vit et travaille à Bordeaux. Très jeune, ses centres d’intérêts sont reliés à l’anthropologie, le corps et l’expression artistique visuelle. Elle a pu conjuguer des études en sciences humaines à celles des Beaux-Arts puis mêler ses connaissances dans ses diverses pratiques professionnelles.

Pour tenter de soulever les principales interrogations concernant la simultanéité du rapport du corps humain aux différents espaces contemporains, elle a organisé une rencontre, à Cap Sciences à Bordeaux en 2015. Michel Cassé, astrophysicien, Milad Doueihi, titulaire de la chaire d’humanisme numérique à l'université de Paris-Sorbonne, et Esther Lin, traductrice de François Jullien, philosophe sinologue, ont dialogué sur Quels espaces pour l’espace ?

Lors d’échanges avec François Laplantine anthropologue, sur la notion d’interstice, elle a rencontré Alain Mons qui lui a proposé de collaborer à un ouvrage collectif sur Les battements
du contemporain. La rédaction de ce texte «Pour une chorégraphie aléatoire» l’a amenée à des productions touchant la platitude, la simultanéité, l’imbrication.

Commissariat de Grigori Michel

🗣️ Rencontre le samedi 7 octobre à 18h avec Alberto Romele, philosophe et maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université Sorbonne Nouvelle

🎉 Vernissage le mercredi 4 octobre à 18h

🗓️ Exposition ouverte du 3 au 14 octobre 2023

🕚 Du mardi au samedi de 11h à 19h

📍 Galerie Talmart, 22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris

Depuis une vingtaine d’années, Sandrine Saïah s’illustre en tant qu’artiste-anthropologue. Elle mène ainsi une recherche anthropologique et artistique centrée sur le thème des frontières du corps. Celles-ci sont aux prises avec les révolutions technologiques qui bouleversent nos repères spatiaux. Univers en expansion, expansion numérique et mondialisation interfèrent sur nos représentations et par conséquent sur notre rapport à l’espace, aux espaces. Plus que le corps humain, c’est la simultanéité de sa relation aux différents espaces contemporains qu’elle étudie.

À travers une partition de pièces singulières, Par-delà nos frontières interroge la relation possible entre les espaces physique et numérique à l’aune de nos repères spatio-temporels. «Les deux notions inextricables espace/temps et corps/esprit qui ont prévalu dans l’édification de nos repères, ne se distordent-elles pas dans ce va et vient permanent entre ces deux espaces, dont l’un plat gonfle et l’autre en trois dimensions rétrécit ?» nous demande-t-elle.

Avec son installation Portant (2017), l’artiste-anthropologue convoque alors des silhouettes d’anonymes en taille réelle, bien qu’individualisées par le contour de leur corps imprimé sur vinyle, pour former un ensemble de singularités dont les dénominateurs communs du numérique constituent des flux de données et d’informations qui les connectent. Les innombrables images fragmentaires qui ont laissé leur empreinte – indélébile ? – sur ces profils colonisés donnent à voir une réalité vertigineuse où le déplacement se fait sur une ligne du temps en constante progression. Collectif frontal (2017) s’inscrit dans cette représentation d’une humanité
numérisée sans densité physique.

Commissariat d'exposition :
Grigori Michel

🗣️ Entretien public le samedi 7 octobre à 17h entre et Alberto Romele (maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Sorbonne Nouvelle)

🗓️ Du 3 au 14 octobre 2023
🕚 Du mardi au samedi de 11h à 19h
🎉 Vernissage le 4 octobre à 18h
📍 22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris

La galerie Talmart présente l'exposition personnelle de Shadi Alzaqzouq intitulée A.W.A (Arab With Attitude), du 1er au 23 septembre 2023.

Le titre A.W.A fait référence au groupe de hip-hop américain N.W.A (Ni**az Wit Attitude) devenu culte dans le milieu underground des années 90, dont l'un des membres fondateurs se faisait appeler Arabian Prince. L'attitude ici, est synonyme de «style».

Shadi Alzaqzouq est un artiste palestinien né en 1981 à Benghazi, en Libye, où il passe une grande partie de son enfance avec sa famille avant de revenir à Gaza (Palestine), après les accords d'Oslo (1993).

Punk musulman : très lié à la scène musicale anglosaxonne, le peintre se reconnaît dans le mouvement « muslim-punk », apparu au Royaume Uni en 1979 avec le groupe Alien Kulture puis aux Etats-Unis en 2004 avec la publication du roman The Taqwacores de Michael Muhammad Knight, adapté au cinéma en 2010. Ce mouvement s’est invité dans de nombreuses œuvres de l’artiste à l’iconographie indocile. Il représente de jeunes musulman.e.s conteporains, souvent de type européen, convertis, affublés d’une crête sur le foulard, entre action et méditation.

Sa singularité le fait remarquer par plusieurs médias à Art Dubaï 2012. Un article de Libération présente « After Washing », l’un des trois tableaux qu’il expose à cette foire, qui est censuré dès l’ouverture. Suite à cette censure, l’artiste britannique Banksy invite Shadi à participer à son projet artistique temporaire « Dismaland » en Angleterre, en 2015.

La prise du pouvoir par les femmes est au cœur des préoccupations de l’artiste qui en fait presque une mythologie des temps modernes. Son tableau « Etat d’urgence » met en scène quatre femmes punk-musulmanes qui malmènent un policier, dans un décor de décombres, à la lueur d’un néon posé au sol. L’action suggère le symbole de l’Amazone « tueuse d’homme » comme l’a qualifié Hérodote, ou encore le geste irréversible de Judith tranchant la gorge d’Holopherne. La toile « Etat d’urgence » fait écho à l’affaire Théo de 2017, victime d’une « interpellation musclée » par la police.

🎉 Vernissage 6 sept
🗓 1er au 23 septembre 2023
🕖11h-19h
📍22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris

La galerie Talmart présente l'exposition personnelle de Magloire Mpaka, du 29 juin au 12 juillet 2023.
Nous avons eu le plaisir de recevoir le célèbre lors du vernissage !
Ce vernissage à eu lieu le vendredi 30 juin, date de commémoration de l'indépendance du Congo (RDC).

Magloire Mpaka, né en 1990 à Kinshasa, est un plasticien, photographe et cinéaste.
Très jeune, il commence la photographie comme un jeu avant d'en faire son mode d'expression artistique.
Passionné d'histoire, l'artiste commence également l'acquisition de timbres, de lettres et de documents administratifs datant de l'époque du Congo belge. Il se constitue une collection d'outils pour ces futures créations visuelles. Le photographe endosse alors le rôle d'archiviste, de conservateur de la mémoire de son pays, dont l'administration ne souhaite pas garder le souvenir par ces objets témoins.
Diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, Magloire Mpaka obtient une licence en communication audiovisuelle et se spécialise dans la réalisation de films, de spots publicitaires, de magazines et de documentaires.
Engagé dans la vie culturelle de la capitale, il crée un laboratoire artistique dans un quartier populaire de Kinshasa pour y rendre la création accessible à tous.
Actuellement résident à l', il travaille sur différents projets dont sa série "Trinitas", qu'il a réalisé à Kin et que la galerie Talmart expose aujourd'hui à Paris.

À l'occasion de Timeless, des rencontres photographiques portées par le MuPho (musée de la photographie) à Saint-Louis du Sénégal, l'œuvre du doyen Adama Sylla était présentée par Marc Monsallier (Talmart).

À l'occasion de cette nouvelle édition de la Nuit Blanche, la galerie Talmart présente le projet artistique de Manadona lab sur proposition du commissaire Grigori Michel.

À travers cette exposition, le collectif Manadona lab explore les relations humaines et questionne comment la technologie affecte notre capacité à communiquer et à nous connecter les uns aux autres. Leur point de vue amusé s'intéresse aux « avantages et risques » de l'utilisation croissante de l'intelligence programmée dans notre quotidien.

Des sons et des lumières rythment cette journée éternelle, où, malgré l'apparence du vide, tout perdure. Des dizaines d'années pour construire des pyramides millénaires ; une nuit pour exposer des traces encore fraîches.

➡️ manadona.com
📍22 rue du Cloître Saint-Merri, 75004
🕖 Le samedi 3 juin de 19h à 01h

Vernissage demain de l'exposition Par la force du réel, peinture de Bert Mertens, sous le commissariat de Grigori Michel. Rencontre avec Yannick Haenel demain à 20h à la fin du vernissage.

http://www.parisetudiant.com/etudiant/sortie/la-mecanique-poetique-d-adama-sylla.html

La mécanique poétique d'Adama Sylla La mécanique poétique d'Adama Sylla @ Galerie Talmart Paris - du mercredi 22 mars 2023 au samedi 22 avril 2023

Nous sommes heureux de recevoir Elgas .h.sg et les éditions Riveneuve .riveneuve pour une soirée consacrée à la dernière parution de l'auteur : Les bons ressentiments, essai sur le malaise post-colonial.

Extrait de la quatrième de couverture :
« Léopold Sédar Senghor, Yambo Ouologuem ou Mohamed Mbougar Sarr, le prix Goncourt 2021, sont-ils des alliénés ? Méritent-ils cet opprobre originel jeté sur certains intellectuels africains conduisant à la disqualification ? Dans le contexte actuel de promotion des pensées décoloniale et post-colonial, entre querelles fratricides et surenchère identitaire, un long malaise persiste dans les relations entre les écrivains et artistes africains et l'ancienne puissance coloniale, notamment française... »

À l'occasion de l'exposition intitulée "La mécanique poétique d'Adama Sylla", qui se tiendra du 22 mars au 22 avril 2023, sur deux sites : au 56 rue Quincampoix 75004, et au 22 rue du Cloître Saint-Merri 75004 ; il semble important de présenter le doyen photographe.

Né le 27 février 1934 en Casamance, dans la ville de Kolda, c'est à Saint-Louis du Sénégal, où il réside toujours, qu'il passe la majorité de sa vie.

L'œuvre d'Adama Sylla s'inscrit dans un "mécanisme de témoignage" visuel d'une évolution sociétale. Il est l'une des personnalités importante de la photographie africaine, car il apporte à l'édifice des éléments de compréhension du continent et met en lumière les sophistications de la culture sénégalaise.

Poursuivant un travail d'archivage, il est attentif aux corps, aux regards, aux lignes et aux détails qui composent ces images. Il capte les histoires personnelles, ainsi que les formes universelles qui nous unissent. Il dépasse la technique et se focalise sur l'action de capter une collection d'instants.

Commissariat : Ange-Frédéric Koffi .truncis

Visite d'exposition : Topographies sensibles Découvrez la toute 1ère exposition photographiques collective de 2023 !𝙏𝙤𝙥𝙤𝙜𝙧𝙖𝙥𝙝𝙞𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙣𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚𝙨 à la 𝗚𝗮𝗹𝗲𝗿𝗶𝗲 𝗧𝗮𝗹𝗺𝗮𝗿𝘁, sous l...